Bon, ben là, je dis non ! J’ai failli mettre deux étoiles, en arrondissant, pour le dessin, mais, vu comment je me suis fait ch… en lisant l’intégrale (heureusement empruntée – j’ai une petite pensée pour ceux qui l’ont achetée !...), et bien ce sera une étoile et un conseil très appuyé pour éviter de perdre son argent (c’est sûr), mais aussi son temps avec cette série ratée.
Autant le dire tout de suite, je n’ai pas compris grand-chose de cette histoire, et le peu que j’y ai discerné m’a paru hautement indigeste.
En effet, ces histoires d’anges, de démons sont d’emblée obscures (ceci étant aggravé par un découpage, voire une explosion des cases) : le lecteur est perdu.
Et quand on retrouve la trace de l’intrigue, on tombe alors sur les dialogues, qui sont souvent affligeants, lourds, redondants et/ou sans intérêt. On ne peut s’attacher ni aux personnages ni à l’intrigue !
Reste le dessin, convenable. Le changement de dessinateur – que je n’aime généralement pas au sein d’une même série n’est ici pas trop préjudiciable, même si je préfère le dessin des personnages de Xavier. Le dessin est en tout cas l’aspect le moins raté de la série (même s’il n’est pas non plus génial).
Je suis très étonné par les quelques « bonnes notes » recueillies par « Paradis Perdu » sur ce site. Comme quoi, les goûts et les couleurs…
Dispensable !!!
Délire halluciné, psychanalytique, défoulatoire, artistique dérangé ou je ne sais quoi, mais en tout cas délire hermétique de deux auteurs qui ne se parlent qu'à eux-mêmes.
Le début de l'album était pénible mais je me suis accroché. J'ai passé outre ce texte narratif pompeux et bavard d'un dieu qui parle de sa chétive et laide création. J'ai suivi les premiers pas animaux et instinctifs de ce bébé vorax qui grandit dans la jungle sous l’œil critique puis attentionné de son divin créateur. J'ai subi le côté antipathique et égocentrique de ces deux êtres, la voix désincarnée imbue d'elle-même et l'homme-singe idiot obéissant à ses pulsions. J'ai cherché à voir si ce récit fiévreux menait à quelque chose. Et ce fut plus ou moins le cas, tout le récit évoluant vers une apothéose stellaire où les dieux se dévorent et fusionnent entre eux.
Un récit trop délirant, trop hermétique, trop désagréable et beaucoup trop personnel pour intéresser un lecteur autre que leurs auteurs.
C'est un roman graphique hors du commun que nous avons là sur un mode totalement introverti. Les petites bizarreries qui ponctuent la vie semblent être le sujet principal de cette oeuvre. Le graphisme est d'une simplicité enfantine alors que le propos l'est moins. Il y a un sérieux décalage que je n'ai pas forcément apprécié. Oui, c'est déroutant à tous les niveaux entre dérision et exagération.
J'avoue ne pas avoir compris les analyses psychologiques assez profondes de l'auteur qui se morfond dans une espèce de sublimation du quotidien. La véracité des propos reste toutefois à confirmer.
L'humour est présent comme une arme anti-névrose. On aurait pu tomber plus bas, c'est vrai. Je ne suis tout simplement pas entrer dans l'univers un peu étrange de cette jeune femme dépressive.
Les aventures de Magie et Hopey ne m'ont pas du tout séduit bien au contraire. Certes, c'est la vie avec ses petits déboires entre les problèmes de poids ou de garçon. L'ambiance fait très punk.
Les récits sont souvent déjantés à défaut d'être érotiques. C'est prétentieux, illustratif et apathique pour résumer. Je n'ai rien ressenti, rien vécu. Ni ses désirs, ni ses plaisirs, ou ses absences de plaisir, rien , un grand vide !
Jusqu'où on peut aller dans le registre du ridicule. Heureusement que cela ne tue pas. Locas est un chef d'oeuvre du nihilisme où la monotonie frise la turpitude. Ennuyeux à mourir ou insupportable, il faudra choisir à moins d'avoir les deux.
Alors qu'elles ne pensent qu'à cela, je ne pensais qu'à une chose: en finir avec cette lecture navrante. Bref, passez votre chemin car il 'y a rien à voir.
Un dessin qui fait très vieilli dans un style ligne claire ainsi qu'un manque manifeste d'idées font de cette oeuvre un monument de débilité profonde. S'il y a un public pour ce type de bd contre-culture, je n'en fais clairement pas partie. C'est clair que le tout est assaisonné à la sauce punk.
Même le personnage est repoussant : le pauvre Walt Disney et J. M. Barrie se retourneraient dans leur tombe: paix à leur âme ! Décidément , je n'ai pas de chance dans mon exploration d'une certaine forme de bd.
C'est le plus mauvais Milo Manara que je lis à ce jour. Ces petits récits ne sont absolument pas aboutis pour la plupart. Même le dessin semble souffrir de sa grâce habituelle. Que s'est 'il donc passé ?
Je pense que c'est juste des ébauches qui n'auraient jamais dû être publiées mais qui le sont du fait de sa notoriété. Le résultat est là et c'est sans appel. C'est le vide complet. Le message ne passe pas.
Au nom de la créativité, certains artistes font du n’importe quoi. C’est le cas de ce mangaka à l’esprit plutôt dérangé. Son œuvre m’a rebuté au plus haut point. C’est vulgaire, c’est sale et c’est crade. Ce n’est pas destiné à être lu par un esprit sain de corps et d’esprit. Je ne peux pas être plus clair. Rarement dans ma vie, je n’ai vu une chose aussi infâme.
Je n’ai pas envie de retomber dans un débat du style pourquoi l’avoir lu et l’avoir avisé. C’est le hasard des rencontres qui peuvent être salutaires ou désastreuses. Je ne ferai pas la promotion de ce titre, c’est certain. Je déconseille au plus haut point à moins d’aimer les corps déformés, les sévices, les langues se situant dans n’importe quel orifice. Je n’ose même pas décrire ce que je viens de lire.
C’est du vomissement à l'état pur et le mot n’est pas assez fort. Certes, les amateurs de gore et de sexe seront ravis. Et encore, je demande à voir. :|
Que la lecture de ce titre a été laborieuse ! Le premier tome annonce la couleur : une histoire d'amour impossible et passionnée d'un jeune artiste et d'une jeune fille de la caste dirigeante qui devront fuir pour vivre pleinement cet amour. Mais le problème avec cette série, c'est que le héros principal part dans de grands monologues qui ne font pas avancer l'histoire, le deuxième tome lui part dans un délire onirique qui risque d'en dérouter plus d'un.
Le seul point positif que je retiens, ce sont les dessins, on dirait des bas-reliefs égyptiens qui prennent vies.
Dans l'ensemble c'est très soporifique.
Encore un titre totalement bourrin destiné à une certaine clientèle. La phrase prononcée dès les premières pages par l'héroïne hyper sexy et un peu allumeuse: c'est trop choupi ! Je n'invente malheureusement rien. Nous avons à faire à deux locataires dont un grassouillet qui font de la colocation.
La nouvelle arrivée se présente: elle est tueuse à gage. Ils sont obligés de lui laver ses petites culottes et de faire tout ce qu'elle désire. Bref, on est dans la bd à l'humour potache et aux situations les plus imbéciles avec en prime un scénario particulièrement creux.
J'arrête là mes commentaires pour ne pas être désagréable. C'est quand même une oeuvre mais on ne pourra pas affirmer avec certitude que le niveau monte.
Le comics Marvel des années 90 dans toutes son horreur : un gros crossover entre plusieurs titres qui n'est pas du tout bien coordonné, des changement vraiment nuls dans le statu quo des personnages, des dessins moches et aussi un des scénaristes c'est Terry Kavanagh qui a eu l'idée de la saga du clone de Spider-Man à la même époque et qui est en bonne place pour recevoir le trophée du scénariste le plus détesté de tous les temps.
Pourtant, cela aurait pu donner une bonne histoire. Le méchant Kang est charismatique et certaines scènes avec Iron Man au début sont intéressantes. En fait Iron Man est le seul personnage que je trouve intéressant ici et malheureusement les auteurs vont faire n'importe quoi avec lui (j'ai pas envie de trop spoiler, quoique peut-être que je devrais tout spoiler comme ça aucun autre lecteur de BDThèque sera obligé de lire cet album).
Dés le début il y a des problèmes au niveau du scénario : j'ai eu de la difficulté à reconnaître la plupart des personnages. Il a fallu qu'on les nomme pour que je me rende compte, par exemple, qui était Hercule. La plupart des personnages ont un nouveau design vraiment laid. Panini aurait dû mettre un texte qui explique la situation des personnages comme c'est le cas avec leur intégrale. Ensuite, même lorsqu'on sait qui est qui la narration est souvent confuse. On dirait qu'il manque des pages et les combats sont incompréhensibles. Finalement, il y a des longueurs. Kang n’apparaît que vers le milieu de l'album et il se passe plein de truc inintéressants.
Il est à noter que les gros changements apportés par cette histoire ont disparu seulement quelques mois plus tard et que, quelques années après, Busiek a fait de gros révélations dans Avengers Forever pour faire en sorte que l'histoire ait un peu de sens.
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Paradis perdu
Bon, ben là, je dis non ! J’ai failli mettre deux étoiles, en arrondissant, pour le dessin, mais, vu comment je me suis fait ch… en lisant l’intégrale (heureusement empruntée – j’ai une petite pensée pour ceux qui l’ont achetée !...), et bien ce sera une étoile et un conseil très appuyé pour éviter de perdre son argent (c’est sûr), mais aussi son temps avec cette série ratée. Autant le dire tout de suite, je n’ai pas compris grand-chose de cette histoire, et le peu que j’y ai discerné m’a paru hautement indigeste. En effet, ces histoires d’anges, de démons sont d’emblée obscures (ceci étant aggravé par un découpage, voire une explosion des cases) : le lecteur est perdu. Et quand on retrouve la trace de l’intrigue, on tombe alors sur les dialogues, qui sont souvent affligeants, lourds, redondants et/ou sans intérêt. On ne peut s’attacher ni aux personnages ni à l’intrigue ! Reste le dessin, convenable. Le changement de dessinateur – que je n’aime généralement pas au sein d’une même série n’est ici pas trop préjudiciable, même si je préfère le dessin des personnages de Xavier. Le dessin est en tout cas l’aspect le moins raté de la série (même s’il n’est pas non plus génial). Je suis très étonné par les quelques « bonnes notes » recueillies par « Paradis Perdu » sur ce site. Comme quoi, les goûts et les couleurs… Dispensable !!!
Vorax
Délire halluciné, psychanalytique, défoulatoire, artistique dérangé ou je ne sais quoi, mais en tout cas délire hermétique de deux auteurs qui ne se parlent qu'à eux-mêmes. Le début de l'album était pénible mais je me suis accroché. J'ai passé outre ce texte narratif pompeux et bavard d'un dieu qui parle de sa chétive et laide création. J'ai suivi les premiers pas animaux et instinctifs de ce bébé vorax qui grandit dans la jungle sous l’œil critique puis attentionné de son divin créateur. J'ai subi le côté antipathique et égocentrique de ces deux êtres, la voix désincarnée imbue d'elle-même et l'homme-singe idiot obéissant à ses pulsions. J'ai cherché à voir si ce récit fiévreux menait à quelque chose. Et ce fut plus ou moins le cas, tout le récit évoluant vers une apothéose stellaire où les dieux se dévorent et fusionnent entre eux. Un récit trop délirant, trop hermétique, trop désagréable et beaucoup trop personnel pour intéresser un lecteur autre que leurs auteurs.
Hyperbole
C'est un roman graphique hors du commun que nous avons là sur un mode totalement introverti. Les petites bizarreries qui ponctuent la vie semblent être le sujet principal de cette oeuvre. Le graphisme est d'une simplicité enfantine alors que le propos l'est moins. Il y a un sérieux décalage que je n'ai pas forcément apprécié. Oui, c'est déroutant à tous les niveaux entre dérision et exagération. J'avoue ne pas avoir compris les analyses psychologiques assez profondes de l'auteur qui se morfond dans une espèce de sublimation du quotidien. La véracité des propos reste toutefois à confirmer. L'humour est présent comme une arme anti-névrose. On aurait pu tomber plus bas, c'est vrai. Je ne suis tout simplement pas entrer dans l'univers un peu étrange de cette jeune femme dépressive.
Locas - Elles ne pensent qu'à ça
Les aventures de Magie et Hopey ne m'ont pas du tout séduit bien au contraire. Certes, c'est la vie avec ses petits déboires entre les problèmes de poids ou de garçon. L'ambiance fait très punk. Les récits sont souvent déjantés à défaut d'être érotiques. C'est prétentieux, illustratif et apathique pour résumer. Je n'ai rien ressenti, rien vécu. Ni ses désirs, ni ses plaisirs, ou ses absences de plaisir, rien , un grand vide ! Jusqu'où on peut aller dans le registre du ridicule. Heureusement que cela ne tue pas. Locas est un chef d'oeuvre du nihilisme où la monotonie frise la turpitude. Ennuyeux à mourir ou insupportable, il faudra choisir à moins d'avoir les deux. Alors qu'elles ne pensent qu'à cela, je ne pensais qu'à une chose: en finir avec cette lecture navrante. Bref, passez votre chemin car il 'y a rien à voir.
Peter Pank
Un dessin qui fait très vieilli dans un style ligne claire ainsi qu'un manque manifeste d'idées font de cette oeuvre un monument de débilité profonde. S'il y a un public pour ce type de bd contre-culture, je n'en fais clairement pas partie. C'est clair que le tout est assaisonné à la sauce punk. Même le personnage est repoussant : le pauvre Walt Disney et J. M. Barrie se retourneraient dans leur tombe: paix à leur âme ! Décidément , je n'ai pas de chance dans mon exploration d'une certaine forme de bd.
Candide Caméra (Projection privée)
C'est le plus mauvais Milo Manara que je lis à ce jour. Ces petits récits ne sont absolument pas aboutis pour la plupart. Même le dessin semble souffrir de sa grâce habituelle. Que s'est 'il donc passé ? Je pense que c'est juste des ébauches qui n'auraient jamais dû être publiées mais qui le sont du fait de sa notoriété. Le résultat est là et c'est sans appel. C'est le vide complet. Le message ne passe pas.
Carnets de massacre
Au nom de la créativité, certains artistes font du n’importe quoi. C’est le cas de ce mangaka à l’esprit plutôt dérangé. Son œuvre m’a rebuté au plus haut point. C’est vulgaire, c’est sale et c’est crade. Ce n’est pas destiné à être lu par un esprit sain de corps et d’esprit. Je ne peux pas être plus clair. Rarement dans ma vie, je n’ai vu une chose aussi infâme. Je n’ai pas envie de retomber dans un débat du style pourquoi l’avoir lu et l’avoir avisé. C’est le hasard des rencontres qui peuvent être salutaires ou désastreuses. Je ne ferai pas la promotion de ce titre, c’est certain. Je déconseille au plus haut point à moins d’aimer les corps déformés, les sévices, les langues se situant dans n’importe quel orifice. Je n’ose même pas décrire ce que je viens de lire. C’est du vomissement à l'état pur et le mot n’est pas assez fort. Certes, les amateurs de gore et de sexe seront ravis. Et encore, je demande à voir. :|
L'Or du Temps
Que la lecture de ce titre a été laborieuse ! Le premier tome annonce la couleur : une histoire d'amour impossible et passionnée d'un jeune artiste et d'une jeune fille de la caste dirigeante qui devront fuir pour vivre pleinement cet amour. Mais le problème avec cette série, c'est que le héros principal part dans de grands monologues qui ne font pas avancer l'histoire, le deuxième tome lui part dans un délire onirique qui risque d'en dérouter plus d'un. Le seul point positif que je retiens, ce sont les dessins, on dirait des bas-reliefs égyptiens qui prennent vies. Dans l'ensemble c'est très soporifique.
Wallman
Encore un titre totalement bourrin destiné à une certaine clientèle. La phrase prononcée dès les premières pages par l'héroïne hyper sexy et un peu allumeuse: c'est trop choupi ! Je n'invente malheureusement rien. Nous avons à faire à deux locataires dont un grassouillet qui font de la colocation. La nouvelle arrivée se présente: elle est tueuse à gage. Ils sont obligés de lui laver ses petites culottes et de faire tout ce qu'elle désire. Bref, on est dans la bd à l'humour potache et aux situations les plus imbéciles avec en prime un scénario particulièrement creux. J'arrête là mes commentaires pour ne pas être désagréable. C'est quand même une oeuvre mais on ne pourra pas affirmer avec certitude que le niveau monte.
Avengers - The Crossing
Le comics Marvel des années 90 dans toutes son horreur : un gros crossover entre plusieurs titres qui n'est pas du tout bien coordonné, des changement vraiment nuls dans le statu quo des personnages, des dessins moches et aussi un des scénaristes c'est Terry Kavanagh qui a eu l'idée de la saga du clone de Spider-Man à la même époque et qui est en bonne place pour recevoir le trophée du scénariste le plus détesté de tous les temps. Pourtant, cela aurait pu donner une bonne histoire. Le méchant Kang est charismatique et certaines scènes avec Iron Man au début sont intéressantes. En fait Iron Man est le seul personnage que je trouve intéressant ici et malheureusement les auteurs vont faire n'importe quoi avec lui (j'ai pas envie de trop spoiler, quoique peut-être que je devrais tout spoiler comme ça aucun autre lecteur de BDThèque sera obligé de lire cet album). Dés le début il y a des problèmes au niveau du scénario : j'ai eu de la difficulté à reconnaître la plupart des personnages. Il a fallu qu'on les nomme pour que je me rende compte, par exemple, qui était Hercule. La plupart des personnages ont un nouveau design vraiment laid. Panini aurait dû mettre un texte qui explique la situation des personnages comme c'est le cas avec leur intégrale. Ensuite, même lorsqu'on sait qui est qui la narration est souvent confuse. On dirait qu'il manque des pages et les combats sont incompréhensibles. Finalement, il y a des longueurs. Kang n’apparaît que vers le milieu de l'album et il se passe plein de truc inintéressants. Il est à noter que les gros changements apportés par cette histoire ont disparu seulement quelques mois plus tard et que, quelques années après, Busiek a fait de gros révélations dans Avengers Forever pour faire en sorte que l'histoire ait un peu de sens.