Les derniers avis (5163 avis)

Par Gaendoul
Note: 1/5
Couverture de la série Fables
Fables

Je suis vraiment étonné que cette série soit présente dans le top des bd du site. Les dessins sont ok, ils sont moins bons qu'au premier abord (beaucoup de cases baclées et une mise en couleurs plutôt ratée dans l'ensemble) mais c'est surtout le scénario qui pèche. C'est un grand foutoir abracadabrantesque, une espèce de gros chaudron dans lequel on a balancé tous les contes et histoires connues pour en faire quelque chose de laid. Ca ne fonctionne pas du tout. Les situations sont toutes plus incohérentes les unes que les autres, les personnages excecrables, bref, j'ai trouvé ça super lourd à lire...et je regrette vraiment l'achat de l'intégrale tome 1 (qui correspond environ à 3 tomes des anciennes éditions). Je ne conseille évidemment pas du tout.

01/05/2021 (modifier)
Couverture de la série Sept macchabées
Sept macchabées

Pas terrible cet album, c'est une semi-déception qui ne m'a pas tellement convaincu, il s'agit d'une mission polaire qui est reliée aux expériences du Dr Frankenstein, alibi pour servir de référence littéraire mais qui au contraire est mal utilisée. Le point de départ aurait pu être intéressant si ça avait été l'oeuvre d'un savant un peu dérangé reprenant les travaux de Frankenstein, là oui ça aurait eu du corps si je peux me permettre ce mauvais jeu de mots. Sauf que là, c'est une manoeuvre politique très sérieuse du gouvernement britannique dans le cadre de la rivalité scientifique anglo-germanique, l'histoire n'est donc pour moi pas crédible et assez malsaine. Je vois mal un gouvernement civilisé en 1910 se livrer à cette mascarade macabre. C'est un projet complètement dingue, on est chez les fous, même si la putréfaction progressive des corps ramenés à la vie constitue l'élément nouveau de cette histoire, vu que dans les films adaptant le mythe de Frankenstein, la Créature ne vivait pas longtemps et était tuée par accident. Mais en même temps, cette idée est plutôt crade, bref ça ne m'a pas emballé, et les personnages ne sont pas du tout sympathiques. Le dessin est plutôt correct, mais ça ne suffit pas pour me faire entrer dans cette histoire de fous.

29/04/2021 (modifier)
Couverture de la série Les Indices Pensables - Enquête sur Dieu
Les Indices Pensables - Enquête sur Dieu

Je suis intéressé depuis longtemps par les rapports entre foi et science et en particulier la Bible et la science moderne. Le but de cette série m'apparaît curieux : la Bible aujourd'hui n'est plus perçue comme un livre de science, ce que disait en son temps Galilée dans la Lettre à Christine de Loraine, dont le pape Jean Paul II disait qu'elle une bonne herméneutique de la Bible. Galilée le résumait dans une courte maxime : la science nous dit comment va le ciel, et la Bible nous dit comment aller au Ciel : les objectifs ne sont pas les mêmes. Ce qui me paraît curieux, c'est la volonté de vouloir prouver que sur tous les sujets de la science moderne, la Bible avait déjà raison avant tout le monde. Le révérend Paley avait écrit un livre : Théologie naturelle ou Preuves de l'existence et des attributs de la divinité, tirées des apparences de la nature, dans lequel il s'appuyait sur l'argument de la montre. Dans sa BD, Brunor remplace la montre par une statue de sable sur la plage, mais le fond de la démarche est exactement le même : la nature n'a pas pu produire seule ce que nous voyons aujourd'hui. Il y a beaucoup d'approximations très rapides, dans les flots de dialogues, sur la "soupe initiale" notamment. A partir des expériences de Stanley Miller, les recherches en chimie prébiotiques ont énormément progressé, même si elles sont encore loin d'aboutir. Elle sont totalement négligées. Il n'y a non plus aucune considération sur l'école de Milet - Thalès, Anaximandre, Anaximène - que les historiens des sciences présentent comme les premiers précurseurs de la démarche scientifique, par la sécularisation de leur démarche. Par rapport à l'histoire des sciences, ils apparaissent comme des précurseurs beaucoup plus sérieux. Il y a un apport très réel de la foi juive et de la Bible : la transcendance de Dieu, et la séparation entre Dieu et le monde créé, immanent, à la différence des mythologies antiques.

28/04/2021 (modifier)
Par Ashibaal
Note: 1/5
Couverture de la série Lanfeust de Troy
Lanfeust de Troy

C'est cucul, c'est concon, c'est bêbête et c'est débile, c’est Lanfeust de Troy ! Bon, je sais qu'on est supposé critiquer une série dans son entièreté, mais je n’ai pas réussi à aller au-delà du premier tome. Du cul, du cul, du cul. Entre le fessier rebondi de Cixi qui occupe le devant de la scène une planche sur deux et l’humour grivois omniprésent, j’ai rarement vu quelque chose d’aussi graveleux. Alors certains vont reconnaître à demi-mots que c’est pas bien finaud, mais que voulez-vous mon bon Monsieur, il faut bien que jeunesse se fasse et puis on passe un bon moment, au moins c’est « facile à suivre » et on se prend pas la tête. Je suis très loin d’être un féministe enragé, mais soyons honnêtes deux minutes, cette BD est sexiste à en crever. Et ne venez pas me faire le coup de « oui mais Cixi est une femme forte et libérée qui n’a pas peur d’user de ses appâts gnagnagna », nan nan, elle est objectifiée à 200%. Et Ci’an n’est pas mieux traitée ; en fait, c’est pire qu’elles soient deux : on tombe dans le dichotomie sainte/pute. Je suis du reste scotché que presque aucun des commentaires ci-dessous n’aborde la question ; la représentation de la femme dans les comics (et les jeux vidéo), ça fait pourtant bien depuis 2012 qu’on en a parlé avec beaucoup de justesse. Même quand il s’agit de provoquer un troll, Lanfeust insulte sa virilité, le traite d’impuissant et de lopette (et une insulte homophobe, une !) ; qu’est-ce que c’est que ce troll qui n’ose même pas violer les deux belles pucelles que voilà ? Et c’est comme ça sur chaque page… Pour couronner le tout, l’univers a même un problème de cohérence interne avec la série dérivée Trolls de Troy ; ici, le troll fait toutes sortes de réparties piquantes et élabore des ruses complexes, comme faire le mort pour prendre l’ennemi à revers... A comparer avec les innombrables bourdes des Trolls de Troy, trop bêtes pour ne pas faire s’effondrer sur eux les fortifications qu’ils veulent abattre. Peut-être pire, il y a une vanne où Hebus est le seul à avoir repéré les bandits qui n’ont pas osé attaquer la troupe, et le troll de préciser qu’ils étaient « deux cent soixante-treize » ! On dirait Perceval qui connaît le nombre de pierres du château dans Kaamelott ! Les trolls de Troy en ahuris lunaires mais dotés de connaissances aussi insoupçonnées que farfelues ? Ah, et le dessin se paye le luxe d’être moche. Il paraît que ça s’améliore par la suite… quant à moi, je ne peux parler de ce que je connais. Pitié, ne mettez pas ça entre les mains de vos pré-ados. Et dire que c’est dans toutes les bibliothèques municipales de France… Dans le genre « high fantasy parodique pour ados », redécouvrez plutôt la série audio du Donjon de Naheulbeuk !

24/04/2021 (modifier)
Par PatrikGC
Note: 1/5
Couverture de la série La Nuit de l'étoile
La Nuit de l'étoile

Mon dieu, mon dieu, mon dieu ! Et pourtant, il y a Moebius là-dedans... Le début commence bien, puis au fur et à mesure qu'on tourne les pages, on se dit que certains ont un peu trop forcé sur les champignons cueillis en forêt (je reste soft). Je n'ai rien contre un peu de mysticisme, mais il ne faut pas se vautrer dans le très bas de gamme. La seconde histoire est carrément un naufrage, la dernière est banale, avec quelques belles z-images. Je possède cet album dans la collection, je le sors de temps à autre pour montrer à mon interlocuteur que même un grand nom peut se fourvoyer.

17/04/2021 (modifier)
Par Josq
Note: 1/5
Couverture de la série Mais où est Kiki ? - Une aventure de Tif et Tondu
Mais où est Kiki ? - Une aventure de Tif et Tondu

Je ne comprendrai jamais ce besoin de s'approprier des personnages déjà existants pour les transformer en quelque chose qui n'a quasiment plus rien à voir avec la saga d'origine. Mais où est Kiki ? n'en est pas le pire exemple, mais il témoigne bien de cette manie idiote. Si on veut écrire une histoire si différente que ça de la saga initiale, pourquoi vouloir la rattacher à tout prix et au forceps à la saga en question, sinon pour des raisons purement cyniques et commerciales ? Si on retrouve vaguement l'esprit de Tif et Tondu dans quelques rares dialogues de ce one-shot, les personnages auraient pu être totalement différents que ça n'aurait rien changé... Mais bon, quand on voit le gloubi-boulga informe qu'est le scénario de cette BD (enfin, ce qui en tient lieu), le reproche fait précédemment n'est que très accessoire. En revanche, ce scénario... Mais que s'est-il passé ? Pendant quasiment la moitié de l'album, j'avoue, ça passait presque, je trouvais ça relativement plaisant même si ça ne cassait franchement pas des briques. Puis tout-à-coup rentre dans l'histoire une cape d'invisibilité, ayant pour seule fonction de remplir les trous d'un scénario dont on se demande si quelqu'un l'avait écrit avant que Blutch essaye de le mettre en images. Et à partir de là, c'est le drame... De fait, l'introduction de cette cape d'invisibilité dans l'histoire semble être l'élément déclencheur qui permet à Robber de faire littéralement n'importe quoi avec ses personnages et son récit. A partir de là, je l'avoue sans complexes, j'ai été complètement paumé. La narration devient si confuse que je me suis retrouvé dans une sorte d'état second, où mon cerveau était incapable de trouver le moindre lien entre ce que mes yeux lisaient. J'ai juste compris qu'il n'y avait rien à comprendre. En même temps, quand on voit le mobile de l'antagoniste principal, on se demande quelle somme Robber et Blutch ont pu donner aux éditions Dupuis pour qu'elles acceptent de publier un truc aussi inepte. Heureusement, l'auteur avait sans doute prévu que son absence totale de scénario ne serait pas comprise par tous les lecteurs et il balance cash dans le récit un personnage qui vient expliquer au héros le pourquoi du comment. Je ne dis pas que c'est plus clair après, mais le recours à un procédé aussi facile et éculé a le mérite de montrer que l'ambition des deux auteurs s'est envolée en même temps que le scénario. Bref, tout ça n'a ni queue ni tête, peut-être Robber essaie-t-il de faire passer ça sur le compte de l'humour, mais c'est raté puisqu'hormis quelques échanges un peu amusants, Mais où est Kiki ? n'a pas grand-chose de drôle et encore moins de divertissant. Comme en plus, le dessin de Blutch n'est pas franchement beau (remarquez mon sens de la diplomatie) et n'est pas du tout adapté à ce genre de récit, on se rend compte en refermant cette BD qu'il n'y a littéralement rien à en retenir et qu'en tant que fan de Tif et Tondu, on est assez dubitatif face à cet hommage en forme d'insulte à la saga d'origine. Et finalement, la seule issue qu'on a, c'est d'aller lâcher nos nerfs sur notre site de BD préféré... Breaking News : Aux dernières nouvelles, les habitants de la ville de Johannesburg aurait vu passer dans le ciel de la ville une liasse de feuilles de papier qu'aucun ne parvint à intercepter. La légende dit qu'il s'agissait des pages manquantes du scénario de Robber... Si quelqu'un réussit un jour à mettre la main dessus, les éditions Dupuis sont prêtes à en donner un bon prix pour enfin savoir comment tout ça était censé se terminer. Merci d'avance et bonne chasse.

14/04/2021 (modifier)
Par Gaston
Note: 1/5
Couverture de la série Real Bout Highschool
Real Bout Highschool

J'ai lu ce manga parce que j'avais bien aimé Mai Ball ! - Feminine Football Team du même dessinateur et rapidement j'ai su que je n'allais pas accrocher. Déjà, le dessin est moins beau que dans Mai Ball. Je pense que c'était les débuts du dessinateur et ça se voit. Le style est plus stéréotypé et les cases sont souvent surchargées. De plus, alors que dans son manga de football féminin, il était scénariste, ici il dessine le scénario de quelqu'un d'autre et j'ai pas du tout accroché. En gros, c'est un manga pour ados qui reprend les codes du genre sans ajouter rien de bien intéressant. Il y a de la baston et des belles filles, alors ça doit être assez pour un certain public j'imagine. Les personnages sont pas du tout intéressants et le manga m'a très ennuyé. Sérieux, cela faisait longtemps que juste tourner les pages me semblait un supplice. Je ne pense pas que même ado j'aurais accroché. C'est typiquement le genre de manga qui semble exister uniquement pour remplir les magazines de mangas qui sortent toutes les semaines au Japon, un peu comme à une certaine époque il y avait des bandes dessinées qui existaient uniquement pour boucher les trous dans Tintin ou Spirou. Bref, j'ai même pas réussi à terminer le tome 2 tellement c'était peu captivant à lire. En plus, la série compte 6 tomes et l'éditeur français a abandonné après 4 tomes. Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas. Si vous aimez les combats et les filles qui se retrouvent à poil, il y a des mangas bien mieux que ce truc fade et sans saveur.

11/04/2021 (modifier)
Couverture de la série Anaïs Nin - Sur la mer des mensonges
Anaïs Nin - Sur la mer des mensonges

Chaque homme à qui j'ai fait lire mes textes a tenté de changer mon écriture. Écrire comme un homme ne m'intéresse pas. Je veux écrire comme une femme. Cette présentation m'avait mis l'eau à la bouche. En ressortant de ce livre, je n'ai pas l'impression d'avoir eu un quelconque développement sur ce sujet. Anaïs Nin a de sacrés problèmes. Elle a visiblement baigné dans un milieu familial toxique et pervers. Elle est loin, très loin d'être au clair avec elle-même. Elle attire d'abord involontairement les hommes comme le miel les mouches et ne sait pas leur dire non, et ensuite elle les attire volontairement. Elle voudrait bien écrire des trucs super bien qui révolutionneraient les genres et casseraient les codes, et on la voit discuter de quel mot il faudrait mettre à la place de celui-ci... En terme de priorité, peut-être la structure ou le fond seraient-ils plus importants ? Elle fréquente June, la femme d'Henry Miller, et fait des commentaires sur sa vacuité et le fait qu'elle n'existe que dans le regard des autres. Par contre, elle, pour exister, couche avec à peu près tous les hommes qu'elle rencontre. Intéressant... Anaïs Nin, pour aller mieux, devrait sans doute faire une psychanalyse. Ce qu'elle fait. Mais elle couche avec son analyste. Alors elle fait une autre psychanalyse, avec un analyste vachement mieux, un disciple de Freud. Manque de bol, elle couche aussi avec. Quel dommage. Anaïs Nin, pour aller mieux, ne doit pas changer, elle doit s'accepter telle qu'elle est. Alors elle couche avec son père dans lequel elle cherche son image et des réponses, qu'elle croit trouver mais non. Alors elle cherche des réponses en elle-même, mais a quand même couché avec son père. Au final, Anaïs Nin, pour rester celle qu'elle veut être, réussira à perdre son enfant. Alors excusez-moi, mais sans connaître le personnage à part par ce récit et sans avoir lu un seul extrait de sa prose, je trouve Anaïs Nin d'un égoïsme sans borne, d'abord esclave de ses travers, puis esclave volontaire de ses travers. Victime de perversité, et elle-même perverse et dénuée de toute morale. Ne cherchant pas de solution pour s'améliorer mais s'enfonçant au contraire pour réussir à se sentir mieux. Ce récit est malsain, et il ne s'agit pas d'exploration de la féminité, mais d'exploration d'une personnalité. Même si à côté de ça les analyses psychologiques à deux balles fusent parfois, tel un épisode d'Anaïs et les garçons. Dans toute cette histoire, le seul personnage à peu près normal bienveillant est le mari d'Anaïs, cocu jusqu'au cou et auquel elle ment pour le préserver (ou se préserver elle-même ? ©Psychologie de quartier). On pourra dire qu'Anaïs Nin a trop d'amour pour un seul homme, et on gagnera ainsi le badge du club des excuses foireuses pour justifier l'infidélité. J'ai su au bout d'un demi-chapitre que ce livre ne me plairait pas. Je ne m'attendais pas que ça soit à ce point-là. Sinon, oui, le dessin est très beau.

09/04/2021 (modifier)
Par Solo
Note: 1/5
Couverture de la série L'Insoumise
L'Insoumise

Emprunté en bibliothèque, quelques planches m'ont plu... Et c'est malheureusement l'unique retour positif que je donnerai à ce récit. C'est en fait une histoire d'amuuuuur qui se déroule au XVIème siècle, lorsque le nord de l'Italie était continuellement convoité par le royaume de France. La bataille de Marignan approche, mais n'imaginez pas que ce contexte soit le cœur du récit, la guerre n'occupera que 9 planches dans votre lecture et 6/7 cases seront utilisées pour parler rapido des faits historiques. Non non, ici je dis bien que c'est une histoire d'amouuuuur ! Deux points positifs sur cet album : 1° Il m'a permis de me rappeler à quelle époque s'était déroulée la bataille de Marignan... 2° Il existe quelques rares planches où le dessinateur a trouvé de belles inspirations, aussi bien dans les traits que dans les couleurs, comme les deux uniques duels du récit, la bataille de Marignan et les dernières planches du tome 2. Pour le reste, c'est esthétiquement douteux. La tentative de récupérer les codes de la peinture de l'époque sur les plans larges ne m'a pas convaincu du tout. Et surtout les scènes sont figées à leur maximum, les visages sont inexpressifs. Le pire reste le scénario. Je trouve l'histoire d'amour terriblement superficielle. Les dialogues restent en surface, on enchaîne des paraphrases sans saveur qui traduisent de simples "je t'aime", les deux femmes qui finissent par se rejoindre sont super copines en l'espace de 2 planches... Je ne conseille pas vraiment la lecture, mais plutôt un feuilletage pour tomber sur quelques cases ou des dessins pleines pages qui pourront vous plaire.

03/04/2021 (modifier)
Par fuuhuu
Note: 1/5
Couverture de la série Funky Town - L'Histoire de Lele
Funky Town - L'Histoire de Lele

J'avoue être complètement passé à côté de cet album. Dans la ville de Funky Town, on suit l'histoire de Lele, jeune gamine, qui rend régulièrement visite à une sorcière. Elle est chargé de ramener une potion à sa maman. C'est tout ce que j'ai compris. J'ai beau avoir été attentif, je n'ai pas saisi le sens de cette histoire. Les cases s’enchaînent sans transition, les personnages sont tous plus répugnants les uns des autres, certains poèmes sont cités mais je n'ai pas compris leur intérêt scénaristique, je n'ai trouvé aucune accroche scénaristique et j'ai du me forcer pour finir ma lecture. Alors certes, il s'agit d'un conte moderne. Il contient donc plusieurs niveaux de lecture. Et bien je n'en ai saisi aucun, pas même le premier. Je suis curieux de lire d'autres avis sur cet album afin de voir si je suis le seul à passer à côté de ce que l'auteur à voulu nous transmettre. 1 étoiles MAUPERTUIS, OSE ET RIT !

25/03/2021 (modifier)