Les derniers avis (9286 avis)

Par hanart
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Ceux qui rampent
Ceux qui rampent

Cette album pour l'instant malheureusement sans suite est à mon avis très innovant dans le domaine du fantastique et de l'horreur, puisqu'il propose une ambiance horrifique genre Lovecraft, le tout dans un contexte de fantasy. Le climat est oppressant et cauchemardesque, une vrai réussite. Delmas est un auteur qui mérite la reconnaissance car il est vraiment original et inspiré.

30/09/2008 (modifier)
Par Miranda
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Petites éclipses
Petites éclipses

À la fin de ma lecture, bouche-bée, je me suis posé la question que peut-être d'autres se posent au début : Mais qui sont donc les auteurs ? Je les trouve à la fin de la bd ; Fane et son Joe Bar Team et Jim, qui n'est autre que Téhy auteur de Yiu et Fée et tendres Automates, encore une fois je reste sans voix. Je lis leur préface où ils racontent comment cette idée a germé et là aussi je suis captivée. Des personnages au crayonné vif et léger, plus vrais que nature, que voici réunis pour quatre jours assurément inoubliables. Jean Pierre, marié, deux enfants, qui arrive avec "sa nouvelle amie Jan" rencontrée sur le net, comme un gosse, sauf que le gosse il a déjà 37 ans et la nouvelle copine, elle, 19. Arrive Hubert, 35 ans et joyeux drille. Le couple Dominique 37 ans et Isabelle 32 ans, deux enfants, mariés, heureux ? Pas sûr. Puis Héléna 32 ans fatalement belle mais fatalement seule. Ce n'est pas ici l'habituel week-end entre amis au ton jovial et bon enfant. Ces six amis d'il y a une vingtaine d'années se retrouvent à l'occasion de l'éclipse. Fallait-il qu'un évènement exceptionnel les réunisse tous à nouveau ? Enfin, tous sauf Claire la femme de Jean Pierre restée à la maison avec les mômes, par dépit ? Mais tout va très vite déraper, le couple se déchire, tout le monde s'invective, se jette à la figure des vérités refoulées depuis longtemps, chacun juge l'autre puis est jugé à son tour. Tout ceci n'est que le résultat de leur mal-être, leurs doutes, leurs déceptions, leurs mauvais choix au fil des années, la tension monte… Jusqu'à l'éclipse, ou plutôt "les éclipses", chacun la sienne, pourront-ils comme la lune cache le soleil cacher leur détresse avec leurs mensonges ? Avec beaucoup humour, parfois avec violence, pouvant aller jusqu'à la nausée, les auteurs nous montrent la complexité des sentiments humains et vont pour certains d'entre nous, jusqu'à nous fouiller l'âme. Il n'y a rien d'exagéré dans ce récit, la vérité crue, sans détours, celle qui déplaît, celle qui fait mal et qui dérange. Et que dire des toutes dernières planches ? Dans ce silence où tout est dit...

30/09/2008 (modifier)
Par Spooky
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Le Marathon de Safia
Le Marathon de Safia

Très bonne surprise que ce nouvel album traitant de sport, après Match décisif. Là encore, nous avons une adolescente qui pratique le sport, mais contrairement au héros de l’autre série, elle souhaite ardemment faire du haut niveau. Seulement son père, de confession musulmane, s’y oppose… Un sujet de société fort, mais traité de façon plutôt fine je trouve. Le père, pratiquant mais pas extrémiste, a des convictions, mais est aussi ouvert à la discussion, avec sa fille, avec un éducateur… Il faut dire que lui-même a pratiqué la course de fond dans le désert… La mère de Safia est aussi traitée avec retenue, elle qui n’a pas pu avoir la carrière artistique dont elle rêvait et se retrouve à nettoyer les douches du Stade de France… Son petit frère aussi, adolescent pas rebelle qui veut aider sa sœur. Encore une fois, il y a un rôle d’éducateur, mais il n’est pas omniprésent, on le voit juste à 2-3 reprises. Le parcours de Safia est crédible, un peu exemplaire bien sûr par la suite, mais c’est vraiment le réalisme dans son histoire qui m’a marqué. Safia est concentrée sur son objectif, elle avale les kilomètres, mais n’en oublie pas de bien travailler au lycée, une condition sine qua non pour que ses parents la laissent s’exprimer. Le dessin de Sébastien Verdier est pour moi une découverte. Je m’attendais à un auteur débutant, au trait hésitant, et pour une fois dans une série sportive (la première peut-être), le dessin est vraiment bon, les personnages sont bien proportionnés, les décors sont réalistes… Peut-être encore un manque de réalisme sur certains visages, mais c’est pour chipoter. Et, point positif, pour une fois le sport ne fait pas tache dans l’histoire. Il est au centre, mais est traité de façon très intelligente, on ne s’ennuie pas du tout dans les scènes de foulées de Safia… L’album comporte en annexes un historique du marathon, des origines antiques aux grandes performances, mais aussi une bibliographie multimédia sur le sujet. Il s’agit là d’un bel album, très intéressant, pédagogique, bien mené, très bien illustré. A lire.

30/09/2008 (modifier)
Par chicojo
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Sept yakuzas
Sept yakuzas

Rien à dire de plus : j'ai dévoré ce tome. De l'action, une vraie trame qui n'est pas bâclée pour cause de manque de pages (comme dans les précédents tomes), une chronologie faite de flashback très facile à suivre et mettant l'histoire bien en place, une ambiance très orientale et agréable (surtout que je ne suis pas fan de mangas)... Bref, avec les Sept Missionnaires, il s'agit pour moi du meilleur tome de la série.

29/09/2008 (modifier)
Par popak
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Lune de guerre
Lune de guerre

En quelques mots : contrairement au Le Diable des sept mers, ici on est en présence d'un scénario en béton. Le suspense en crescendo et une fin en apothéose. Des dessins magnifiques. Un des meilleurs on-shots de la BD. Un petit bijou.

29/09/2008 (modifier)
Par Katz
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Gals
Gals

Haut dans le ciel, brillent les étoiles... Et, au ras de terre, triment les pauvres mortels. C'est certainement parce qu'elle brille tout là haut dans le ciel qu'Altaïr n'a point vu les petites lueurs qui, telles des lucioles, illuminent ce manga. Certes, Gals ne vogue point dans les hautes sphères célestes, mais se traîne plutôt dans les fanges terrestres, avec une certaine grâce, ma foi. La Terre et le Ciel. Tenshi, disent les Japonais, qui ont emprunté le concept aux Chinois. Dans Gals, il est peut-être plus de Terre que de Ciel, car c'est bien d'ici et maintenant que "cause" cette série, histoire apparemment banale et hautement superficielle d'une petite kogal (parfois aussi écrit kogaru, mot japonais prononcé "kogalou", qui est le phonétique nippon de "kogal"). Néanmoins, c'est un autre concept d'origine chinoise, et plus précisément taoïste, qu'il faudrait invoquer pour évoquer toute la richesse méconnue de Gals : le vide et le plein. A première vue, Gals est d'une vacuité affligeante. Et c'est aussi, je dois l'admettre, ce qui fit son charme lorsque j'avais besoin de reposer mon esprit de complexes réflexions un peu trop éthérées... Néanmoins, derrière cette vacuité apparente, se cache un véritable trésor. Certes, de même que l'on dit que la beauté réside d'abord dans les yeux de celui (ou celle) qui regarde, de même ce trésor résidait d'abord dans le prisme de ma vision toute personnelle. Ainsi, j'ai fort apprécié la plupart des petites idylles qui construisent la trame de ce manga. C'est mon petit côté "fleur bleue", elles ont su toucher "my heart" (ainsi qu'on le dirait dans Gals ;-p). Oui, l'adoration de Miyu, l'ex-gang girl, envers le policier "tout beau, tout propre" est potentiellement très énervante à nos yeux raffinés d'Européens sophistiqués et hyper-cultivés. Néanmoins, que voilà enfin un peu de fraîcheur qui change de ce cynisme qu'il faudrait afficher en tout lieu, et tout temps, pour sembler perspicace et subtil. L'admiration (est-ce de l'amour?) que voue "n°2" à Ran Kotobuki frise certes le pathétique, mais la mangaka sait lui tracer un destin qui est touchant, derrière son apparente miévrerie, un peu "brutale", il est vrai... Quant à la relation entre Rei et une des jeunes filles du groupe, elle est parfois glaçante, souvemment saugrenue et incompréhensible. A nos yeux d'Européens, du moins. Car voilà en effet la base du prisme personnel que j'évoquais. À savoir ma connaissance de la civilisation japonaise. Laquelle n'est certes point encyclopédique (loin, très loin de là). Mais, en l'état de ce qu'elle est, telle fut donc mon impression. Voilà qui explique que je n'ai pas hésité à employer des concepts aussi fort que Ciel et Terre, ou parler de taoïsme. Le vide et le plein... Du plein naît le vide. Et du vide nait le plein. Yin, et Yang... Si ce n'était donc que les amourettes de Gals, je n'eus point mis un 4/5, un "coup de coeur", et conseillé l'achat de la série. Mais, derrière l'apparence du "vide" de Ran, se cache le "plein" qui nous dévoile certains problèmes lancinants d'une société. C'est, du moins, ce que j'ai lu dans Gals. Une sorte de satire sociale, dont le porte-voix est, comme dans toute satyre, une sorte de clown. Un bouffon... Et qui de mieux que le bouffon peut hurler au Roi ce qui cloche en son beau royaume ? Alors, certes, je ne suis point un spécialiste de la civilisation japonaise et du Japon, et je ne suis non plus dans la tête de la mangaka. Il est donc parfaitement possible que le prisme de cette connaissance qui m'a amené à une analyse "sociologique" de Gals soit parfaitement biaisé. Mais que je vous expose donc les éléments qui ont fondé ce point de vue : - Qui est donc Ran Kotobuki ? Une fille qui s'assume comme une cancre, et le revendique haut et fort, en appelant le reste de la société à en faire aussi peu qu'elle-même, et à se moquer autant qu'elle-même de l'avis des autres. Autrement dit, au pays de l'Excellence (scolaire et nationale) divinisée, et des conventions sociales parfois étouffantes : une quasi-révolutionnaire. - De même, qui est Rei Otohata ("n°1", le "bô mec") ? Apparemment, un japonais classique au-dessus de tout soupçon, si ce n'est son amour de la mode. En effet, il est travaille très bien en classe, il est donc "populaire". Sauf que... Rei Otohata semble l'incarnation même de l'égoïste achevé et cynique. Non point d'ailleurs égocentrique, car il ne semble pas penser que le monde tourne autour de lui. Les conventions qui voudraient qu'il fit semblant de s'intéresser aux autres, voire qu'il rassurant sa petite amie par des mots de réconfort ? Il n'en a cure. Si tu n'es pas suffisamment fort(e) pour avoir une relation avec Rei Otohata, alors, passe ton chemin. Dans un contexte européen, Rei Otohata c'est du mille fois vu. Dans un contexte japonais, il me semble bien que son attitude est aussi "révolutionnaire", du moins anti-conformiste, que celle de Ran. Certes, le Japon évolue, mais tout de même... D'autant qu'avec son côté bon élève "propre sur soi", et qui ne fait pas de vagues, Rei Otohata est finalement bien plus déstabilisant que la clown de service : Ran. Les sociétés humaines acceptent d'ailleurs bien plus souvent les bouffons, qu'elles placent dans la case "fous", que ceux qui sapent leurs fondements de l'intérieur même du système... Bref, derrière la pseudo-vacuité assumée, et clamée, de son héroïne, et ses historiettes à l'eau de rose, Gals m'apparaît fort comme une charge contre les carcans "quotidiens" de la société japonaise. Car de quoi nous parlent nombre d'histoires de cette série ? De pression sociale, de cet infernal sentiment d'une écrasante pression que ressentiraient bon nombre de Japonais, qui asphyxie toute initiative, toute personnalité. Certes, le trait est certainement forcé. Le Japon n'est pas cette fourmilière que décrivaient certains, et le Japon bouge. Dans le domaine du refus des conventions sociales phagocytantes, Gals est d'ailleurs certainement plus suiviste que précurseur. Néanmoins, il m'apparaît (si mon analyse est fondée), comme un très intéressant témoin de cette "révolte silencieuse", de ce mouvement en profondeur de la société japonaise vers plus d'individualisme, d'une révolution tranquille qui n'aurait absolument pas pour but de mettre à bas une société que, par ailleurs, on apprécie, mais que l'on souhaite faire évoluer selon ses goûts... Un témoin d'autant plus intéressant qu'il se masque derrière une histoire apparemment mineure, et ce qui pourrait paraître comme une incongruité : une satyre à l'eau de rose. Un objet, donc, qui ne trouvera point son havre en toutes mains. Car si vous appréciez les satires, encore faudra-t-il que vous aimiez aussi... l'eau de rose.^^

18/04/2007 (MAJ le 29/09/2008) (modifier)
Par Katz
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Sur les Terres d'Horus
Sur les Terres d'Horus

Dans Sur les Terres d'Horus, c'est à une captivante croisière, qui déborde largement le Dieu Fleuve, qu'Isabelle Dethan nous convie. Des marais de Pa-Yom, aux déserts brûlants de Nubie, des escarpements rocheux de la Vallée des Rois, aux splendeurs de Pi-Ramsès, le trait d'Isabelle Dethan nous restitue une envoûtante Égypte pharaonique, en ces temps lointains dénommée Kemet — La Terre Noire. Noire dans certaines de ses âmes certes, mais sous le pinceau de notre scribe moderne, cette Égypte aujourd'hui disparue brille d'une myriade d'éclats chatoyants, qui nous donneraient fort envie d'y avoir vécu, ou de pouvoir nous y transporter par le biais de quelque magie possédée par les anciens prêtres de ce fascinant pays. Alors, certes, l'Égypte qui revit ainsi par les aquarelles lumineuses d'Isabelle Dethan est une Égypte fictive. Et il serait assez illusoire de prendre Sur les Terres d'Horus pour un pur documentaire historique, car l'Histoire connaît des lacunes et des hésitations que les auteurs de fiction n'ont pas, et ne peuvent guère se permettre d'avoir. Il en va ainsi de la cour de pharaon, dont un égyptologue m'avait tranquillement expliqué qu'elle est ce que nous connaissons le plus mal de l'Égypte ancienne, et qu'il faut donc oublier espérer en restituer quoi que ce fut qui soit historique. De la vie de cour de pharaon, nous n'avons que des aperçus. De sa vie intime ou privée, il va de même. Si l'on excepte le harem, mieux connu, en particulier grâce au fameux complot qui eut lieu sous Ramsès III. Mais le harem et la cour, ce sont deux mondes différents. Ces précautions étant posées, et malgré quelques autres simplifications regrettables (les vêtements, qui sont tous blancs ou presque, alors que les Égyptiens savaient teindre et tisser des vêtements multicolores), la tentative de restauration que propose Isabelle Dethan est bien trop sublime pour qu'on se laisse point emporter par elle en une douce contemplation rêveuse au fil d'un Nil remontant, ou descendant. Et c'est d'ailleurs à elle que cette oeuvre doit l'essentiel des quatre étoiles que je lui ai attribuées. Car si les décors sont sublimes, les aventures, elles, sont beaucoup moins convaincantes. La première histoire, centrée autour de Seth, m'a fait craindre le pire quand au réemploi d'un cliché éculé, et par ailleurs totalement faux. Néanmoins, Isabelle Dethan, qui s'était bien documentée, parvient à l'éviter. Cependant, voici encore une sourde conjuration sectaire orchestrée autour de Seth... Pas très original au final. Non plus que dans le lieu où se clôt le premier diptyque, grandiose certes, mais qui est un cliché vu et revu de la littérature d'aventure "dans l'Afrique méconnue" depuis le XIXe siècle. Le second diptyque est, lui, certes un peu plus original, mais étalée sur deux tomes, cette histoire qui n'en valait qu'un ou un et demi perd en intensité ce qu'elle gagne à peine en profondeur. L'ennui, souvent, se profile à l'orée des pages du quatrième tome... Cependant, et c'est là ce qui explique finalement les quatre étoiles au lieu des trois, Isabelle Dethan me semble réussir une belle galerie de personnages au fil de ses intrigues. C'est d'ailleurs en eux, dans les relations qui se tissent, se nouent et dénouent, dans l'évolution de leur psychologie, qu'Isabelle Dethan semble avoir porté toute son attention, faisant de ses intrigues policières presque un simple canevas secondaire. Du moins à mes yeux. Les eut-elle cependant réussi, que cette BD — une des rares de qualité sur l'Égypte — eut incontestablement mérité la note maximale, avec les applaudissements enthousiastes du jury. Quant à la suite, sise en Babylonie, voilà qui laisse le même jury des plus sceptiques. L'Égypte recélait-elle si peu de trésors qu'il fallut déjà l'abandonner ? Je comprends certes le désir d'Isabelle Dethan d'aller voir ailleurs, néanmoins nous voilà bien loin des Terres d'Horus, et j'eus de loin préféré que la restitution fictive de Kemet fut approfondie, et de nouvelles pistes ouvertes et explorées. Espérons que cela vienne pour de nouveaux tomes.

15/05/2007 (MAJ le 29/09/2008) (modifier)
Par Ems
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Les Ensembles contraires
Les Ensembles contraires

Après la lecture du 1er tome : Je suis impressionné par la sincérité qui se dégage de cette BD. Si les auteurs mettent les formes, ils fournissent le fond sans fioritures !!! Tout m'a plu dans ce premier tome : - Le titre : impossible de trouver mieux pour résumer en si peu de mots les 2 personnages principaux (qui sont d'ailleurs les scénaristes puisqu'il s'agit d'une autobiographie croisée). - Le scénario : des petites tranches de vie qui apportent une vision du quotidien des protagonistes. Certaines joyeuses, d'autres crues et difficiles. Mais l'ensemble s'appuyant sur les souvenirs, est fluide et captivant malgré la banalité de certains faits et gestes. La relation entre les 2 personnages évolue avec les décors et les rencontres. Cette BD est vivante. - Le dessin : au service des scénaristes, il retranscrit simplement et fidèlement le récit. Il est même impressionnant dans son rendu pour les moments graves. Petit plus perso : les lieux qui me sont familiers et les auteurs qui ont plus ou moins le même âge. Ces facteurs m'ont certainement aidé à mieux entrer dans leur histoire et me rappellent beaucoup de souvenirs. Vivement le T2.

28/09/2008 (modifier)
Par Tomeke
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Château l'Attente
Château l'Attente

Coup de cœur pour cette petite (mais imposante) merveille ! Premièrement, la qualité d’édition tient toutes ses promesses. L’objet en tant que tel est magnifique ; un puissant « ouaw ! » précède l’ouverture impatiente de l’album. L’histoire ensuite m’a, pour ma part, complètement charmé, envouté et transporté dans cette sérénité gentille, dans cette paix communicative, dans cet humour à la fois léger et dosé, dans cette fantaisie si particulière, dans cet univers enfantin mais recherché à la fois… Les personnages sont attachants, et la magie du récit fait le reste ! Les dessins sont à l’image de la construction du récit : simples mais magiques ! Je peux cependant reconnaître que certaines planches et personnages semblent figés. Qu’à cela ne tienne, le charme de l’ensemble opère. En conclusion, je suis d’ores et déjà impatient de découvrir la suite. Cet album est un condensé (de 457 planches tout de même) de simplicité, de paix, de joie, d’aventure et de fantaisie. N’hésitez pas, plongez dans cet univers ; la lecture de cet album est simplement un moment de détente remarquable !

27/09/2008 (modifier)
Par nathalie
Note: 4/5 Coups de coeur expiré
Couverture de la série Maliki
Maliki

J'ai découvert Maliki grâce à son site, et franchement je n'ai jamais été déçue. Il a une facilité à décrire les évènements de la vie quotidienne. J'imagine que les parisiens peuvent préférer cette bd, aux personnes de province, car il y a beaucoup de vécu autour de Paris. Mais je trouve vraiment qu'il gagne à être connu. Les dessins sont superbement bien faits... et je ne vais pas être originale pour ceux qui connaissent la bd... mais j'ai un petit faible pour... FEANOR... il est trop chou !!!

25/09/2008 (modifier)