Les derniers avis (46828 avis)

Un hermann est en général une chose que j'apprécie énormément et celui-ci n'echappera pas à cette règle. Des dessins toujours aussi beaux, et un scénario qui n'est pas sans rappelé celui quelque peu tortueux de 'liens de sang', des mêmes auteurs, a cause des nombreux flash-backs, mais qui ne l'est pas du tout. Ce qui me permettra d'ailleurs de relire cet album avc un oeil nouveau. Quelques regrets sur le scénario, on attendrait presque une suite pour donner quelques réponses supplémentaires. A qui est l'enfant ? Qui dit la vérité ? Daisy a-t-elle eu cette enfant ? Comment John s'en est sorti après l'épisode du canyon, ces petites choses quoi. Petit regret également sur les couleurs qui me paraissent beaucoup plus 'pastelles' que les autres albums d'Hermann.

24/10/2002 (modifier)

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Je suis bien d'accord avec l'avis d'Alix. Je n'ai pas grand chose à rajouter. Moi aussi j'ai vu le film avant de lire la BD, et j'ai aimé mieux le film. Les personnages ont plus de profondeur, par contre, j'ai préféré de beaucoup la finale de l'album.

23/10/2002 (modifier)

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je suis tellement habitué aux dessins actuels de boiscommun que là, ça m'a un peu deçu. Il a deja une grande partie de son style, mais pas encore la maturité. C'est deja exceptionnel pourtant. en revanche, l'histoire est moyenne. C'est tendre, mignon, paisible, parfois emouvant, mais ça ne m'a pas vraiment plu. Tout est moyen. en fait, cette BD est exclusivement reservée aux fans de Boiscommun, ceux qui ont aimés "le livre de Jack" et "Halloween".

23/10/2002 (modifier)

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Ce petit album n'est pas à proprement parler de la BD -- tout comme les Serre et autres "Cri de l'autruche" -- mais bien plûtot des gags en une image. Il faut bien le dire, ceux-ci sont noirs. L'humour est grinçant à souhait, malheureusement il ne fonctionne pas toujours. J'aime beaucoup le dessin, très différent des autres productions humoristiques de Poupon. Quant à cet album, pas mal, mais probablement pas indispensable.

23/10/2002 (modifier)

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Difficile de la noter, cette BD... Les dessins sont bien, le texte aussi, et ça se lit sans ennui... Mais finalement, ça me fait un peu le même effet que les BD du duo Gaiman/McKean : les auteurs sont très bons pour installer une ambiance bien mystérieuse, mais au final, on ne sait pas trop où ils veulent en venir, ce qu'ils veulent dire, raconter... Bref, j'ai pas détesté, mais je suis resté sur ma faim...

23/10/2002 (modifier)

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TOME 1: J'hésitais à l'acquérir ( la couverture de cette BD ne me plaisait guère ) mais de nombreuses critiques sur internet m'ont vite convaincues. Je n'ai pas été déçu : Scenario original, illustré par un dessin rapide ( ce qui est un paradoxe , vu le thème ) . J'ai relu cet album deux fois depuis que l'ai acheté. Pour une fois , le personnage principal n'est pas le héros parfait : voyeur et voleur à ses heures perdues. J'attends la suite avec impatience. Achetez le vite si ce n'est déjà fait TOME 3 : Enfin la conclusion de ce cycle. Après un premier opus plus que réussi, et un deuxième assez surprenant voire déroutant, ce troisième opus revisite l'Histoire à la manière d'un Dan Brown dans "Anges et Démons" : le même thème des Illuminati domine dans cette aventure, tout y est, les symboles sur le billet d'un dollar, le pentagramme, la troisième guerre mondiale économique, et un gouvernement mondial occulte. Yann, ici, joue le Robin des bois des temps modernes, redresseur de torts mais qui (se) fatigue vers la fin. En relisant l'opus 0, j'étais loin de me douter de l'influence universelle qu'allait avoir Yann sur le monde. C'est sans doute ce trop lourd fardeau pour ce personnage sympathique, qui explique la fin de ce cycle. Bref, j'ai l'impression que le destin du héros a échappé au scénariste, et que d'une très bonne BD au départ, on arrive à un final trop ambitieux voire irréaliste. Autant le premier volume était décalé par rapport à la production actuelle, autant ce troisième tome rejoint la cohorte des sorties de BD du moment (complots, catholic-fantaisy, franc-maçonnerie....), bref l'histoire perd de sa saveur originelle. Dommage.

23/10/2002 (modifier)

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Un très court récit en 47 planches et 47 cases devenu introuvable. L'intrigue est assez énigmatique, Moebius y évoque à sa manière les champignons hallucinogènes dont il a sûrement abusé à l'époque. On peut se poser la question de l'intérêt de faire de cette histoire tout un album. Une case par page, c'est peu. Alors que mise en planches, cette histoire aurait fait 4-5 planches grand maximum. A réserver aux fans de Moebius.

23/10/2002 (modifier)

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Salut c'est moi Nono, J'suis le robot héros, Cadeau... Euuh ?! J'ai tout faux là ?? Argh, dommage :( Bon, bref, Bobo moi je l'aime bien, il m'a toujours fait penser un gros nounours (allez savoir pourquoi) tout gentil mais un peu c**. Non, sérieusement c’est une série bien sympathique, très bien faite dans son genre, c’est simple, c’est léger, c’est frais, en clair Bobo c’est que du bonheur. Cependant je me suis toujours posé une question existentielle sur notre ami, question jusque ici sans réponses. Mais qu’aurait fait Bobo s’il avait réussi à s’évader ? Sur ces bonnes paroles je vous souhaite une bonne réflexion.

23/10/2002 (modifier)

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Je viens de lire la serie en entier et je le dis d entree ma note et le conseil d achat ne valent que pour les 5 premiers tomes. Pendant ceux-la c est une serie sympa ,pas revolutionnaire mais tres agreable a lire avec un esprit bien a elle.Les dessins s ils sont pas ceux que je prefere vont bien avec l histoire et changent du reste de la production. Puis vient le tome 6 et là j ai rarement eu autant l impression d etre pris pour un c## :le dessin est d une laideur incroyable,les couleurs sont degueulasses! Le scenario a du etre bouclé en 5 minutes tellement il est lourd,et je parle meme pas des dialogues à 3 francs... Bref je prefere encore une serie pas finie que finie comme ça

22/10/2002 (modifier)

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Je connaissais déjà le fond du bocal (comme quoi je ne suis pas un touriste du fin fond de la galaxie) au travers de sa publication dans le magazine BoDoï (comme quoi le sieur Poupon ne se débrouille pas si mal que ça...) ; mais je trouvais les gags inégaux. Le Cri de l'autruche se place exactement dans le même esprit, c'est à dire des gags visuels ou verbaux, avec pour protagoniste des animaux (qu'ils soient vivants ou morts, sous forme d'aliments...), inspirés par l'air du temps ou l'idée que Poupon saisit au vol. Ces gags sont parfois excellents, souvent bons, et quelquefois pas terribles. on pourra remarquer une propension à traiter du syndrome céphalorectal aigu (comme quoi je ne suis pas le seul à en souffrir). Il s'agit là d'un petit bouquin sympa, à lire pour se détendre dans le métro ou entre deux adaptations de Proust en BD (comme quoi je ne sais pas finir mes avis correctement).

22/10/2002 (modifier)

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