Les crannibales, eh bien, moi je trouve ça complètement glauque, sinistre, souvent grossier et déplacé... Ces gags se veulent sans doute second degré, mais franchement, leur manque absolu de finesse me bloque complètement. Y'a même des fois où je trouve ça limite scandaleux, tiens...
Bref, c'est bien simple, maintenant, quand je vois le titre "Les crannibales" dans mon spirou, je tourne immédiatement la page...
Vous l'aurez compris, je fais une allergie absolue à cette BD.
Les Crannibales, c'est la sensation du travail fait à moitié dans la confection de l'album. En effet, je pense que plutot faire une trace de machoire, ils auraient carrément du dechirer tout l'album !
Vraiment, outre l'aspect répétitif et malgré un dessin acceptable, on tourne en rond, l'humour qu'il soit pris au milliéme degré ou pas n'arrive pas a faire rire. En bref c'est glauque comme cela a été dit dans le post précédent et pas drôle !
A éviter...
On peut passer sur la nullité du scénar de Manara quand on s'immagine que le but de ses oeuvres est de montrer des belles filles plus ou moins habillées.
Mais là, il y a le minimum de scènes de ce genre...
Le tome IV est pathétique tellement il se prend au sérieux. Il y a une case en particulier, où on voit le commandant du vaisseau déclarer quelque chose comme : "c'est mon devoir de mourir pour sauver la terre" avec une tronche super sérieuse, c'est effarant. Dommage, parce que au début, ça avait l'air pas mal.
Les dessins ne sont pas si nuls, mais ça ne suffit pas pour rattraper.
L'univers proposé ici manque totalement de crédibilité. Je suis un grand fan de s-f et donc il m'arrive souvent d'être indulgent avec certaines séries (ou films), mais là, non, je regrette : ça passe pas !
Cette aventure en deux tomes sent la prétention à plein nez. Dufaux joue les intello et cela ne lui convient guère. Il cherche à transformer en vain un banal thriller en une réflexion sur l'art mais ne parvient qu'à pondre un scénario indigeste et indolent. De l'art conceptuel des années 60 (que je connais bien, je ne critique pas sans savoir) , il ne donne qu'une vision édulcorée, caricaturale, il semble n'avoir même pas pris la peine de se documenter en profondeur sur le sujet.
Le dessin de Joris est irrégulier, certaines planches sont très belles, dans d'autres les fautes de perspectives abondent et les couleurs frisent la faute de goût.
Dans Pavillon Rouge, on pouvait lire "Du Tarantino en BD". Bon, j'ai bien aimé certains de ses films, même si je les trouve un peu vulgaires et idiots. Eh bien, Chewing Gun, ça y ressemble, mais en plus d'être sans réel intérêt scénaristique, le dessin est particulièrement peu léché, un peu comme si on revoyait un épisode de la série animée des Jackson Five. En plus le second tome est particulièrement inepte, on ne comprend rien à ce qu'il se passe. Il débute en 1973, mais les évènements sont postérieurs à ceux du premier, qui se déroule en 1974...
Bref, j'accroche pas, mais c'est peut-être parce que je n'aime pas les années 70 (même si je suis né en plein milieu).
Mouais, j'ai pas trop aimé cette histoire. De plus le dessin de Servais est vraiment "statique", les personnages semblent figés,sans émotion. A priori, aucune suite est prevue et c'est tant mieux !
Je voudrais dans un premier temps ajouter un bémol. Non cette BD n'est pas la meilleure qui soit. Non, elle ne mérite pas d'être acheter dans l'heure. Oui, sa qualité est très inégale. Honte à Pontet et à son nouveau coloriste, tu ruines un rêve, celui qu'on a tous eu en découvrant les magnifiques pages de Ledroit du tome 3 et 4.
Honte à Froideval qui nous propose depuis le numéro 7 un scénario indigne et à rallonge. Grosbills en pagaille, action inexistante, ralliement douteux, l'histoire du tome 9 tiendrait en une ligne!
Le tome 10 se nomme "l'aigle foudroyé", on peut supposer d'ici le piètre denouement de la titanesque bataille qui va être livrée.
Est-ce que ce sera du remplissage une fois de +? ou prendrez vous vos responsabilités en engageant un coloriste digne de ce nom et en nous donnant autant de plaisir qu'autrefois.
J'étais un fan...
vraiment, ya des editeurs qui savent plus quoi sortir.
faut arreter un peu le delir, et reconnaitre que ces petites histoires sont franchement sans interet, sans le moindre dose d'humour. On ne fait que mettre sur du papier les vieilles images nazes des fonctionnaires etc.
et serieux, si ous reussissez à lire tout ce tome, je m'incline bien bas.
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Les Crannibales
Les crannibales, eh bien, moi je trouve ça complètement glauque, sinistre, souvent grossier et déplacé... Ces gags se veulent sans doute second degré, mais franchement, leur manque absolu de finesse me bloque complètement. Y'a même des fois où je trouve ça limite scandaleux, tiens... Bref, c'est bien simple, maintenant, quand je vois le titre "Les crannibales" dans mon spirou, je tourne immédiatement la page... Vous l'aurez compris, je fais une allergie absolue à cette BD.
Les Crannibales
Les Crannibales, c'est la sensation du travail fait à moitié dans la confection de l'album. En effet, je pense que plutot faire une trace de machoire, ils auraient carrément du dechirer tout l'album ! Vraiment, outre l'aspect répétitif et malgré un dessin acceptable, on tourne en rond, l'humour qu'il soit pris au milliéme degré ou pas n'arrive pas a faire rire. En bref c'est glauque comme cela a été dit dans le post précédent et pas drôle ! A éviter...
Révolution
On peut passer sur la nullité du scénar de Manara quand on s'immagine que le but de ses oeuvres est de montrer des belles filles plus ou moins habillées. Mais là, il y a le minimum de scènes de ce genre...
Atlantis
Le tome IV est pathétique tellement il se prend au sérieux. Il y a une case en particulier, où on voit le commandant du vaisseau déclarer quelque chose comme : "c'est mon devoir de mourir pour sauver la terre" avec une tronche super sérieuse, c'est effarant. Dommage, parce que au début, ça avait l'air pas mal. Les dessins ne sont pas si nuls, mais ça ne suffit pas pour rattraper.
Hans
L'univers proposé ici manque totalement de crédibilité. Je suis un grand fan de s-f et donc il m'arrive souvent d'être indulgent avec certaines séries (ou films), mais là, non, je regrette : ça passe pas !
Chelsy
Cette aventure en deux tomes sent la prétention à plein nez. Dufaux joue les intello et cela ne lui convient guère. Il cherche à transformer en vain un banal thriller en une réflexion sur l'art mais ne parvient qu'à pondre un scénario indigeste et indolent. De l'art conceptuel des années 60 (que je connais bien, je ne critique pas sans savoir) , il ne donne qu'une vision édulcorée, caricaturale, il semble n'avoir même pas pris la peine de se documenter en profondeur sur le sujet. Le dessin de Joris est irrégulier, certaines planches sont très belles, dans d'autres les fautes de perspectives abondent et les couleurs frisent la faute de goût.
Chewing Gun
Dans Pavillon Rouge, on pouvait lire "Du Tarantino en BD". Bon, j'ai bien aimé certains de ses films, même si je les trouve un peu vulgaires et idiots. Eh bien, Chewing Gun, ça y ressemble, mais en plus d'être sans réel intérêt scénaristique, le dessin est particulièrement peu léché, un peu comme si on revoyait un épisode de la série animée des Jackson Five. En plus le second tome est particulièrement inepte, on ne comprend rien à ce qu'il se passe. Il débute en 1973, mais les évènements sont postérieurs à ceux du premier, qui se déroule en 1974... Bref, j'accroche pas, mais c'est peut-être parce que je n'aime pas les années 70 (même si je suis né en plein milieu).
Les Voyages clos
Mouais, j'ai pas trop aimé cette histoire. De plus le dessin de Servais est vraiment "statique", les personnages semblent figés,sans émotion. A priori, aucune suite est prevue et c'est tant mieux !
Chroniques de la lune noire
Je voudrais dans un premier temps ajouter un bémol. Non cette BD n'est pas la meilleure qui soit. Non, elle ne mérite pas d'être acheter dans l'heure. Oui, sa qualité est très inégale. Honte à Pontet et à son nouveau coloriste, tu ruines un rêve, celui qu'on a tous eu en découvrant les magnifiques pages de Ledroit du tome 3 et 4. Honte à Froideval qui nous propose depuis le numéro 7 un scénario indigne et à rallonge. Grosbills en pagaille, action inexistante, ralliement douteux, l'histoire du tome 9 tiendrait en une ligne! Le tome 10 se nomme "l'aigle foudroyé", on peut supposer d'ici le piètre denouement de la titanesque bataille qui va être livrée. Est-ce que ce sera du remplissage une fois de +? ou prendrez vous vos responsabilités en engageant un coloriste digne de ce nom et en nous donnant autant de plaisir qu'autrefois. J'étais un fan...
500 idées pour glander au boulot
vraiment, ya des editeurs qui savent plus quoi sortir. faut arreter un peu le delir, et reconnaitre que ces petites histoires sont franchement sans interet, sans le moindre dose d'humour. On ne fait que mettre sur du papier les vieilles images nazes des fonctionnaires etc. et serieux, si ous reussissez à lire tout ce tome, je m'incline bien bas.