J’ai découvert la série ZOO lors de la parution du tome 2 en 1999… Quel choc !
Une beauté graphique et une histoire pleine d’émotions… Dès la première lecture, j’ai été enthousiasmé… La profondeur des personnages, la capacité des auteurs à les rendre attachants ont aidé au fil des relectures à garder intact le plaisir primal… Et peut-être même à l’accroître au fur et à mesure que les personnages me devenaient plus familiers… Et à chaque fois, en fermant le deuxième tome, je me demandais :
[SPOILER]
« Alors, que deviennent-ils ?
Papa Célestin et la guerre ? Revient, revient pas ?
Anna va-t-elle avoir un nouveau nez que lui aurait modelé Buggy ?
Manon va-t-elle, à l’instar du zoo, dépérir ?
Etc, etc… »
[FIN SPOILER]
Et voila… Le tome 3 est paru… J’ai relu l’intégralité de la série… L’émotion est intacte… J’avais un peu d’appréhension… Comment 8 années d’absence allaient-elles peser sur cette histoire ? Et très vite, oubliées les craintes… Je me suis fait embarquer. Presque à croire que j’attrapais un petit cœur de midinette. (Excusez-moi mesdemoiselles)…
Bravo messieurs les auteurs… Et surtout merci pour ce moment de bonheur intense…
J’ai rangé les albums en bonne place dans ma bibliothèque… Avec une petite pointe de tristesse car l’aventure normande semble bien terminée… Il ne me reste plus qu’à relire et faire lire…
Excellente et malheureusement trop méconnue suite d'aventures où se mêlent far west, humour et quelque fois magie. Une brochette de "gueules" s'entrecroisent et se déglinguent à tout va. La plupart des personnages, hommes et femmes, vendraient père et mère pour quelques dollars et les confrontations sont toujours détonantes et jubilatoires.
Les faiblesses de scenario sont très rares et le dessin un rien pointilliste regorge de détails. Une des meilleures représentations de chevaux lancés à toute allure.
Mon seul regret ? Pas de suite au numéro 21.
Que dire sur cette bd magnifique, ses héros et ses personnages secondaires savoureux : le capitaine Boone, monsieur de cigognac, bombastus et... Eusèbe "ô fatal rongeur ! némésis lagomorphe ! jonas aux longues oreilles qui va attirer sur ce galion épouvante et malheur"
Bientôt 15 ans de bonheur et encore 2 tomes avant la fin de l'épopée ! "Epouvante et malheur, noyés blafards au rictus ourlé de polypes".
Tout y est : Dessin ciselé, couleurs vivifiantes, trognes de pirates, trahisons, amours, coups de théâtre, duel de rixme "au premier sang ? au dernier mot !". En un mot : une merveille.
La jeunesse d'eusèbe devrait suivre dans 3 ans pour expliquer la raison de sa présence aux galères.
Un manga comme on en a rarement lu.
J'ai eu tout autant de plaisir à lire cette série car je l'avais tout d'abord vue et j'ai été grandement réjoui qu'elle n'ait pas la même chronologie. J'ai eu l'impression de redécouvrir ce manga tout simplement magnifique. Les dessins y sont d'une propreté déconcertante. Les personnages sont très attachants et très intéressants, humainement parlant. Un scénario, du jamais vu !
De loin un de mes mangas préférés.
C'est l'histoire complètement improbable d'un peintre embarqué dans une aventure de pirates...
Si vous aimez l'aventure, vous ne pouvez pas passer à côté de cette BD : on ne sait jamais ce qu'il va se passer.
Pas de temps mort, la narration est captivante tout au long de l'histoire. Tour à tour émouvant, drôle, triste et parfois même cruel.
On est à la hauteur des meilleurs Pratt, Bilal ou Bourgeon.
Le dessin est un peu "difficile" au début. Après acclimatation, on se rend compte qu'il sert parfaitement le sujet.
En un mot : du grand art !
Euh comment, je vais pouvoir justifier ça, mettre la note maximale à une série qui vient de commencer. Et pourquoi pas d'ailleurs, il y a bien des séries non terminées qui figure dans les immanquables et celle-ci le mérite sûrement plus que d'autres.
Bah en gros ça fait 3 jours que je l’ai lue et j’en ai encore plein la tête, c’est beau, magnifique, à tomber. On en prend plein les mirettes ; Alex Alice réalise là un exploit, 80 pages pour raconter euh… pas grand-chose mais il arrive à nous captiver grâce à une mise en scène au diapason.
En plus moi, j’avais jamais entendu parler de cette histoire, donc j’ai vraiment plongé la tête la première. Avec, encore une fois, un aussi bon graphisme et d’aussi sublimes couleurs, on est forcément conquis. En espérant que la suite sera du même acabit avec un scénario un poil plus consistant.
Une série hors du commun. Des dessins magnifiques, un noir et blanc majestueux. Une histoire des plus originale avec des rebondissements incessants et des plages latentes comme si on y était. En bref, une série rare à découvrir ou redécouvrir absolument.
Ovni subversif, nouvelle vague de la Bande dessinée moderne, troisième âge d’or, autant de qualificatifs élogieux dénichés ça et là sur la toile, et qui, loin d’être galvaudés, témoignent de l’immense engouement qui croit autour de Mutafukaz. C’est amplement mérité. Avec cette œuvre, Run nous offre un univers personnel totalement fou et unique qui confirme l’évidence de son talent.
Un melting pot extraordinaire. Alternance de styles graphiques, multiplicité inventive des formes narratives, brassage d’influences et de références diverses, audacieux mélange des genres (voir l’excellent avis de Ro pour le détail), une succession de chocs, de claques dans la gueule, aussi bien esthétiques qu’émotionnels. Des personnages originaux, un humour pimenté et décalé pour un scénario explosif, paranoïaque et déjanté qui ne fait pas dans l’économie. On est happé par l’incroyable densité et le tempo échevelé d’un récit démesuré qui va à 2000 à l’heure, vous choppe par le colbac dès la première page et ne vous relâche qu’à la dernière, complètement essoufflée, épuisé, mais ravi. Moi qui suis plutôt réfractaire aux étalages de bastons et aux surenchères gratuites de vannes et d’hémoglobine, là j’avoue, je suis bluffé. Coup de cœur pour un probable futur incontournable.
2x100 pages de pur bonheur.
Jusqu'à il y a quelques mois, la plupart des titres de Taniguchi me laissait indifférent (parmi eux, les Quartier lointain et autres Le Journal de mon père). Son meilleur restait à mes yeux le peu connu Le Chien Blanco. Même si ce dernier est toujours pour moi une de ses plus belles réussites, j'ai depuis revu mon avis sur l'ensemble de son oeuvre. Cet auteur est doué, il n'y a pas à dire.
Je ne pouvais donc pas manquer la sortie de cette série, racontant l'histoire d'un homme et de son contact avec les animaux (tout ce qui m'avait séduit dans Le Chien Blanco, en somme).
Il fallait s'y attendre : j'adore. Le graphisme est toujours splendide, la trame émouvante à souhait, la narration toujours magistralement maîtrisée. On comprend à la fois l'homme et la bête.
Ce premier tome des aventures du naturaliste Seton est certes simple, mais tellement beau.
Etrange cet album. Ca démarre comme un roman graphique, où un homme médiocre raconte sa vie médiocre, la vie de millions de gens. Il n'a pas été épargné par la vie, ce Terry... Son mariage en est même brisé. Et puis soudain, sans crier gare, la machine s'emballe, et l'on assiste à un crime absolument affreux, auquel Terry risque bien d'être mêlé... Si l'histoire n'est pas forcément passionnante (à éviter aux dépressifs), le tournant qu'elle prend intrigue, inquiète, instille le malaise chez le lecteur... Jicépol (c'est son autre nom d'artiste) s'éloigne de son style de Voltige et Ratatouille, pour officier dans une veine plus proche du Larcenet dépressif des Rêveurs. Attention, c'est pessimiste, noir, sans concession, sans espoir probablement.
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Zoo
J’ai découvert la série ZOO lors de la parution du tome 2 en 1999… Quel choc ! Une beauté graphique et une histoire pleine d’émotions… Dès la première lecture, j’ai été enthousiasmé… La profondeur des personnages, la capacité des auteurs à les rendre attachants ont aidé au fil des relectures à garder intact le plaisir primal… Et peut-être même à l’accroître au fur et à mesure que les personnages me devenaient plus familiers… Et à chaque fois, en fermant le deuxième tome, je me demandais : [SPOILER] « Alors, que deviennent-ils ? Papa Célestin et la guerre ? Revient, revient pas ? Anna va-t-elle avoir un nouveau nez que lui aurait modelé Buggy ? Manon va-t-elle, à l’instar du zoo, dépérir ? Etc, etc… » [FIN SPOILER] Et voila… Le tome 3 est paru… J’ai relu l’intégralité de la série… L’émotion est intacte… J’avais un peu d’appréhension… Comment 8 années d’absence allaient-elles peser sur cette histoire ? Et très vite, oubliées les craintes… Je me suis fait embarquer. Presque à croire que j’attrapais un petit cœur de midinette. (Excusez-moi mesdemoiselles)… Bravo messieurs les auteurs… Et surtout merci pour ce moment de bonheur intense… J’ai rangé les albums en bonne place dans ma bibliothèque… Avec une petite pointe de tristesse car l’aventure normande semble bien terminée… Il ne me reste plus qu’à relire et faire lire…
Mac Coy
Excellente et malheureusement trop méconnue suite d'aventures où se mêlent far west, humour et quelque fois magie. Une brochette de "gueules" s'entrecroisent et se déglinguent à tout va. La plupart des personnages, hommes et femmes, vendraient père et mère pour quelques dollars et les confrontations sont toujours détonantes et jubilatoires. Les faiblesses de scenario sont très rares et le dessin un rien pointilliste regorge de détails. Une des meilleures représentations de chevaux lancés à toute allure. Mon seul regret ? Pas de suite au numéro 21.
De Cape et de Crocs
Que dire sur cette bd magnifique, ses héros et ses personnages secondaires savoureux : le capitaine Boone, monsieur de cigognac, bombastus et... Eusèbe "ô fatal rongeur ! némésis lagomorphe ! jonas aux longues oreilles qui va attirer sur ce galion épouvante et malheur" Bientôt 15 ans de bonheur et encore 2 tomes avant la fin de l'épopée ! "Epouvante et malheur, noyés blafards au rictus ourlé de polypes". Tout y est : Dessin ciselé, couleurs vivifiantes, trognes de pirates, trahisons, amours, coups de théâtre, duel de rixme "au premier sang ? au dernier mot !". En un mot : une merveille. La jeunesse d'eusèbe devrait suivre dans 3 ans pour expliquer la raison de sa présence aux galères.
Planètes
Un manga comme on en a rarement lu. J'ai eu tout autant de plaisir à lire cette série car je l'avais tout d'abord vue et j'ai été grandement réjoui qu'elle n'ait pas la même chronologie. J'ai eu l'impression de redécouvrir ce manga tout simplement magnifique. Les dessins y sont d'une propreté déconcertante. Les personnages sont très attachants et très intéressants, humainement parlant. Un scénario, du jamais vu ! De loin un de mes mangas préférés.
Isaac le pirate
C'est l'histoire complètement improbable d'un peintre embarqué dans une aventure de pirates... Si vous aimez l'aventure, vous ne pouvez pas passer à côté de cette BD : on ne sait jamais ce qu'il va se passer. Pas de temps mort, la narration est captivante tout au long de l'histoire. Tour à tour émouvant, drôle, triste et parfois même cruel. On est à la hauteur des meilleurs Pratt, Bilal ou Bourgeon. Le dessin est un peu "difficile" au début. Après acclimatation, on se rend compte qu'il sert parfaitement le sujet. En un mot : du grand art !
Siegfried
Euh comment, je vais pouvoir justifier ça, mettre la note maximale à une série qui vient de commencer. Et pourquoi pas d'ailleurs, il y a bien des séries non terminées qui figure dans les immanquables et celle-ci le mérite sûrement plus que d'autres. Bah en gros ça fait 3 jours que je l’ai lue et j’en ai encore plein la tête, c’est beau, magnifique, à tomber. On en prend plein les mirettes ; Alex Alice réalise là un exploit, 80 pages pour raconter euh… pas grand-chose mais il arrive à nous captiver grâce à une mise en scène au diapason. En plus moi, j’avais jamais entendu parler de cette histoire, donc j’ai vraiment plongé la tête la première. Avec, encore une fois, un aussi bon graphisme et d’aussi sublimes couleurs, on est forcément conquis. En espérant que la suite sera du même acabit avec un scénario un poil plus consistant.
Monsieur Mardi-Gras Descendres
Une série hors du commun. Des dessins magnifiques, un noir et blanc majestueux. Une histoire des plus originale avec des rebondissements incessants et des plages latentes comme si on y était. En bref, une série rare à découvrir ou redécouvrir absolument.
Mutafukaz
Ovni subversif, nouvelle vague de la Bande dessinée moderne, troisième âge d’or, autant de qualificatifs élogieux dénichés ça et là sur la toile, et qui, loin d’être galvaudés, témoignent de l’immense engouement qui croit autour de Mutafukaz. C’est amplement mérité. Avec cette œuvre, Run nous offre un univers personnel totalement fou et unique qui confirme l’évidence de son talent. Un melting pot extraordinaire. Alternance de styles graphiques, multiplicité inventive des formes narratives, brassage d’influences et de références diverses, audacieux mélange des genres (voir l’excellent avis de Ro pour le détail), une succession de chocs, de claques dans la gueule, aussi bien esthétiques qu’émotionnels. Des personnages originaux, un humour pimenté et décalé pour un scénario explosif, paranoïaque et déjanté qui ne fait pas dans l’économie. On est happé par l’incroyable densité et le tempo échevelé d’un récit démesuré qui va à 2000 à l’heure, vous choppe par le colbac dès la première page et ne vous relâche qu’à la dernière, complètement essoufflée, épuisé, mais ravi. Moi qui suis plutôt réfractaire aux étalages de bastons et aux surenchères gratuites de vannes et d’hémoglobine, là j’avoue, je suis bluffé. Coup de cœur pour un probable futur incontournable. 2x100 pages de pur bonheur.
Seton, le naturaliste qui voyage
Jusqu'à il y a quelques mois, la plupart des titres de Taniguchi me laissait indifférent (parmi eux, les Quartier lointain et autres Le Journal de mon père). Son meilleur restait à mes yeux le peu connu Le Chien Blanco. Même si ce dernier est toujours pour moi une de ses plus belles réussites, j'ai depuis revu mon avis sur l'ensemble de son oeuvre. Cet auteur est doué, il n'y a pas à dire. Je ne pouvais donc pas manquer la sortie de cette série, racontant l'histoire d'un homme et de son contact avec les animaux (tout ce qui m'avait séduit dans Le Chien Blanco, en somme). Il fallait s'y attendre : j'adore. Le graphisme est toujours splendide, la trame émouvante à souhait, la narration toujours magistralement maîtrisée. On comprend à la fois l'homme et la bête. Ce premier tome des aventures du naturaliste Seton est certes simple, mais tellement beau.
Une Âme à l'amer
Etrange cet album. Ca démarre comme un roman graphique, où un homme médiocre raconte sa vie médiocre, la vie de millions de gens. Il n'a pas été épargné par la vie, ce Terry... Son mariage en est même brisé. Et puis soudain, sans crier gare, la machine s'emballe, et l'on assiste à un crime absolument affreux, auquel Terry risque bien d'être mêlé... Si l'histoire n'est pas forcément passionnante (à éviter aux dépressifs), le tournant qu'elle prend intrigue, inquiète, instille le malaise chez le lecteur... Jicépol (c'est son autre nom d'artiste) s'éloigne de son style de Voltige et Ratatouille, pour officier dans une veine plus proche du Larcenet dépressif des Rêveurs. Attention, c'est pessimiste, noir, sans concession, sans espoir probablement.