Oh lala ! que de souvenirs! La grande aventure dans un XVIII sciècle où le nouveau monde (l'Amérique) était tiraillé entre les guerres franco-anglaises et où la liberté était leur cheval de bataille .Le dessin était plutôt joli et le personnage de Blek , sympathique . Il faut avouer qu'un certain talent est necéssaire pour créer chacune de ces nombreuses histoire qui tenaient la route d'une manière tout à fait honorable. Bien , très bien !
Il est dommage que juillard n'ait pas continué de dessinner les aventures de Masquerouge. Son trait précis et agréable offrait en effet à la série une once de plus value. Venanzi qui reprend la série au bout du tome 4 ne s'en tire pas mal, mais on sent sa technique moins aboutie que celle de son prédécesseur. Quant à l'histoire, elle est en fait, segmentée en plusieurs époques qui correspondent à celles qui marquèrent la parution de la série dans la révue "pif gadget". Il existe donc de grandes disparités de ton tout au long des 9 albums actuellement parus. Reste que les aventures de masquerouge sont plaisantes, même si elles sont bien loin d'égaler le cycle des 7 vies de l'épervier. En tous les cas, cette série est parmi toutes les autres du même cycle la moins ridicule.
De tous les avatars du cycle des 7 vies de l'épervier, "plume aux vents" est celle qui se rapproche techniquement parlant de la série mère. Au niveau graphique et intérêt de l'histoire. Ceci dit, la magie n'est plus là. On suit le destin d'ariane avec un oeil curieux, mais l'impression manifeste que cette série n'était pas forcement nécessaire s'impose vite.
A première vue, Jimmy Tousseul semble être le genre de bd que les éditions Dupuis sortent à profusion, c'est-à-dire facile à lire et vendue à gros tirage.
Et bien non, la série est developée dans un cycle de douzes albums (chose rare dans ce genre d'édition), de plus elle a aussi deux degrès de lecture. Le premier: dans des paysages grandioses, les aventures d'un gosse, à la recherche de son passé. Le deuxième: une approche plus humaine des conditions de vie à l'époque de l'Afrique coloniale. Evidament l'ensemble est traité avec légèreté mais on devine, par exemple, le souci des auteurs pour certains points chauds comme le racisme et les génocides. Bien-sûr ceci est évoquer avec beaucoup de subtilité car le but de cette bd est avant tout de divertir et pas de choquer.
Le dessin de Desorgher est classique mais très agréable à regarder. Son traît colle très bien avec l'ambiance du réçit. Au niveau des couleurs, ceux-ci sont très belles et même parfois surprenantes.
La cerise sur le gateau est que l'auteur est très sympa en scéance de dédicaces.
Si vous aimez les belles histoires et les grands espaces, cette série est à découvrir!
PS: A l'occasion de la sortie des "Nouvelles Aventures de Jimmy Tousseul", les éditions Glénat ont eu la brillante idée de reéditer cette série. Avis aux amateurs !
Même si la période franquin de spirou m'inspire beaucoup de respect, franchement je n'appartiens pas à la secte des pro spirou. C'est le genre de bd qui appartient à une culture bd antédilluvienne. Je ne suis pas en train de dire que c'est nul, juste que je ne me précipiterais pas chez mon libraire pour acheter le 47. D'autant plus que l'actuelle période celle de tome et janry est la pire de toutes. Vito la déveine, luna fatale, et surtout la machine qui rêve ont un arrière goût seventies qui me flingue d'autant plus, que je ne pige pas
le pourquoi d'un tel décalage. On a vraiment l'impression de lire des avatars version bd de ces navets qui ont peuplé les écrans français de l'époque.
Non sans façon, je ne reprendrais pas de spirou : lire ou dormir, il faut choisir.
Carlos Trillo et Juan Gimenez se lancent ici dans un one-shot à l'ambiance post-apocalyptique, exercice difficile tant le nombre d'ouvrages traitant de ce sujet sont importants... Hélas, le tout n'est pas des plus originaux, ni des plus palpitants...
Le scénariste nous entraine donc dans un univers complètement détruit, en charpies, un monde gangréné ou seuls les plus riches survivent, sacrifiant leurs contemporains pour se faire une place "au soleil". Le tout a déjà été vu et revu (La cité de Golden city, Zalem dans "Guunm", les naissances qui finissent en fausse-couche comme dans "Les guerriers", etc...), et il va donc falloir faire très fort pour passionner le lecteur avec des éléments ma fois bien "communs" dans ce type de récits.
Hélas, cette révolte (qui d'ailleurs n'est pas non plus très originale) n'apporte pas grand chose de nouveau : leur leader a bien sûr des buts personnels dans l'histoire, etc...
Les illustrations de Gimenez, assez proches de celles de la Caste des Méta-barons, sont elles de grande qualité. Les traits sont certes un tout petit peu plus grossiers que dans la grande saga de Jodorowsky, mais les différents cadrages et l'aspect détaillé du graphisme mettent bien en valeur le coté apocalyptique de l'univers dans lequel evoluent les personnages. Les couleurs, assez pâles, conviennent elles aussi parfaitement : saleté, rouilles, tout est ici bien mis en place pour nous faire découvrir un monde vraiment... sale !
Ce one-shot n'est donc pas une grande surprise, mais est agréable ne serait-ce que pour les illustrations de Gimenez. Les fans de Post-apo risquent par contre d'être déçus...
Il faut aimer ce style de dessin, les gros traits font laids, le sang est beaucoup trop volumineux, les couleurs sont bof, mais le scénario est pas mal. C'est drôle mais sans plus. 3/5 c'est quand même généreux de ma part.
Je n'ai lu que les 4 premiers tomes de la série car le changement de dessinateur ne m'a pas convaincu graphiquement.(Garcia > Durand).
Ceci-dit, mon impression était plutôt bonne dans l'ensemble.
Un dessin très classique faisant parfois penser à celui de Follet et un scénario qui se lit d'une manière très agréable et qui developpe des intrigues basées sur le complot, les serial-killers et le fantastique.
Sympa !
Ce manga est assez compliqué. Tout du moins c'est la première impression que j'ai eu à la lecture de la première tome : les personnages sont aussi mystérieux que les conditions dans lesquelles ils vivent. Malgré cela, les dessins sont propres et jolis et les tomes suivants lèvent quelques voiles sur les multiples questions que se pose le lecteur.
Bon j’ai eu du mal à m’immerger dans l’histoire au début. Le héros est trop héros, un vrai de vrai, le cliché solitaire imbattable charmeur du Far-West. Je préfère généralement les westerns ou les persos sont plus des victimes embarquées dans des aventures pas possibles(comme On a tué Bill Wild ou Western), qu’un bonhomme qui casse tout et tue tout le monde.
Et pourtant, après une 20aine de pages, la mayonnaise a pris. Je me suis pris à l’histoire, et j’ai finalement passé un bon moment. L’intrigue est pas mal, le dessin est chouette, et les one-shots ont au moins l’avantage d’être facilement relisable.
Alors oui, un bon western, pas le meilleur que j’ai lu, mais de qualité suffisante. Je conseille l’achat si vous êtes fan du genre. Sinon, si vous voulez vous initier au genre, commencer par Western, On a tué Bill Wild, ou même un bon vieux Blueberry !
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Blek le roc
Oh lala ! que de souvenirs! La grande aventure dans un XVIII sciècle où le nouveau monde (l'Amérique) était tiraillé entre les guerres franco-anglaises et où la liberté était leur cheval de bataille .Le dessin était plutôt joli et le personnage de Blek , sympathique . Il faut avouer qu'un certain talent est necéssaire pour créer chacune de ces nombreuses histoire qui tenaient la route d'une manière tout à fait honorable. Bien , très bien !
Masquerouge
Il est dommage que juillard n'ait pas continué de dessinner les aventures de Masquerouge. Son trait précis et agréable offrait en effet à la série une once de plus value. Venanzi qui reprend la série au bout du tome 4 ne s'en tire pas mal, mais on sent sa technique moins aboutie que celle de son prédécesseur. Quant à l'histoire, elle est en fait, segmentée en plusieurs époques qui correspondent à celles qui marquèrent la parution de la série dans la révue "pif gadget". Il existe donc de grandes disparités de ton tout au long des 9 albums actuellement parus. Reste que les aventures de masquerouge sont plaisantes, même si elles sont bien loin d'égaler le cycle des 7 vies de l'épervier. En tous les cas, cette série est parmi toutes les autres du même cycle la moins ridicule.
Plume aux vents (Les 7 vies de l'épervier - 2ème époque)
De tous les avatars du cycle des 7 vies de l'épervier, "plume aux vents" est celle qui se rapproche techniquement parlant de la série mère. Au niveau graphique et intérêt de l'histoire. Ceci dit, la magie n'est plus là. On suit le destin d'ariane avec un oeil curieux, mais l'impression manifeste que cette série n'était pas forcement nécessaire s'impose vite.
Jimmy Tousseul
A première vue, Jimmy Tousseul semble être le genre de bd que les éditions Dupuis sortent à profusion, c'est-à-dire facile à lire et vendue à gros tirage. Et bien non, la série est developée dans un cycle de douzes albums (chose rare dans ce genre d'édition), de plus elle a aussi deux degrès de lecture. Le premier: dans des paysages grandioses, les aventures d'un gosse, à la recherche de son passé. Le deuxième: une approche plus humaine des conditions de vie à l'époque de l'Afrique coloniale. Evidament l'ensemble est traité avec légèreté mais on devine, par exemple, le souci des auteurs pour certains points chauds comme le racisme et les génocides. Bien-sûr ceci est évoquer avec beaucoup de subtilité car le but de cette bd est avant tout de divertir et pas de choquer. Le dessin de Desorgher est classique mais très agréable à regarder. Son traît colle très bien avec l'ambiance du réçit. Au niveau des couleurs, ceux-ci sont très belles et même parfois surprenantes. La cerise sur le gateau est que l'auteur est très sympa en scéance de dédicaces. Si vous aimez les belles histoires et les grands espaces, cette série est à découvrir! PS: A l'occasion de la sortie des "Nouvelles Aventures de Jimmy Tousseul", les éditions Glénat ont eu la brillante idée de reéditer cette série. Avis aux amateurs !
Spirou et Fantasio
Même si la période franquin de spirou m'inspire beaucoup de respect, franchement je n'appartiens pas à la secte des pro spirou. C'est le genre de bd qui appartient à une culture bd antédilluvienne. Je ne suis pas en train de dire que c'est nul, juste que je ne me précipiterais pas chez mon libraire pour acheter le 47. D'autant plus que l'actuelle période celle de tome et janry est la pire de toutes. Vito la déveine, luna fatale, et surtout la machine qui rêve ont un arrière goût seventies qui me flingue d'autant plus, que je ne pige pas le pourquoi d'un tel décalage. On a vraiment l'impression de lire des avatars version bd de ces navets qui ont peuplé les écrans français de l'époque. Non sans façon, je ne reprendrais pas de spirou : lire ou dormir, il faut choisir.
Gangrène
Carlos Trillo et Juan Gimenez se lancent ici dans un one-shot à l'ambiance post-apocalyptique, exercice difficile tant le nombre d'ouvrages traitant de ce sujet sont importants... Hélas, le tout n'est pas des plus originaux, ni des plus palpitants... Le scénariste nous entraine donc dans un univers complètement détruit, en charpies, un monde gangréné ou seuls les plus riches survivent, sacrifiant leurs contemporains pour se faire une place "au soleil". Le tout a déjà été vu et revu (La cité de Golden city, Zalem dans "Guunm", les naissances qui finissent en fausse-couche comme dans "Les guerriers", etc...), et il va donc falloir faire très fort pour passionner le lecteur avec des éléments ma fois bien "communs" dans ce type de récits. Hélas, cette révolte (qui d'ailleurs n'est pas non plus très originale) n'apporte pas grand chose de nouveau : leur leader a bien sûr des buts personnels dans l'histoire, etc... Les illustrations de Gimenez, assez proches de celles de la Caste des Méta-barons, sont elles de grande qualité. Les traits sont certes un tout petit peu plus grossiers que dans la grande saga de Jodorowsky, mais les différents cadrages et l'aspect détaillé du graphisme mettent bien en valeur le coté apocalyptique de l'univers dans lequel evoluent les personnages. Les couleurs, assez pâles, conviennent elles aussi parfaitement : saleté, rouilles, tout est ici bien mis en place pour nous faire découvrir un monde vraiment... sale ! Ce one-shot n'est donc pas une grande surprise, mais est agréable ne serait-ce que pour les illustrations de Gimenez. Les fans de Post-apo risquent par contre d'être déçus...
Le Chant d'Excalibur
Il faut aimer ce style de dessin, les gros traits font laids, le sang est beaucoup trop volumineux, les couleurs sont bof, mais le scénario est pas mal. C'est drôle mais sans plus. 3/5 c'est quand même généreux de ma part.
Cliff Burton
Je n'ai lu que les 4 premiers tomes de la série car le changement de dessinateur ne m'a pas convaincu graphiquement.(Garcia > Durand). Ceci-dit, mon impression était plutôt bonne dans l'ensemble. Un dessin très classique faisant parfois penser à celui de Follet et un scénario qui se lit d'une manière très agréable et qui developpe des intrigues basées sur le complot, les serial-killers et le fantastique. Sympa !
Agharta
Ce manga est assez compliqué. Tout du moins c'est la première impression que j'ai eu à la lecture de la première tome : les personnages sont aussi mystérieux que les conditions dans lesquelles ils vivent. Malgré cela, les dessins sont propres et jolis et les tomes suivants lèvent quelques voiles sur les multiples questions que se pose le lecteur.
Wayne Redlake - 500 Fusils
Bon j’ai eu du mal à m’immerger dans l’histoire au début. Le héros est trop héros, un vrai de vrai, le cliché solitaire imbattable charmeur du Far-West. Je préfère généralement les westerns ou les persos sont plus des victimes embarquées dans des aventures pas possibles(comme On a tué Bill Wild ou Western), qu’un bonhomme qui casse tout et tue tout le monde. Et pourtant, après une 20aine de pages, la mayonnaise a pris. Je me suis pris à l’histoire, et j’ai finalement passé un bon moment. L’intrigue est pas mal, le dessin est chouette, et les one-shots ont au moins l’avantage d’être facilement relisable. Alors oui, un bon western, pas le meilleur que j’ai lu, mais de qualité suffisante. Je conseille l’achat si vous êtes fan du genre. Sinon, si vous voulez vous initier au genre, commencer par Western, On a tué Bill Wild, ou même un bon vieux Blueberry !