Noooooon ! Hérésie ! Blasphème ! Beurk ! Mais quelle déchéance ! F'rait mieux de nous boucler kooka, le Crisse, plutot que de finasser son Atalante et trainer sur son kooka-universe. Mitric au dessin, c'est déplorable, ça retire toute l'ampleur de la série. Et le scénar, parlons-en... qu'est ce que c'est que ce sniper tendre comme une guimauve ? Je rêve... en tout cas c'est laid et décevant.
colt walker c'est : un scénar incompréhensible, presque impossible à suivre, avec un découpage maladroit à l'extrême, et un dessin... d'une immondice crasse et épaisse, rare pourtant mais là, j'avoue qu'ils se sont surpassés. quand je pense qu'il existe des jeunes talents par milliers qui pleurent pour avoir leur planches marquées du sceau de ces éditions, et que c'est cette daube infâme qu'ils choisissent ! là c'est plus de l'inconscience, c'est de l'aveu d'alcoolisme...
J'avais acheté les quatres premiers tomes à leur sortie. Je me souviens qu'ils étaient même pas cartonnés. D'ailleurs les albums brochés de cette époque étaient moins chers. C'était intéressant pour les gens qui n'avaient pas beaucoup de moyens. Enfin soit, revenons à notre flic 212. Et bien, il n'y a pas grand chose à dire, c'est de l'humour de grande surface. Le dessin est impersonnel et les gags sont prévisibles. Une machine à fric comme Dupuis aime les faire. "Tiens ! Je me lancerais bien dans la bd, moi. Je sens qu'il a moyen que je gagne beaucoup des sousous. je suis peut-être pas compétent mais apparemment c'est pas un critère. Maman va être contente, elle qui me traîte toujours de bon-à-rien." Pfff !
C'est pas drôle, ça sent la naphtaline, ça tourne désespérement en rond.
En voilà, une bd qui reflète une agréable image des étudiantes en fac... Hélène et les garçons une génération au dessus. Ca n'arrange rien.
Niaiserie assurée.
Il y a des forts échos d'Aldébaran, là dedans... je ne parle évidemment pas du dessin, mais bien du scénario. Ça se joue sur les mêmes critères : la découverte de bestiaux inconnus, oho, y'aurait-il un autre monde à portée de main ? Et bien moi, c'est justement parce que j'aime Aldébaran que je n'aime pas "kenya". Il faudrait penser à changer de registre.
Si on rajoute à cela la laideur des personnages, défaut caractéristique de Léo, on obtient un ensemble plat, fade, dont on décroche facilement.
et voilà encore une daube made in soleil, comme d'habitude. oui, d'accord, c'est plus dans un monde féodal truffé de machins magiques. là, on revisite le mythe pocahontas. merveille des merveille, une indienne aux yeux bleux et aux mensurations à faire bander un bison va se promener mi-nue (si c'est pas complètement) dans la forêt histoire de chasser les môvais zéspris. tiens donc, voilà un scénario fort intéressant, dites moi. et côté dessin ? c'est maladroit ! c'est tout pas beau, carré et anguleux, et les gros plans sur les visages sont laidissimes ! je vous jure, y'a des cases qui sont affligeantes... série à éviter.
Allez hop, un petit 1/5 de plus !
J'ai lu beaucoup des albums (peut être même tous) de cette série grâce (ou plutôt à cause) du C.D.I. de mon collège qui ne possédait que cette BD là. A croire que l'éducation nationale avait signé un traité avec les auteurs des 4 As !! Je me suis donc rabattu sur cette espèce de truc du style "Le club des 5 de l'angoisse", espèce d'ersatz d'humour pas drôle chargé d'aventure (a moins que ce ne soit le contraire).
L'ensemble des scénarios de cette série ne tien pas debout : pas un seul pour rattraper l'autre !! C'est du grand n'importe quoi, une foire inimaginable en 48 pages seulement. Dans l'ordre :
- Une ridicule introduction qui n'a rien a voir avec l'histoire,
- Un rappel des personnages a chaque épisode, des fois qu'on les oublie malgré leur coté caricatural poussé à l'extrême,
- Un embarquement dans une aventure complètement idiote qui tire partie on ne sait comment des "atouts" (vous appellerez ça comme vous voudrez) des différents personnages,
une fin à la scooby-doo, mais sans scooby-doo :(
Bref, une catastrophe.
Les illustrations sont ni faites ni a faire, leur simple visionnage rend la bd chiante sans même lire le texte. La mise en couleur est désastreuse, histoire d'enfoncer le clou.
Les 4 as : une catastrophe Scénaristique et graphique que tout BDphile ce doit d'éviter !! :)
Ce genre de bd, c'est du même type que les bouquins de la bibliothèque rose ou verte. C'est bien à lire dans le train quand on est petit, ou dans une salle d'attente quand on est grand, mais c'est toujours en désespoir de cause, parcequ'on a plus rien à se mettre sous les yeux. "Ce n'est pas faramineux".
Oui, j'ai lu Proust. Et ça m'énerve. Alors, pensez donc, l'adaptation, ça m'emmerde. Ca, pour être fidèle, ils sont fidèles ! C'est long, c'est morne, c'est long, très long, trop long. Soporifique au possible. Pourtant, je me le suis fadé, son "Albertine disparue" ! Eh oui, c'est le problème avec les "adaptations bds". Quand on connaît l'original, et qu'on n'aime pas, on a du mal.
(Je m'excuse donc auprès des puristes et de l'Association des Zamis de Proust pour mes paroles blasphématoires.)
Ah non !
Le gentleman-cambrioleur figé par ce dessin indigeste, ça me répugne. Le personnage mythique est complètement dénaturé, n'a plus aucune classe, aucune présence. Pour traiter du Arsène Lupin, il fallait du grandiose ! Là c'est raté, c'est dilué, fade, vulgarisé. Beurk.
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Kookaburra Universe
Noooooon ! Hérésie ! Blasphème ! Beurk ! Mais quelle déchéance ! F'rait mieux de nous boucler kooka, le Crisse, plutot que de finasser son Atalante et trainer sur son kooka-universe. Mitric au dessin, c'est déplorable, ça retire toute l'ampleur de la série. Et le scénar, parlons-en... qu'est ce que c'est que ce sniper tendre comme une guimauve ? Je rêve... en tout cas c'est laid et décevant.
Colt Walker
colt walker c'est : un scénar incompréhensible, presque impossible à suivre, avec un découpage maladroit à l'extrême, et un dessin... d'une immondice crasse et épaisse, rare pourtant mais là, j'avoue qu'ils se sont surpassés. quand je pense qu'il existe des jeunes talents par milliers qui pleurent pour avoir leur planches marquées du sceau de ces éditions, et que c'est cette daube infâme qu'ils choisissent ! là c'est plus de l'inconscience, c'est de l'aveu d'alcoolisme...
L'Agent 212
J'avais acheté les quatres premiers tomes à leur sortie. Je me souviens qu'ils étaient même pas cartonnés. D'ailleurs les albums brochés de cette époque étaient moins chers. C'était intéressant pour les gens qui n'avaient pas beaucoup de moyens. Enfin soit, revenons à notre flic 212. Et bien, il n'y a pas grand chose à dire, c'est de l'humour de grande surface. Le dessin est impersonnel et les gags sont prévisibles. Une machine à fric comme Dupuis aime les faire. "Tiens ! Je me lancerais bien dans la bd, moi. Je sens qu'il a moyen que je gagne beaucoup des sousous. je suis peut-être pas compétent mais apparemment c'est pas un critère. Maman va être contente, elle qui me traîte toujours de bon-à-rien." Pfff !
Julie, Claire, Cécile
C'est pas drôle, ça sent la naphtaline, ça tourne désespérement en rond. En voilà, une bd qui reflète une agréable image des étudiantes en fac... Hélène et les garçons une génération au dessus. Ca n'arrange rien. Niaiserie assurée.
Kenya
Il y a des forts échos d'Aldébaran, là dedans... je ne parle évidemment pas du dessin, mais bien du scénario. Ça se joue sur les mêmes critères : la découverte de bestiaux inconnus, oho, y'aurait-il un autre monde à portée de main ? Et bien moi, c'est justement parce que j'aime Aldébaran que je n'aime pas "kenya". Il faudrait penser à changer de registre. Si on rajoute à cela la laideur des personnages, défaut caractéristique de Léo, on obtient un ensemble plat, fade, dont on décroche facilement.
Luuna
et voilà encore une daube made in soleil, comme d'habitude. oui, d'accord, c'est plus dans un monde féodal truffé de machins magiques. là, on revisite le mythe pocahontas. merveille des merveille, une indienne aux yeux bleux et aux mensurations à faire bander un bison va se promener mi-nue (si c'est pas complètement) dans la forêt histoire de chasser les môvais zéspris. tiens donc, voilà un scénario fort intéressant, dites moi. et côté dessin ? c'est maladroit ! c'est tout pas beau, carré et anguleux, et les gros plans sur les visages sont laidissimes ! je vous jure, y'a des cases qui sont affligeantes... série à éviter.
Les 4 As
Allez hop, un petit 1/5 de plus ! J'ai lu beaucoup des albums (peut être même tous) de cette série grâce (ou plutôt à cause) du C.D.I. de mon collège qui ne possédait que cette BD là. A croire que l'éducation nationale avait signé un traité avec les auteurs des 4 As !! Je me suis donc rabattu sur cette espèce de truc du style "Le club des 5 de l'angoisse", espèce d'ersatz d'humour pas drôle chargé d'aventure (a moins que ce ne soit le contraire). L'ensemble des scénarios de cette série ne tien pas debout : pas un seul pour rattraper l'autre !! C'est du grand n'importe quoi, une foire inimaginable en 48 pages seulement. Dans l'ordre : - Une ridicule introduction qui n'a rien a voir avec l'histoire, - Un rappel des personnages a chaque épisode, des fois qu'on les oublie malgré leur coté caricatural poussé à l'extrême, - Un embarquement dans une aventure complètement idiote qui tire partie on ne sait comment des "atouts" (vous appellerez ça comme vous voudrez) des différents personnages, une fin à la scooby-doo, mais sans scooby-doo :( Bref, une catastrophe. Les illustrations sont ni faites ni a faire, leur simple visionnage rend la bd chiante sans même lire le texte. La mise en couleur est désastreuse, histoire d'enfoncer le clou. Les 4 as : une catastrophe Scénaristique et graphique que tout BDphile ce doit d'éviter !! :)
Les 4 As
Ce genre de bd, c'est du même type que les bouquins de la bibliothèque rose ou verte. C'est bien à lire dans le train quand on est petit, ou dans une salle d'attente quand on est grand, mais c'est toujours en désespoir de cause, parcequ'on a plus rien à se mettre sous les yeux. "Ce n'est pas faramineux".
A la recherche du temps perdu
Oui, j'ai lu Proust. Et ça m'énerve. Alors, pensez donc, l'adaptation, ça m'emmerde. Ca, pour être fidèle, ils sont fidèles ! C'est long, c'est morne, c'est long, très long, trop long. Soporifique au possible. Pourtant, je me le suis fadé, son "Albertine disparue" ! Eh oui, c'est le problème avec les "adaptations bds". Quand on connaît l'original, et qu'on n'aime pas, on a du mal. (Je m'excuse donc auprès des puristes et de l'Association des Zamis de Proust pour mes paroles blasphématoires.)
Arsène Lupin
Ah non ! Le gentleman-cambrioleur figé par ce dessin indigeste, ça me répugne. Le personnage mythique est complètement dénaturé, n'a plus aucune classe, aucune présence. Pour traiter du Arsène Lupin, il fallait du grandiose ! Là c'est raté, c'est dilué, fade, vulgarisé. Beurk.