un album vraiment sympa, vu que l'on y retrouve certains auteurs Delcourt tel que Masbou, Cagniat, Guth, Oger, Plessix etc
les fables mises en images par les dessinateurs sont parfois totalement inconnues (et pourtant tres bonnes), ce qui nous permet de ne pas lire des textes lus et relus bien des fois pendant notre enfance.
On voit que les auteurs ont aimés travaillé sur La Fontaine, tout en respectant scupuleusement les textes originaux.
les dessins sont globalement tres beaux, meme si je ne cache pas avoir été un peu déçu par les couleurs utilisées par Masbou...
ceci dit, je ne l'acheterai pas, le prix etant beaucoup trop élevé par rapport à l'interet reel que je porte à cet album.
Le lien de parenté de « L’âge de raison » avec « La guerre du feu » est incontestable. L’un comme l’autre mettent en scène la vie d’êtres primitifs (ou du moins ce qu’il pourrait en être). Cela peut se résumer à 3 choses : trouver de quoi manger, trouver de quoi s’abriter et trouver avec qui satisfaire ses besoins les plus élémentaires. Il n’est pas facile de captiver un public avec comme unique dialogue des sons gutturaux du style our , orrh , J-J. Annaud l’a fort bien réussi et je dois avouer que Bonhomme ne s’en tire pas trop mal non plus ! Les dessins sont une pure réussite et les couleurs sont bien choisies même si le contraste entre les planches peut en agacer certains. La petite faiblesse de cet album se trouve au niveau du scénario. Je ne juge pas ici la qualité des dialogues mais je reproche l’absence de « fil conducteur » à cette histoire mis à part trouver de quoi manger, etc . . . Avec son film, J-J Annaud a construit son récit sur base plus solide : la quête du feu !
Je n’ai mis « que » 3 étoiles car je suis admiratif devant le travail accompli mais je ne recommande toutefois pas son achat. La raison ? J’ai lu cet album en librairie mais il y a un "je ne sais quoi" qui ne m’a pas fait passer le cap de l’acquisition . . . Donc 'faut rester logique avec soi même ! Cependant, l’histoire mérite absolument d’être lue ou plutôt d’être « regardée » est le terme qui conviendrait le mieux !
Techniquement cette série n'est pas pire qu'une autre. Le dessin de bercovici est dynamique et les gags de cauvin passablement corrects. Non ! mes réticences se situent ailleurs. Dans le systématisme industriel de cauvin :
- et une soupe à base de croque mort ici, une !
- et un potage à base d'infirmière là, une !
- et une bonne flambée de flèche à cupidon par ici !
- et un képi gratinée table 212 !
- on demande un rab de tuniques bleus par là pour la 47 eme fois !
- un cédric à la sauce chen pour le petit !
Ce qui m'embête, ce n'est pas l'énorme productivité de cauvin, mais sa tendance à gag (er) pour ne rien dire.
Le énième album des femmes en blanc s'inscrit dans cet esprit. Pitié cher raoul, mettez un frein avant que votre corps ne s'use...
Albator se lit bien pour la dimension qu'il y a derriere, pour le souvenir qu'on a du dessin anime.
Le scenar est le meme, les dessins sont pas tres beaux mais quand meme ca ravive des souvenirs tout ca...
Crisse réussit son coup et ajoute à de toujours sublimes dessins un scénario et une intrigue brillament menés. Pourquoi pas plus de 3 étoiles alors? Parce que sans suite (je me refuse à considérer le très raté Griffin Dark comme une suite), cet album a vachement moins d'intérêt. Avec un ou deux albums en suivant Crisse aurait pu marquer le polar/fantastique de son empreinte.
Dieu que c'est triste; à une époque je me demandais ce que ça faisait chez Fluide. C'est vraiment émouvant et touchant mais c'est presque trop larmoyant parfois même si je n'ai aucun doute sur la véracité des faits situés à une époque vraiment spéciale.
Je mets pas mal parce que je n'en ai lu qu'un et que c'était plutôt drôle. Je pense qu'à la longue ça doit devenir un peu redondant ceci dit. Tout ça sent l'histoire vécue et les auteurs font preuve d'un sens certain de l'auto-dérision.
Une idée de départ et un humour vraiment originaux pour une série assez fendard ... au début. Après la lecture de 4 ou 5 tomes, on a vraiment l'impression de tourner en rond. Faut pas trop en abuser mais quelques gags de temps en temps, pourquoi pas.
Je ne mets pas 4 étoiles parce que l'abus de flash back a effectivement tendance à enliser l'intrigue. Le dessin est de plus assez spécial, en tout cas pas en ligne avec l'idée que je me faisais des gangsters dans les années 50. Malgré ses défauts, cela reste un très bonne BD; Chauvel comme souvent mène bien sa barque et livre un premier et un dernier tome excellents. Dommage que ça tire un peu en longueur au milieu. Très recommendable malgré tout.
Une BD sympa et sans prétention, à lire sans se poser de questions.
Les dessins ne sont pas extraordinaire, mais ils se laissent regarder, et ne gachent pas les paysages de montagnes.
Quant au scénar, malgré un parfum un peu démodé (ou grace à ?), il se tient suffisemment pour garder l'attention et faire sourire le lecteur quand il le faut. Les deux personnages, quoi qu'un peu caricatureaux, sont originaux et sympathiques.
Bref, rien de révolutionnaire mais un bon moment à passer.
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La Fontaine aux fables
un album vraiment sympa, vu que l'on y retrouve certains auteurs Delcourt tel que Masbou, Cagniat, Guth, Oger, Plessix etc les fables mises en images par les dessinateurs sont parfois totalement inconnues (et pourtant tres bonnes), ce qui nous permet de ne pas lire des textes lus et relus bien des fois pendant notre enfance. On voit que les auteurs ont aimés travaillé sur La Fontaine, tout en respectant scupuleusement les textes originaux. les dessins sont globalement tres beaux, meme si je ne cache pas avoir été un peu déçu par les couleurs utilisées par Masbou... ceci dit, je ne l'acheterai pas, le prix etant beaucoup trop élevé par rapport à l'interet reel que je porte à cet album.
L'Âge de raison
Le lien de parenté de « L’âge de raison » avec « La guerre du feu » est incontestable. L’un comme l’autre mettent en scène la vie d’êtres primitifs (ou du moins ce qu’il pourrait en être). Cela peut se résumer à 3 choses : trouver de quoi manger, trouver de quoi s’abriter et trouver avec qui satisfaire ses besoins les plus élémentaires. Il n’est pas facile de captiver un public avec comme unique dialogue des sons gutturaux du style our , orrh , J-J. Annaud l’a fort bien réussi et je dois avouer que Bonhomme ne s’en tire pas trop mal non plus ! Les dessins sont une pure réussite et les couleurs sont bien choisies même si le contraste entre les planches peut en agacer certains. La petite faiblesse de cet album se trouve au niveau du scénario. Je ne juge pas ici la qualité des dialogues mais je reproche l’absence de « fil conducteur » à cette histoire mis à part trouver de quoi manger, etc . . . Avec son film, J-J Annaud a construit son récit sur base plus solide : la quête du feu ! Je n’ai mis « que » 3 étoiles car je suis admiratif devant le travail accompli mais je ne recommande toutefois pas son achat. La raison ? J’ai lu cet album en librairie mais il y a un "je ne sais quoi" qui ne m’a pas fait passer le cap de l’acquisition . . . Donc 'faut rester logique avec soi même ! Cependant, l’histoire mérite absolument d’être lue ou plutôt d’être « regardée » est le terme qui conviendrait le mieux !
Les Femmes en blanc
Techniquement cette série n'est pas pire qu'une autre. Le dessin de bercovici est dynamique et les gags de cauvin passablement corrects. Non ! mes réticences se situent ailleurs. Dans le systématisme industriel de cauvin : - et une soupe à base de croque mort ici, une ! - et un potage à base d'infirmière là, une ! - et une bonne flambée de flèche à cupidon par ici ! - et un képi gratinée table 212 ! - on demande un rab de tuniques bleus par là pour la 47 eme fois ! - un cédric à la sauce chen pour le petit ! Ce qui m'embête, ce n'est pas l'énorme productivité de cauvin, mais sa tendance à gag (er) pour ne rien dire. Le énième album des femmes en blanc s'inscrit dans cet esprit. Pitié cher raoul, mettez un frein avant que votre corps ne s'use...
Capitaine Albator
Albator se lit bien pour la dimension qu'il y a derriere, pour le souvenir qu'on a du dessin anime. Le scenar est le meme, les dessins sont pas tres beaux mais quand meme ca ravive des souvenirs tout ca...
Perdita Queen
Crisse réussit son coup et ajoute à de toujours sublimes dessins un scénario et une intrigue brillament menés. Pourquoi pas plus de 3 étoiles alors? Parce que sans suite (je me refuse à considérer le très raté Griffin Dark comme une suite), cet album a vachement moins d'intérêt. Avec un ou deux albums en suivant Crisse aurait pu marquer le polar/fantastique de son empreinte.
Paracuellos
Dieu que c'est triste; à une époque je me demandais ce que ça faisait chez Fluide. C'est vraiment émouvant et touchant mais c'est presque trop larmoyant parfois même si je n'ai aucun doute sur la véracité des faits situés à une époque vraiment spéciale.
Pauvre Lampil
Je mets pas mal parce que je n'en ai lu qu'un et que c'était plutôt drôle. Je pense qu'à la longue ça doit devenir un peu redondant ceci dit. Tout ça sent l'histoire vécue et les auteurs font preuve d'un sens certain de l'auto-dérision.
Pierre Tombal
Une idée de départ et un humour vraiment originaux pour une série assez fendard ... au début. Après la lecture de 4 ou 5 tomes, on a vraiment l'impression de tourner en rond. Faut pas trop en abuser mais quelques gags de temps en temps, pourquoi pas.
Le poisson-clown
Je ne mets pas 4 étoiles parce que l'abus de flash back a effectivement tendance à enliser l'intrigue. Le dessin est de plus assez spécial, en tout cas pas en ligne avec l'idée que je me faisais des gangsters dans les années 50. Malgré ses défauts, cela reste un très bonne BD; Chauvel comme souvent mène bien sa barque et livre un premier et un dernier tome excellents. Dommage que ça tire un peu en longueur au milieu. Très recommendable malgré tout.
Double M
Une BD sympa et sans prétention, à lire sans se poser de questions. Les dessins ne sont pas extraordinaire, mais ils se laissent regarder, et ne gachent pas les paysages de montagnes. Quant au scénar, malgré un parfum un peu démodé (ou grace à ?), il se tient suffisemment pour garder l'attention et faire sourire le lecteur quand il le faut. Les deux personnages, quoi qu'un peu caricatureaux, sont originaux et sympathiques. Bref, rien de révolutionnaire mais un bon moment à passer.