Excellente Bd de Miller une fois de plus !
D'abord graphiquement, le noir et blanc est superbe, dynamique et expressif à souhait, aidé en plus par un découpage survitaminé. Les couleurs achèvent de planter l'ambiance d'antiquité et de guerre.
Un vrai must, à condition de comprendre que les intentions de l'auteur (comme celui du film) étaient de faire de l'heroic fantasy à partir de faits historique -comme Conan le Barbare avec la préhistoire- et on a une histoire faite de résistance dans le bon sens du terme.
THIS IS SPARTAAAAAAA !!!!!
Voici une BD fraîche, originale, que j'ai vraiment aimée.
C'est une enquête menée par une jeune fille prude au coeur d'un bordel. Les personnages que l'on y rencontre sont hauts en couleurs et pour la plupart attachants. Quant à l'héroïne, sous ses airs de ne pas y toucher se cache un caractère bien trempé et une volonté de feu.
Il n'y a pas de temps mort dans cette série qui se conclue en 2 tomes, par une fin à la Agatha Christie (mais qui peut bien être ce meurtrier ???).
Les dessins -et les couleurs- collent parfaitement à l'histoire.
Coup de coeur pour cette histoire qui ne vous décevra pas !
Sublime !
Baku et Taniguchi nous emmènent à la fois sur les sommets du monde et au plus profond des alpinistes qui tentent de gravir ces montagnes.
Dès le premier tome, nous faisons connaissance avec des hommes d'une incroyable volonté et passionnés, et nous partons avec eux dans leurs aventures. La série monte progressivement en intensité avec les différentes tentatives de Habu Joji, alpiniste de caractère, jusqu'à faire le plus incroyable des paris. Un petit bémol tout de même pour le 3ème tome qui se recentre sur l'histoire de l'appareil photo et qui m'a donc moins intéressée.
Ce qui m'a le plus plu dans cette série, c'est la façon dont l'auteur nous fait rentrer dans l'esprit des héros. La passion de la montagne est plus forte que tout, même plus forte que la mort. Et ceci n'est pas exagéré : je vis au coeur des Alpes et la montagne peut parfois se montrer cruelle. Malgré les risques, l'envie est toujours plus forte. La montagne nous arrache des personnes chères, mais on continue à l'aimer comme une soeur... Elle fait partie intégrante de notre vie.
Les dessins de Taniguchi sont sublimes, les paysages sont très beaux, ils donnent parfois le vertige ! Certains passages du texte sont exagérés, gros et en gras, mais ceci n'a pas gêné ma lecture.
Une série magnifique que je conseille vivement à tous.
Que la montagne est belle...
Aventure, exotisme et aviation, voilà un cocktail réussi et ensoleillé qui m'a plutôt charmé. Nous suivons avec Tucker une vraie aventure à l'ancienne, une aventure façon film de Belmondo dont le héros partage d'ailleurs la même bouille. C'est frais, dynamique, simple et prenant à la fois.
Walther Taborda est au dessin. Egalement dessinateur de Big Bill est mort et Un Paradis distant, il change de style graphique à mes yeux pour Tucker. Son trait net, ses hachures, m'y rappellent un je ne sais quoi du graphisme d'Andreas que j'adore. S'y ajoutent quelques légers aspects sympathiquement désuets dont je ne sais s'ils sont voulus mais qui ajoutent à l'ambiance "aventure à l'ancienne" du récit.
J'apprécie moins son encrage qui devient plus gras par moment quand il veut différencier des personnages au premier plan d'autres à l'arrière, mais cela passe. Et je dois dire que la bouille de Bébel du héros me le rend tout de suite nettement plus attachant.
Régis Hautière est au scénario et on ne le présente plus quand il s'agit de raconter des histoires d'aviation (Au-delà des nuages, Le Dernier Envol, Dog fights). Il maîtrise son domaine et se fait plaisir tout en faisant plaisir aux lecteurs.
Acrobates aériens, fidèles mécanos, pilote baroudeur, jolie blonde, Amazonie, chercheurs d'or, pirates du ciel, indiens, rival américain, personnages attachants... Autant d'ingrédients qui forment une histoire pleine de fraicheur, d'action et de ce sens de l'aventure simple et exotique qui manque à beaucoup de BDs actuelles.
Une petite réussite qui ne se prend pas la tête et se lit avec un vrai plaisir.
C'est excellent !!!!
Bien dessiné, bourré d'humour, plein d'action, de rebondissements inattendus, de princesse oubliée, de méchants très méchants. Malgré le pavé (one volume édition), je n'ai pas pu le poser un instant.
Evidemment, cela s'adresse uniquement au lecteur sensible à l'heroic fantasy car très peu de réflexion derrière tout cela. Et d'ailleurs, c'est ce qui manque pour être culte.
Cet album aurait pu s'appeler "Ces petites choses qui nous cassent les couilles au quotidien, mais qui font le sel de la vie". C'est un peu comme ça qu'on pourrait le résumer.
Barranger nous emmène sur les chemins de la vie, sur celle des petites et grosses contrariétés, sur les aléas de la vie, mais aussi sur les traces d'un vieil homme qui aime bien faire des farces au crépuscule de sa vie. Le destin de Clémence est tellement émouvant qu'on ne peut, même malgré ce qu'elle fait à ses parents, réellement lui en vouloir.
C'est frais, c'est surprenant, c'est vraiment bon. Et le dessin de l'auteur est très agréable, malgré une orientation semi réaliste qui peut surprendre de prime abord. Attention aux personnages qui s'entrecroisent, ça peut dérouter pendant quelques minutes, mais franchement c'est un excellent one shot, qui vaut le détour, et l'achat.
Petite BD sympa, "Passages" est un objet rare puisque le tirage initial fut de 200 exemplaires.
Le scénario de Loïc Dauvillier est simple, mais efficace : croquer les passages devant ce vieil arbre et cet arrêt de bus. Je ne sais pas si cela a été fait sur la longueur d'une BD auparavant (celle-ci fait 32 pages), mais c'est frais.
Ce scénario basique permet de mettre en avant le talent d'un jeune auteur, Thibault Poursin, dont c'est la première réalisation à ma connaissance, et qui révèle un joli trait, à la fois aérien, millimétré mais pas minimaliste, que l'on pourrait d'ailleurs qualifier de mignon, sans connotation péjorative.
Cela donne un petit album sympa, certes vite lu, mais vers lequel on peut revenir pour passer un instant bien sympathique.
C’est bien simple, cette BD est superbe. Tout d’abord dans sa présentation, puisque Paquet, l’éditeur, a parfaitement soigné la présentation de cet album : Un grand format dont la couverture ne manque pas d’attirer l’œil et une belle tranche épaisse qui se repère facilement, une fois rangée dans ma bibliothèque.
L’histoire est elle prenante et touchante d’un bout à l’autre de la BD. Prenante car on rentre dans le vif du sujet dès le début en se demandant qui a tué Big Bill, et nombreux sont les gens à avoir souhaité sa mort. Touchante car on va vite comprendre que dans la petite ville de Rockwell Town, il ne fait pas bon avoir la peau noire.
Cette histoire est superbement mise en images, les cases sont grandes et colorées, on profite pleinement du dessin de Taborda dont j’ai vraiment adoré le style. Son coup de crayon met vraiment en valeur les personnages.
Une bien belle BD qui mériterait d’être un peu plus connue. C’est en tout cas mon coup de cœur du moment.
Tome 1
Antarès commence bien, très bien même. Les enjeux de cette nouvelle planète diffèrent de Bételgeuse, les préoccupations des personnages aussi, surtout celles de Kim, dont les angoisses sont dépeintes de manière convaincante, alors que le réalisme psychologique n’est pourtant pas le fort de Léo (les deux séries précédentes comportaient parfois quelques aberrations en la matière). Et puis surtout, Leo exploite toujours aussi bien cette fascination-répulsion de l’être humain face à l’inconnu et ses dangers. Cette planète recèle de dangers et cela s’avère palpitant.
Mon verdict est sans appel : ce premier tome est une très bonne mise en place. Indispensable.
A l'origine cette BD fut pour moi un vrai coup de coeur. Lorsque j'ai ouvert le premier album j'ai été fasciné dès les premières pages par les décors et les couleurs, ensuite je me suis laissé piéger par l'histoire fascinante : les mésaventures de Terriens qui colonisent la planète Aldébaran mais qui perdent tout contact avec la Terre et qui sont confrontés à un "animal" gigantesque et surprenant : la mantrisse. Cette mantrisse sera le pivot de l'histoire tout au long des 5 albums.
Léo parvient à créer un univers fantastique dans lequel la faune et la flore s'exposent sous nos yeux ébahis et chaque page nous réserve de nouvelles surprises. On découvre progressivement les différents protagonistes de cette histoire et on s'y attache rapidement, même si Marc m'agace un peu. C'est aussi l'occasion de découvrir le goût de Léo pour dessiner des femmes plantureuses qu’il effeuille à de nombreuses reprises.
L’intrigue autour de la mantrisse est très bien menée, des indices sont dévoilés petit à petit et maintiennent notre curiosité en éveil au final ; lorsque l’on achève le dernier tome on n’a qu’une hâte : aller acheter le deuxième cycle Bételgeuse.
Juste un petit bémol, je trouve que Léo ne parvient pas à bien restituer les sentiments sur les visages de ses personnages. Il est vrai qu’il prend le parti de faire des gros plans sur les visages et là les approximations ne pardonnent plus. Lorsque Kim feint la surprise on se demande si ce n’est pas de la peur qui apparaît sur son visage !
Sans ce reproche j’aurais mis un 5/5.
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300
Excellente Bd de Miller une fois de plus ! D'abord graphiquement, le noir et blanc est superbe, dynamique et expressif à souhait, aidé en plus par un découpage survitaminé. Les couleurs achèvent de planter l'ambiance d'antiquité et de guerre. Un vrai must, à condition de comprendre que les intentions de l'auteur (comme celui du film) étaient de faire de l'heroic fantasy à partir de faits historique -comme Conan le Barbare avec la préhistoire- et on a une histoire faite de résistance dans le bon sens du terme. THIS IS SPARTAAAAAAA !!!!!
Miss Pas Touche
Voici une BD fraîche, originale, que j'ai vraiment aimée. C'est une enquête menée par une jeune fille prude au coeur d'un bordel. Les personnages que l'on y rencontre sont hauts en couleurs et pour la plupart attachants. Quant à l'héroïne, sous ses airs de ne pas y toucher se cache un caractère bien trempé et une volonté de feu. Il n'y a pas de temps mort dans cette série qui se conclue en 2 tomes, par une fin à la Agatha Christie (mais qui peut bien être ce meurtrier ???). Les dessins -et les couleurs- collent parfaitement à l'histoire. Coup de coeur pour cette histoire qui ne vous décevra pas !
Le Sommet des dieux
Sublime ! Baku et Taniguchi nous emmènent à la fois sur les sommets du monde et au plus profond des alpinistes qui tentent de gravir ces montagnes. Dès le premier tome, nous faisons connaissance avec des hommes d'une incroyable volonté et passionnés, et nous partons avec eux dans leurs aventures. La série monte progressivement en intensité avec les différentes tentatives de Habu Joji, alpiniste de caractère, jusqu'à faire le plus incroyable des paris. Un petit bémol tout de même pour le 3ème tome qui se recentre sur l'histoire de l'appareil photo et qui m'a donc moins intéressée. Ce qui m'a le plus plu dans cette série, c'est la façon dont l'auteur nous fait rentrer dans l'esprit des héros. La passion de la montagne est plus forte que tout, même plus forte que la mort. Et ceci n'est pas exagéré : je vis au coeur des Alpes et la montagne peut parfois se montrer cruelle. Malgré les risques, l'envie est toujours plus forte. La montagne nous arrache des personnes chères, mais on continue à l'aimer comme une soeur... Elle fait partie intégrante de notre vie. Les dessins de Taniguchi sont sublimes, les paysages sont très beaux, ils donnent parfois le vertige ! Certains passages du texte sont exagérés, gros et en gras, mais ceci n'a pas gêné ma lecture. Une série magnifique que je conseille vivement à tous. Que la montagne est belle...
Tucker
Aventure, exotisme et aviation, voilà un cocktail réussi et ensoleillé qui m'a plutôt charmé. Nous suivons avec Tucker une vraie aventure à l'ancienne, une aventure façon film de Belmondo dont le héros partage d'ailleurs la même bouille. C'est frais, dynamique, simple et prenant à la fois. Walther Taborda est au dessin. Egalement dessinateur de Big Bill est mort et Un Paradis distant, il change de style graphique à mes yeux pour Tucker. Son trait net, ses hachures, m'y rappellent un je ne sais quoi du graphisme d'Andreas que j'adore. S'y ajoutent quelques légers aspects sympathiquement désuets dont je ne sais s'ils sont voulus mais qui ajoutent à l'ambiance "aventure à l'ancienne" du récit. J'apprécie moins son encrage qui devient plus gras par moment quand il veut différencier des personnages au premier plan d'autres à l'arrière, mais cela passe. Et je dois dire que la bouille de Bébel du héros me le rend tout de suite nettement plus attachant. Régis Hautière est au scénario et on ne le présente plus quand il s'agit de raconter des histoires d'aviation (Au-delà des nuages, Le Dernier Envol, Dog fights). Il maîtrise son domaine et se fait plaisir tout en faisant plaisir aux lecteurs. Acrobates aériens, fidèles mécanos, pilote baroudeur, jolie blonde, Amazonie, chercheurs d'or, pirates du ciel, indiens, rival américain, personnages attachants... Autant d'ingrédients qui forment une histoire pleine de fraicheur, d'action et de ce sens de l'aventure simple et exotique qui manque à beaucoup de BDs actuelles. Une petite réussite qui ne se prend pas la tête et se lit avec un vrai plaisir.
Bone
C'est excellent !!!! Bien dessiné, bourré d'humour, plein d'action, de rebondissements inattendus, de princesse oubliée, de méchants très méchants. Malgré le pavé (one volume édition), je n'ai pas pu le poser un instant. Evidemment, cela s'adresse uniquement au lecteur sensible à l'heroic fantasy car très peu de réflexion derrière tout cela. Et d'ailleurs, c'est ce qui manque pour être culte.
Tante Lydie et moi
Cet album aurait pu s'appeler "Ces petites choses qui nous cassent les couilles au quotidien, mais qui font le sel de la vie". C'est un peu comme ça qu'on pourrait le résumer. Barranger nous emmène sur les chemins de la vie, sur celle des petites et grosses contrariétés, sur les aléas de la vie, mais aussi sur les traces d'un vieil homme qui aime bien faire des farces au crépuscule de sa vie. Le destin de Clémence est tellement émouvant qu'on ne peut, même malgré ce qu'elle fait à ses parents, réellement lui en vouloir. C'est frais, c'est surprenant, c'est vraiment bon. Et le dessin de l'auteur est très agréable, malgré une orientation semi réaliste qui peut surprendre de prime abord. Attention aux personnages qui s'entrecroisent, ça peut dérouter pendant quelques minutes, mais franchement c'est un excellent one shot, qui vaut le détour, et l'achat.
Passages
Petite BD sympa, "Passages" est un objet rare puisque le tirage initial fut de 200 exemplaires. Le scénario de Loïc Dauvillier est simple, mais efficace : croquer les passages devant ce vieil arbre et cet arrêt de bus. Je ne sais pas si cela a été fait sur la longueur d'une BD auparavant (celle-ci fait 32 pages), mais c'est frais. Ce scénario basique permet de mettre en avant le talent d'un jeune auteur, Thibault Poursin, dont c'est la première réalisation à ma connaissance, et qui révèle un joli trait, à la fois aérien, millimétré mais pas minimaliste, que l'on pourrait d'ailleurs qualifier de mignon, sans connotation péjorative. Cela donne un petit album sympa, certes vite lu, mais vers lequel on peut revenir pour passer un instant bien sympathique.
Big Bill est mort
C’est bien simple, cette BD est superbe. Tout d’abord dans sa présentation, puisque Paquet, l’éditeur, a parfaitement soigné la présentation de cet album : Un grand format dont la couverture ne manque pas d’attirer l’œil et une belle tranche épaisse qui se repère facilement, une fois rangée dans ma bibliothèque. L’histoire est elle prenante et touchante d’un bout à l’autre de la BD. Prenante car on rentre dans le vif du sujet dès le début en se demandant qui a tué Big Bill, et nombreux sont les gens à avoir souhaité sa mort. Touchante car on va vite comprendre que dans la petite ville de Rockwell Town, il ne fait pas bon avoir la peau noire. Cette histoire est superbement mise en images, les cases sont grandes et colorées, on profite pleinement du dessin de Taborda dont j’ai vraiment adoré le style. Son coup de crayon met vraiment en valeur les personnages. Une bien belle BD qui mériterait d’être un peu plus connue. C’est en tout cas mon coup de cœur du moment.
Antarès
Tome 1 Antarès commence bien, très bien même. Les enjeux de cette nouvelle planète diffèrent de Bételgeuse, les préoccupations des personnages aussi, surtout celles de Kim, dont les angoisses sont dépeintes de manière convaincante, alors que le réalisme psychologique n’est pourtant pas le fort de Léo (les deux séries précédentes comportaient parfois quelques aberrations en la matière). Et puis surtout, Leo exploite toujours aussi bien cette fascination-répulsion de l’être humain face à l’inconnu et ses dangers. Cette planète recèle de dangers et cela s’avère palpitant. Mon verdict est sans appel : ce premier tome est une très bonne mise en place. Indispensable.
Aldébaran
A l'origine cette BD fut pour moi un vrai coup de coeur. Lorsque j'ai ouvert le premier album j'ai été fasciné dès les premières pages par les décors et les couleurs, ensuite je me suis laissé piéger par l'histoire fascinante : les mésaventures de Terriens qui colonisent la planète Aldébaran mais qui perdent tout contact avec la Terre et qui sont confrontés à un "animal" gigantesque et surprenant : la mantrisse. Cette mantrisse sera le pivot de l'histoire tout au long des 5 albums. Léo parvient à créer un univers fantastique dans lequel la faune et la flore s'exposent sous nos yeux ébahis et chaque page nous réserve de nouvelles surprises. On découvre progressivement les différents protagonistes de cette histoire et on s'y attache rapidement, même si Marc m'agace un peu. C'est aussi l'occasion de découvrir le goût de Léo pour dessiner des femmes plantureuses qu’il effeuille à de nombreuses reprises. L’intrigue autour de la mantrisse est très bien menée, des indices sont dévoilés petit à petit et maintiennent notre curiosité en éveil au final ; lorsque l’on achève le dernier tome on n’a qu’une hâte : aller acheter le deuxième cycle Bételgeuse. Juste un petit bémol, je trouve que Léo ne parvient pas à bien restituer les sentiments sur les visages de ses personnages. Il est vrai qu’il prend le parti de faire des gros plans sur les visages et là les approximations ne pardonnent plus. Lorsque Kim feint la surprise on se demande si ce n’est pas de la peur qui apparaît sur son visage ! Sans ce reproche j’aurais mis un 5/5.