Les derniers avis (5163 avis)

Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Cow-Boy Moustache
Cow-Boy Moustache

Je n'ai pas aimé ce cow-boy moustachu dans un genre hippie à San Francisco. Tout les garçons portent la moustache et draguent les femmes dans un genre plutôt lourd et très indigeste. Où sont passés le charme et la grâce ? Cette bd en est malheureusement tout simplement dépourvue. Pour le reste, c'est d'un niveau très bas dans le genre qui ne dépasse pas un ado de 16 ans sans être méchant mais plutôt réaliste. J'ai rarement vu pire dans les dialogues. L'oisiveté règne en maître dans un monde dépourvu de certaines valeurs. Bref, je ne cautionnerai pas cette oeuvre pour rien au monde.

09/04/2017 (modifier)
Par Hellessi
Note: 1/5
Couverture de la série Wunderwaffen
Wunderwaffen

Passionné d'aviation, cela faisait longtemps que je l'avais dans ma liste sans jamais l'avoir achetée, un peu refroidi par les avis assez réservés sur bdtheque.com. Je l'ai donc feuilletée chez des amis. Quelle déception ! Derrière des couvertures réussies et très accrocheuses, derrière l'idée séduisante de l'uchronie sur la deuxième guerre mondiale et celle des armes miracles des ingénieurs allemands, on trouve un "grand n'importe quoi" avec une dérive fantastico-mystique qui m'a totalement refroidi ! Si vous aimez les bonnes BD d'aviation récentes allez plutôt voir chez Paquet: Angel Wings, Au-delà des nuages, Le Grand Duc, Le Dernier Envol. C'est d'une autre trempe !

08/04/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Contes fantastiques
Contes fantastiques

Ces contes fantastiques seraient plutôt des contes horrifiques. Je n'ai pas du tout apprécié ni le récit, ni le graphisme un peu trop vieillot. C'est noir, sombre et cruel. Je n'en retire rien de vraiment positif. Il est vrai que du même auteur, je n'avais déjà pas apprécié les "Contes du Japon d'autrefois" que je retrouve au hasard de mes lectures. La qualité n'est pas au rendez-vous. On sent que l'éditeur a sorti de ses tiroirs des vieilles nouvelles datant de 1979. Le graphisme manque de dynamisme ainsi que les récits qui restent très fades. Tout cela est très médiocre.

01/04/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Suckle, suivi de Crumple
Suckle, suivi de Crumple

Là encore, je dirai que ce n'est pas ma tasse de thé. Le graphisme passe encore mais c'est le sens de ce récit qui part dans tous les sens et qui n'est surtout pas très sain d'esprit. C'est peuplé d'êtres bizarres et difformes qui dégoulinent comme des masses gluantes. C'est assez chaotique. Il n'y aura par exemple pas de scénario. Il faut le savoir. Pour résumer: nous avons une belle bande d'obsédés sexuels. Il faut être un peu passionné par le sujet. Mais attention: on ne fera pas dans la grâce ou la beauté même du geste. Cela dégouline jusqu'à l'excès. Moi personnellement, je ne serai pas le lecteur qui rentre dans cette folie. Tout le monde peut faire des choix et les assumer. Une oeuvre que je qualifierai de très visqueuse et dans tous les sens du terme.

31/03/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Stray toasters
Stray toasters

Si j'avais commencé la bd par un titre comme celui-ci, je n'aurais sans doute jamais toucher une autre bd. Oui, c'est à se délaisser totalement de cette passion. Fort heureusement, cela n'a pas été le cas. Je crois qu'il y a des titres qui desservent ce noble art. Celui-ci en fait manifestement partie. Il est difficile d'accès et plutôt brouillon. Quand on commence à lire, on n'a plus qu'une envie, c'est celle d'arrêter et de le mettre à la poubelle. Un gogo peut être attiré comme moi par la belle couverture. ce qu'il y a à l'intérieur peut être totalement différent et c'est là que la déception commence. Une oeuvre que je qualifierais de très opaque dans un graphisme difficilement décryptable.

31/03/2017 (modifier)
Couverture de la série La Pluie des corps
La Pluie des corps

Pas grand chose à retenir pour cette BD issue de la plateforme de crowdfunding Sandawe. Le gros défaut est le scénario en lui-même. J'ai une sainte horreur de ces histoires complètement alambiquées, au final incompréhensibles, auxquelles l'auteur n'apporte que peu voire pas d'éléments d'explications. A la fin, c'est un peu au lecteur de se faire sa propre interprétation: débrouille toi avec ça, mon cher. C'était bien, hein ? Euh...j'ai pas tout compris les trucs, là...C'est rien c'est magique, c'est fantastique, c'est du 3e degré. Très peu pour moi. Deuxième défaut non moins important, il y a un gros problème de rythme dans ce récit ! C'est plaaaaaaaaaaaaaaaaat, c'est mou, toute l'histoire, déjà difficile à avaler, est racontée d'une traite, sans cadence, et donc, on se fait chier... Certaines scènes ne sont pas claires non plus, j'ai dû une fois revenir en arrière pour comprendre ce qu'il se passait. Le seul point positif, mais qui ne sauvera pas les meubles, c'est le talent d'Anaïs Bernabé, de l'école Emile-Cohl, qui montre de belles choses en dessins et en couleurs. Certaines planches sont plutôt réussies. Malheureusement, son niveau s'avère assez inconstant tout au long de l'ouvrage, notamment à la fin, où elle semblerait presque s'épuiser. Malheureusement l'univers de cette BD est très restreint, le cadre ne change pour ainsi dire quasiment pas tout au long de l'histoire, et 90% du récit se passe dans la maison des deux principaux personnages, ça lasse donc encore plus et empêche peut être notre dessinatrice d'en montrer d'avantage. Bref, je pense que notre artiste n'est pas encore à pleine maturité mais qu'elle est peut être à suivre. Au final, j'attendais beaucoup de cet album dont le synopsis paraissait très original, et je suis très déçu par cette histoire obscure, mal racontée, et ennuyeuse. Désolé...

29/03/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Serpents et Échelles
Serpents et Échelles

J'ai dû une fois jouer dans ma vie au jeu serpents et échelles bien qu'il ne soit pas très répandu dans notre pays. Alan Moore fait un essai aussi bien temporelle que psychologique dans une exploration psychogéographiques. Il y a un peu de magie et des rituels mais surtout des métaphores et des tournures poétiques. Mais c'est surtout une narration très bavarde qui nous assomme littéralement. Il ne faudra pas perdre le fil sous peine d'une marche en arrière ce qui est le principe de ce jeu. Bref, une adaptation qui rester très difficile d'accès pour les lecteurs que nous sommes. Cette fois-ci, je ne parle pas que pour moi mais pour l'ensemble. Il n'y a rien de subjectif dans ma remarque. Bref, une oeuvre beaucoup trop incompréhensible.

26/03/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Le Borgne Gauchet
Le Borgne Gauchet

Je ne peux plus supporter ce genre de lecture. Après tout, on a le choix de nos jours. Il est vrai qu’on peut parfois se laisser attirer par un grand nom de la bd et se retrouver avec une espèce d’esquisse de récits mis bout à bout pour former une anthologie à la gloire d’un borgne gauchet, gascon de surcroît. Il est également vrai que ce verbiage m’a totalement achevé dès le départ. Le dessin aux contours indéfinis a eu raison de moi. Je n’aspire plus à lire de tel montage qui part dans tous les sens. C’est beaucoup trop brouillon et je ne m’y retrouve pas. Est-ce pour autant si mauvais ? Je laisserai la postérité en décider. Je tiens à préciser que je suis plutôt fan de l’auteur mais pas du borgne gauchet. C’est ainsi.

23/03/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série 7 Milliards d'aiguilles
7 Milliards d'aiguilles

7 milliards d’aiguilles est un manga qui débite des conneries inimaginables et cela nous piquent vraiment. C’est une lecture non prise de tête mais qui la remplit de choses peu intelligentes. Est-ce une lecture à réserver à un public adolescent ? Il semblerait que cela soit bien le cas sans vouloir être péjoratif ou dédaigneux envers cet aimable et vénérable lectorat. Nous avons toujours et encore la belle lycéenne nipponne qui va sauver le monde car elle est soudainement habitée par une entité extraterrestre qui va la guider dans sa mission. Tous les clichés seront réunis sans exception. Alors, c’est certes assez efficace dans la mise en scène mais c’est surtout assez peu original et finalement très stérile. Pour ma part, je conseille de passer à autre chose pour ne pas perdre son temps. Il y a tant d’autres choses à découvrir.

20/03/2017 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
Couverture de la série Lovely Complex
Lovely Complex

Lovely Complex est un titre pour nous dire que les hommes de petite taille peuvent très bien trouver l’amour avec de grandes perches. Mon meilleur ami s’étranglerait en lisant de pareilles inepties. Dans un monde couleur rose bonbon, on peut imaginer qu’une différence d’âge de 50 ans n’a aucune incidence mais bon, il s’agit de revenir dans la réalité de notre monde. Par ailleurs, quand on situe le cadre dans un milieu de lycéens, cela ne pardonne pas. On observera que graphiquement, on ne voit pas la différence de taille entre les personnages ce qui est un comble. Les dialogues sont totalement insipides. On s’ennuie très vite. Je passe sous silence les japaniaiseries qui ponctuent le récit de manière récurrente. L’amour est complexe. Je n’avais sans doute pas besoin de ce manga pour comprendre cela. En attendant, je me suis mortellement ennuyé. A noter que je me demande comment cette romance a pu faire pleurer bon nombres d’adolescentes en mal d’amour. En même temps, ce titre permet d’aider à lutter contre nos complexes. Il faut dire que le gars, il mesure à peine 1m56 contre 1m70 pour sa partenaire. C’est TROOOP mortel, sérieux ! A noter également que ce titre a donné lieu à un jeu vidéo sur Playstation. J'aurais bien aimé voir quel était le but de ce jeu ?

15/03/2017 (modifier)