Rien d'indispensable. Ça n'est pas un beau dessin (enfin, j'entends par là un dessin un peu cherché, personnel), et l'humour de cette série me laisse de marbre. Mais je peux bien comprendre que ça en fasse rire certains.
Tout l’univers d’Aria semble intéressant. Les personnages, l’environnement, les thèmes. Alors on les lit les uns derrière les autres et on reste constamment sur sa faim. On a toujours l’impression qu’on va lire une histoire à la hauteur de l’idée proposée, et puis on est déçu. Allez s’il faut en acheter un je conseillerai le N°17 “Le vestale de Satan”. Après, passez à autre chose.
Le duo Marini/Desberg revient pour le Scorpion.
Les couleurs chaudes redonnent vie et ambiance à la Rome du XVIIIe siècle, les scènes d’action sont très réussies, et la maîtrise de Marini se confirme encore. Un peu décevant, tout de même, ce modèle récurrent du héros : même visage, même stature, même allure…
Entrons dans ce scénar : l'enfant bâtard d'Errol Flynn, les trois mousquetaires, Fanfan la tulipe, Froideval (l'organisation secrète ultra-puissante)... Le Cardinal a même une âme damnée, une gitane, sorte de Milady en plus sexuée (on voit ses jambes).
Rien de très novateur, en définitif. C'est loin d'être un chef d'oeuvre. Qu'importe, le rythme et le trait de Marini est un tel délice que l'on passe volontier sur les petites facilités de l'hisoire. Ca se lit vite et facilement, quoi.
Eh non, je n'aime pas la série "Gispy". Ou plus exactement, je n'aime pas le personnage Gipsy.Le côté "bourrin-à-coeur-d'or-violent-tendre-agressif-un-peu-sensible-bagarreur" n'est pas nouveau... Autant prendre Obélix !
Le côté "gispy", parlons-en : l'almalgame confus entre gitans, tziganes, manouches, romes, etc., me fait rager, et le héros devient une addition de clichés à la carrure d'armoire slave et à la machoire de primate.
l'humour est fin et subtil comme une enclume, les dialogues sortent tout droit des navets hollywoodiens actuels.
Pourquoi ce post, alors ? Pour Marini, tout simplement. Les premiers albums influence manga sont très laids, mais Marini est véritablement un grand dessinateur (cf tome 5). Rendons grâce à ce trait génial (mais très mal exploité dans cette série).
Déja petit, c'est pas moi qui achetait Lucky Lucke c'est le voisin et je n'en gardais pas un grand souvenir. J'ai essayé à nouveau, non rien à faire je trouve que cela a mal vielli. Pour moi impossible de le mettre dans la même catégorie que Tintin et Astérix mes lectures de l'époque.
Je n'ai pas du tout aimé cette BD. Je n'ai lu que les 2 premiers tomes et je trouve le scénario complètement démesuré dans le rôle et les compétences du personnage central. Un agent du FISC qui se comporte comme James Bond ou l'inspecteur Harry ne me paraît pas du tout réaliste. De plus je trouve le graphisme des personnages très grossier.
Aria n'est pas une série exeptionnelle, tout simplement sympathique à feuilleter, mais rien de plus. Certains éléments des différents scénars sont plaisants mais le dessin est passable. L'héroïne fatigue, n'a pas vraiment de carctère propre.
Cette série vaut le coup d'oeil pour les légendes inconnues et l'univers original (mais hélas peu développé).
luke fait partie de ma jeunesse, c'est indeniable. Maintenant, ça me fait sourire d'en feuilleter un, mais je n'ai plus envie de le lire.
je crois que c'est une serie qui n'offre pas une lecture differente selon l'age du lecteur, comme le fait bien Asterix par exemple.
C'est vrai que Manara a fait pire niveau scenar. Là, ça passe agréablement, mais bon, pas de quoi fouetter un chat.
C'est vrai aussi que niveau dessin, il fait partie des maîtres, de ceux qui savent dessiner une femme.
Et enfin, c'est vrai que cet album ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, ni même l'envie de le relire.
Ca conviendra aux amateurs de Pratt, mais moi...
Malgré des dessins agréables, j'ai eu du mal à accrocher à l'histoire et aux personnages un peu trop "caricaturés". Le problème n'est pas que les personnages ne soient pas tous sympathiques (quoi que), c'est surtout qu'ils manquent un peu de relief je trouve.
Je trouve plaisant que l'hsitoire se passe dans un cadre 'connu' (on retrouve des éléments des Largo Winch).
Mais ca ressemble aussi à un scénario de Largo Winch (si ma mémoire est bonne).
(Une prison, un prisonnier, une équipe pour le sortir de là, une happy-end en perpective avec un bon coup de trahison du commanditaire pour terminer...)
J'ai peur que les prochains albums n'apportent pas grand chose de bien folichon.
Dommage.
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Jean-Claude Tergal
Rien d'indispensable. Ça n'est pas un beau dessin (enfin, j'entends par là un dessin un peu cherché, personnel), et l'humour de cette série me laisse de marbre. Mais je peux bien comprendre que ça en fasse rire certains.
Aria
Tout l’univers d’Aria semble intéressant. Les personnages, l’environnement, les thèmes. Alors on les lit les uns derrière les autres et on reste constamment sur sa faim. On a toujours l’impression qu’on va lire une histoire à la hauteur de l’idée proposée, et puis on est déçu. Allez s’il faut en acheter un je conseillerai le N°17 “Le vestale de Satan”. Après, passez à autre chose.
Le Scorpion
Le duo Marini/Desberg revient pour le Scorpion. Les couleurs chaudes redonnent vie et ambiance à la Rome du XVIIIe siècle, les scènes d’action sont très réussies, et la maîtrise de Marini se confirme encore. Un peu décevant, tout de même, ce modèle récurrent du héros : même visage, même stature, même allure… Entrons dans ce scénar : l'enfant bâtard d'Errol Flynn, les trois mousquetaires, Fanfan la tulipe, Froideval (l'organisation secrète ultra-puissante)... Le Cardinal a même une âme damnée, une gitane, sorte de Milady en plus sexuée (on voit ses jambes). Rien de très novateur, en définitif. C'est loin d'être un chef d'oeuvre. Qu'importe, le rythme et le trait de Marini est un tel délice que l'on passe volontier sur les petites facilités de l'hisoire. Ca se lit vite et facilement, quoi.
Gipsy
Eh non, je n'aime pas la série "Gispy". Ou plus exactement, je n'aime pas le personnage Gipsy.Le côté "bourrin-à-coeur-d'or-violent-tendre-agressif-un-peu-sensible-bagarreur" n'est pas nouveau... Autant prendre Obélix ! Le côté "gispy", parlons-en : l'almalgame confus entre gitans, tziganes, manouches, romes, etc., me fait rager, et le héros devient une addition de clichés à la carrure d'armoire slave et à la machoire de primate. l'humour est fin et subtil comme une enclume, les dialogues sortent tout droit des navets hollywoodiens actuels. Pourquoi ce post, alors ? Pour Marini, tout simplement. Les premiers albums influence manga sont très laids, mais Marini est véritablement un grand dessinateur (cf tome 5). Rendons grâce à ce trait génial (mais très mal exploité dans cette série).
Lucky Luke
Déja petit, c'est pas moi qui achetait Lucky Lucke c'est le voisin et je n'en gardais pas un grand souvenir. J'ai essayé à nouveau, non rien à faire je trouve que cela a mal vielli. Pour moi impossible de le mettre dans la même catégorie que Tintin et Astérix mes lectures de l'époque.
I.R.$.
Je n'ai pas du tout aimé cette BD. Je n'ai lu que les 2 premiers tomes et je trouve le scénario complètement démesuré dans le rôle et les compétences du personnage central. Un agent du FISC qui se comporte comme James Bond ou l'inspecteur Harry ne me paraît pas du tout réaliste. De plus je trouve le graphisme des personnages très grossier.
Aria
Aria n'est pas une série exeptionnelle, tout simplement sympathique à feuilleter, mais rien de plus. Certains éléments des différents scénars sont plaisants mais le dessin est passable. L'héroïne fatigue, n'a pas vraiment de carctère propre. Cette série vaut le coup d'oeil pour les légendes inconnues et l'univers original (mais hélas peu développé).
Lucky Luke
luke fait partie de ma jeunesse, c'est indeniable. Maintenant, ça me fait sourire d'en feuilleter un, mais je n'ai plus envie de le lire. je crois que c'est une serie qui n'offre pas une lecture differente selon l'age du lecteur, comme le fait bien Asterix par exemple.
Un été indien
C'est vrai que Manara a fait pire niveau scenar. Là, ça passe agréablement, mais bon, pas de quoi fouetter un chat. C'est vrai aussi que niveau dessin, il fait partie des maîtres, de ceux qui savent dessiner une femme. Et enfin, c'est vrai que cet album ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, ni même l'envie de le relire. Ca conviendra aux amateurs de Pratt, mais moi...
Wayne Shelton
Malgré des dessins agréables, j'ai eu du mal à accrocher à l'histoire et aux personnages un peu trop "caricaturés". Le problème n'est pas que les personnages ne soient pas tous sympathiques (quoi que), c'est surtout qu'ils manquent un peu de relief je trouve. Je trouve plaisant que l'hsitoire se passe dans un cadre 'connu' (on retrouve des éléments des Largo Winch). Mais ca ressemble aussi à un scénario de Largo Winch (si ma mémoire est bonne). (Une prison, un prisonnier, une équipe pour le sortir de là, une happy-end en perpective avec un bon coup de trahison du commanditaire pour terminer...) J'ai peur que les prochains albums n'apportent pas grand chose de bien folichon. Dommage.