14/20 Le dessin de Leo quand il s' agit de la faune est toujours aussi beau et original.L' histoire commence très vite.D' ailleurs ça me gêne un peu.
Les personnages n' ont pas le temps d' être mis en place que l' intrigue est pratiquement découverte
Voila un pur produit de l'école belge. Même si je trouve que le travail de Leloup est honnête, il n'y a pas de quoi s'enflammer. Le graphisme des personnages est terriblement figé et simpliste. Les deux associés de yoko ont des fonctions un peu floues. Ils n'aménent rien d'essentiel aux histoires. Yoko aurait trés bien pu évoluer sans eux. Ce trio de l'étrange est étrange dans le sens où rien ne semblait motiver son existence. Quant à Yoko, elle est intéressante. Ses aventures sont classiques mais bien ficelées. Je pense qu'avec un peu de génie elle aurait été une héroïne tout à fait inoubliable. Mais si leloup est un honnête artisant, je pense que ça s'arrête là.
La qualité du dessin est irréprochable. L'univers et les personnages sont à la fois riches et prenants. J'ai été enthousiasmé par l'ensemble. Et puis ce qui est trés agréable, c'est la fluidité de "sillage". C'est d'une lecture facile et regorgeante de trouvailles. c'est assurément une bd qui fera date.
Additif du 12 septembre 2003,
Comme certains restaus côtés peuvent perdre des étoiles au fil des ans, cette série a perdu depuis les deux derniers albums, certaines de ses qualités. Les scénars sont en effet, plus poussifs, moins aboutis, et le graphisme souffre de plus en plus du format "une histoire-un album". Ce que je veux dire par là, c'est que certaines planches sont surchargées de petites vignettes, ce qui donne souvent l'impression d'être trés loin de l'action. sillage reste toutefois une trés bonne série, mais plus tout à fait culte....
Additif du 4 octobre 2007
J'ai trouvé le dernier tome paru à ce jour, calamiteux. La qualité de la série s'étiole peu à peu. Visiblement, les auteurs privilégient la productivité au détriment de la qualité. C'est dommage ! Quoi qu'il en soit, les derniers tomes ravalent la série au rang, de bd pour ados pas trop regardant. C'est peut être l'objectif des auteurs après tout.
Si les dessins de Rosinski sont égaux à ses prestations de Thorgal pour ne citer que celles là, le scénario de Dufaux est loin d'être au top. J'ai été déçu par l'ensemble, c'est bon mais pas transcendant.
le dessin toujours aussi figé, se marie bien avec le thème. On croirait cette bd, tirée d'un bloc de pierre enterrée au pied d'un temple romain. j'ai personnellement une préférence pour les 15 premiers albums que je trouve trés riches au niveau des intrigues.
alors qu'au départ je ne me sentais pas du tout intéressé par ce genre de bd, j'ai été séduit par la qualité du regard de cauvin qui peut être drôle, quand il s'en donne la peine. Le grand père est trés rafraichissant. Je trouve que cédric et le petit spirou ont beaucoup de points communs.
Durango, c'est une synthèse du style western spagettis, et de l'archétype de l'aventurier solitaire. Les scénars sont sans surprises et vu 100000000 de fois au cinéma, mais il faut avouer qu'ils sont plaisants à lire et trés prenants (je viens de relire la série compléte et c'est ce qui m'a fait changé ma critique précédente). Le dessin est de trés bonne facture, mais parce qu'il se rapproche trés fort du style Giraut, il souffre forcément de la comparaison. En fait si Blueberry n'existait pas, Durango serait certainement une série référence. Seulement voila la référence absolue justement, c'est BLUEBERRY.
rajout...
pour ceux qui sont férus de clin d'oeil cinématographiques, sachez que durango dans le tome 1 rend hommage à un film de sergio corbucci : le grand silence.
le tueur qui éclate la main de durango a les traits de klaus kinski qui dans le film inflige le même traitement au héros (j.l. trintignant). le clin d'oeil est poussé plus loin encore... le flingue de durango est exactement le même que celui du héros du film.
le film finit plus mal par contre. le méchant du film flingue le gentil.
heureusement durango a vengé cette frustration d'ado qui au fil des années ne s'est jamais adoucie.
Je commence par un 3/5, en attendant le reste... mais ce qui est sûr, c'est que les dessins sont bien sympathiques, et le scénario, (surtout le scénario) inspiré de divers mythes semble bien prometteur.
La poésie de la bande dessinée, des univers psychédéliques mélangés à de la folie douce à la Prévert. Son trait est toujours aussi original, c'est du Fred !
les petites histoires qui se glissent dans les grandes légendes... ainsi, les donjon parade sont indépendant du délire de la série, pourtant les persos et l'humour sont tjs incroyables. et larcenet y ajoute un nouveau trait.
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Kenya
14/20 Le dessin de Leo quand il s' agit de la faune est toujours aussi beau et original.L' histoire commence très vite.D' ailleurs ça me gêne un peu. Les personnages n' ont pas le temps d' être mis en place que l' intrigue est pratiquement découverte
Yoko Tsuno
Voila un pur produit de l'école belge. Même si je trouve que le travail de Leloup est honnête, il n'y a pas de quoi s'enflammer. Le graphisme des personnages est terriblement figé et simpliste. Les deux associés de yoko ont des fonctions un peu floues. Ils n'aménent rien d'essentiel aux histoires. Yoko aurait trés bien pu évoluer sans eux. Ce trio de l'étrange est étrange dans le sens où rien ne semblait motiver son existence. Quant à Yoko, elle est intéressante. Ses aventures sont classiques mais bien ficelées. Je pense qu'avec un peu de génie elle aurait été une héroïne tout à fait inoubliable. Mais si leloup est un honnête artisant, je pense que ça s'arrête là.
Sillage
La qualité du dessin est irréprochable. L'univers et les personnages sont à la fois riches et prenants. J'ai été enthousiasmé par l'ensemble. Et puis ce qui est trés agréable, c'est la fluidité de "sillage". C'est d'une lecture facile et regorgeante de trouvailles. c'est assurément une bd qui fera date. Additif du 12 septembre 2003, Comme certains restaus côtés peuvent perdre des étoiles au fil des ans, cette série a perdu depuis les deux derniers albums, certaines de ses qualités. Les scénars sont en effet, plus poussifs, moins aboutis, et le graphisme souffre de plus en plus du format "une histoire-un album". Ce que je veux dire par là, c'est que certaines planches sont surchargées de petites vignettes, ce qui donne souvent l'impression d'être trés loin de l'action. sillage reste toutefois une trés bonne série, mais plus tout à fait culte.... Additif du 4 octobre 2007 J'ai trouvé le dernier tome paru à ce jour, calamiteux. La qualité de la série s'étiole peu à peu. Visiblement, les auteurs privilégient la productivité au détriment de la qualité. C'est dommage ! Quoi qu'il en soit, les derniers tomes ravalent la série au rang, de bd pour ados pas trop regardant. C'est peut être l'objectif des auteurs après tout.
Complainte des landes perdues
Si les dessins de Rosinski sont égaux à ses prestations de Thorgal pour ne citer que celles là, le scénario de Dufaux est loin d'être au top. J'ai été déçu par l'ensemble, c'est bon mais pas transcendant.
Alix
le dessin toujours aussi figé, se marie bien avec le thème. On croirait cette bd, tirée d'un bloc de pierre enterrée au pied d'un temple romain. j'ai personnellement une préférence pour les 15 premiers albums que je trouve trés riches au niveau des intrigues.
Cédric
alors qu'au départ je ne me sentais pas du tout intéressé par ce genre de bd, j'ai été séduit par la qualité du regard de cauvin qui peut être drôle, quand il s'en donne la peine. Le grand père est trés rafraichissant. Je trouve que cédric et le petit spirou ont beaucoup de points communs.
Durango
Durango, c'est une synthèse du style western spagettis, et de l'archétype de l'aventurier solitaire. Les scénars sont sans surprises et vu 100000000 de fois au cinéma, mais il faut avouer qu'ils sont plaisants à lire et trés prenants (je viens de relire la série compléte et c'est ce qui m'a fait changé ma critique précédente). Le dessin est de trés bonne facture, mais parce qu'il se rapproche trés fort du style Giraut, il souffre forcément de la comparaison. En fait si Blueberry n'existait pas, Durango serait certainement une série référence. Seulement voila la référence absolue justement, c'est BLUEBERRY. rajout... pour ceux qui sont férus de clin d'oeil cinématographiques, sachez que durango dans le tome 1 rend hommage à un film de sergio corbucci : le grand silence. le tueur qui éclate la main de durango a les traits de klaus kinski qui dans le film inflige le même traitement au héros (j.l. trintignant). le clin d'oeil est poussé plus loin encore... le flingue de durango est exactement le même que celui du héros du film. le film finit plus mal par contre. le méchant du film flingue le gentil. heureusement durango a vengé cette frustration d'ado qui au fil des années ne s'est jamais adoucie.
Thorinth
Je commence par un 3/5, en attendant le reste... mais ce qui est sûr, c'est que les dessins sont bien sympathiques, et le scénario, (surtout le scénario) inspiré de divers mythes semble bien prometteur.
L'Histoire du conteur électrique
La poésie de la bande dessinée, des univers psychédéliques mélangés à de la folie douce à la Prévert. Son trait est toujours aussi original, c'est du Fred !
Donjon Parade
les petites histoires qui se glissent dans les grandes légendes... ainsi, les donjon parade sont indépendant du délire de la série, pourtant les persos et l'humour sont tjs incroyables. et larcenet y ajoute un nouveau trait.