Sympathique premier tome... une série qui promet d'être intéressante. Un dessin "à la Sfar", n'en déplaise à certain, mais tout de même personnalisé, et une intrigue gentillette, mais prenante. Pas aussi enfantin que ça, contrairement à l'effet rendu par le dessin, le scénar aborde tranquillement en dérision la politique, les héros, les histoires de pouvoir ou d'amour... L'héroïne a ce qu'il faut pour être attachante, et l'histoire cultive le nécessaire pour garder le mystère sur le prochain tome, donc ça se fait attendre... et l'ex-libris de la série est carrément sympa...
Ouais c'était bien sympa, Tomtom et Nana. Des vrais bons délires de gosses, des conneries parfaites, bref, un mélange super efficace... Terrible pour terminer les "j'aime lire".
un dessin certes avenant, ...mais vaut mieux garder ses thunes pour des bds soleil beaucoup plus importantes. (skydoll t2, par exemple..) cette version -très- décalée de robin des bois est bien plaisante, originale, mais pas traitée de manière efficace. le rythme est bizarre, instable. on décroche facilement, du coup, on dirait que le scénar est inégal. les dessins sont un peu prometteurs, marrants, mais moi je capte rien à cette bd. ou alors c'est moi qui bug toute seule. (ça peut arriver quand ils modifient la matrice).
que voilà une série prometteuse ! que voilà un avenant dessin, un incroyable scénario ! et surtout, l'univers début du siècle est accrochant, captivant. le duo de personnage est intéressant, et même si le sujet est délicat, l'ensemble n'en n'est pas moins très original... et la suite arrive à la rentrée, histoire de faire passer ma note au quatre étoiles ! (et de dévelloper un peu mon avis..) :)
parfait pour l'ambiance neo-baroque sombre et foisonnante. c'est sans doute ce qui m'a le plus séduit dans "le régulateur". c'est un exellent début. après relecture, tout de même, trois défauts : le gros du scénar nous est balancé en une planche. lorsque la blonde, ambrosia, enregistre ses mémoires devant deux sortes de gros phonographes, on apprend tout sur cet univers en deux temps trois mouvements : la définition du régulateur, le fonctionnement de la société, tout nous est balancé en bloc, alors qu'ailleurs on a des scènes muettes presque aussi longues. le passage de l'un à l'autre est trop abrupte.
second défaut : le dessin, ben parfois c'est pas génial, pas toujours soigné. les héros changent de gueule de façon assez bizarre... c'est tout plein de fautes, visibles même pour une païenne comme moi.
troisième défaut : les couleurs, mon dieu, les couleurs. on voit où ils veulent en venir, mais le jaune pisseux qui colore la chevelure soi-disant blonde de la samsonne, moi ça me répugne un peu.
(rha et puis la rouquine qui se pose là comme objet décoratif... c'est vraiment parcequ'ils avaient besoin d'une scène de cul au milieu de l'album ?!?) on voit vraiment que c'est un premier tome ! (bon, pourquoi j'aime bien cte bd moi au fait ?!?) vivement le second, avec, je l'espère, un peu plus d'équilibre.
bon, il serait temps que l'histoire commence avec le tome à suivre, c'est certain, parceque pour l'instant, on en a vu que l'ombre du profilement du début !! mais moi je aimer beaucoup dessin, miam, moi beaucoup aprécié dessin ainsi, moi je trouver flater la rétine même si un peu figé parfois ça être joli et prometteur.
toujours aussi efficace, aussi drôle, même dans ce format là. une chute à la trondheim, comme on les aime ! figurez vous que certains extraits de mildiou figurent dans des traités de philo... ouiouioui... et pour cause ! les logiques hallucinantes développées par les adversaires durant ce combat sans fin sont dignes d'être mentionnées parmis les théories sur la Force et la Faiblesse. hilarant et intéressant, du trondheim en bonne forme, quoi.
Pauvre Lampil est parût pour la première fois ,en 1974 , dans le journal de Spirou . A cette époque , les séries humoristiques ne foisonnaient pas comme actuellement . Il s'y dégageait , donc , une certaine fraîcheur et les idées de gags étaient souvent neuves . Cette bd est une caricature de deux auteurs de bandes dessinées célèbres : Willy lambil et Raoul Cauvin . Reste à voir si le dessinateur des Tuniques bleues a un aussi mauvais caractère que notre pauvre Lampil . Ceci-dit , au fil des albums , on s'habitue a son irascibilité, à ses petits malheurs et à sa vision très vieille école d'un couple "moderne" ( sa femme est un peu sa bonniche ! ) . Ce qui est intéressant dans cette série, c'est que les péripéties des personnages principaux font parties des aléas de la vie de tout les jours . Cela donne un coté très réaliste aux gags et on peut se demander si certaines situations n'ont pas vraiment étés vécues .
Quick et Flupke c'est le Titeuf ou Le Petit Spirou des années 30. Evidemment, à cette époque, il y avait peu de bd humoristiques et donc quasiment aucune concurrence .
Dessinée tout d'abord en noir et blanc, cette série fut publiée dans les journaux locaux et dans " Le petit vingtième ". Les péripéties de ces deux "ketjes " de Bruxelles ou si vous préfèrez, ces deux gavroches sont bien sûr très démodées mais, dans ces années-là, le culot de ces gamins pouvait choquer les personnes bien-pensantes.
Quick et Flupke c'est souvent marrant et parfois naïf (ou l'inverse !) A lire avec beaucoup de recul ou avec nostalgie !
Dessiné , la plus part du temps dans une unique grande case , Ernst était souvent très fin dans sa façon de présenter les gags de Clin d'oeil. D'autres étaient carrément plus acides et frôlaient l'esprit de l'Echo des savannes. Les nuances des couleurs étaient parfois très belles également . Je lisais cette série dans le journal Tintin . C'était sympa !
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La Voleuse du Père Fauteuil
Sympathique premier tome... une série qui promet d'être intéressante. Un dessin "à la Sfar", n'en déplaise à certain, mais tout de même personnalisé, et une intrigue gentillette, mais prenante. Pas aussi enfantin que ça, contrairement à l'effet rendu par le dessin, le scénar aborde tranquillement en dérision la politique, les héros, les histoires de pouvoir ou d'amour... L'héroïne a ce qu'il faut pour être attachante, et l'histoire cultive le nécessaire pour garder le mystère sur le prochain tome, donc ça se fait attendre... et l'ex-libris de la série est carrément sympa...
Tom-Tom et Nana
Ouais c'était bien sympa, Tomtom et Nana. Des vrais bons délires de gosses, des conneries parfaites, bref, un mélange super efficace... Terrible pour terminer les "j'aime lire".
Robin Hood
un dessin certes avenant, ...mais vaut mieux garder ses thunes pour des bds soleil beaucoup plus importantes. (skydoll t2, par exemple..) cette version -très- décalée de robin des bois est bien plaisante, originale, mais pas traitée de manière efficace. le rythme est bizarre, instable. on décroche facilement, du coup, on dirait que le scénar est inégal. les dessins sont un peu prometteurs, marrants, mais moi je capte rien à cette bd. ou alors c'est moi qui bug toute seule. (ça peut arriver quand ils modifient la matrice).
Le Réseau Bombyce
que voilà une série prometteuse ! que voilà un avenant dessin, un incroyable scénario ! et surtout, l'univers début du siècle est accrochant, captivant. le duo de personnage est intéressant, et même si le sujet est délicat, l'ensemble n'en n'est pas moins très original... et la suite arrive à la rentrée, histoire de faire passer ma note au quatre étoiles ! (et de dévelloper un peu mon avis..) :)
Le Régulateur
parfait pour l'ambiance neo-baroque sombre et foisonnante. c'est sans doute ce qui m'a le plus séduit dans "le régulateur". c'est un exellent début. après relecture, tout de même, trois défauts : le gros du scénar nous est balancé en une planche. lorsque la blonde, ambrosia, enregistre ses mémoires devant deux sortes de gros phonographes, on apprend tout sur cet univers en deux temps trois mouvements : la définition du régulateur, le fonctionnement de la société, tout nous est balancé en bloc, alors qu'ailleurs on a des scènes muettes presque aussi longues. le passage de l'un à l'autre est trop abrupte. second défaut : le dessin, ben parfois c'est pas génial, pas toujours soigné. les héros changent de gueule de façon assez bizarre... c'est tout plein de fautes, visibles même pour une païenne comme moi. troisième défaut : les couleurs, mon dieu, les couleurs. on voit où ils veulent en venir, mais le jaune pisseux qui colore la chevelure soi-disant blonde de la samsonne, moi ça me répugne un peu. (rha et puis la rouquine qui se pose là comme objet décoratif... c'est vraiment parcequ'ils avaient besoin d'une scène de cul au milieu de l'album ?!?) on voit vraiment que c'est un premier tome ! (bon, pourquoi j'aime bien cte bd moi au fait ?!?) vivement le second, avec, je l'espère, un peu plus d'équilibre.
Naüja
bon, il serait temps que l'histoire commence avec le tome à suivre, c'est certain, parceque pour l'instant, on en a vu que l'ombre du profilement du début !! mais moi je aimer beaucoup dessin, miam, moi beaucoup aprécié dessin ainsi, moi je trouver flater la rétine même si un peu figé parfois ça être joli et prometteur.
Mildiou
toujours aussi efficace, aussi drôle, même dans ce format là. une chute à la trondheim, comme on les aime ! figurez vous que certains extraits de mildiou figurent dans des traités de philo... ouiouioui... et pour cause ! les logiques hallucinantes développées par les adversaires durant ce combat sans fin sont dignes d'être mentionnées parmis les théories sur la Force et la Faiblesse. hilarant et intéressant, du trondheim en bonne forme, quoi.
Pauvre Lampil
Pauvre Lampil est parût pour la première fois ,en 1974 , dans le journal de Spirou . A cette époque , les séries humoristiques ne foisonnaient pas comme actuellement . Il s'y dégageait , donc , une certaine fraîcheur et les idées de gags étaient souvent neuves . Cette bd est une caricature de deux auteurs de bandes dessinées célèbres : Willy lambil et Raoul Cauvin . Reste à voir si le dessinateur des Tuniques bleues a un aussi mauvais caractère que notre pauvre Lampil . Ceci-dit , au fil des albums , on s'habitue a son irascibilité, à ses petits malheurs et à sa vision très vieille école d'un couple "moderne" ( sa femme est un peu sa bonniche ! ) . Ce qui est intéressant dans cette série, c'est que les péripéties des personnages principaux font parties des aléas de la vie de tout les jours . Cela donne un coté très réaliste aux gags et on peut se demander si certaines situations n'ont pas vraiment étés vécues .
Quick et Flupke
Quick et Flupke c'est le Titeuf ou Le Petit Spirou des années 30. Evidemment, à cette époque, il y avait peu de bd humoristiques et donc quasiment aucune concurrence . Dessinée tout d'abord en noir et blanc, cette série fut publiée dans les journaux locaux et dans " Le petit vingtième ". Les péripéties de ces deux "ketjes " de Bruxelles ou si vous préfèrez, ces deux gavroches sont bien sûr très démodées mais, dans ces années-là, le culot de ces gamins pouvait choquer les personnes bien-pensantes. Quick et Flupke c'est souvent marrant et parfois naïf (ou l'inverse !) A lire avec beaucoup de recul ou avec nostalgie !
Clin d'oeil
Dessiné , la plus part du temps dans une unique grande case , Ernst était souvent très fin dans sa façon de présenter les gags de Clin d'oeil. D'autres étaient carrément plus acides et frôlaient l'esprit de l'Echo des savannes. Les nuances des couleurs étaient parfois très belles également . Je lisais cette série dans le journal Tintin . C'était sympa !