Yann, vous pouvez dire merci à Meynet pour sa couverture accrocheuse : on ne remarque que cette bd chez mon libraire, pourtant noyée au milieu de dizaines d'autres titres. Le dessin est agréable malgré un scénario un peu tiré par les cheveux au départ. Une bonne série qui devra confirmer dans le tome 2 les promesses suscitées par ce premier opus.
A propos, à quand la réédition de l'excellent "Allez coucher sales bêtes" de Yann et Hausman chez Dupuis, aujourd'hui introuvable ?
Je me suis laissé tenter par ce Western d'un genre inhabituel grâce aux avis postés ci-dessous. Le western en bd est déjà un genre que j'affectionne particulièrement et je dois dire que, une fois le premier tome de lu, ce fut une agréable surprise ! :)
En effet, on se laisse facilement immerger dans ce récit qui retrace une face peu connue de cette période de l’histoire US, à savoir : l’immigration de chinois aux USA asservis à l’esclavagisme des blancs. De plus, l’histoire, assez prenante, est merveilleusement servie par un dessin de qualité signé Taduc.
Le premier tome assez travaillé, auquel je donne 4/5 sans hésiter, m'a poussé à lire la suite . . . qui, si elle est intéressante, n'est pas aussi prenante que le premier opus ! Bien qu'un fil conducteur relie les différents tomes entre-eux, chaque album est une histoire unique, ce qui est une bonne chose. Le dénouement rapide des récits, qui a tendance à flirter systématiquement avec la "facilité" et un excès de "bons sentiments", me laisse à chaque fois sur ma faim. A la longue, on fini par croire que Chinaman est invincible et cela enlève une bonne partie du suspense que les auteurs essaient d'insuffler au début de chaque album . . . la moyenne descend donc à 3/5, dommage ! :(
Mais ne boudez pas cette série car elle s'attarde sur une période peu connue de l'Ouest américain qui, de plus, est présentée au travers le regard d'un chinois fraichement débarqué sur le sol US avec ses codes et coutumes . . . un sérieux choc des cultures en perspective ! ;)
Premier cycle de lu et premières impressions . . .
Il n'y a rien de plus subjectif que de critiquer un dessin : on aime ou on aime pas mais difficile de dire exactement pourquoi. Je le trouve assez maladroit au début avec un trait un peu trop 'anguleux'. A cela, s'ajoute une mise en couleur assistée par ordinateur qui n'est pas des plus flatteuses :( . Cependant, Quet nous gratifie ses planches d'un décors phénoménal qui rattrape les petites imperfections du début :) !
En ce qui concerne l'histoire, elle commence fort bien :) . On est pris dans 'le feu de l'action' du tome 1 au tome 3. Le tome 4 ressemble plus à un 'huit clos' qui met de coté l'action au profit du suspense et des 'révélations'. Jusqu'ici, l'histoire est rondement menée . . . enfin le 5e tome pour connaître le dénouement de cette série ! Aïe, grosse déception :( ! On ne retrouve plus l'ambiance des 3 premiers tomes et les révélations du 4e cèdent la place à une succession d'incompréhensions suite à de nombreuses questions qui restent sans réponses. J'ai pas compris grand chose aux revirements de situation mais j'imagine qu'on en saura plus dans le second cycle . . .
Avec le recul, j'ai l'impression que ce premier cycle est une 'mise en jambe', une sorte d'introduction à l'histoire qui va commencer réellement avec le 2e cycle (du moins, je l'espère !). C'est ce que laisse présager les 2 dernières planches du 5e opus. Cependant, je trouve cela un tantinet longuet de prendre 5 albums comme sujet d'introduction à une série :( !
Ouf j'ai fini les 7 tomes ! Haaaa je vais pouvoir poser mon cerveau. J'ai vraiment bien aimé la lecture des 3 premiers tomes puis après j'ai commencé à me lasser, pas que les autres soient moins bon, non j'ai trouvé les albums de qualité équivalente, mais c'est juste que mon intérêt pour le dénouement final allait en s'amenuisant au fil de ma lecture.
Alors, en décortiquant je peux dire que c'est un peu du fait que Nausicaä est un manga et que c'est une impression que je ressens à chaque lecture de série de manga (3 séries lu en comptant Nausicaä), mais c'est aussi parce que l'histoire a commencé à me pomper, les combats, les dorks, les tolmèques, arf j'ai pas réussi à m'y intéresser !
Sinon les dessins pour du manga ne sont pas mal, mais y a mieux.
Sympathique, ce petit tome de Trondheim !
L'histoire d'un petit bonhomme, qui a toutes propositions, répondra sans alternative "non, non, non" - pas par envie de contradiction, mais parcequ'il n'ose pas s'imposer, tout simplement.
C'est assez bien construit, sans paroles aucunes. Pas la peine, car le dessin est très explicite et l'on comprend simplement les différentes situations.
Le dessin est quant à lui très simple, en noir et blanc, dans le style pur de Trondheim : trait un peu brouillon, assez fin, limite minimaliste. Ca passe plutôt bien.
Une bonne surprise ! maintenant, de là à l'acheter... à vous de voir :)
Sympatique comme tout, cette petite BD. Trondheim est un auteur que j'apprécie beaucoup pour son humour particulièrement fin, qui fait souvent mouche.
Ici, c'est encore le cas, une fois de plus ! et le concept est assez original : une fin d'aventure, tout simplement ! oui, mais une fin à la Scooby-doo... qui elle-même cache une autre fin à la Scooby-doo, qui elle même... on ne s'en lasse pas. (difficile de se lasser en 22 pages, me direz vous !).
Le dessin de Franck Le Gall est assezz sympa, bien que très classique. Il colle parfaitement au style, qui m'a fait penser parfois dans le style des visages à du Blake et Mortimer... marrant !
Alors, oui, c'est plutot bon, oui, il faut lire Les aventures de la finde l'épisode !
Tout d'abord, c'est un manga de Urushihara donc attendez-vous à voir beaucoup de paires de seins (à ne donc pas mettre entre toute les mains).Mais Urushihara cela signifie aussi de superbes dessins très clairs et très fins.
L'histoire est pas mal mais quand même un peu fouillie parfois: c'est donc Shiori et Carol qui vont tenter de sauver la Terre en détruisant GAIA.Mais malheureusement celui-ci a créé un autre être comme Carol mais en méchant: Adam.
Il ya donc beaucoup de combats et là c'est dommage, l'auteur fait ressortir son sexisme: Carol se transforme en homme lorsqu'elle est vraiment en difficultés alors qu'elle pourrait faire grossir ses muscles (un peu débile quand même).
Il y a aussi des scènes torrides de lesbiennes car Carol et Shiori sont amoureuses (c'est bien le style de Urushihara de mélanger univers apocalyptique et érotisme....faut aimer).
En résumé c'est un manga un peu spécial qui casse pas la barraque mais qui est quand même assez intéressant.
J’ai commencé à lire cette BD avec un gros a priori négatif, non pas à cause de son adaptation ciné, que je n’ai pas vue, mais parce que j’avais longuement feuilleté le bouquin avant et que j’avais détesté le graphisme… Rayner a un style d’une lourdeur épouvantable ; c’est surchargé, confus, et surtout, c’est incroyablement statique, figé. Sur chaque case, les personnages semblent comme pétrifiés, il n’y a aucun dynamisme… Il y a quelques planches réussies, c’est vrai (comme celle qui illustre la quatrième de couverture), mais toute une BD de 300 pages comme ça, c’est insupportable.
Surmontant cette réticence, je me suis lancé dans la lecture… et j’ai été agréablement surpris : l’histoire est très prenante, on la lit d’une traite sans jamais avoir envie de la lâcher (alors que c’est quand même un bon petit pavé). Oh, c’est sûr que c’est une simple histoire de vengeance sans grosse surprise, qui n’apporte rien de très nouveau et original au sujet, mais c’est bien écrit, rondement mené, très accrocheur. Il y a néanmoins deux petits défauts. Le premier est celui qu’a souligné Alix plus bas : effectivement, "l’Ange" est impliqué toutes les 5 pages dans des fusillades à 12 contre 1 dont il se sort toujours sans aucune égratignure après avoir abattu tous ses ennemis. En plus, il tire presque sans regarder, en plongeant et en sautant dans tous les sens… Plus fort que Jèze Bonde, l’Ange ! On comprend bien que c’est pour donner un côté mythique au personnage, mais bon, là, c’est un peu « too much » quand même. Le deuxième petit point noir : pendant la première moitié du livre, chacune de ces fusillades est précédée du même commentaire du narrateur : « Je n’ai pas assisté à la scène, mais d’après ce que disent les livres sur la Mafia et ce que je sais de mon père, ça a dû se passer comme ça ». Là aussi, ça a un sens, c’est pour marquer le contraste avec la deuxième moitié du livre, mais… deux fois, ça va ; dix fois, c’est un peu agaçant… On n’est pas des débiles non plus (je sais bien qu’on est des lecteurs de comics et que ça peut prêter à confusion, mais quand même !), y a pas besoin de nous répéter les choses tout le temps pour qu’on comprenne, hein ! Enfin bon, ces deux défauts ne sont quand même pas rédhibitoires.
Si le dessin ne m’avait pas autant rebuté, j’aurais peut-être mis 4/5 à cette histoire simple mais efficace, car c’est vraiment un bon petit bouquin. Hélas, sous prétexte de donner un style visuel "années 30", c’est vraiment moche comme tout… Une lecture conseillée, cependant.
Le postulat de départ, c'est à dire l'utilisation du potentiel technologique pour "programmer" Dieu, est intéressant, intéressant parce que plausible.... le propos de Anne Ploy repose donc sur une idée de départ trés riche, originale et pertinente. Ceci dit, je trouve que cette bd, n'a pas tellement profité de ce bon préalable. A peine terminée, les tomes s'oublient vite. Je me suis surpris plusieurs fois à lire sans être vraiment intéressé par les événements. Alors à quoi est ce dû ? au traitement scénaristique, au dessin que je trouve vraiment rigide et sans magie ? je ne sais pas, mais une chose est sûre, je n'ai pas envie d'acheter les autres séries annexes.
peut être qu'en relisant les trois tomes de cette série, changerais je d'avis. pour l'instant j'en ai pas trop envie.
Un tout petit bijou qui se lit très rapidement. Je ne peut pas en dire trop car cela gacherait tout l'effet de surprise mais je vous assure que cette BD est réellement surprenante!
Mais que fait donc cet homme tout seul dans cette grande pièce blanche??????Le mystere est là....
La position des 2 héros sur la drague m'a bien fait marrer : on retrouve le discour des mecs qui friment et celui d'une nana assez intelligente qui certifie au héros que les nanas ne se font pas embobiner aussi facilement; mais elle va etre déçue car ce n'est pas le cas de toutes les femmes !
Cette BD est beaucoup trop courte pour avoir une note de "Franchement bien"; en effet elle n'est pas assez développée mais elle mérite un 3/5 !
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Les Eternels
Yann, vous pouvez dire merci à Meynet pour sa couverture accrocheuse : on ne remarque que cette bd chez mon libraire, pourtant noyée au milieu de dizaines d'autres titres. Le dessin est agréable malgré un scénario un peu tiré par les cheveux au départ. Une bonne série qui devra confirmer dans le tome 2 les promesses suscitées par ce premier opus. A propos, à quand la réédition de l'excellent "Allez coucher sales bêtes" de Yann et Hausman chez Dupuis, aujourd'hui introuvable ?
Chinaman
Je me suis laissé tenter par ce Western d'un genre inhabituel grâce aux avis postés ci-dessous. Le western en bd est déjà un genre que j'affectionne particulièrement et je dois dire que, une fois le premier tome de lu, ce fut une agréable surprise ! :) En effet, on se laisse facilement immerger dans ce récit qui retrace une face peu connue de cette période de l’histoire US, à savoir : l’immigration de chinois aux USA asservis à l’esclavagisme des blancs. De plus, l’histoire, assez prenante, est merveilleusement servie par un dessin de qualité signé Taduc. Le premier tome assez travaillé, auquel je donne 4/5 sans hésiter, m'a poussé à lire la suite . . . qui, si elle est intéressante, n'est pas aussi prenante que le premier opus ! Bien qu'un fil conducteur relie les différents tomes entre-eux, chaque album est une histoire unique, ce qui est une bonne chose. Le dénouement rapide des récits, qui a tendance à flirter systématiquement avec la "facilité" et un excès de "bons sentiments", me laisse à chaque fois sur ma faim. A la longue, on fini par croire que Chinaman est invincible et cela enlève une bonne partie du suspense que les auteurs essaient d'insuffler au début de chaque album . . . la moyenne descend donc à 3/5, dommage ! :( Mais ne boudez pas cette série car elle s'attarde sur une période peu connue de l'Ouest américain qui, de plus, est présentée au travers le regard d'un chinois fraichement débarqué sur le sol US avec ses codes et coutumes . . . un sérieux choc des cultures en perspective ! ;)
Travis
Premier cycle de lu et premières impressions . . . Il n'y a rien de plus subjectif que de critiquer un dessin : on aime ou on aime pas mais difficile de dire exactement pourquoi. Je le trouve assez maladroit au début avec un trait un peu trop 'anguleux'. A cela, s'ajoute une mise en couleur assistée par ordinateur qui n'est pas des plus flatteuses :( . Cependant, Quet nous gratifie ses planches d'un décors phénoménal qui rattrape les petites imperfections du début :) ! En ce qui concerne l'histoire, elle commence fort bien :) . On est pris dans 'le feu de l'action' du tome 1 au tome 3. Le tome 4 ressemble plus à un 'huit clos' qui met de coté l'action au profit du suspense et des 'révélations'. Jusqu'ici, l'histoire est rondement menée . . . enfin le 5e tome pour connaître le dénouement de cette série ! Aïe, grosse déception :( ! On ne retrouve plus l'ambiance des 3 premiers tomes et les révélations du 4e cèdent la place à une succession d'incompréhensions suite à de nombreuses questions qui restent sans réponses. J'ai pas compris grand chose aux revirements de situation mais j'imagine qu'on en saura plus dans le second cycle . . . Avec le recul, j'ai l'impression que ce premier cycle est une 'mise en jambe', une sorte d'introduction à l'histoire qui va commencer réellement avec le 2e cycle (du moins, je l'espère !). C'est ce que laisse présager les 2 dernières planches du 5e opus. Cependant, je trouve cela un tantinet longuet de prendre 5 albums comme sujet d'introduction à une série :( !
Nausicaä de la vallée du vent
Ouf j'ai fini les 7 tomes ! Haaaa je vais pouvoir poser mon cerveau. J'ai vraiment bien aimé la lecture des 3 premiers tomes puis après j'ai commencé à me lasser, pas que les autres soient moins bon, non j'ai trouvé les albums de qualité équivalente, mais c'est juste que mon intérêt pour le dénouement final allait en s'amenuisant au fil de ma lecture. Alors, en décortiquant je peux dire que c'est un peu du fait que Nausicaä est un manga et que c'est une impression que je ressens à chaque lecture de série de manga (3 séries lu en comptant Nausicaä), mais c'est aussi parce que l'histoire a commencé à me pomper, les combats, les dorks, les tolmèques, arf j'ai pas réussi à m'y intéresser ! Sinon les dessins pour du manga ne sont pas mal, mais y a mieux.
Non, Non, Non
Sympathique, ce petit tome de Trondheim ! L'histoire d'un petit bonhomme, qui a toutes propositions, répondra sans alternative "non, non, non" - pas par envie de contradiction, mais parcequ'il n'ose pas s'imposer, tout simplement. C'est assez bien construit, sans paroles aucunes. Pas la peine, car le dessin est très explicite et l'on comprend simplement les différentes situations. Le dessin est quant à lui très simple, en noir et blanc, dans le style pur de Trondheim : trait un peu brouillon, assez fin, limite minimaliste. Ca passe plutôt bien. Une bonne surprise ! maintenant, de là à l'acheter... à vous de voir :)
Les Aventures de la Fin de l'épisode
Sympatique comme tout, cette petite BD. Trondheim est un auteur que j'apprécie beaucoup pour son humour particulièrement fin, qui fait souvent mouche. Ici, c'est encore le cas, une fois de plus ! et le concept est assez original : une fin d'aventure, tout simplement ! oui, mais une fin à la Scooby-doo... qui elle-même cache une autre fin à la Scooby-doo, qui elle même... on ne s'en lasse pas. (difficile de se lasser en 22 pages, me direz vous !). Le dessin de Franck Le Gall est assezz sympa, bien que très classique. Il colle parfaitement au style, qui m'a fait penser parfois dans le style des visages à du Blake et Mortimer... marrant ! Alors, oui, c'est plutot bon, oui, il faut lire Les aventures de la finde l'épisode !
Chirality - La Terre promise
Tout d'abord, c'est un manga de Urushihara donc attendez-vous à voir beaucoup de paires de seins (à ne donc pas mettre entre toute les mains).Mais Urushihara cela signifie aussi de superbes dessins très clairs et très fins. L'histoire est pas mal mais quand même un peu fouillie parfois: c'est donc Shiori et Carol qui vont tenter de sauver la Terre en détruisant GAIA.Mais malheureusement celui-ci a créé un autre être comme Carol mais en méchant: Adam. Il ya donc beaucoup de combats et là c'est dommage, l'auteur fait ressortir son sexisme: Carol se transforme en homme lorsqu'elle est vraiment en difficultés alors qu'elle pourrait faire grossir ses muscles (un peu débile quand même). Il y a aussi des scènes torrides de lesbiennes car Carol et Shiori sont amoureuses (c'est bien le style de Urushihara de mélanger univers apocalyptique et érotisme....faut aimer). En résumé c'est un manga un peu spécial qui casse pas la barraque mais qui est quand même assez intéressant.
Les Sentiers de la Perdition
J’ai commencé à lire cette BD avec un gros a priori négatif, non pas à cause de son adaptation ciné, que je n’ai pas vue, mais parce que j’avais longuement feuilleté le bouquin avant et que j’avais détesté le graphisme… Rayner a un style d’une lourdeur épouvantable ; c’est surchargé, confus, et surtout, c’est incroyablement statique, figé. Sur chaque case, les personnages semblent comme pétrifiés, il n’y a aucun dynamisme… Il y a quelques planches réussies, c’est vrai (comme celle qui illustre la quatrième de couverture), mais toute une BD de 300 pages comme ça, c’est insupportable. Surmontant cette réticence, je me suis lancé dans la lecture… et j’ai été agréablement surpris : l’histoire est très prenante, on la lit d’une traite sans jamais avoir envie de la lâcher (alors que c’est quand même un bon petit pavé). Oh, c’est sûr que c’est une simple histoire de vengeance sans grosse surprise, qui n’apporte rien de très nouveau et original au sujet, mais c’est bien écrit, rondement mené, très accrocheur. Il y a néanmoins deux petits défauts. Le premier est celui qu’a souligné Alix plus bas : effectivement, "l’Ange" est impliqué toutes les 5 pages dans des fusillades à 12 contre 1 dont il se sort toujours sans aucune égratignure après avoir abattu tous ses ennemis. En plus, il tire presque sans regarder, en plongeant et en sautant dans tous les sens… Plus fort que Jèze Bonde, l’Ange ! On comprend bien que c’est pour donner un côté mythique au personnage, mais bon, là, c’est un peu « too much » quand même. Le deuxième petit point noir : pendant la première moitié du livre, chacune de ces fusillades est précédée du même commentaire du narrateur : « Je n’ai pas assisté à la scène, mais d’après ce que disent les livres sur la Mafia et ce que je sais de mon père, ça a dû se passer comme ça ». Là aussi, ça a un sens, c’est pour marquer le contraste avec la deuxième moitié du livre, mais… deux fois, ça va ; dix fois, c’est un peu agaçant… On n’est pas des débiles non plus (je sais bien qu’on est des lecteurs de comics et que ça peut prêter à confusion, mais quand même !), y a pas besoin de nous répéter les choses tout le temps pour qu’on comprenne, hein ! Enfin bon, ces deux défauts ne sont quand même pas rédhibitoires. Si le dessin ne m’avait pas autant rebuté, j’aurais peut-être mis 4/5 à cette histoire simple mais efficace, car c’est vraiment un bon petit bouquin. Hélas, sous prétexte de donner un style visuel "années 30", c’est vraiment moche comme tout… Une lecture conseillée, cependant.
Transgénèse - 2025-2028 - L'Ancêtre programmé
Le postulat de départ, c'est à dire l'utilisation du potentiel technologique pour "programmer" Dieu, est intéressant, intéressant parce que plausible.... le propos de Anne Ploy repose donc sur une idée de départ trés riche, originale et pertinente. Ceci dit, je trouve que cette bd, n'a pas tellement profité de ce bon préalable. A peine terminée, les tomes s'oublient vite. Je me suis surpris plusieurs fois à lire sans être vraiment intéressé par les événements. Alors à quoi est ce dû ? au traitement scénaristique, au dessin que je trouve vraiment rigide et sans magie ? je ne sais pas, mais une chose est sûre, je n'ai pas envie d'acheter les autres séries annexes. peut être qu'en relisant les trois tomes de cette série, changerais je d'avis. pour l'instant j'en ai pas trop envie.
Réflexion
Un tout petit bijou qui se lit très rapidement. Je ne peut pas en dire trop car cela gacherait tout l'effet de surprise mais je vous assure que cette BD est réellement surprenante! Mais que fait donc cet homme tout seul dans cette grande pièce blanche??????Le mystere est là.... La position des 2 héros sur la drague m'a bien fait marrer : on retrouve le discour des mecs qui friment et celui d'une nana assez intelligente qui certifie au héros que les nanas ne se font pas embobiner aussi facilement; mais elle va etre déçue car ce n'est pas le cas de toutes les femmes ! Cette BD est beaucoup trop courte pour avoir une note de "Franchement bien"; en effet elle n'est pas assez développée mais elle mérite un 3/5 !