J'avoue que je n'ai pas compris grand chose à cette histoire, je l'avais découverte lors de sa prépublication dans Circus en 1977, et à l'époque, étant encore adolescent, je n'avais rien compris, ce genre de Bd ne m'intéressait pas. Comme à cet âge, on condamne ce qu'on ne comprend pas, je l'ai vite oubliée. Et puis dernièrement, comme j'ai eu l'occasion de récupérer la collection complète des 130 numéros de Circus, je me suis risqué à la relire.
J'ai capté quelques éléments, mais pas beaucoup plus, c'est un récit enrobé d'un fantastique très singulier et déstabilisant, on avance avec peine dans une narration très atypique et embrouillée, où tout tourne autour d'une armoire dont sortent des personnages étranges, l'enchainement des situations est totalement déroutant. On est vraiment dans un drôle d'univers, le classement en inclassable est complètement justifié. Ce qui m'étonne encore plus, c'est que ce récit soit illustré par un dessinateur comme Poivet, issu d'une école classique, connu surtout pour Guy Lebleu, et qui n'a guère habitué ses lecteurs à une Bd de ce type, pourtant je n'ai jamais été admiratif de son style qui ressemble le plus souvent à une sorte de crayonné. Cependant, sur cet album, son dessin est très chouette, c'est un beau noir & blanc assez travaillé.
Cet album témoigne des débuts du catalogue Glénat, bien avant qu'il crée ses collections Vécu, Grafica ou Caractère, qui fut assez vite retiré après 1984 car sans doute jugé peu commercial ; à cette époque, Glénat tentait des trucs un peu risqués, avec des séries comme Patrick Maudick ou Matricule 45000 qui ont elles aussi disparu du catalogue après 1988.
Encore une de ces Bd des tout débuts du journal Circus puisqu'elle est prépubliée en 1979 sous le titre "la Maison du Fou". Comme L'Échiquier cubique, c'est un album qui ne fit pas long feu dans le catalogue Glénat qui à cette époque prenait des risques éditoriaux ; il est probable qu'on ne reverrait plus ce genre de bande aujourd'hui. Dans un sens, c'est dommage car ça permettait à des auteurs de s'exprimer, en l'occurrence ici ce François Royet dont on n'entendra plus jamais parler par la suite après avoir signé cet unique album.
Le récit est limite subversif et provocateur pour l'époque, puisqu'il s'agit d'un groupe mystérieux et sans doute extrémiste qui organise meurtres et enlèvements afin de déstabiliser le pouvoir en place ; il y a donc comme un parfum d'anarchisme dans ce récit qui s'enlise dans une narration dépourvue de tout intérêt, l'auteur ne sachant pas rendre son histoire passionnante.
Sinon, le dessin n'est pas mal, il lorgne vers un style Ligne Claire comme c'était la mode en ce début d'années 80, mais une Ligne Claire mal définie et bizarre, car c'est très réussi dans les décors précis et les véhicules, mais beaucoup moins sur les personnages qui sont plus proches d'un style de BD enfantine. Une Bd qui ne m'a pas du tout intéressé.
La malédiction de Loki n’échappe malheureusement pas à une certaine malédiction qui touche certains mangas qui sombrent dans la médiocrité. C’est la loi des 9 pour 10 : 9 de mauvais pour un seul de bon. Après, c’est vrai qu’on peut introduire certaines nuances.
Qu’est-ce qui ne va pas ? A peu près tout en partant du graphisme assez sommaire et irrégulier aux incohérences du scénario qui fait dans la surenchère. Pourtant, cela partait d’un postulat plutôt intéressant que de peindre des toiles aux pouvoirs spéciaux. En effet, Loki va devoir accomplir sa mission à savoir la promesse effectuée à son amie rencontrée à l’orphelinat dans une sorte de quête d’art maudit.
Bref, deux mots pour résumer : moche et vide. On est très vite gonflé par cette lecture au point d’avoir très vite envie de passer à autre chose.
Depuis que j'entendais parler de ce Major Fatal, j'ai fini par y arriver, non sans réticence, grâce au prêt des 2 albums, mais Dieu que c'est chiant ! Moi qui suis un adepte des récits linéaires, j'ai eu beaucoup de mal avec cette histoire, je crois n'y avoir pas compris grand chose, je n'accroche pas du tout et je ne peux pas rentrer dans ce type de délire. C'est un feuilleton improvisé que Moebius a imaginé pendant 3 ans dans les pages de Métal Hurlant en y insérant de multiples références, au gré de péripéties capricieuses et chaotiques, avec un univers qui y prend forme et où une certaine poétique se développe, son major Grubert, perpétuellement coiffé de son casque à pointe, s'y promène d'un univers à l'autre.
Il n'y a donc pas que le garage qui est hermétique, je le suis totalement à ce genre de Bd avec laquelle je ne prend aucun plaisir de lecture, le seul intérêt est que j'y apprécie le dessin de Moebius, son fameux graphisme "à la Moebius" fondé sur le point et la hachure, encore que je le préfère nettement sous son nom de Giraud dans Blueberry évidemment, de même qu'on décèle dans ce récit quelques éléments qu'on retrouvera dans L'Incal, même si je ne suis pas assez familier et connaisseur de ces univers. Certes c'est sans doute un mélange de fiction, de poésie et de merveilleux, mais ce n'est pas pour moi, et d'ailleurs, le premier album m'a tellement saoulé que je n'ai même pas pris la peine de lire le second, je l'ai juste parcouru, mais j'avais ma dose.
Autant j’ai beaucoup aimé Kid Paddle qui est, comme ma photo de profil le fait deviner, ma série de bd préférée autant je n’ai, mais alors pas du tout, aimé « Game Over ».
L’intérêt de l’apparition du Petit Barbare dans Kid Paddle était d’être un gag récurrent sans être tout le temps dans l’album, c’était drôle et ça passait très bien. Mais une série entière basée uniquement sur ce personnage qui meurt tout le temps ? Non merci.
Je ne vois pas pourquoi cette série existe, ce personnage joue très bien son rôle dans Kid Paddle, il n’avait pas besoin d’apparaître dans une série longue de 17 tomes si je ne m’abuse.
J’aimais la bd aussi pour sa diversité de gags , Horace , le guichet etc. Là c’est toujours la même chose, c’est très répétitif.
J’ai le malheur de dire que cette série a été créée juste pour faire de l’argent, elle ne sert à rien. Midam aurait pu s’en passer.
Sinon le dessin est toujours aussi bon.
Ouais, mais là, non.
J’ai emprunté cet album au vu du sticker informant qu’il avait été sélectionné à Angoulême il y a quelques années (je ne connaissais pas l’auteur). Eh bien je crois que je vais en rester là avec cette dame, car je n’ai pas du tout été convaincu.
En effet, s’il n’y a rien de réellement scandaleux dans cet album, je n’y ai pas trouvé grand-chose d’intéressant. Je me suis fait ch… et il a presque failli me tomber des mains. Du coup, j’ai arrêté ma lecture laborieuse au bout d’une soixantaine de pages.
Sans doute n’est-ce pas ma came. Mais je ne vois pas ce qu’il peut y avoir d’intéressant dans ce genre de roman graphique, à la narration plate, sans rebondissement, sans rythme, et aussi sans humour (alors que l’album est sous-titré « drame comique » !) …
Bref, j’ai jeté l’éponge, en me demandant quand même ce qui avait permis à cet album de concourir pour un prix à Angoulême !?
Horrible ce dessin ligne claire réalisé pourtant par un Américain.
Horrible ce scénario sans queue ni tête qui reste métaphysique.
Horrible cette vacuité des mini-récits.
Horrible cette réflexion philosophique sur le sens de la vie et qui n’a de sens que pour son auteur.
Horrible cet ennui ressenti à la lecture.
Horrible cette perte de temps.
HORRIBLE et médiocre à la fois.
Les éditions Soleil doivent être en mal de nouveautés ! Elles ont sorti en fin d’année l'intégrale de Zéro absolu. Un commando de mercenaires est envoyé sur Sibéria , une planète glaciaire retirée et inhospitalière, pour une obscure mission sur une base scientifique.
Ayant apprécié la série Sanctuaire de Christophe bec, j’achète sans sourciller l’histoire complète. Quelle déception ! Si quelqu’un peut m’expliquer la présence de planches reprenant un western spaghetti avec Fonda et Spencer, je suis preneur. J’avais parcouru presque 100 pages que je n’avais toujours rien compris à l’histoire. Si Bec voulait faire une nouvelle histoire d’Alien ou de The thing, et bien c’est raté ou alors je suis mauvais public.
Comme je ne peux mettre zéro étoile ma note sera 1 étoile absolue.
Comme le droit au blasphème est actuellement réaffirmé par la plus haute instance de l’Etat, je ne vais pas me gêner pour dire ce que je pense de cet ouvrage malsain et dégradant sur les fausses blondes.
C'est censé être une bd d'humour, c'est juste ridicule. Aucun gag ne m'a fait sourire car ils sont tous mauvais, tous nullissimes. C’est une bd archi-commerciale dans le sens le plus péjoratif du terme. Assez de cette religion sur les blondes bêtes et naïves !
Le fond contextuel est creux et sans saveur. Les illustrations n'ont vraiment aucun charme car elles sont largement moins bonnes que n'importe quel autre dessin classique. Cela n'arrange en rien les gags qui tombent à plat.
Je suis hermétique : on est désormais en 2020 et j’ai l’impression de lire une bd à papa du début des années 80.
C’est à fuir. A oublier au plus vite ! A ne même pas feuilleter !!!
P.S : les brunes ne comptent pas pour des prunes.
J'ai lu le premier tome sur cette variation osée de la belle et la bête et je n'ai pas du tout envie de lire la suite. On est dans la caricature des mangas les plus mauvais. N’ayons pas peur de la note méritée : 1 étoile et pas plus.
Le dessin n’est pas mauvais. Mes reproches n’iront pas pour le graphisme. Par contre, le découpage laisse un peu à désirer en ce qui concerne la compréhension des scènes d’action. Le récit est haché de façon peu commune.
C’est le scénario qui pêche avec un contexte créé de manière tout à fait artificielle. Les dialogues sonnent faux. La vraisemblance des situations en prend un sacré coup. La violence est à outrance.
Bref, un manga rempli d’inepties à la réalisation déficiente. Evidemment, la suite se fera sans moi.
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L'Échiquier cubique
J'avoue que je n'ai pas compris grand chose à cette histoire, je l'avais découverte lors de sa prépublication dans Circus en 1977, et à l'époque, étant encore adolescent, je n'avais rien compris, ce genre de Bd ne m'intéressait pas. Comme à cet âge, on condamne ce qu'on ne comprend pas, je l'ai vite oubliée. Et puis dernièrement, comme j'ai eu l'occasion de récupérer la collection complète des 130 numéros de Circus, je me suis risqué à la relire. J'ai capté quelques éléments, mais pas beaucoup plus, c'est un récit enrobé d'un fantastique très singulier et déstabilisant, on avance avec peine dans une narration très atypique et embrouillée, où tout tourne autour d'une armoire dont sortent des personnages étranges, l'enchainement des situations est totalement déroutant. On est vraiment dans un drôle d'univers, le classement en inclassable est complètement justifié. Ce qui m'étonne encore plus, c'est que ce récit soit illustré par un dessinateur comme Poivet, issu d'une école classique, connu surtout pour Guy Lebleu, et qui n'a guère habitué ses lecteurs à une Bd de ce type, pourtant je n'ai jamais été admiratif de son style qui ressemble le plus souvent à une sorte de crayonné. Cependant, sur cet album, son dessin est très chouette, c'est un beau noir & blanc assez travaillé. Cet album témoigne des débuts du catalogue Glénat, bien avant qu'il crée ses collections Vécu, Grafica ou Caractère, qui fut assez vite retiré après 1984 car sans doute jugé peu commercial ; à cette époque, Glénat tentait des trucs un peu risqués, avec des séries comme Patrick Maudick ou Matricule 45000 qui ont elles aussi disparu du catalogue après 1988.
Voyage au bout de la ville
Encore une de ces Bd des tout débuts du journal Circus puisqu'elle est prépubliée en 1979 sous le titre "la Maison du Fou". Comme L'Échiquier cubique, c'est un album qui ne fit pas long feu dans le catalogue Glénat qui à cette époque prenait des risques éditoriaux ; il est probable qu'on ne reverrait plus ce genre de bande aujourd'hui. Dans un sens, c'est dommage car ça permettait à des auteurs de s'exprimer, en l'occurrence ici ce François Royet dont on n'entendra plus jamais parler par la suite après avoir signé cet unique album. Le récit est limite subversif et provocateur pour l'époque, puisqu'il s'agit d'un groupe mystérieux et sans doute extrémiste qui organise meurtres et enlèvements afin de déstabiliser le pouvoir en place ; il y a donc comme un parfum d'anarchisme dans ce récit qui s'enlise dans une narration dépourvue de tout intérêt, l'auteur ne sachant pas rendre son histoire passionnante. Sinon, le dessin n'est pas mal, il lorgne vers un style Ligne Claire comme c'était la mode en ce début d'années 80, mais une Ligne Claire mal définie et bizarre, car c'est très réussi dans les décors précis et les véhicules, mais beaucoup moins sur les personnages qui sont plus proches d'un style de BD enfantine. Une Bd qui ne m'a pas du tout intéressé.
La Malédiction de Loki
La malédiction de Loki n’échappe malheureusement pas à une certaine malédiction qui touche certains mangas qui sombrent dans la médiocrité. C’est la loi des 9 pour 10 : 9 de mauvais pour un seul de bon. Après, c’est vrai qu’on peut introduire certaines nuances. Qu’est-ce qui ne va pas ? A peu près tout en partant du graphisme assez sommaire et irrégulier aux incohérences du scénario qui fait dans la surenchère. Pourtant, cela partait d’un postulat plutôt intéressant que de peindre des toiles aux pouvoirs spéciaux. En effet, Loki va devoir accomplir sa mission à savoir la promesse effectuée à son amie rencontrée à l’orphelinat dans une sorte de quête d’art maudit. Bref, deux mots pour résumer : moche et vide. On est très vite gonflé par cette lecture au point d’avoir très vite envie de passer à autre chose.
Le Garage hermétique (Major Fatal)
Depuis que j'entendais parler de ce Major Fatal, j'ai fini par y arriver, non sans réticence, grâce au prêt des 2 albums, mais Dieu que c'est chiant ! Moi qui suis un adepte des récits linéaires, j'ai eu beaucoup de mal avec cette histoire, je crois n'y avoir pas compris grand chose, je n'accroche pas du tout et je ne peux pas rentrer dans ce type de délire. C'est un feuilleton improvisé que Moebius a imaginé pendant 3 ans dans les pages de Métal Hurlant en y insérant de multiples références, au gré de péripéties capricieuses et chaotiques, avec un univers qui y prend forme et où une certaine poétique se développe, son major Grubert, perpétuellement coiffé de son casque à pointe, s'y promène d'un univers à l'autre. Il n'y a donc pas que le garage qui est hermétique, je le suis totalement à ce genre de Bd avec laquelle je ne prend aucun plaisir de lecture, le seul intérêt est que j'y apprécie le dessin de Moebius, son fameux graphisme "à la Moebius" fondé sur le point et la hachure, encore que je le préfère nettement sous son nom de Giraud dans Blueberry évidemment, de même qu'on décèle dans ce récit quelques éléments qu'on retrouvera dans L'Incal, même si je ne suis pas assez familier et connaisseur de ces univers. Certes c'est sans doute un mélange de fiction, de poésie et de merveilleux, mais ce n'est pas pour moi, et d'ailleurs, le premier album m'a tellement saoulé que je n'ai même pas pris la peine de lire le second, je l'ai juste parcouru, mais j'avais ma dose.
Game Over
Autant j’ai beaucoup aimé Kid Paddle qui est, comme ma photo de profil le fait deviner, ma série de bd préférée autant je n’ai, mais alors pas du tout, aimé « Game Over ». L’intérêt de l’apparition du Petit Barbare dans Kid Paddle était d’être un gag récurrent sans être tout le temps dans l’album, c’était drôle et ça passait très bien. Mais une série entière basée uniquement sur ce personnage qui meurt tout le temps ? Non merci. Je ne vois pas pourquoi cette série existe, ce personnage joue très bien son rôle dans Kid Paddle, il n’avait pas besoin d’apparaître dans une série longue de 17 tomes si je ne m’abuse. J’aimais la bd aussi pour sa diversité de gags , Horace , le guichet etc. Là c’est toujours la même chose, c’est très répétitif. J’ai le malheur de dire que cette série a été créée juste pour faire de l’argent, elle ne sert à rien. Midam aurait pu s’en passer. Sinon le dessin est toujours aussi bon.
C'est toi ma maman ?
Ouais, mais là, non. J’ai emprunté cet album au vu du sticker informant qu’il avait été sélectionné à Angoulême il y a quelques années (je ne connaissais pas l’auteur). Eh bien je crois que je vais en rester là avec cette dame, car je n’ai pas du tout été convaincu. En effet, s’il n’y a rien de réellement scandaleux dans cet album, je n’y ai pas trouvé grand-chose d’intéressant. Je me suis fait ch… et il a presque failli me tomber des mains. Du coup, j’ai arrêté ma lecture laborieuse au bout d’une soixantaine de pages. Sans doute n’est-ce pas ma came. Mais je ne vois pas ce qu’il peut y avoir d’intéressant dans ce genre de roman graphique, à la narration plate, sans rebondissement, sans rythme, et aussi sans humour (alors que l’album est sous-titré « drame comique » !) … Bref, j’ai jeté l’éponge, en me demandant quand même ce qui avait permis à cet album de concourir pour un prix à Angoulême !?
Le Retour de l'éléphant
Horrible ce dessin ligne claire réalisé pourtant par un Américain. Horrible ce scénario sans queue ni tête qui reste métaphysique. Horrible cette vacuité des mini-récits. Horrible cette réflexion philosophique sur le sens de la vie et qui n’a de sens que pour son auteur. Horrible cet ennui ressenti à la lecture. Horrible cette perte de temps. HORRIBLE et médiocre à la fois.
Zéro absolu
Les éditions Soleil doivent être en mal de nouveautés ! Elles ont sorti en fin d’année l'intégrale de Zéro absolu. Un commando de mercenaires est envoyé sur Sibéria , une planète glaciaire retirée et inhospitalière, pour une obscure mission sur une base scientifique. Ayant apprécié la série Sanctuaire de Christophe bec, j’achète sans sourciller l’histoire complète. Quelle déception ! Si quelqu’un peut m’expliquer la présence de planches reprenant un western spaghetti avec Fonda et Spencer, je suis preneur. J’avais parcouru presque 100 pages que je n’avais toujours rien compris à l’histoire. Si Bec voulait faire une nouvelle histoire d’Alien ou de The thing, et bien c’est raté ou alors je suis mauvais public. Comme je ne peux mettre zéro étoile ma note sera 1 étoile absolue.
Les Fausses Blondes
Comme le droit au blasphème est actuellement réaffirmé par la plus haute instance de l’Etat, je ne vais pas me gêner pour dire ce que je pense de cet ouvrage malsain et dégradant sur les fausses blondes. C'est censé être une bd d'humour, c'est juste ridicule. Aucun gag ne m'a fait sourire car ils sont tous mauvais, tous nullissimes. C’est une bd archi-commerciale dans le sens le plus péjoratif du terme. Assez de cette religion sur les blondes bêtes et naïves ! Le fond contextuel est creux et sans saveur. Les illustrations n'ont vraiment aucun charme car elles sont largement moins bonnes que n'importe quel autre dessin classique. Cela n'arrange en rien les gags qui tombent à plat. Je suis hermétique : on est désormais en 2020 et j’ai l’impression de lire une bd à papa du début des années 80. C’est à fuir. A oublier au plus vite ! A ne même pas feuilleter !!! P.S : les brunes ne comptent pas pour des prunes.
Lyla & la bête qui voulait mourir
J'ai lu le premier tome sur cette variation osée de la belle et la bête et je n'ai pas du tout envie de lire la suite. On est dans la caricature des mangas les plus mauvais. N’ayons pas peur de la note méritée : 1 étoile et pas plus. Le dessin n’est pas mauvais. Mes reproches n’iront pas pour le graphisme. Par contre, le découpage laisse un peu à désirer en ce qui concerne la compréhension des scènes d’action. Le récit est haché de façon peu commune. C’est le scénario qui pêche avec un contexte créé de manière tout à fait artificielle. Les dialogues sonnent faux. La vraisemblance des situations en prend un sacré coup. La violence est à outrance. Bref, un manga rempli d’inepties à la réalisation déficiente. Evidemment, la suite se fera sans moi.