Les derniers avis (46321 avis)

Par grogro
Note: 3/5
Couverture de la série Minuit Passé
Minuit Passé

Je découvre Gaëlle Geniller avec Minuit passé. De toute évidence, il y a du boulot. L’autrice a apporté un soin tout particulier aux décors, ce que la colorisation tout à fait plaisante ne fait que souligner davantage tout en conférant une réelle ambiance. Tout cela fonctionne très bien : on est dans l’époque, on est dans l’Art Nouveau. Ajoutons que l’objet en lui-même renforce cette impression, de part notamment la tranche qui représente un décor floral vert du plus bel effet. J’aime assez le trait même si je ne goute guère ces visages taillés à la serpe façon manga. Et que dire de ces nez pointus ? Question de goût, certes. Quant au scénario, j’avoue l’avoir trouvé assez poussif, et la conclusion faiblarde. Tout ça pour ça ? Mais ce sont surtout les personnages en eux-mêmes qui m’ont dérangé. En effet, je ne suis pas parvenu à les sentir, et pas un seul instant je n’ai cru à leur psychologie romantique doucereuse. C’est trop ! Trop gentil, trop béni-oui-oui. A mon sens, ce n’est pas parce qu’on donne dans le fantastique qu’il faut s’affranchir de toute crédibilité dans la construction des personnages. Je salue donc le travail, l’ambiance forte et la beauté graphique, avec toutefois les quelques réserves évoquées, mais je n’irai pas plus loin.

16/12/2024 (modifier)
Couverture de la série Himawari house
Himawari house

Je n'ai pas accroché à cette chronique intimiste d'une maison d'étudiant(e)s au Japon. Presque 400 pages pour les états d'âmes de trois jeunes femmes venues perfectionner leur japonais ( mais qui parlent toujours en américain) c'est long. Il y donc de nombreux endroits où je me suis désintéressé des aléas sentimentaux ou du job de l'une ou l'autre. Il faut noter que les dialogues où les jeunes femmes parlent en japonais sont dans les deux langues. C'est un avantage pour bien comprendre la situation due au langage mais cela prend de la place et conduit à des dialogues assez basiques. Par contre j'ai apprécié le graphisme de Harmony Becker qui est très souple et bien expressif. L'autrice utilise différents styles pour bien faire ressortir la situation . Cela peut être très détaillé en semi réaliste ou alors utilisé un style plus manga avec des visages déformés. C'est un graphisme moderne qui devrait plaire aux ados. D'ailleurs à mes yeux la narration est surtout visuelle ce qui conduit à ce volumineux ouvrage. Les extérieurs sont peu nombreux mais quand ils existent ils sont soignés( tenues traditionnelles, quartier, nature fleurie) Un petit 3 pour une lecture en pointillé qui ne m'a pas apporté.

16/12/2024 (modifier)
Couverture de la série Détectives
Détectives

Avec cette série, Herik Hanna renoue avec ses héros entraperçus dans Sept détectives. Nous les découvrirons cette fois, un à un le temps d’un album. Les récits se veulent indépendants mais mieux vaut les lire dans l’ordre et connaître leur précédente aventure commune. La partie graphique est confiée à chaque fois à un dessinateur différent (exception toutefois pour S. Guinebaud qui assure également la conclusion). Les styles seront différents mais le tout fait force d’une certaine homogénéité. On aura ses préférences mais ceux sont surtout les intrigues qui feront le sel des tomes. Je ne suis pas féru du genre polar détective privé mais le scénariste s’en sort dans l’ensemble plutôt habilement. Rien de vraiment marquant, cependant ça s’amuse assez avec les codes pour un moment pas déplaisant, ça manque juste d’un petit fil rouge. Au programme : Enquêtes campagnarde pour le 1er (plutôt fun), à Hollywood pour le 2 (le plus faible), huis clos dans un manoir pour le 3 (classique), Paris pour le 4 (sympa et pas que par chauvinisme), Londres pour le 5 (le meilleur à ce stade), le 6 approfondira le complexe John Eaton (surprenant) et enfin le dernier sur Else … ce n’est pas une conclusion en apothéose (quoique) mais ça boucle la boucle de façon honnête et satisfaisante. Du boulot correct pour les amateurs, on peut papillonner en fonction de son attirance pour un personnage mais c’est bien plus sympa dans son ensemble. Sinon la version courte pour avoir le « dénouement » de Sept détectives, c’est de ne lire que les tomes 6 et 7.

15/12/2024 (modifier)
Couverture de la série Dungeon reset
Dungeon reset

Avec cette série, rien de franchement nouveau dans le monde des Isekai mais ça reste potable pour les amateurs. Notre héros ne sera juste pas le seul à être enlevé et téléporté pour participer à ce jeu de survie dans un monde fantasy. Pour retourner sur la terre, le seul espoir des joueurs est de terminer l’ensemble des niveaux en complétant les donjons et en battant les boss … mission quasi impossible tant la difficulté est hardue et la survie problématique. La mort n’est jamais bien loin et seul les plus forts survivront. Précisons également que chaque joueur, à son arrivée, se verra confier un pouvoir/compétence où on distinguera 2 catégories : les fighters et les crafteurs ; que chaque niveau est supervisé par une sorte d’administrateur (un lapin, un babouin, un lion …) qui feront avancer un peu le pourquoi du comment des mystères de ce monde, et qu’à chaque victoire d’un boss, le donjon se réinitialise dans sa forme d’origine. Voilà pour le fond. Nous y suivrons Dawoon, faible humain qui survivra à un piège lors de la réinitialisation du donjon. Cet événement étant inédit pour le jeu, notre héros vivra désormais en marge des règles du système et deviendra comme un bug dans la matrice. Nous irons désormais de deus ex machina en deus ex machina avec lui. Il pourra refaire les donjons autant qu’il le souhaite et acquerra de nombreuses autres compétences en cours de route (le côté RPG est très présent) mais jamais vraiment combattantes, toujours autour du crafting. Ça ne l’empêchera pas d’avancer et d’affronter de nombreuses menaces seul. Il deviendra petit à petit comme un dieu. C’est loin d’être exceptionnel mais ça reste sympatoche à lire pour peu que l’on ne soit pas allergique au genre. Il faut aimer le coté « petit nid douillet et bien manger », notre héros étant obnubilé par ces aspects (et étant le seul à pouvoir les réaliser), comme le côté méchante créature (à l’instant T) qui deviendra meilleure pote du héros par la suite … Bref rien de fou et pas spécialement dès plus trépidant sur la longueur, une réalisation lambda … cependant quand même divertissant. Pas le pire mais pas le mieux lu. Un petit 3*. Nota : le format initial étant webtoon, malgré la bonne fluidité des planches je suis toujours un peu dérangé par leur composition .

15/12/2024 (modifier)
Par gruizzli
Note: 3/5
Couverture de la série La Voix des bêtes, la faim des hommes
La Voix des bêtes, la faim des hommes

Après Les Filles de Salem qui ne m'avait absolument pas convaincu, j'ai été bien plus convaincu par cette BD. Même si je trouve que Thomas Gilbert brasse les mêmes sujets de façon pas toujours très fine. Cette BD propose un polar/enquête qui nous propose de suivre une jeune femme meneuse de loup, personnage folklorique du patrimoine français, dans une enquête aux allures de voyage dans la campagne française aux alentours de l'an mille. L'idée est séduisante et je trouve que la réalisation n'est pas mauvaise, l'histoire ayant préséance sur les thématiques cette fois-ci. C'est ce qui sauve la BD, puisque même si je trouve les thématiques abordées de façon maladroite, j'ai été intéressé par l'histoire et ce qu'elle raconte des peurs que certains pouvaient avoir face aux transformations sociétales ou aux temps nouveaux qui s'annonçaient. Quand je dis que ça sauve la BD, c'est parce qu'encore une fois je trouve les thématiques trop lourdes et appuyées, mais surtout complètement contemporaine pour un sujet médiéval. J'accepte bien plus cette utilisation lorsque le genre est celui de la fantasy (donc de l'imaginaire) et pas du proto-historique. Mais outre cette considération personnelle, je trouve très maladroit l'utilisation de certains thèmes : la religion est obscurantiste et pourvoyeuse de cinglé (ce qui semble bien plus un point de vue contemporain qui oublie que la religion promouvait la science ...), les femmes sont moins violentes que les hommes (point de vue que j'ai toujours trouvé sexiste personnellement), elles veulent être libre y compris sexuellement (dans un monde sans contraception et sans préservatif, faut-il le rappeler !), on pose des questionnements écologiques et de rapports avec la nature bien loin des réelles thématiques de cette époque ... En fait, je vois ce que l'auteur veut me dire, je suis globalement en accord avec ses messages, je le trouve amené très maladroitement. Ce qui me fait apprécier cette BD par rapport aux filles de Salem, c'est qu'ici une contradiction existe. Brunehilde se retrouve parfois face à des personnes en désaccord avec elle, et l'existence de cette contradiction me fait plaisir. Déjà parce qu'on peut choisir parmi les propositions, mais aussi et surtout parce que ça évite le manichéen de bien des situations. Et si je vois bien des écueils, comme la représentation du Moyen-Âge comme un temps d'obscurantisme, de pauvreté et de saleté, j'apprécie que l'auteur nuance un propos (je répète, avec lequel je suis d'accord !) pour proposer quelque chose de plus intéressant qu'un pamphlet détournant l'Histoire. Bref, j'ai apprécié ma lecture, sans pouvoir dire qu'elle sera indélébile dans ma mémoire, mais j'ai passé un bon moment. De mon point de vue, ce n'est pas bon, c'est mieux. Et ça me fait m'intéresser à l'auteur plutôt que m'en détourner !

15/12/2024 (modifier)
Couverture de la série La Méduse
La Méduse

Tout de la narration au dessin donne un rendu léger et presque délicat, alors que le sujet – et la vie d’Odette, la jeune femme qui est au centre du récit – tendent à nous faire sombrer dans l’obscurité, dans une grande noirceur. Car Odette est atteinte d’une sorte de maladie dégénérative ou je ne sais trop quoi, qui fait qu’elle perd peu à peu la vue, une « méduse » de plus en plus présente et de plus en plus grande occupant une partie croissante de son champ de vision. L’évolution de la maladie – et donc du handicap dont souffre progressivement Odette – est habilement montrée, avec ces taches sombres qui la suivent, minuscules au départ, puis de plus en plus grandes, au point d’occuper toutes les cases vers la fin. Odette peine à exprimer son problème, et la prise de conscience du côté irrémédiable de son handicap naissant. Jusqu’à craquer et tout envoyer balader. Mais elle est quand même bien entourée, avec son poteau, et sa nouvelle petite amie (et son lapin !). Et les dernières pages permettent de donner une touche finale pleine de lumière et d’optimisme, avec une Odette rassérénée, s’acceptant telle qu’elle est. Une lecture plaisante.

14/12/2024 (modifier)
Couverture de la série Mystères en Birmanie
Mystères en Birmanie

Mouais. Ces aventures de Ken Mallory se laissent lire, mais sans plus me concernant. C’est de l’aventure très – sans doute trop – classique, mêlant récit de guerre et quelques thèmes à la Indiana Jones (dans le second tome surtout). Ça n’est pas exempt de clichés (ça en joue même sûrement, avec un ensemble lorgnant vers une version hollywoodienne, avec des personnages aux têtes d’acteurs connus), mais la narration est fluide, et, comme je l’ai dit, on ne s’ennuie pas, l’amateur du genre peut y trouver son compte. J’ai trouvé que c’était trop verbeux, les dialogues prennent trop de place. Il aurait sans doute fallu aérer et alléger un peu dans ce domaine. Cet aspect accentue en tout cas un petit côté vieillot (en tout cas « plus vieux que son âge »), que j’ai aussi retrouvé dans le dessin de Gauthier. Celui-ci est lisible, mais je l’ai trouvé inégal. De plus, son trait a un rendu un peu années 1970/1980, et figé. Une série probablement à réserver aux amateurs d’aventure old school.

14/12/2024 (modifier)
Par grogro
Note: 3/5
Couverture de la série Les Navigateurs
Les Navigateurs

Y a du boulot dans Les Navigateurs, certes, et j'étais plein de bonne volonté. Pourtant, j'avoue n'avoir été guère passionné par cette histoire, même si le premier quart de la BD reste assez intrigant. Ca partait plutôt bien. Au passage, comme le conseille Gruizzli, le mieux reste de se lancer dans cette lecture avec le moins d’information possible, ce qui fut mon cas. D’abord, je suis peu sensible au dessin, que j’ai trouvé un peu trop rigide. En outre, il est à mon goût trop « comics oriented ». Le choix du noir et blanc ne me dérange absolument pas, mais dans le cas présent, les contrastes ne sont pas assez prononcés, ce qui donne à l’ensemble un côté terne. On a l’impression que l’imprimeur arrivait à la fin de ses cartouches d’encre, presque… Le scénario me plairait assez, fondé sur une intrication du réel et du surnaturel. C’est un principe certes éculé mais qui fonctionne. Dans le cas présent, la partie proprement fantastique est trop courte. Nos héros déboulent dans cet univers parallèle et bim ! C’est la fin. Personnellement, j’aurais aimé me perdre un peu plus dans « le monde de la mer » auquel le titre de cette BD fait référence. Un petit tour de zodiac et nos Navigateurs s’en vont déjà. A ce titre, j’avais adoré Satanie de Vehlmann et Kerascoët dont la majeure partie du récit prenait place dans le monde alternatif. Bon, je n’en demandais ici pas tant, mais ça reste un peu court. Mais ce qui a le plus plombé ma lecture, au point de carrément m’agacer, ce sont les personnages eux-mêmes, ainsi que dans une certaine mesure les dialogues qui sont inévitablement les symptômes de psychologies mal dégrossies. Je m’explique : j’ai trouvé certaines réactions des protagonistes un peu immatures et irréfléchies. Déjà, Arthur, baroudeur, fumeur de joints invétéré (c’est même un peu lourdingue d’ailleurs et ne sert pas le scénario), habite chez ses tantes !!!! Le gars, à 35-40 balais (grosso modo), habite encore avec ses tantines ? Alors que par ailleurs, il ne tremble pas d’un sourcil quand il fait face à d’effrayantes créatures surgies d’un univers parallèle ? Et quand il est trop bourré, son pote Max le ramène chez elles… Déjà ça, je n’y crois pas une seconde. Enfin bref ! Je ne vais pas détailler tout ce qui m’a un peu gonflé. Ce serait inutile et fastidieux. Mais Je voulais juste donner un exemple de ce qui a gâché mon plaisir, voire mon intérêt car c’est le point essentiel. Oui, Les Navigateurs, c’est pas mal, mais juste pas mal alors que ça aurait pu être quelque chose de plus abouti et soigné, tant au niveau du scénar que de la colorisation.

14/12/2024 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Le Corbeau - L'Affaire Villemin
Le Corbeau - L'Affaire Villemin

L'Affaire du petit Grégory, l'histoire de l'enquête non élucidée sur un meurtre très médiatique et ayant eu de nombreuses conséquences et ramifications. Et aussi une affaire que je connaissais très mal étant trop jeune quand elle a démarré et ayant ensuite été complètement perdu dans sa complexité et le nombre de possibles suspects et de rebondissements. Ce documentaire en BD était donc bienvenu même si je craignais la sordide ambiance de cette affaire. Ce qui s'est déclaré au grand public par la découverte du corps du jeune Grégory Villemin, 4 ans, flottant dans un sac poubelle sur une rivière, a pour cadre une région campagnarde des Vosges et un réseau familial complexe. Querelles de clochers, rancoeurs familiales et jalousies forment la trame de ce qui a commencé par le harcèlement du fameux "corbeau" envers le couple Villemin mais aussi leurs parents, frères et parfois cousins. Ce harcèlement, fait d'appels téléphoniques avec des voix masquées, parfois masculines parfois féminines, de courriers anonymes mais aussi d'effractions au domicile Villemin durait depuis 1981 et a atteint son apogée avec le meurtre du jeune fils du couple, meurtre aussitôt revendiqué par ce même "corbeau". Et par la suite, l'enquête a duré des dizaines d'années, avec régulièrement de nouveaux suspects et accusés, parmi l'entourage plus ou moins proche du couple Vuillemin et même au sein du couple lui-même. L'ensemble ayant été notamment ponctué par un autre drame, celui du meurtre d'un cousin par le père de Grégory qui a cru venger ainsi la mort de son fils alors que la victime a finalement été elle aussi plus ou moins innocentée. Bref un véritable imbroglio impliquant des dizaines de personnes et pour lequel les auteurs de la BD ont été forcés de fournir un arbre généalogique des principaux concernés en début d'album. Alors que les premières pages de la BD laissent envisager un récit sous la forme d'un polar, avec de vrais héros enquêteurs que l'on aurait pu suivre tout au long de l'album, ce n'était que le temps d'une introduction puisque la suite rejoint davantage la forme d'un documentaire. Nous sommes certes placés auprès des protagonistes eux-mêmes et l'histoire nous raconte ce qu'ils ont vraiment vécu, mais la structure narrative devient de plus en plus hachée tandis que l'on passe d'un fait au suivant, avec régulièrement de nouveaux suspects donc de nouveaux protagonistes. Et le tout est entrecoupé de double pages de textes documentaire et autres extraits de journaux ou de témoignages. C'est instructif, plutôt bien dessiné, relativement clair au début puis un peu plus rébarbatif sur la fin tandis que l'enquête s'enlise et se perd en fausses directions. J'ai appris pas mal de choses sur cette affaire que je connaissais à peine mais j'en ressors aussi perdu que les enquêteurs, toujours incapables de déterminer qui a vraiment tué le petit Grégory et qui était ou qui étaient le ou les corbeaux.

14/12/2024 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Yuzu - La Petite Vétérinaire
Yuzu - La Petite Vétérinaire

Lorsque j'ai emprunté cette série, je pensais tomber sur un manga pour enfants avec une héroïne mini-vétérinaire et appuyant trop sur le côté choupinou des animaux. Les premières pages m'ont fait craindre d'avoir raison en découvrant le nom de la clinique vétérinaire Miawouf et le dessin kawai des chiots, chatons et lapinous qui accueillent l'héroïne avec des petits "ooooh, c'est quiiiii ?!". Mais en fait, cette série n'est pas mal du tout et plutôt intelligente même si elle s'adresse clairement à un jeune public. Elle est structurée en histoires courtes qui sont autant de rencontres avec un nouveau cas vétérinaire, de nouveaux patients animaux et leur maîtres humains. On y reste sur un ton léger et mignon, mais de vraies problématiques y sont abordées, avec d'une part quelques authentiques problèmes de santé de nos animaux de compagnie sous la tutelle experte du vrai vétérinaire de la clinique, l'oncle de l'héroïne, et d'autre part des thématiques psychologiques judicieuses sur le comportement des animaux envers les humains et vice-versa. L'héroïne est simple et passe-partout mais elle est présentée de manière intelligente, sachant trouver les bons mots et bonnes attitudes. Quant aux situations et cas cliniques, ils sont suffisamment variés pour ne pas se révéler répétitifs. C'est mignon, instructif et ça se lit avec plaisir et intérêt.

14/12/2024 (modifier)