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Couverture de la série Là où naît la brume
Là où naît la brume

Comme dans d'autres Bd écrites par Christian Périssin telles Cap Horn ou El Niño, il est question de voyage et d'aventure contemporaine. Ici, il emmène le lecteur à Terre-Neuve, une terre rude et austère pour la quête initiatique d'un homme en quête de repères. Le récit est lent et contemplatif, lié à des souvenirs douloureux ; aussi on peut s'interroger sur l'utilité de la recherche de ce père jadis cruel et brutal. Le passé se dévoile, pénible, mais apparemment, ça permet à Josh le héros de sortir de cette épreuve enrichi et fortifié. Bof, même si je sens que la démarche de base semble intéressante, cette étude psychanalytique avec à son terme une révélation étonnante ne m'a pas du tout passionné ; c'est creux, ennuyeux, il ne se passe rien, le scénario est très minimaliste, il y a des sauts d'une situation à une autre sans trop d'explication, comme si c'était d'énormes ellipses, le héros se traine un vague à l'âme perpétuel, et le dessin grossier et au trait épais ne m'a pas aidé à apprécier plus cette histoire, les personnages sont peu expressifs, les couleurs fades accentuent la mélancolie de l'ensemble, je n'aime pas ce type de récit qui vous fout un cafard pas possible, c'est un album totalement démoralisant.

11/11/2022 (modifier)
Par Gaendoul
Note: 1/5
Couverture de la série Merlin - Le Prophète
Merlin - Le Prophète

Malgré une couverture et un pitch donnant envie de s'intéresser à cette histoire, impossible d'y parvenir, la faute à un récit qui ne se focalise sur rien en tentant d'expliquer trop de choses et devient totalement indigeste. C'est simple, on a l'impression de lire 12 BD de 3 pages différentes, dans le premier tome. Les premières pages, notamment, ne servent absolument à rien à part rendre le tout encore plus confus. Le dessin n'est pas mauvais mais la colorisation est typique des œuvres publiées chez Soleil et les personnages et décors ne sont pas originaux (comme l'a souligné Erik on peut voir des statues inspirées de celles de l'Argonath). Bref, pas très inspiré. Vraiment pas aimé, je ne compte donc pas lire la suite.

09/11/2022 (modifier)
Par Alix
Note: 1/5
Couverture de la série La Vie à 2 Mode d'emploi
La Vie à 2 Mode d'emploi

Comme le dit Mac Arthur, « La vie à 2 » déborde de clichés sexistes assez insupportables (donc en tant que mec, je ne sais pas cuisiner, je porte des vêtements sales, je ne sais pas allumer la machine à laver… bienvenue dans les années 50 !) Mais ce n’est finalement pas ce qui m’a le plus dérangé dans cette BD. Le plus gros souci, c’est l’humour, pas drôle du tout. Mais alors pas du tout. Le premier tome m’est tombé des mains, et je suis stupéfait que 4 tomes soient parus. Affreux affreux.

08/11/2022 (modifier)
Par gruizzli
Note: 1/5
Couverture de la série Les Filles de Salem
Les Filles de Salem

A contre-courant de la majorité, j'apporte une note discordante sur un album que je n'ai pas du tout aimé. Et j'en suis assez surpris, mais avec des bonnes raisons. Le gros hic que j'ai eu à la lecture (et qui me l'a ralentie sur plusieurs semaines) c'est d'avoir déjà entendu parler de l'histoire auparavant et d'en voir toutes les libertés que l'auteur à prises avec les faits historiques. Déjà, j'aime pas ça, je n'aime pas la récupération d'un évènement dans un but orienté pour parler de quelque chose de contemporain. C'est une pratique que je n'aime pas, surtout lorsqu'il y a d'énormes biais comme ici. Et ça, c'est le deuxième souci que j'ai eu avec cette histoire : les biais de l'auteur. Je comprends ses volontés et ses idées, mais qu'est-ce que c'est mal amené ! Lourdingue dans le propos, pas fin dans la réalisation, ça m'a sorti complètement de l'histoire. Il faut dire que cette histoire à un propos orienté, mais pas qu'un peu : les blancs sont décrits extrèmement négativement, les femmes sont toutes des victimes, les religieux fanatisés, la plèbe suit comme des moutons les chefs... Pas mal de clichés qui m'insupportent totalement, à la fois parce qu'il y a là des contresens historiques bien réels, mais surtout parce que cela révèle une question d'Histoire fantasmée qui permet de mieux "comprendre" mais en fait surtout justifier des réalités contemporaines. Cette histoire ne s’embarrasse pas de crédibilité historique et c'est bien dommage. Parce que cette crédibilité aurait permis de tempérer sacrément le message de la BD. Par exemple, lors des fameux procès de Salem, des hommes aussi furent jugés et exécutés, certains d'entre eux (et d'entre elles, d'ailleurs) s'enfuirent avant d'être condamnées. Mais surtout, la vision de cette société est dans le courant d'une légende noire du Moyen-Âge, signe d'une méconnaissance du sujet assez handicapante : on est dans un fantasme de colonie américaine sous le joug d'un puritanisme religieux qui emballe une petite communauté. Or Salem était un village, mais les procès débordèrent ce simple cadre. Les protagonistes n'ont que peu de liens entre eux, alors qu'il s'agissait de réseaux de familles et de clientèles bien établies qui structuraient cette société. Il faut ajouter que ces liens expliquent sans doute le massacre que furent ces procès, semblant être une guerre intestine entre deux clans rivaux dont l'un fit tout pour massacrer l'autre avec la complicité d'autorités (notamment le curé). A ce sujet, voir la vidéo sur Salem de Occulture qui explique le conflit entre les familles Porter et Putnam, vidéo intéressante et qui permet de proposer une hypothèse bien plus simple, crédible et documentée sur l'origine de cette folie passagère. Bref, je me suis retrouvé en but avec les intentions de cette BD, trop prévisibles et claires pour m'intéresser, usant de procédés que je n'aime pas et le tout dans des intentions que je n'approuve pas. Car si l'idée est de présenter une oppression de la femme dans ces années-là, le message semble bien plus porté sur notre société actuelle que sur celle de ces années-là. Et justifier par le passé une situation présente me semble assez dangereux. Je suis pratiquement certain que nous n'avons pas la même situation culturelle, sociale et politique. De fait, ça change pas mal la question du patriarcat. A ce sujet, l'exemple de la taverne est assez parlant : deux femmes tiennent une taverne, ce qui est mal vu de l'Eglise et de la population. Pourquoi ? Parce que ce sont des femmes qui agissent seules, semble nous dire la BD. Sans se pencher sur la question de la gestion de l'alcool dans ces sociétés, où la violence était bien plus grande, les accidents nombreux dus à l'alcool et la consommation assez différente de la notre. Lorsque l'Eglise fustige l'alcool dans ses textes, c'est avant tout parce que l'ivresse entraine des violences, des conflits et des morts. Et m'est avis que cette question était plus importante que de savoir que deux femmes seules tenaient une taverne (ce qui me semble déjà assez peu crédible). C'est une façon de récupérer des enjeux et conflits actuels, transposés dans le passé sans tenir compte des écarts que cela peut engendrer. Et puis franchement, ces idées auraient pu passer avec bien d'autres histoires que celles de Salem. Les chasses aux sorcières ne manquent pas dans l'Histoire, en France comme en Espagne, et le cas spécifique de Salem est bien plus connue, documenté et étudié, mais ça ne me semble pas pertinent vis-à-vis du sujet. Surtout, ça renforce les clichés sur les religieux fanatiques (mais adeptes des pratiques crasseuses, bien entendues) qui maintiennent la population dans la peur et l'ignorance. Je ne suis pas adepte de la religion, je suis même plutôt dans une détestation de celle-ci, mais ma haine de ces structures culturelles ne me fait pas fermer les yeux sur des critiques que je trouve inutiles et malvenues. Là, le prêtre fait méchant de série B, monolithique et sans aucune dimension intéressante à comprendre. Critiquer la religion devrait être fait plus finement que juste montrer un méchant pas beau oppresseur et faisant des enfants à des femmes retardées mentalement. C'est trop facile comme attaque, et j'en ai déjà trop vu dans ce genre pour être intéressé. Bref, c'est une BD que je n'ai pas aimé parce qu'elle me semble presque contre-productive sur son sujet. Alors que l'Histoire regorge de moments qui pourraient être étudiés en ce sens, on a ici une déformation d'un évènement pour le faire coller à une pensée et une vision actuelle. Ce qui n'est pas du tout à mon goût et surtout me fait comprendre que même armé de bonnes intentions, on peut faire dire ce qu'on veut à l'Histoire. Ça ne me plait jamais, quelque soit l'idée d'origine. Faire mentir l'Histoire pour servir son propos, c'est vraiment quelque chose que je trouve inquiétant. Je finirai sur un mot que ma copine à eu après avoir lu cette BD : "C'est dans le même courant que le néo-paganisme qui se réapproprie le mythe de la sorcière pour en faire une figure féminine qui lutte contre une oppression patriarcale, sans avoir de lien historique mais qui permet de créer des figures sur lesquelles s'appuyer dans un combat actuel". Mais je ne sais pas si elle aurait été aussi sévère dans sa note.

03/11/2022 (modifier)
Couverture de la série Rat's
Rat's

Un seul tome me suffira (le 2) pour me rendre compte que je ne suis pas fan de cette série. Cette bataille incessante entre rats et grenouilles ponctuée de dialogues grossiers et vulgaires n'est pas faite pour me plaire. Je n'ai même pas compris les allusions politiques ou sociétales de références. De plus j'ai trouvé les gags (?) répétitifs et le graphisme d'un type que j'apprécie peu. Vraiment pas ma tasse de thé.

02/11/2022 (modifier)
Par Benjie
Note: 1/5
Couverture de la série Le Diable des sept mers
Le Diable des sept mers

Le plaisir de retrouver le dessin d’Hermann a été rapidement gâché par un scénario confus, sans beaucoup d’imagination et finalement, l’album (intégrale) m’est tombé des mains surtout au moment où le fantastique embrouille définitivement l'histoire. Il y a pas mal d’incohérences, de situations pas du tout crédibles et Yves H. (dont j’ai vraiment du mal à apprécier les scénarios) passe à côté du sujet. Les personnages auraient mérité d'être plus approfondis, les caractères plus affirmés et les méchants plus méchants. Certaines scènes se répètent plusieurs fois, comme par exemple l’échouage sur une île déserte. Pour revenir sur le dessin, là c’est une autre histoire. Détaillé, expressif, vivant, aux couleurs superbes, c’est du beau travail malheureusement au service d’un scénario médiocre.

30/10/2022 (modifier)
Par greg
Note: 1/5
Couverture de la série Capitaine Vaudou
Capitaine Vaudou

Cette BD a un énorme problème : elle tire son postulat de théories conspirationnistes révisionnistes d'extrême-droite. C'est assez nauséabond. En effet, le personnage principal, Cormac, nous est présenté comme un irlandais catholique enchaîné à fond de cale qui fut condamné par les anglais à être vendu comme esclave en Virginie en compagnie de plusieurs compagnons d'infortune, dont son frère, et ils seront bientôt rejoints par du "bois d'ébène". Or l'esclavage irlandais est un mythe pseudo-historique propagé depuis les années 90 par des franges de l'extrême-droite américaine et pourtant contredit par les faits avancés par des historiens irlandais. La justice anglaise, même au pire temps de Cromwell, ne prévoyait en aucun cas la mise en esclavage de blancs, aussi papistes fussent-ils ! Il n'y a aucune décision de justice ou de décret allant dans ce sens. La seule réalité est que 30.000 irlandais ont été déportés à la Barbade pour servir de main-d’œuvre coloniale forcée. On est loin d'une traite des blancs. Bref, si l'on passe ce point déjà gravissime, le reste a du mal à tenir debout: on découvre par le biais d'un esclave noir que Cormac a des pouvoirs vaudous dont il ignorait l'existence. On ne saura jamais pourquoi, on doit se contenter du fait que c'est probablement dû au "petit peuple" irlandais (leprechauns et autres). Libéré par des pirates, Cormac va devenir l'un de leurs et devra apprendre à maîtriser ses pouvoirs. Bien sûr il devra faire face à un antagoniste, capitaine ressemblant à barbe-noir et maître vaudou, qui est super-méchant mais on ne sait pas pourquoi non plus. En forme d'aveu, un des personnages dit même "Donc le baron mort lente nous cherche noise, mais du diable si je sais pourquoi". Le récit est parsemé de nombreuses ellipses (un de mes moments préférés, le comparse africain explique "Tu comprends pourquoi je t'ai demandé de ne pas mettre de poudre dans ton arme ?", en référence à une séquence... qui n'existe pas), la chronologie est incertaine (on passe de ce qui est peut-être le présent à des flash-back ?) Il y a aussi un côté grand-guignol avec bien entendu des zombies, des loas (une d'entre elle s'est entichée de Cormac, pareil on ne sait pas pourquoi, faut croire que le catholicisme irlandais donne des capacités insoupçonnées), et puis un improbable Léopard-garou...

29/10/2022 (modifier)
Par gruizzli
Note: 1/5
Couverture de la série Interim Agency
Interim Agency

La BD trainait dans un coin de la dernière salle d'attente que j'ai visité. Eh bien je ne lirais pas plus que ce tome qui ne m'est pas resté dans les mains jusqu'au bout. C'est le pire de ce que peut faire l'éditeur : du réchauffé de vieux gags pas drôle bourrés d'expressions faciales éxagérés, ponctués de signe d'exclamation pour BIEN nous faire comprendre la cocasserie des planches, le tout avec des personnages inintéressants sur un métier précis. Ici, les agences d'Interim. Alors, déjà le dessin est franchement passable. C'est limite, niveau trait, et rien ne semble avoir été travaillé. C'est de la production massive à la chaine, sans aucune personnalité. Niveau histoire, c'est le fond des gags en planches, mâtinée de remarques complètement idiotes telles que "tiens, ils sont sacrément bien payés ces intérimaires !". Ah ben oui, c'est bien connu que c'est tellement sympa et bien payé comme emploi que tout le monde veut y aller. J'y étais, je confirme que c'est un ramassis de connerie qui sent la vieille droite réac sur ces gens qui veulent pas faire de vrai boulot comme les autres et sont en plus exigeants sur les salaires ! Salauds de pauvres ! Bref, entre le fond, la forme, l'humour et l'intention, ça plonge à tout les niveaux. Dire que c'est nul est évident, mais j'ajoute que c'est malveillant et insultant sur les pauvres types obligés de se coltiner l'intérim pour pouvoir manger, c'est à dire les appels à 7 h du matin pour une prise de poste dans la journée que tu n'as pas le choix de refuser si tu veux avoir d'autres propositions, des salaires au lance-pierre dans des boulots usant, le tout avec le sourire s'il vous plait. Ce qui m'énerve ici, c'est plus l'impression de faire une BD pour les gens qui bossent dans la boite que vraiment sur l'intérim. Il y aurait eut matière à faire de vrais bons gags sur ce travail journalier usant et imprévisible, mais personne ne s'en est donné l'effort, visiblement. A rejeter, même gratuitement en salle d'attente.

28/10/2022 (modifier)
Par gruizzli
Note: 1/5
Couverture de la série Ys
Ys

Ahlala ... j'aime pas faire ça, j'aime pas mettre une note aussi mauvaise à une BD mais quand je n'ai vraiment pas aimé je me dois d'être honnête avec les autres et de le dire. Et là, franchement, ça faisait vraiment longtemps qu'une BD ne m'était pas tombée des mains comme ça ! Donc je dois le dire, vraiment, j'ai pas aimé. Tout d'abord, le dessin de Loïc Sécheresse ne me convient pas. Ce n'est pas une critique, juste un constat. Je le connaissais déjà d'avant, par les blogs-bd qu'il tenait, et déjà là je n'arrivais pas à adhérer à son style. Je ne sais pas trop pourquoi, mais le côté très "souple" dans les personnages, les représentations de personnages qui sont en tout sens, je n'arrive pas à apprécier ce que je vois. C'est un premier blocage mais qui est assez problématique. Pour le reste, je ne suis pas du tout rentré dans cette relecture du mythe de la ville d'Ys. Je ne connais pas la légende d'origine, mais là j'ai trouvé un gloubi-boulga de références orientées dans un sens et un propos auquel je n'adhère pas et qui me semble bien trop simpliste. Déjà, je n'ai pas compris la façon dont plusieurs personnages font de la magie pour représenter leur dieux. C'est inspiré de différentes sources (on voit les idées piochées dans la bible sur les miracles chrétiens) mais du coup, je trouve qu'on rentre plus dans un simple duel de mage qu'une véritable réflexion sur la foi (même si ce n'est pas le propos). D'autre part, le côté anachronique permanent m'agace ! Mais m'agace ! C'est une vieille légende bretonne dans laquelle on vient mettre des trucs comme des boites de nuit (ok, les musiciens sont avec des binious, mais c'est une boite de nuit), ce qui me sort complètement de l'histoire. D'ailleurs le mélange entre premiers chrétiens et religion installés m'irrite aussi : c'est partir de principe de déformation historique pour poser le propos de son histoire. Donc ça n'a aucun fondement historique, d'accord, mais ça brise aussi l'immersion et l'intérêt du message. De fait, à partir du moment où une cathédrale est construite, j'ai su que je n'aimerai pas. Ca mélange les questionnements sur le pouvoir et la religion sans prendre le temps de faire une vraie réflexion sur la place laissée aux femmes dans la période du Haut Moyen-Âge, ou la question de l'appropriation du genre par l’Église dans la suite. Et surtout ... ben je ne vois pas ce que le mythe d'Ys vient faire là. C'est une banale histoire d'obscurantisme religieux face à une volonté d'émancipation. Tellement peu original qu'on le voit recyclé partout et à toute les sauces actuellement. Déjà, ça simplifie tout à l'extrême : j'ai beau être profondément anti-religieux, je sais que ce n'est pas avec l'arrivée du Christianisme ou autre religion monothéiste que les femmes se sont vues confisquer le pouvoir. Pas sur qu'une romaine pouvait avoir plus de pouvoir avant l'arrivée de ces religions. Ensuite, ça oublie les réalités de la question du genre : la politique, les différenciations culturelles, la façon dont se sont construites les représentations etc ... Et enfin, ça fait très manichéen sans aucune nuance. Je ne me suis pas senti attaqué par la BD, je précise. Ce n'est pas un simple coup de gueule parce que la BD aurait mis le doigt là où ça fait mal. C'est juste que je me suis profondément ennuyé en la lisant. J'ai poussé un soupire après un tiers des pages, j'ai survolé des dialogues lorsque je commençais à être lassé de la prose que j'ai trouvé insipide et les dissertations trop simples et faciles. Puis j'ai fini par survoler la BD en générale jusqu'à la fin qui ne m'a pas du tout convaincue. Au final, je ressors de cette BD en n'ayant aucune envie de la relire et je pense que je vais l'oublier soigneusement et passer à autre chose. Niveau réflexion sur la place des femmes dans la société, je trouve qu'on a largement mieux (Peau d'Homme, pour ne citer qu'elle) et que celle-ci ne m'intéresse pas du tout.

27/10/2022 (modifier)
Par Benjie
Note: 1/5
Couverture de la série Troubles fêtes
Troubles fêtes

Le nom de Loisel et la couverture que j’ai trouvée belle m’ont donné envie de lire cet album mais pour finir, je l’ai trouvé décevant. Les textes sont pourtant plutôt bons, les dessins assez beaux mais l’ensemble manque de cohérence et d’homogénéité. Mélanger les techniques graphiques, pourquoi pas, mais ici ça ne fonctionne pas très bien de même que le rapport texte/image qui peine à trouver une bonne dynamique. Une grosse déception, pour moi Loisel est passé à côté.

24/10/2022 (modifier)