Hem. Je suis assez mitigé quant à cet album (je n'ai lu que le 1er)...
L'auteur revendique assez clairement pour cette série l'appartenance cyberpunk, qui m'a toujours laissé, disons quelque peu indifférent, voire même légèrement ennuyé. Tout simplement parce que c'est un peu n'importe quoi... (ceci est un point de vue !) Un cyberspace, des gens qui se connectent, des programmes de défense qui font couler le cerveau des pirates par leurs oreilles, bof, bof, bof.
Alors forcément, cet album me laisse un peu froid.
Les dessins sont pas mals. Bien sympas, pas exceptionnels non plus. Le scénario est un peu confus. Il se passe des choses qu'on ne comprend pas, ou très mal. J'aurais tendance à dire que c'est voulu, mais bon, ça embrume un peu la lecture...
Niveau construction, notre héros, pirate de son état, se retrouve engagé pour pirater une boîte, mais évidemment, il tombe sur un gros hic : la boîte en question est ultra-protégée. S'ensuit une course-poursuite, dont il ne réchappera que grâce à l'aide de sa (très jolie) Ronin ("Samuraï sans maître", si vous aviez lu l'excellent Usagi Yojimbo vous le sauriez !) et d'une mystérieuse entité informatique qui revêt l'apparence d'une défunte connaissance.
Voilà voilà.
Bon, alors ça se lit, parfois c'est un peu gros, beaucoup de gens meurent, mais ça n'est pas non plus passionnant.
Alix date de l'époque où les auteurs décrivaient dans les rectangles au-dessus de l'image tout ce qu'il dessinaient juste en-dessous, c'est marrant, comme s'ils n'avaient pas confiance en leur talent de raconteur d'histoire...
Pourtant, J. Martin a ce talent et sa BD gagnerait en légéreté si on supprimait les 3/4 des textes !
Les dessins précis et travaillés nous font découvrir une période peu illustrée en BD, celle de l'apogée de l'empire romain. La BD est très bien documentée.
Les aventure du jeune Alix et de son compagnon sont intéressantes à suivre.
Une bonne BD somme toute, qui a les défauts de son âge. Je conseille l'achat de quelques tomes seulement.
Boule et bill m'amusaient beaucoup quand j'étais plus jeune. Aujourd'hui je ne sais pas si j'ai le même amusement face aux facéties de ces deux zigotos.
Je crois que l'album que j'ai préféré est celui ou il parte en voyage. Celui ci je m'en souviens très bien et il m'a beaucoup plu.
Pour ce qui est du graphisme et bien... c'est une bd pour enfant quoi, il ne faut pas trop en demander, c'est très correct pour le style.
C'est drôle, absurde, délirant. J'aime beaucoup, c'est du Larcenet dans ces meilleurs jours.
Mais car il y a un mais, les blagues ne sont pas toutes excellentes et à la re-lecture, je trouve Bill Baroud bien plus amusant.
Malgré tous c'est une bonne bd bien divertissant.
Efficace et amusant. Le dessin de Berthet est très beau, son trait quelque peu différent de son style d'aujourd'hui. La mise en page, le découpage sont raffinés et très plaisant à suivre. Les scénarios d'Andréas, sans être géniaux, sont de bonnes petites fables horribles et amusantes qui mettent en scène des personnages en proie à la paranoïa et à la perte de repères face à une réalité changeante où tout bascule d'un moment à l'autre.
Non de Zeus larcenet s'amuse une fois n'est pas coutume avec les clichés de l'enfance. Ici se sont les séries télévisées qui sont à l'honneur. Et moi ça me fait rire (plus c'est bête plus je ris), le mélange josh randall-casimir ou la destiné de Colargol autant de passage hilarant qu'on ne regrette pas d'avoir lu.
Voilà c'est drôle, rafraîchissant et sans prise de tête, c'est encore le meilleur remède contre la déprime.
Les deux sujets principaux de cette bd sont le fantastique et la paranoïa. Cela me fait parfois penser à la série tv "Au-delà du réel". Le climat y est oppressant et glauque à souhait. Le dessin de Berthet manque quelques fois de netteté mais à l'époque , il était encore qu'un dessinateur débutant (1985 ).Mortes saisons est , en fait, constituée de deux récits bien distinct mais qui aboutissent à la même conclusion. L'ensemble est agréable à lire . Si on devrait qualifier cet album, je dirais qu'il est apocalyptique !
J'en ai lu quelques un offerts par une station service pour tout plein de plus de 30 litres ! (sic)
C'est pas mal, les dessins sont un peu figés mais ça se lit. Les histoires sont intéressantes et ça permet de découvrir le monde automobile décrit par un spécialiste.
Je conseille l'achat de 2 ou 3 seulement, l'humour est assez répétitif, on tourne vite en rond avec cette copie de Droopy.
Là encore c'est le comique d'opposition qui fait mouche. En toutes circonstances Gai-Luron ne bronche pas, son calme impressionne et amuse. Encore du comique d'opposition avec le malin et nerveux Jujube, ami de Gai-Luron dont le stress n'a d'égal que la placidité de son ami.
Gai-Luron n'est pas très malin et cela l'améne dans des situations rocamolesques.
Une pensée pour la petite souris chère à Gotlib qui se balade partout.
PS : Je remarque que Gotlib n'a quasiment jamais réussi à faire des chutes à ses gags !
Moi j'aime bien Iznogoud !
J'ai commencé à lire ça très jeune, tous les ans je me faisais dédicacer un tome au festival d'Angoulême (j'en ai 14 maintenant).
C'est souvent drôle, bien dessiné. il est amusant de chercher de quelle façon le grand Vizir va échouer à chaque nouvelle aventure, car si une chose est sûre c'est bien qu'il ne sera jamais Calife !
Le personnage de Dilat Larat, le fidèle homme de main, vaut à lui seul le détour : dévoué (lui-même se demande d'ailleurs pourquoi), désinvolte et surtout désabusé ("Laissez tomber patron, ça va encore mal se terminer").
PS : Tabary tout seul s'en est pas mal sorti avec l'Anniversaire d'Iznogoud, Iz. Enfin Calife, le complice d'Iznogoud.
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Zentak
Hem. Je suis assez mitigé quant à cet album (je n'ai lu que le 1er)... L'auteur revendique assez clairement pour cette série l'appartenance cyberpunk, qui m'a toujours laissé, disons quelque peu indifférent, voire même légèrement ennuyé. Tout simplement parce que c'est un peu n'importe quoi... (ceci est un point de vue !) Un cyberspace, des gens qui se connectent, des programmes de défense qui font couler le cerveau des pirates par leurs oreilles, bof, bof, bof. Alors forcément, cet album me laisse un peu froid. Les dessins sont pas mals. Bien sympas, pas exceptionnels non plus. Le scénario est un peu confus. Il se passe des choses qu'on ne comprend pas, ou très mal. J'aurais tendance à dire que c'est voulu, mais bon, ça embrume un peu la lecture... Niveau construction, notre héros, pirate de son état, se retrouve engagé pour pirater une boîte, mais évidemment, il tombe sur un gros hic : la boîte en question est ultra-protégée. S'ensuit une course-poursuite, dont il ne réchappera que grâce à l'aide de sa (très jolie) Ronin ("Samuraï sans maître", si vous aviez lu l'excellent Usagi Yojimbo vous le sauriez !) et d'une mystérieuse entité informatique qui revêt l'apparence d'une défunte connaissance. Voilà voilà. Bon, alors ça se lit, parfois c'est un peu gros, beaucoup de gens meurent, mais ça n'est pas non plus passionnant.
Alix
Alix date de l'époque où les auteurs décrivaient dans les rectangles au-dessus de l'image tout ce qu'il dessinaient juste en-dessous, c'est marrant, comme s'ils n'avaient pas confiance en leur talent de raconteur d'histoire... Pourtant, J. Martin a ce talent et sa BD gagnerait en légéreté si on supprimait les 3/4 des textes ! Les dessins précis et travaillés nous font découvrir une période peu illustrée en BD, celle de l'apogée de l'empire romain. La BD est très bien documentée. Les aventure du jeune Alix et de son compagnon sont intéressantes à suivre. Une bonne BD somme toute, qui a les défauts de son âge. Je conseille l'achat de quelques tomes seulement.
Boule & Bill
Boule et bill m'amusaient beaucoup quand j'étais plus jeune. Aujourd'hui je ne sais pas si j'ai le même amusement face aux facéties de ces deux zigotos. Je crois que l'album que j'ai préféré est celui ou il parte en voyage. Celui ci je m'en souviens très bien et il m'a beaucoup plu. Pour ce qui est du graphisme et bien... c'est une bd pour enfant quoi, il ne faut pas trop en demander, c'est très correct pour le style.
Les Superhéros Injustement Méconnus
C'est drôle, absurde, délirant. J'aime beaucoup, c'est du Larcenet dans ces meilleurs jours. Mais car il y a un mais, les blagues ne sont pas toutes excellentes et à la re-lecture, je trouve Bill Baroud bien plus amusant. Malgré tous c'est une bonne bd bien divertissant.
Mortes saisons
Efficace et amusant. Le dessin de Berthet est très beau, son trait quelque peu différent de son style d'aujourd'hui. La mise en page, le découpage sont raffinés et très plaisant à suivre. Les scénarios d'Andréas, sans être géniaux, sont de bonnes petites fables horribles et amusantes qui mettent en scène des personnages en proie à la paranoïa et à la perte de repères face à une réalité changeante où tout bascule d'un moment à l'autre.
La Loi des Series
Non de Zeus larcenet s'amuse une fois n'est pas coutume avec les clichés de l'enfance. Ici se sont les séries télévisées qui sont à l'honneur. Et moi ça me fait rire (plus c'est bête plus je ris), le mélange josh randall-casimir ou la destiné de Colargol autant de passage hilarant qu'on ne regrette pas d'avoir lu. Voilà c'est drôle, rafraîchissant et sans prise de tête, c'est encore le meilleur remède contre la déprime.
Mortes saisons
Les deux sujets principaux de cette bd sont le fantastique et la paranoïa. Cela me fait parfois penser à la série tv "Au-delà du réel". Le climat y est oppressant et glauque à souhait. Le dessin de Berthet manque quelques fois de netteté mais à l'époque , il était encore qu'un dessinateur débutant (1985 ).Mortes saisons est , en fait, constituée de deux récits bien distinct mais qui aboutissent à la même conclusion. L'ensemble est agréable à lire . Si on devrait qualifier cet album, je dirais qu'il est apocalyptique !
Michel Vaillant
J'en ai lu quelques un offerts par une station service pour tout plein de plus de 30 litres ! (sic) C'est pas mal, les dessins sont un peu figés mais ça se lit. Les histoires sont intéressantes et ça permet de découvrir le monde automobile décrit par un spécialiste.
Gai-Luron
Je conseille l'achat de 2 ou 3 seulement, l'humour est assez répétitif, on tourne vite en rond avec cette copie de Droopy. Là encore c'est le comique d'opposition qui fait mouche. En toutes circonstances Gai-Luron ne bronche pas, son calme impressionne et amuse. Encore du comique d'opposition avec le malin et nerveux Jujube, ami de Gai-Luron dont le stress n'a d'égal que la placidité de son ami. Gai-Luron n'est pas très malin et cela l'améne dans des situations rocamolesques. Une pensée pour la petite souris chère à Gotlib qui se balade partout. PS : Je remarque que Gotlib n'a quasiment jamais réussi à faire des chutes à ses gags !
Iznogoud
Moi j'aime bien Iznogoud ! J'ai commencé à lire ça très jeune, tous les ans je me faisais dédicacer un tome au festival d'Angoulême (j'en ai 14 maintenant). C'est souvent drôle, bien dessiné. il est amusant de chercher de quelle façon le grand Vizir va échouer à chaque nouvelle aventure, car si une chose est sûre c'est bien qu'il ne sera jamais Calife ! Le personnage de Dilat Larat, le fidèle homme de main, vaut à lui seul le détour : dévoué (lui-même se demande d'ailleurs pourquoi), désinvolte et surtout désabusé ("Laissez tomber patron, ça va encore mal se terminer"). PS : Tabary tout seul s'en est pas mal sorti avec l'Anniversaire d'Iznogoud, Iz. Enfin Calife, le complice d'Iznogoud.