Superbe série qui nous plonge dans un univers complexe et original. Le dessin n'a d'égal que le scénario : unique, esthétique et riche. J'attends avec impatience le dernier tome. Chaque tome demande de la patience et ne se lit pas en 10 minutes, loin de là. Nicolas Fructus m'impressionne par sa première oeuvre. J'espère qu'il ne s'arrêtera pas à cette série, tant son imagination semble prolifique, sans oublier son coup de crayon d'une efficacité redoutable. Un grand merci Mr Fructus, je suivrai de près votre production.
Voilà, j'ai cassé ma tirelire... 120 euros l'album tout de même ! Mais voilà un achat que je ne regrette pas une seconde ! Je crois même que j’aurais bien pu le payer plus cher.
Le trombone illustré, c’est que du bonheur en concentré... Un esprit frondeur, malicieux, parfois carrément iconoclaste. Le trombone illustré, c’est non seulement de l’excellente bédé (les débuts des Idées Noires, mais aussi de Germain et Nous, et des noms aussi prestigieux que Bretécher, Comès, F’murr, Gotlib, Macherot ou Tardi, pour n’en citer que quelques-uns, et plein de choses jamais rééditées, bien sûr), mais ce sont également des nouvelles courtes passionnantes, des textes plus engagés, des jeux bien délirants, bref tout ça quoi... le tout dans un esprit bon enfant des plus réjouissants.
Et puis, rien que pour les titres de Franquin, cela vaut déjà la peine (Pour rappel, le titre de chaque numéro était dessiné par Franquin, chaque fois différemment, en incluant toute une série de personnages qui évoluent au fil des numéros... une histoire en soi !)
Si un jour vous croisez cet album, n’hésitez pas trop, même si c’est un peu cher (à 120 euros, ça ne fait que jamais 4 euros le numéro).
[À noter : il existe un album récent qui, lui, ne contient que les titres de chaque numéro, dessinés par Franquin... c’est intéressant, certes, mais si vous pouvez trouver le recueil complet, c’est évidemment dix mille fois mieux. Par ailleurs, ces mêmes titres sont tous disponibles dans l’intégrale Rombaldi de l’oeuvre de Franquin ; dans le dernier volume, celui consacré aux Idées Noires.]
Ah, que c'est léger, frais et détendu ! Des histoires rocambolesques, un détective déjanté qui a toujours de bons mots à sortir, une citation, une référence hautement culturelle pour appuyer ses pensées et présenter son point de vue sous un alibi culturel.
Et un dessin fidèle, sans chichis mais efficace.
Bref, un coup de coeur pour des BD qui détendent.
J’ai honte de l’avouer mais c’est la première fois que je lis une bande dessinée de Rabaté ; et bien en l’occurrence je n’ai pas été déçu, bien au contraire. Un petit bijou ce livre.
Cela commence par une partie de pêche et cela s’achève sur une partie de pêche, mais entre les deux, que d’aventures pour Emile, fringuant sexagénaire qui menait une vie paisible jusque là.
Car c’est un autre regard sur les vieux, que dans nos sociétés modernes, nous avons rebaptisés « séniors »( sans doute parce que ce terme nous fait moins peur) que propose Rabaté.
Si dès le début, la solitude, la monotonie et les enterrements des copains sont le lot d’Emile, Rabate distille d’entrée un sujet, encore tabou, celui de la sexualité du troisième âge, à travers le truculent personnage d’Edmond. (Rabaté illustre d’ailleurs ces scènes avec beaucoup de pudeur et d’intelligence).
Car « les petits ruisseaux » c’est bien cela, une claque donnée aux idées reçues, un vent de fraîcheur, et une leçon donnée aux autres (Ah !! Ce baiser fougueux sur le quai de la gare, page 92 –noter qu’au passage cette bd comporte 94 pages-, sous le regard réprobateur des braves gens, comme l’aurait dit Georges Brassens).
Un autre a chanté « la vie commence à 60 ans » et c’est vrai que Rabaté ne se prive pas de le prouver. A la vie monotone du début succède en effet, avec la fugue d’Emile, une renaissance, une résurrection qui fait plaisir à voir avec des moments très drôles (la rencontre avec les hippys)
Cet album formidable est un hymne à la vie.
Jamais on ne tombe dans la nostalgie, non au contraire, mais vers l’avenir.
Merci Monsieur Rabaté pour ce magnifique album.
A acheter d’urgence, à lire et surtout à relire.
Cette Bd est à acheter et à conserver précieusement...
Ce sont ces rares BDs qui font que la Bd grimpe toujours plus vers des sommets de superbes... Au niveau dessin et scénario...
Cette histoire et ce dessin nous emmènent vers des sommets de l'imaginaire et nous permettent de s'évader de notre monde... Cela nous transporte directement dans le monde de Pont et Abolin... Bravo Messieurs...
Tiens, j'avais repéré cet album depuis un moment sans pour autant le trouver en librairie. La couverture et les commentaires me semblaient sympas, et donc quand je l'ai vu, j'ai foncé.
Des BD où l'auteur raconte un peu sa vie, il en existe des tonnes. Celle de Fabcaro ne sort pas franchement du lot, mais elle a le mérite d'être drôle et pas trop nombriliste. Bien sûr, selon la formule consacrée érigée en dogme éditorial, "chacun se reconnaîtra dans cet album". Ceci dit, ces histoires courtes, basées sur le complexe de timidité de l'auteur, sont quand même assez sympas, et l'on prend pas mal de plaisir à les lire, surtout que le graphisme, assez typique d'un mouvement fanzineux dont Nicolas Poupon est le représentant le plus visible, est plutôt agréable.
Un bon divertissement, qui a le mérite de dénoncer (avec légèreté) quelques travers de la vie quotidienne.
Très très bon premier album. Le "buzz" qui l'entourait était très favorable, et la lecture a confirmé cette impression. "Orbital" est une excellente série en devenir. On la compare déjà à Valérian, ce qui est plutôt flatteur. En effet, Sylvain Runberg réussit à brasser, dans sa trame, de nombreux thèmes universels, tels que le respect de l'autre, la tolérance, la guerre, le ressentiment... Tout cela dans un récit de pure SF (avec plusieurs sous-genres, tels que la politique-fiction, la space fantasy ou le space opera, la hard SF...), mâtinée d'horreur. Bref, tous les ingrédients pour faire un bon récit d'anticipation. :)
Le dessin de Serge Pellé est excellent, à la limite du fabuleux, et il va falloir suivre de très très près cette série et ces deux auteurs.
Le titre du premier volume résume bien à lui seul cette très agréable BD.
Le dessin est dans la veine des Tanquerelle, Blain et autres mais en plus... enfin... avec de très belles couleurs.
J'ai vraiment adoré cette BD, une véritable enquête policière dans un milieu assez inhabituel, un bordel du début du 20ème siècle, celui des ginguettes des bords de Marne, et des chambres de bonnes sous les toits.
Une intrigue originale et ne sombrant jamais vers la facilité : le claque n'est qu'un décor et on peut mettre cette bd entre toutes les mains (enfin presque).
Le second volume terminera l'histoire.
Une très bonne bd à découvrir sans attendre !
Après tous ces avis dythirambiques, j'étais persuadé de la qualité de cette BD et j'ai eu exactement la bonne impression à laquelle je m'attendais. Orbital est la premier tome de ce qui semble appeler à devenir une très grande série BD SF, une vraie bonne série de qualité qui va marquer les années à venir.
Le dessin est excellent. Les traits eux-mêmes sont relativement simples et pas plus impressionnants de maîtrise que ça même si on doit vraiment mettre au profit du dessinateur qu'il ne rechigne vraiment pas au travail et à présenter des décors grandioses et détaillés. C'est surtout la colorisation qui fait toute la force des planches à mes yeux. Les couleurs sont excellentes, élégantes, harmonieuses, très joliment travaillées. C'est un vrai bonheur de lecture que de parcourir de telles planches.
D'autant plus que l'histoire est vraiment à la hauteur du dessin. Sur une trame de fond assez classique à mi-chemin entre Valérian et Sillage se dessine des scénarios à la fois simples et complexes, intelligents et prenants. Les personnages, pour le moment encore un peu inexplorés, ont l'air justes et bien construits. Le ton du scénario est adulte et intéressant.
Moi qui suis très réticent aux séries à rallonge, je me prends à espérer franchement que cette série voit un très grand nombre de tomes paraitre, tomes que j'achèterais tous sans hésiter je pense, d'autant plus si la série est constitué de cycles de 2 tomes à chaque fois.
Une histoire de piraterie menée avec humour et action, le tout guidé par un excellent scénario et un dessin très agréable. Une série culte à ne manquer sous aucun prétexte.
Il faut savoir que l'auteur prévoit entre 80 et 100 tomes. Cela nous laisse le temps d'apprécier les aventures de Luffy et de son équipage.
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Thorinth
Superbe série qui nous plonge dans un univers complexe et original. Le dessin n'a d'égal que le scénario : unique, esthétique et riche. J'attends avec impatience le dernier tome. Chaque tome demande de la patience et ne se lit pas en 10 minutes, loin de là. Nicolas Fructus m'impressionne par sa première oeuvre. J'espère qu'il ne s'arrêtera pas à cette série, tant son imagination semble prolifique, sans oublier son coup de crayon d'une efficacité redoutable. Un grand merci Mr Fructus, je suivrai de près votre production.
Le Trombone Illustré
Voilà, j'ai cassé ma tirelire... 120 euros l'album tout de même ! Mais voilà un achat que je ne regrette pas une seconde ! Je crois même que j’aurais bien pu le payer plus cher. Le trombone illustré, c’est que du bonheur en concentré... Un esprit frondeur, malicieux, parfois carrément iconoclaste. Le trombone illustré, c’est non seulement de l’excellente bédé (les débuts des Idées Noires, mais aussi de Germain et Nous, et des noms aussi prestigieux que Bretécher, Comès, F’murr, Gotlib, Macherot ou Tardi, pour n’en citer que quelques-uns, et plein de choses jamais rééditées, bien sûr), mais ce sont également des nouvelles courtes passionnantes, des textes plus engagés, des jeux bien délirants, bref tout ça quoi... le tout dans un esprit bon enfant des plus réjouissants. Et puis, rien que pour les titres de Franquin, cela vaut déjà la peine (Pour rappel, le titre de chaque numéro était dessiné par Franquin, chaque fois différemment, en incluant toute une série de personnages qui évoluent au fil des numéros... une histoire en soi !) Si un jour vous croisez cet album, n’hésitez pas trop, même si c’est un peu cher (à 120 euros, ça ne fait que jamais 4 euros le numéro). [À noter : il existe un album récent qui, lui, ne contient que les titres de chaque numéro, dessinés par Franquin... c’est intéressant, certes, mais si vous pouvez trouver le recueil complet, c’est évidemment dix mille fois mieux. Par ailleurs, ces mêmes titres sont tous disponibles dans l’intégrale Rombaldi de l’oeuvre de Franquin ; dans le dernier volume, celui consacré aux Idées Noires.]
Le Choucas
Ah, que c'est léger, frais et détendu ! Des histoires rocambolesques, un détective déjanté qui a toujours de bons mots à sortir, une citation, une référence hautement culturelle pour appuyer ses pensées et présenter son point de vue sous un alibi culturel. Et un dessin fidèle, sans chichis mais efficace. Bref, un coup de coeur pour des BD qui détendent.
Les Petits Ruisseaux
J’ai honte de l’avouer mais c’est la première fois que je lis une bande dessinée de Rabaté ; et bien en l’occurrence je n’ai pas été déçu, bien au contraire. Un petit bijou ce livre. Cela commence par une partie de pêche et cela s’achève sur une partie de pêche, mais entre les deux, que d’aventures pour Emile, fringuant sexagénaire qui menait une vie paisible jusque là. Car c’est un autre regard sur les vieux, que dans nos sociétés modernes, nous avons rebaptisés « séniors »( sans doute parce que ce terme nous fait moins peur) que propose Rabaté. Si dès le début, la solitude, la monotonie et les enterrements des copains sont le lot d’Emile, Rabate distille d’entrée un sujet, encore tabou, celui de la sexualité du troisième âge, à travers le truculent personnage d’Edmond. (Rabaté illustre d’ailleurs ces scènes avec beaucoup de pudeur et d’intelligence). Car « les petits ruisseaux » c’est bien cela, une claque donnée aux idées reçues, un vent de fraîcheur, et une leçon donnée aux autres (Ah !! Ce baiser fougueux sur le quai de la gare, page 92 –noter qu’au passage cette bd comporte 94 pages-, sous le regard réprobateur des braves gens, comme l’aurait dit Georges Brassens). Un autre a chanté « la vie commence à 60 ans » et c’est vrai que Rabaté ne se prive pas de le prouver. A la vie monotone du début succède en effet, avec la fugue d’Emile, une renaissance, une résurrection qui fait plaisir à voir avec des moments très drôles (la rencontre avec les hippys) Cet album formidable est un hymne à la vie. Jamais on ne tombe dans la nostalgie, non au contraire, mais vers l’avenir. Merci Monsieur Rabaté pour ce magnifique album. A acheter d’urgence, à lire et surtout à relire.
Où le regard ne porte pas...
Cette Bd est à acheter et à conserver précieusement... Ce sont ces rares BDs qui font que la Bd grimpe toujours plus vers des sommets de superbes... Au niveau dessin et scénario... Cette histoire et ce dessin nous emmènent vers des sommets de l'imaginaire et nous permettent de s'évader de notre monde... Cela nous transporte directement dans le monde de Pont et Abolin... Bravo Messieurs...
Le Steak Haché de Damoclès
Tiens, j'avais repéré cet album depuis un moment sans pour autant le trouver en librairie. La couverture et les commentaires me semblaient sympas, et donc quand je l'ai vu, j'ai foncé. Des BD où l'auteur raconte un peu sa vie, il en existe des tonnes. Celle de Fabcaro ne sort pas franchement du lot, mais elle a le mérite d'être drôle et pas trop nombriliste. Bien sûr, selon la formule consacrée érigée en dogme éditorial, "chacun se reconnaîtra dans cet album". Ceci dit, ces histoires courtes, basées sur le complexe de timidité de l'auteur, sont quand même assez sympas, et l'on prend pas mal de plaisir à les lire, surtout que le graphisme, assez typique d'un mouvement fanzineux dont Nicolas Poupon est le représentant le plus visible, est plutôt agréable. Un bon divertissement, qui a le mérite de dénoncer (avec légèreté) quelques travers de la vie quotidienne.
Orbital
Très très bon premier album. Le "buzz" qui l'entourait était très favorable, et la lecture a confirmé cette impression. "Orbital" est une excellente série en devenir. On la compare déjà à Valérian, ce qui est plutôt flatteur. En effet, Sylvain Runberg réussit à brasser, dans sa trame, de nombreux thèmes universels, tels que le respect de l'autre, la tolérance, la guerre, le ressentiment... Tout cela dans un récit de pure SF (avec plusieurs sous-genres, tels que la politique-fiction, la space fantasy ou le space opera, la hard SF...), mâtinée d'horreur. Bref, tous les ingrédients pour faire un bon récit d'anticipation. :) Le dessin de Serge Pellé est excellent, à la limite du fabuleux, et il va falloir suivre de très très près cette série et ces deux auteurs.
Miss Pas Touche
Le titre du premier volume résume bien à lui seul cette très agréable BD. Le dessin est dans la veine des Tanquerelle, Blain et autres mais en plus... enfin... avec de très belles couleurs. J'ai vraiment adoré cette BD, une véritable enquête policière dans un milieu assez inhabituel, un bordel du début du 20ème siècle, celui des ginguettes des bords de Marne, et des chambres de bonnes sous les toits. Une intrigue originale et ne sombrant jamais vers la facilité : le claque n'est qu'un décor et on peut mettre cette bd entre toutes les mains (enfin presque). Le second volume terminera l'histoire. Une très bonne bd à découvrir sans attendre !
Orbital
Après tous ces avis dythirambiques, j'étais persuadé de la qualité de cette BD et j'ai eu exactement la bonne impression à laquelle je m'attendais. Orbital est la premier tome de ce qui semble appeler à devenir une très grande série BD SF, une vraie bonne série de qualité qui va marquer les années à venir. Le dessin est excellent. Les traits eux-mêmes sont relativement simples et pas plus impressionnants de maîtrise que ça même si on doit vraiment mettre au profit du dessinateur qu'il ne rechigne vraiment pas au travail et à présenter des décors grandioses et détaillés. C'est surtout la colorisation qui fait toute la force des planches à mes yeux. Les couleurs sont excellentes, élégantes, harmonieuses, très joliment travaillées. C'est un vrai bonheur de lecture que de parcourir de telles planches. D'autant plus que l'histoire est vraiment à la hauteur du dessin. Sur une trame de fond assez classique à mi-chemin entre Valérian et Sillage se dessine des scénarios à la fois simples et complexes, intelligents et prenants. Les personnages, pour le moment encore un peu inexplorés, ont l'air justes et bien construits. Le ton du scénario est adulte et intéressant. Moi qui suis très réticent aux séries à rallonge, je me prends à espérer franchement que cette série voit un très grand nombre de tomes paraitre, tomes que j'achèterais tous sans hésiter je pense, d'autant plus si la série est constitué de cycles de 2 tomes à chaque fois.
One Piece
Une histoire de piraterie menée avec humour et action, le tout guidé par un excellent scénario et un dessin très agréable. Une série culte à ne manquer sous aucun prétexte. Il faut savoir que l'auteur prévoit entre 80 et 100 tomes. Cela nous laisse le temps d'apprécier les aventures de Luffy et de son équipage.