Des petites histoires déroutantes, souvent un peu atroces, qui ne laissent pas indifférents.
Les auteurs jouent avec les styles, c'est vraiment intéressant.
Ca vaut certainement la lecture, et probablement l'achat pour ceux qui aiment les nouvelles fantastiques.
Et bien voila une série où il faut s'armer de patience, trois albums en 20 ans, c'est cool, non ? Le scénario est pas mal mais je ne pense pas que cette bd soit indispensable. Giardino nous fait découvrir, avec, il est vrai, le souci du détail qui le caractérise, une époque troublée par la seconde guerre mondiale où se mélange amour, attentats et investigations. Le problème est que l'histoire traine en longueur et de ce fait celle-ci n'est pas vraiment passionnante.
Le dessin bien que classique, est très beau.(les filles sont superbes !!!).
Le tome 1 de cette série a reçu ,en 1982, le Yello kid. La plus haute récompense du monde de la bd , parait-il ?! Je suppose que c'est mérité mais il faut avouer que depuis cette époque , la bd a évolué .
C'était une de mes BD préférées quand j'avais 10-12 ans. Bon, c'est peut-être un peu simpliste comme histoires (les gentils contre les méchants... devinez qui gagne ? :)), mais l'univers fantastique est bien réussi, et me faisait rêver. L'héroïne est sympathique, même si elle fait un peu trop petite fille modèle, et l'immaginaire suffisemment délirant (j'adorais tous les petits monstres qui trainent dans les coins de certaines pages). Enfin, je trouvais à l'époque les aventures passionnantes.
Une bonne série donc, pour les 8-12 ans.
(je n'ai lu que les deux premiers tomes)
Un bon récit, prenant et bien documenté.
Une histoire d'espionnage pas banal, où l'on voit bien l'envers du décor : le cynisme des chefs, la difficulté d'un boulôt où tout ne se résout pas à l'aide de gadgets, de courses poursuites effrénées et de coups de pistolets.
Le héros est là pour sa fille, et il préfèrerait être ailleurs. Son enquête avance comme il peut, c'est à dire pas très vite. Sur ce plan là, c'est très réussi, on y croit vraiment.
D'un autre côté, l'histoire est un peu confuse, et cela nuit à l'attrait de la BD. Le dessin, très réaliste lui aussi, ne m'attire pas particulièrement.
L'idée de base est originale, quoique pas assez exploitée à mon avis dans ce premier tome. On attend bien sûr d'en savoir un peu plus au cours des suivants!
Les dessins sont agréables et les couleurs assez vives collent bien à l'univers "réalistico-fantastique".
A lire, donc, pour se faire une idée mais je conseille aux hésitants d'attendre la suite pour acheter.
Un Tronchet différent mais caustique. Amateurs de Boule et Bill, passez votre chemin! Voilà de l'humour crétin de bonne facture. Le dessin de Gelli est très expressif et les couleurs très belles. Les personnages ont quelque chose d'ignoble : crétinerie, mauvaise foi.. C'est une espèce de concentré de la bétise humaine... dans des animaux.
Dommage que cette série se soit arrêtée si tôt.
Grand pari que s'est donné là Michel Plessix !! S'attaquer au "Vent dans les saules", un grand classique de la literature anglo-saxonne qui fait un tabac outre-atlantique, n'était pas chose facile !!!
Dans une ambiance très bonne enfant, les différents personnages évoluent dans un courant d'une positivité hors-norme. La vie est belle, et c'est tant mieux ! Tout semble allez pour le mieux dans le meilleur des mondes, les différentes lubbies de Crapaud ponctuant la petite vie tranquille de l'ensemble des habitants de se monde merveilleux. Le tout est très lyrique, preque poétique, et permet de nous immerger dans un monde bien loin de la réalité !
Michel Plessix, grâce à une interprétation assez libre de l'histoire originale a donc su nous faire rêver dans un monde animalier vraiment très particulier !
Les dessins de l'auteur sont quant à eux sompteux ! Plessix s'est vraiment acharné sur les différents décors de cette histoire pour qu'une fois de plus, une sensation de bien-être et de "youpi vive la vie" découlent de cette histoire pour le moins originale. Les couleurs sont constrastées, parfois un peu pâles peu être mais toujours bien choisies, ce qui permet à l'auteur d'éviter de lourds passages narratifs en les illustrant d'une main de maître.
Pourquoi seulement 3/5, alors ? Ouarf, c'est trop gentil, je trouve. On peu même pas parler de monde manichéen tant tout individu est en accord avec son prochain :)
Et puis, si peu de page par tome, c'est vraiment court !! (en moyenne une trentaine)
Si vous aimez les ambiances désuètes et le polar, je pense que L'agence Hardy devrait vous convenir. Cette série lorgne fortement dans l'univers de Georges Simenon et on a parfois l'impression que l'inspecteur Maigret va apparaître au coin de la rue.
Pierre Christin ( Valerian ) nous offre, ici, un scénario, certes, pas exceptionnel mais qui vous fera passer un agréable moment.
Dans les années 50, à Paris, Edith Hardy, l'héroïne, y est détective privé. Elle va devoir résoudre une enquête qui l'emmenera dans le milieu des parfumeurs. Grâce à ces investigations, elle sera confrontée à l'espionnage industriel. Trahison et enlèvement sont, ici, à l'honneur, ce qui nous donne un sac de noeuds pas facile à démêler.
Une femme-détective à cette époque était, je pense, une chose peu courante. De ce fait, l'histoire y gagne en originalité et on prends un réel plaisir à suivre cet enquêteur en jupons. Les différents éléments qui alimentent le récit sont ammenés avec beaucoup de subtilité et les personnages sont bien développés. Bien que cette histoire soit très classique dans sa structure, les rebondissements y sont nombreux.
Le dessin de Anne Goetzinger ( Paquebot ) est, me semble-t-il, assez conventionnel mais je trouve son traît très subtil. Beaucoup de finesse se dégage de son coup de crayon . Il en résulte de cela que nous avons droit à un graphisme très aéré. Les atmosphères rétros typique de cette époque sont plutôt bien rendues et les couleurs ternes accentuent encore plus l'aspect "ancien" de cette série.
En résumé, L'Agence Hardy est une petite série bien sympathique qui vous fera peut-être découvrir une époque qui ne manquait pas de charme.
A suivre !
Un mélange de science-fiction et d'héroïc fantasy, des dessins très aboutis pour un premier album, bref une bd très sympa.
Le tome 2 ne comble pas les espoirs du premier tome. L’histoire ne part pas tout à fait dans le sens espéré, et est un peu décevante. De plus je trouve les graphismes en régression : le trait est plus gros, et les couleurs moins agréables.
Espérons une amélioration pour le prochain tome.
Je n’ai lu que le premier tome du premier cycle, il s’avérait très bon, mais les dessins avait un peu vielli. Je juge la suite sans le coté fan absolu du premier cycle.
L’etoile blanche forme une bonne bd de science-fiction, avec des graphismes avec un look comics, et des couleurs agréables.
Fondation Aquablue est moins intéressant, mais se lit sans déplaisir.
Je comprends la frustration des fans qui pensent que la série a énormément baissé en qualité (surtout scénaristique), et on se demande pourquoi reprendre Nao hors de la planète Aquablue, ça fait un peu commercial. Même si on peut comprendre les auteurs qui veulent continuer les aventures de leur héros (Il est à eux, ils en font ce qu’ils veulent), en changeant de cadre.
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Les Terres creuses - Carapaces
Des petites histoires déroutantes, souvent un peu atroces, qui ne laissent pas indifférents. Les auteurs jouent avec les styles, c'est vraiment intéressant. Ca vaut certainement la lecture, et probablement l'achat pour ceux qui aiment les nouvelles fantastiques.
Max Fridman
Et bien voila une série où il faut s'armer de patience, trois albums en 20 ans, c'est cool, non ? Le scénario est pas mal mais je ne pense pas que cette bd soit indispensable. Giardino nous fait découvrir, avec, il est vrai, le souci du détail qui le caractérise, une époque troublée par la seconde guerre mondiale où se mélange amour, attentats et investigations. Le problème est que l'histoire traine en longueur et de ce fait celle-ci n'est pas vraiment passionnante. Le dessin bien que classique, est très beau.(les filles sont superbes !!!). Le tome 1 de cette série a reçu ,en 1982, le Yello kid. La plus haute récompense du monde de la bd , parait-il ?! Je suppose que c'est mérité mais il faut avouer que depuis cette époque , la bd a évolué .
Isabelle
C'était une de mes BD préférées quand j'avais 10-12 ans. Bon, c'est peut-être un peu simpliste comme histoires (les gentils contre les méchants... devinez qui gagne ? :)), mais l'univers fantastique est bien réussi, et me faisait rêver. L'héroïne est sympathique, même si elle fait un peu trop petite fille modèle, et l'immaginaire suffisemment délirant (j'adorais tous les petits monstres qui trainent dans les coins de certaines pages). Enfin, je trouvais à l'époque les aventures passionnantes. Une bonne série donc, pour les 8-12 ans.
Max Fridman
(je n'ai lu que les deux premiers tomes) Un bon récit, prenant et bien documenté. Une histoire d'espionnage pas banal, où l'on voit bien l'envers du décor : le cynisme des chefs, la difficulté d'un boulôt où tout ne se résout pas à l'aide de gadgets, de courses poursuites effrénées et de coups de pistolets. Le héros est là pour sa fille, et il préfèrerait être ailleurs. Son enquête avance comme il peut, c'est à dire pas très vite. Sur ce plan là, c'est très réussi, on y croit vraiment. D'un autre côté, l'histoire est un peu confuse, et cela nuit à l'attrait de la BD. Le dessin, très réaliste lui aussi, ne m'attire pas particulièrement.
Les Arcanes du Midi-minuit
L'idée de base est originale, quoique pas assez exploitée à mon avis dans ce premier tome. On attend bien sûr d'en savoir un peu plus au cours des suivants! Les dessins sont agréables et les couleurs assez vives collent bien à l'univers "réalistico-fantastique". A lire, donc, pour se faire une idée mais je conseille aux hésitants d'attendre la suite pour acheter.
Patacrèpe et Couillalère
Un Tronchet différent mais caustique. Amateurs de Boule et Bill, passez votre chemin! Voilà de l'humour crétin de bonne facture. Le dessin de Gelli est très expressif et les couleurs très belles. Les personnages ont quelque chose d'ignoble : crétinerie, mauvaise foi.. C'est une espèce de concentré de la bétise humaine... dans des animaux. Dommage que cette série se soit arrêtée si tôt.
Le Vent dans les Saules
Grand pari que s'est donné là Michel Plessix !! S'attaquer au "Vent dans les saules", un grand classique de la literature anglo-saxonne qui fait un tabac outre-atlantique, n'était pas chose facile !!! Dans une ambiance très bonne enfant, les différents personnages évoluent dans un courant d'une positivité hors-norme. La vie est belle, et c'est tant mieux ! Tout semble allez pour le mieux dans le meilleur des mondes, les différentes lubbies de Crapaud ponctuant la petite vie tranquille de l'ensemble des habitants de se monde merveilleux. Le tout est très lyrique, preque poétique, et permet de nous immerger dans un monde bien loin de la réalité ! Michel Plessix, grâce à une interprétation assez libre de l'histoire originale a donc su nous faire rêver dans un monde animalier vraiment très particulier ! Les dessins de l'auteur sont quant à eux sompteux ! Plessix s'est vraiment acharné sur les différents décors de cette histoire pour qu'une fois de plus, une sensation de bien-être et de "youpi vive la vie" découlent de cette histoire pour le moins originale. Les couleurs sont constrastées, parfois un peu pâles peu être mais toujours bien choisies, ce qui permet à l'auteur d'éviter de lourds passages narratifs en les illustrant d'une main de maître. Pourquoi seulement 3/5, alors ? Ouarf, c'est trop gentil, je trouve. On peu même pas parler de monde manichéen tant tout individu est en accord avec son prochain :) Et puis, si peu de page par tome, c'est vraiment court !! (en moyenne une trentaine)
Agence Hardy
Si vous aimez les ambiances désuètes et le polar, je pense que L'agence Hardy devrait vous convenir. Cette série lorgne fortement dans l'univers de Georges Simenon et on a parfois l'impression que l'inspecteur Maigret va apparaître au coin de la rue. Pierre Christin ( Valerian ) nous offre, ici, un scénario, certes, pas exceptionnel mais qui vous fera passer un agréable moment. Dans les années 50, à Paris, Edith Hardy, l'héroïne, y est détective privé. Elle va devoir résoudre une enquête qui l'emmenera dans le milieu des parfumeurs. Grâce à ces investigations, elle sera confrontée à l'espionnage industriel. Trahison et enlèvement sont, ici, à l'honneur, ce qui nous donne un sac de noeuds pas facile à démêler. Une femme-détective à cette époque était, je pense, une chose peu courante. De ce fait, l'histoire y gagne en originalité et on prends un réel plaisir à suivre cet enquêteur en jupons. Les différents éléments qui alimentent le récit sont ammenés avec beaucoup de subtilité et les personnages sont bien développés. Bien que cette histoire soit très classique dans sa structure, les rebondissements y sont nombreux. Le dessin de Anne Goetzinger ( Paquebot ) est, me semble-t-il, assez conventionnel mais je trouve son traît très subtil. Beaucoup de finesse se dégage de son coup de crayon . Il en résulte de cela que nous avons droit à un graphisme très aéré. Les atmosphères rétros typique de cette époque sont plutôt bien rendues et les couleurs ternes accentuent encore plus l'aspect "ancien" de cette série. En résumé, L'Agence Hardy est une petite série bien sympathique qui vous fera peut-être découvrir une époque qui ne manquait pas de charme. A suivre !
Anachron
Un mélange de science-fiction et d'héroïc fantasy, des dessins très aboutis pour un premier album, bref une bd très sympa. Le tome 2 ne comble pas les espoirs du premier tome. L’histoire ne part pas tout à fait dans le sens espéré, et est un peu décevante. De plus je trouve les graphismes en régression : le trait est plus gros, et les couleurs moins agréables. Espérons une amélioration pour le prochain tome.
Aquablue
Je n’ai lu que le premier tome du premier cycle, il s’avérait très bon, mais les dessins avait un peu vielli. Je juge la suite sans le coté fan absolu du premier cycle. L’etoile blanche forme une bonne bd de science-fiction, avec des graphismes avec un look comics, et des couleurs agréables. Fondation Aquablue est moins intéressant, mais se lit sans déplaisir. Je comprends la frustration des fans qui pensent que la série a énormément baissé en qualité (surtout scénaristique), et on se demande pourquoi reprendre Nao hors de la planète Aquablue, ça fait un peu commercial. Même si on peut comprendre les auteurs qui veulent continuer les aventures de leur héros (Il est à eux, ils en font ce qu’ils veulent), en changeant de cadre.