Je n'ai lu que le premier tome et j'ai du m'arrêter là, tant c'est mauvais. Bon sang, que c'est nul ! D'une intensité que j'ai rarement vu atteint, d'ailleurs.
Disons déjà que le dessin est franchement laid : c'est des corps stéréotypés qui se ressemblent tous, des femmes aux seins improbables, toujours courbés et cambrés, des hommes qui sont des montagnes de muscles (avec, j'en suis presque certain, une quantité anormale d'erreurs anatomiques), des trucs qui me font instantanément sortir de l'histoire dans les costumes (la Olga avec des caches-tétons armure … DES CACHE-TETONS ARMURES !) et bien sur, une colorisation informatique dégueulasse.
Le tout est servi par un scénario aux petits oignons : des scènes de sexe rentrées au chausse-pied avec des positions et situations stupides, tous les prétextes possibles pour mettre les filles à poils (évidemment qu'elles ont chaud avec une petite cape, on est juste en Scandinavie en hiver !), c'est beauf, mais beauf ! On dirait un vieux rêve porno qu'a fait l'auteur qui a trop regardé la série Vikings et se fait des trips à base de gros seins. On est vraiment dans le fond du fond du panier des scénarios de cul, et pourtant c'est pas l'endroit où on y porte une attention particulière.
Et honnêtement, en le lisant, je me suis vite senti ennuyé comme pas permis. Disons que j'ai lu les dialogues pour la forme et même là, j'ai l'impression de voir les grandes heures du film X amateur tourné par un gars qui veut faire son histoire "trop dark". On a donc un frère et une sœur qui baisent ensemble (Game of Thrones à du passer par là), de la magie, des intrigues amoureuses, des mystères nuls … C'est plat, c'est insignifiant, c'est oubliable.
Je m'épanche beaucoup, mais il y a des BD qui ratent leur histoire, leur propos, leur dessin. Et il y a des BD comme ça, qui sont tellement mauvaises que je ne peux que détailler à quel point c'est risible. Comment ça peut être publié, comment ça peut continuer sur quatre volumes ? Ça me dépasse. Il doit y avoir beaucoup plus de garçons aux hormones chargées que je ne l'imagine.
J’ai toujours aimé Harry Dickson.
Mais là, c’est pas possible. Des histoires sans queue ni tête, d’innombrables fautes d’orthographe, des erreurs dans les renvois, n’importe quoi de banal dans les chutes ! Un peu moins sévère pour les dessins - pourtant pas bien originaux…
J'ai lu cette BD dans une réédition agrémentée d'une nouvelle histoire, mais je pense que je ne vais pas m'embêter à poster l'album. Déjà parce que j'ai mieux à faire de ma vie et aussi parce que cette BD n'a pas suffisamment d'intérêt pour ça.
Soyons franc : tout comme Le grand A, je n'ai pas compris la BD. Trop de personnages que je ne connaissais ni de nom ni de visuels, d'intrigues prises en cours de route pour lesquels je suis resté sur la touche, et surtout un mélange de flash-back (que je ne reconnaissais pas) et de moments présents qui deviennent plus incompréhensible. C'est le genre de BD pour laquelle il faut une connaissance encyclopédique de l'univers de la chauve-souris pour comprendre les différentes trames de l'intrigue. Pour ma part, ça a été une incompréhension du début à la fin.
L'autre versant de la BD, celle que j'ai compris (je crois) c'est la question de la paternité. Alors là, j'ai non seulement des problématiques vis-à-vis du message (non, les enfants ne sont pas là pour sauver les parents, démerdez-vous seuls s'il vous plait) et en plus, je trouve que la question de la paternité de Batman est abordé avec un personnage qui parait psychotique et surtout cruel envers son fils. Ca me donne plus envie de lui envoyer le juge des affaires familiales que de le soutenir. Et si Batman devient problématique dans sa BD, il ne reste que Deathstroke dont je ne connaissais pas du tout l'histoire. Autant dire que niveau attachement c'était mort.
Pour le reste, je rejoins le Grand A : les dialogues à base de science magique de Comics, ça me gave. Les bagarres dialogués à la fin de laquelle les deux personnages s'entraident, ça m'agace (tuez vous, merde !). Et puis globalement, on s'ennuie. A la fin de cette BD, rien n'a progressé niveau intrigue. On est au point de départ après un quiproquo. Chouette, ça ne sert à rien dans la timeline de Batman !
Ce que j'en tire, c'est : je me suis ennuyé, j'ai rien compris et j'ai l'impression que ça ne sert à rien. Inutile de dire que pour ma part je ne conseille pas.
J'ai lu la BD pour la sortir de la section "un seul avis", mais franchement j'ai du me forcer pour aller jusqu'au bout. C'est vraiment moche et les scénarios sont de bas étages, sans grandes surprises et globalement sans chute. C'est une succession d'histoires courtes dans lesquels on a le droit à un dessin aux proportions changeantes et des angles de vues toujours plus proche des têtes. Ca finit par lasser et l'abondance de texte pour palier à ce qu'on ne voit pas envahit le peu d'espace restant. Ca donne une curieuse impression d'histoire qui se finit toujours trop vite, tandis qu'on est écrasé par le poids de ce qu'il faut lire.
En fait, je crois qu'on est simplement face au fond du panier de la BD X : des dessins fait sans grand soin, pour des histoires de fantasmes toujours aussi basiques et des chutes jamais intéressantes. On finit par des clichés sexuels en permanence et ça donne cette espèce de BD, jamais suffisamment mauvaise pour que je la note plus durement, mais toujours aussi peu intéressante. Oubliable, qui ne dépassera jamais le stade de curiosité.
Certes, comme l'écrit Kanibal dans son avis on peut aimer le genre western spaghetti à la violence excessive et lui rendre hommage. Mais ici il ne s'agit pas d'hommage mais d'utilisation abusive de l'image d'une super vedette pour faire de la vente.
Où est la créativité artistique si il suffit de copier-coller à partir d'images célèbres déjà produites. J'espère que Clint a perçu des royalties des deux auteurs tellement la farce graphique est grotesque. Le scénario de Yann est digne d'un élève qui réutilise le canevas du chasseur/chassé-piégeur avec toutes les facilités imaginables comme un oiseau qui intervient pour crever les yeux ou un Clint (pardon Walker !) indestructible au venin, balles, roches etc...
Une couverture racoleuse pour enrober le tout d'une pauvre série.
Que c'est mauvais ! J'ai clairement gaspillé mon argent sur cette série, je ne vais donc pas perdre mon temps avec un avis trop long.
J'aime le genre parodique surtout quand il est pimenté par de la sexualité rigolote. Ici tout est au raz des pâquerettes. Un pseudo scénario qui pompe des idées déjà utilisées, un humour bas du front et des scènes de sexe qui se résument le plus souvent à une ou deux illustrations figées au trait grossier.
Comme le graphisme est laid avec un trait gras mal travaillé et mal maîtrisé. C'est zéro pointé.
Mauvais ? Inefficace ? Insignifiant ? Bref c'est naze.
Je vois que je ne suis pas le premier déçu, je me permettrai quelques termes cinglants, mes excuses aux auteurs.
Mais quel ennui, les personnages sont vides et la réalisation est médiocre. Pourtant il y'a de l'idée pour chaque album avec en fond (de scénar') une "morale" mais l'exécution est un échec (et ce dans dans tous les albums que j'ai pu lire).
Les dessins sont inégaux selon les tomes, parfois très bon, parfois désastreux, imprécis, bâclés. Le scénario et la réalisation n'aide en rien cela dit, il tire le dessin vers le bas avec un nombre gargantuesque de planches inutiles et mal conceptualisées.
Une impression que ni dessinateurs, ni scénariste n'avaient l'ambition d'en faire une grande bd mais que les chèques suffisaient à motiver pour nous sortir ces piètres albums les uns après les autres. BD à fric, on connait la chanson.
Typiquement le genre de bd qui me fatigue car la série est +/- bien noté et bénéficie d'une certaine renommée qui me pousse un jour ou l'autre à en consommer quelques albums (c'est le jeu ma pauvre Lucette, j'en conviens mais bordel comment peut-on mettre quatre étoile à ce genre de série, faut vraiment pas être exigent). Je ne m'attendais pas à lire une série culte mais plutôt une série divertissante et agréable, malheureusement il n'en est rien, c'est naze.
Dans le genre il y a tellement mieux, je déconseille cette bd à l'achat.
Je suis très proche du ressenti de Maelström sur cette série. Bon je ne suis pas du tout joueur et je n'ai jamais touché une manette depuis les antiques Pacman des bistrots.
Je m'en porte fort bien. J'ai donc ouvert le livre en toute bonne volonté. Je l'ai refermé assez rapidement.
Comme le souligne Maelström on se croirait dans un cours au tableau noir juste après le restau U : impossible de lire une page sans s'endormir tellement la présentation est ennuyeuse.
Comme le graphisme est d'une ligne claire très basique avec des couleurs pâlottes dans une disharmonie de rose et de marron, il faut être vraiment un accro pour arriver au bout.
C'est un comble pour un tel sujet qui a bâti son succès sur la qualité de son graphisme.
Quelques remarques sur l'impact du développement psy parcourent le livre mais cela reste très superficiel et déjà étudié mille fois.
Une très pauvre série à mes yeux.
Je n'ai pas du tout apprécié ce que j'ai lu de cette série. Le concept de journaliste, BG, redresseur de torts est usé jusqu'à la corde.
Il faut donc des sujets originaux et des attitudes qui étonnent pour pouvoir m'intéresser. Ici c'est tout le contraire. On revient à un héros qui évite toutes les balles de tireurs chevronnés, qui joue les francs-tireurs insolents et désinvoltes et qui résout les enquêtes en deux temps trois mouvements.
Il existe une règle que semble ne pas connaître les auteurs : un personnage de ce type est à la hauteur des adversaires qu'il rencontre.
Avec une confrontation aussi fade d'adversaires maladroits et stupides, je n'ai pas pu avoir le moindre ressenti vis à vis de Silane.
Les dialogues sont assez plats et faibles, où l'invective, les mauvais calembours et le cliché tiennent lieu de pensées au séduisant journaliste.
Mais le pire ce sont les facilités scénaristiques que s'accordent les auteurs grâce à un appareil photo magique qui découvre les coupables ou une appli qui casse les identifiants en dix secondes. On trouve même un agent de la CIA reconverti dans l'humanitaire. Le scénario devient alors une suite de scènes d'actions improbables déjà vues mille fois.
J'ai trouvé le graphisme assez soigné pour le personnage de Silane mais beaucoup plus ordinaire pour les autres et les décors.
Certains personnages frôlant la caricature avec des proportions pas à mon goût. Je reconnais que le dessin s'améliore un peu sur la fin de série. Une mise en couleur sans originalité complète une triste lecture qui affiche quand même 10 épisodes.
Merci au précédent posteur d’avoir pris le temps de rechercher des images, de créer la fiche album, etc. Je n’en avais pas du tout, mais alors pas du tout le courage, merci à lui.
J’y vais de mon petit grain de sel donc. Oui, c’est de la grosse daube on peut le dire. Probablement est-ce le pire comics Star Wars jamais publié, et pourtant il y en a eu des ratés. Mais nous ne sommes pas dans ce cas de figure, là c’est juste du gros foutage de gueule. On a un « truc » sans âme, sans tripes, sans colonne vertébrale. C’est une commande pour faire la promotion d’un hôtel du parc d’attraction Disney World Orlando qui devait avoir la gueule du Halcyon. J’ai lu l’info je ne sais plus où mais l’hôtel a fait un bide énorme et a fermé il me semble, le prix des chambres (5000$ pour 2 nuits) paraît-il… Le pire du 9ème art à la gloire de Mickey-Mammon.
Mmmh… hein, de quoi ? L’histoire ? Quelle histoire ? Il y a une histoire ?
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Je n'ai lu que le premier tome et j'ai du m'arrêter là, tant c'est mauvais. Bon sang, que c'est nul ! D'une intensité que j'ai rarement vu atteint, d'ailleurs. Disons déjà que le dessin est franchement laid : c'est des corps stéréotypés qui se ressemblent tous, des femmes aux seins improbables, toujours courbés et cambrés, des hommes qui sont des montagnes de muscles (avec, j'en suis presque certain, une quantité anormale d'erreurs anatomiques), des trucs qui me font instantanément sortir de l'histoire dans les costumes (la Olga avec des caches-tétons armure … DES CACHE-TETONS ARMURES !) et bien sur, une colorisation informatique dégueulasse. Le tout est servi par un scénario aux petits oignons : des scènes de sexe rentrées au chausse-pied avec des positions et situations stupides, tous les prétextes possibles pour mettre les filles à poils (évidemment qu'elles ont chaud avec une petite cape, on est juste en Scandinavie en hiver !), c'est beauf, mais beauf ! On dirait un vieux rêve porno qu'a fait l'auteur qui a trop regardé la série Vikings et se fait des trips à base de gros seins. On est vraiment dans le fond du fond du panier des scénarios de cul, et pourtant c'est pas l'endroit où on y porte une attention particulière. Et honnêtement, en le lisant, je me suis vite senti ennuyé comme pas permis. Disons que j'ai lu les dialogues pour la forme et même là, j'ai l'impression de voir les grandes heures du film X amateur tourné par un gars qui veut faire son histoire "trop dark". On a donc un frère et une sœur qui baisent ensemble (Game of Thrones à du passer par là), de la magie, des intrigues amoureuses, des mystères nuls … C'est plat, c'est insignifiant, c'est oubliable. Je m'épanche beaucoup, mais il y a des BD qui ratent leur histoire, leur propos, leur dessin. Et il y a des BD comme ça, qui sont tellement mauvaises que je ne peux que détailler à quel point c'est risible. Comment ça peut être publié, comment ça peut continuer sur quatre volumes ? Ça me dépasse. Il doit y avoir beaucoup plus de garçons aux hormones chargées que je ne l'imagine.
Harry Dickson
J’ai toujours aimé Harry Dickson. Mais là, c’est pas possible. Des histoires sans queue ni tête, d’innombrables fautes d’orthographe, des erreurs dans les renvois, n’importe quoi de banal dans les chutes ! Un peu moins sévère pour les dessins - pourtant pas bien originaux…
Batman vs Deathstroke
J'ai lu cette BD dans une réédition agrémentée d'une nouvelle histoire, mais je pense que je ne vais pas m'embêter à poster l'album. Déjà parce que j'ai mieux à faire de ma vie et aussi parce que cette BD n'a pas suffisamment d'intérêt pour ça. Soyons franc : tout comme Le grand A, je n'ai pas compris la BD. Trop de personnages que je ne connaissais ni de nom ni de visuels, d'intrigues prises en cours de route pour lesquels je suis resté sur la touche, et surtout un mélange de flash-back (que je ne reconnaissais pas) et de moments présents qui deviennent plus incompréhensible. C'est le genre de BD pour laquelle il faut une connaissance encyclopédique de l'univers de la chauve-souris pour comprendre les différentes trames de l'intrigue. Pour ma part, ça a été une incompréhension du début à la fin. L'autre versant de la BD, celle que j'ai compris (je crois) c'est la question de la paternité. Alors là, j'ai non seulement des problématiques vis-à-vis du message (non, les enfants ne sont pas là pour sauver les parents, démerdez-vous seuls s'il vous plait) et en plus, je trouve que la question de la paternité de Batman est abordé avec un personnage qui parait psychotique et surtout cruel envers son fils. Ca me donne plus envie de lui envoyer le juge des affaires familiales que de le soutenir. Et si Batman devient problématique dans sa BD, il ne reste que Deathstroke dont je ne connaissais pas du tout l'histoire. Autant dire que niveau attachement c'était mort. Pour le reste, je rejoins le Grand A : les dialogues à base de science magique de Comics, ça me gave. Les bagarres dialogués à la fin de laquelle les deux personnages s'entraident, ça m'agace (tuez vous, merde !). Et puis globalement, on s'ennuie. A la fin de cette BD, rien n'a progressé niveau intrigue. On est au point de départ après un quiproquo. Chouette, ça ne sert à rien dans la timeline de Batman ! Ce que j'en tire, c'est : je me suis ennuyé, j'ai rien compris et j'ai l'impression que ça ne sert à rien. Inutile de dire que pour ma part je ne conseille pas.
Pin up libertines
J'ai lu la BD pour la sortir de la section "un seul avis", mais franchement j'ai du me forcer pour aller jusqu'au bout. C'est vraiment moche et les scénarios sont de bas étages, sans grandes surprises et globalement sans chute. C'est une succession d'histoires courtes dans lesquels on a le droit à un dessin aux proportions changeantes et des angles de vues toujours plus proche des têtes. Ca finit par lasser et l'abondance de texte pour palier à ce qu'on ne voit pas envahit le peu d'espace restant. Ca donne une curieuse impression d'histoire qui se finit toujours trop vite, tandis qu'on est écrasé par le poids de ce qu'il faut lire. En fait, je crois qu'on est simplement face au fond du panier de la BD X : des dessins fait sans grand soin, pour des histoires de fantasmes toujours aussi basiques et des chutes jamais intéressantes. On finit par des clichés sexuels en permanence et ça donne cette espèce de BD, jamais suffisamment mauvaise pour que je la note plus durement, mais toujours aussi peu intéressante. Oubliable, qui ne dépassera jamais le stade de curiosité.
Colt Walker
Certes, comme l'écrit Kanibal dans son avis on peut aimer le genre western spaghetti à la violence excessive et lui rendre hommage. Mais ici il ne s'agit pas d'hommage mais d'utilisation abusive de l'image d'une super vedette pour faire de la vente. Où est la créativité artistique si il suffit de copier-coller à partir d'images célèbres déjà produites. J'espère que Clint a perçu des royalties des deux auteurs tellement la farce graphique est grotesque. Le scénario de Yann est digne d'un élève qui réutilise le canevas du chasseur/chassé-piégeur avec toutes les facilités imaginables comme un oiseau qui intervient pour crever les yeux ou un Clint (pardon Walker !) indestructible au venin, balles, roches etc... Une couverture racoleuse pour enrober le tout d'une pauvre série.
La Planète des Vülves
Que c'est mauvais ! J'ai clairement gaspillé mon argent sur cette série, je ne vais donc pas perdre mon temps avec un avis trop long. J'aime le genre parodique surtout quand il est pimenté par de la sexualité rigolote. Ici tout est au raz des pâquerettes. Un pseudo scénario qui pompe des idées déjà utilisées, un humour bas du front et des scènes de sexe qui se résument le plus souvent à une ou deux illustrations figées au trait grossier. Comme le graphisme est laid avec un trait gras mal travaillé et mal maîtrisé. C'est zéro pointé.
La Geste des Chevaliers Dragons
Mauvais ? Inefficace ? Insignifiant ? Bref c'est naze. Je vois que je ne suis pas le premier déçu, je me permettrai quelques termes cinglants, mes excuses aux auteurs. Mais quel ennui, les personnages sont vides et la réalisation est médiocre. Pourtant il y'a de l'idée pour chaque album avec en fond (de scénar') une "morale" mais l'exécution est un échec (et ce dans dans tous les albums que j'ai pu lire). Les dessins sont inégaux selon les tomes, parfois très bon, parfois désastreux, imprécis, bâclés. Le scénario et la réalisation n'aide en rien cela dit, il tire le dessin vers le bas avec un nombre gargantuesque de planches inutiles et mal conceptualisées. Une impression que ni dessinateurs, ni scénariste n'avaient l'ambition d'en faire une grande bd mais que les chèques suffisaient à motiver pour nous sortir ces piètres albums les uns après les autres. BD à fric, on connait la chanson. Typiquement le genre de bd qui me fatigue car la série est +/- bien noté et bénéficie d'une certaine renommée qui me pousse un jour ou l'autre à en consommer quelques albums (c'est le jeu ma pauvre Lucette, j'en conviens mais bordel comment peut-on mettre quatre étoile à ce genre de série, faut vraiment pas être exigent). Je ne m'attendais pas à lire une série culte mais plutôt une série divertissante et agréable, malheureusement il n'en est rien, c'est naze. Dans le genre il y a tellement mieux, je déconseille cette bd à l'achat.
Les Mondes du jeu
Je suis très proche du ressenti de Maelström sur cette série. Bon je ne suis pas du tout joueur et je n'ai jamais touché une manette depuis les antiques Pacman des bistrots. Je m'en porte fort bien. J'ai donc ouvert le livre en toute bonne volonté. Je l'ai refermé assez rapidement. Comme le souligne Maelström on se croirait dans un cours au tableau noir juste après le restau U : impossible de lire une page sans s'endormir tellement la présentation est ennuyeuse. Comme le graphisme est d'une ligne claire très basique avec des couleurs pâlottes dans une disharmonie de rose et de marron, il faut être vraiment un accro pour arriver au bout. C'est un comble pour un tel sujet qui a bâti son succès sur la qualité de son graphisme. Quelques remarques sur l'impact du développement psy parcourent le livre mais cela reste très superficiel et déjà étudié mille fois. Une très pauvre série à mes yeux.
Thomas Silane
Je n'ai pas du tout apprécié ce que j'ai lu de cette série. Le concept de journaliste, BG, redresseur de torts est usé jusqu'à la corde. Il faut donc des sujets originaux et des attitudes qui étonnent pour pouvoir m'intéresser. Ici c'est tout le contraire. On revient à un héros qui évite toutes les balles de tireurs chevronnés, qui joue les francs-tireurs insolents et désinvoltes et qui résout les enquêtes en deux temps trois mouvements. Il existe une règle que semble ne pas connaître les auteurs : un personnage de ce type est à la hauteur des adversaires qu'il rencontre. Avec une confrontation aussi fade d'adversaires maladroits et stupides, je n'ai pas pu avoir le moindre ressenti vis à vis de Silane. Les dialogues sont assez plats et faibles, où l'invective, les mauvais calembours et le cliché tiennent lieu de pensées au séduisant journaliste. Mais le pire ce sont les facilités scénaristiques que s'accordent les auteurs grâce à un appareil photo magique qui découvre les coupables ou une appli qui casse les identifiants en dix secondes. On trouve même un agent de la CIA reconverti dans l'humanitaire. Le scénario devient alors une suite de scènes d'actions improbables déjà vues mille fois. J'ai trouvé le graphisme assez soigné pour le personnage de Silane mais beaucoup plus ordinaire pour les autres et les décors. Certains personnages frôlant la caricature avec des proportions pas à mon goût. Je reconnais que le dessin s'améliore un peu sur la fin de série. Une mise en couleur sans originalité complète une triste lecture qui affiche quand même 10 épisodes.
Star Wars - Halcyon Legacy
Merci au précédent posteur d’avoir pris le temps de rechercher des images, de créer la fiche album, etc. Je n’en avais pas du tout, mais alors pas du tout le courage, merci à lui. J’y vais de mon petit grain de sel donc. Oui, c’est de la grosse daube on peut le dire. Probablement est-ce le pire comics Star Wars jamais publié, et pourtant il y en a eu des ratés. Mais nous ne sommes pas dans ce cas de figure, là c’est juste du gros foutage de gueule. On a un « truc » sans âme, sans tripes, sans colonne vertébrale. C’est une commande pour faire la promotion d’un hôtel du parc d’attraction Disney World Orlando qui devait avoir la gueule du Halcyon. J’ai lu l’info je ne sais plus où mais l’hôtel a fait un bide énorme et a fermé il me semble, le prix des chambres (5000$ pour 2 nuits) paraît-il… Le pire du 9ème art à la gloire de Mickey-Mammon. Mmmh… hein, de quoi ? L’histoire ? Quelle histoire ? Il y a une histoire ?