Et oui, j'ai lu cette BD au moins 1000 fois et je me marre à chaque gag!
"Pourquoi portes-tu ce casque Plume d'oeuf?"
"Pour éviter les coups qui rendent idiot"
"Pourquoi portes-tu ce casque?"
Vraiment, cette BD est super drôle et les personnages ont tous une personnalité bien particulière.
A lire !!!!!
Du point de vu personnel cette B.D est un coup de coeur (à cause du fait que j'aime déjà le groupe) même si elle souffre un peu son "indépendance" par ce qui semblera de l'amateurisme.
B.D enfanté d'un collectif de dessinateurs, scénarisé par une actrice de films Z et porno (et co-réalisatrice du film "Bai*e moi!") elle pêche par une narration assez confuses ... visuellement le dessin et les couleurs, kitsh criardes ou psychédéliques tape à l'oeil sont la pour frapper les mirettes mais n'arrangent pas toujours la compréhension ... le tout rappellera assez le "K.O.G" magazine de B.D Underground qui ne dura que deux tomes (que je possède ^^) ...
Bref, un petit O.V.N.I pas exceptionnel mais à réserver aux fans de Punish.
"Quand je mange mes Bombes sucrées glacées au chocolat, c'est toujours le deuxième bol que je préfère : le plaisir du premier est un peu gaché par l'impatience, et à la fin du troisième, j'ai toujours un peu mal au coeur..."
Cette réplique de l'enfant terrible Calvin résume à mon avis toute la tendresse et la férocité à la fois de l'univers d'un enfant très attachant, qui vit mille et une aventures pas toujours si imaginaires que ça.
Composé pour beaucoup de running-gag tous plus fendard les uns que les autres (Ah,la guerre des bonhommes de neige, le Père Noel, la baby-sitter, la machine spatio-temporelle en carton, les dinosaures, et bien d'autres), Calvin & Hobbes sait aussi être touchant et réaliste.
Mille fois bravo à Bill Watterson pour avoir restitué l'état d'esprit d'un enfant que nous avons tous été. La bd humoristique de ces 20 dernières années.
Ce manga a de quoi paraître déroutant, Tsuge ne s'embarrasse pas avec les codes narratifs habituels du manga, ici pas de découpage rapide ou sophistiqué, Tsuge préfère utiliser un système tout en douceur, l'action se ressent plus qu'elle ne se voit.
Yoshiaru Tsuge n'est clairement pas un auteur de manga mainstream, ses oeuvres sont mesurées, personnelles et rares.
On est loin du classique avec cet auteur. L'Homme sans talent exprime la vision décalé qu'a Tsuge de ce monde, Sukezo, le mangaka sans talent, ne cherche ni à s'intégrer ni à se mettre en marge du monde, il vit juste sa vie à sa façon, au bord de la vie, sans chercher de but à atteindre. Bien sûr cela déroute autant le lecteur que l'entourage du héros.
Cette histoire est empreinte de richesse et d'émotions diverses, malgré l'aspect lourdement dramatique de l'oeuvre, ce manga prête parfois à rire ce qui, compte tenu du propos, est un tour de force.
Les dessins sont aussi simples qu'intenses, en parfaite résonance avec le récit.
Pour apprécier ce manga il faut se laisser surprendre, ce n'est pas évident d'aborder le manga sous cet angle en France, tant nous avons tendance à classer les oeuvres par genres, Shonen, Shojo, Seinen etc...
De ce point de vue, l'Homme sans talent est tout bonnement inclassable.
Une oeuvre culte... je n'en sais rien, mais une BD marquante, intense, dérangeante, destructrice, tout simplement belle, ça j'en suis sûr!
L'homme sans talent est incontestablement une lecture cinq étoiles.
Mince alors, cette BD m'était passée totalement inaperçue quand elle est sortie en fin 2003 et pourtant, elle est vraiment excellente dans son genre ! Cela tient peut-être à sa couverture franchement trop peu représentative de sa qualité. Cela tient sûrement aussi au fait que dès que je lis "Editions Soleil", j'ai un gros à-priori négatif, surtout si le contenu est bourré d'action et de gros flingues. Mais je le répête, cette BD là est excellente !
Sans aucun doute, les auteurs ont joué au jeu de rôles Cyberpunk et ils ont su en tirer une histoire (un scénar' ?) franchement excellente, jouant sur l'actualité des médias, de la géopolitique et les confits armées impliquant les USA ces dernières années.
Le dessin est très bon. Eric Bourgier a bien assimilé les images classiques du monde futuriste et de la guerre cybernétisée et nous les ressort ici sans effets de style grossier, sans explosions à tout va, sans giclées de sang à droite à gauche et sans ces gonzesses dévêtues qui caractérisent nombre de BD de série B sur les mêmes thèmes. C'est un dessin qui privilégie l'action et l'efficacité tout en restant relativement fin et esthétique. La colorisation semble en outre ne quasiment pas faire appel à l'informatique ou alors de manière très discrète, ce qui honore d'autant plus le dessinateur.
Quant au scénario, il reprend une idée qui n'est pas si originale que cela : un monde géré par les méga-corporations qui organisent une guerre à but financier contre un pays du tiers-monde en manipulant l'opinion par des shows-télévisés truqués et en présentant l'ennemi comme des terroristes meurtriers. Mais la façon dont l'histoire est racontée, les personnages, les dialogues, tout est excellent et fin malgré l'aspect action brutale de pas mal de passages.
Une BD d'action cyberpunk excellente dans sa construction, son dessin et son scénario. Le fait que ce soit en outre un one-shot me fait vous en conseiller vivement l'achat si vous aimez ce genre de récit.
Laiyna est décidément un personnage attachant, radieux, dont le souvenir reste toujours aussi fort. Les superbes dessins de René Hausmann, avec ses couleurs chatoyantes, ses senteurs de sapins, de rocailles et de forêts légendaires, en font tout simplement un must du genre. Car ça ne se regarde pas seulement, l'histoire d'un moyen-age préhistorique avec son lot de personnages grotesques ou raffinés recèle une poésie certaine.
Brunschwig et Hirn signent ici un premier album de toute beauté, tant par la forme que sur le fond. On prend l’album en main, format idéal, couverture mate, douce, on se l’approprie immédiatement. Une couverture forte, originale, intrigante, qui sort du lot de la (sur-) production (formatée) actuelle ou toutes les couvertures finissent par se ressembler.
On l’ouvre et la magie opère, on entre dans l’histoire, charmé par les atmosphères colorées si harmonieuses, on découvre les ambiances de cités, mais pas en spectateur, on s’immerge dans ces lieux qu’on fuirait plutôt dans la réalité.
On découvre à travers un trait épuré des personnages attachants, inquiétants, au fil des pages des jalons se mettent en place, le jeu subtil des flash-back qui caractérisent la marque de fabrique de M. Brunschwig est poussé dans les extrêmes enrichissant une fois de plus un mode narratif cinématographique rarement utilisé à ce niveau. Et quand on referme cet ouvrage précieux, on voudrait que le tome deux soit déjà sous presse pour que nos interrogations ne nous taraudent pas jusqu'à sa parution...
Extraordinaire, tout simplement.
Des dessins à tomber par terre, une ambiance unique et des scénarios qui tiennent la route.
Du grand polar!
Si la série continue sur cette lancée, je lui collerai un 5/5.
Comme pour La terre sans mal, je suis vraiment impressionné par le dessin de Lepage. C'est de l'art ! Un plaisir à chaque page. Après la lecture, j'ai passé une bonne demi heure à admirer les planches, et depuis l'album est au pied de mon lit pour que je puisse le feuilleter à loisir. Superbe !
Coté scénario, c'est pas mal non plus. Certains aspects sont à mon avis très réussis, comme par exemple l'éveil de la sensualité du héros, son éveil artistique aussi, le coté historique de la BD. D'autres tombent un peu dans le lieu commun, comme les stéréotypes un peu figés de certains personnages.
Mais bon, inutile de chercher la petite bête, c'est une oeuvre remarquable dans son ensemble, jusqu'a l'épilogue qui est un modèle du genre avec un dernier dessin magnifique. La griffe du maître.
Moi j'aime les schtroumpfs, na!
Ils sont droles, ils tirent des schtroumpfs pas possibles, ils sont parfois très méchants entre eux, ils ne manquent pas une occasion de se schtroumpfer sur la figure, ils sont tous amoureux de la schtroumpfette, ils aiment schtroumpfer de la salsepareille (miam, c'est bon la salsepareille), ils schtroumpfent souvent des fêtes et ils adorent chanter, le grand schtroumpf fait de la magie, le schtroumpf farceur cherche les schtroumpfs, le schtroumpf à lunette les trouve, le schtroumpf patissier schtroumpfe des gros gros gateaux, Gargamel les déteste, et Azrael aussi, certains ont des tire-bouschtroumpf, d'autres ont des schtroumpf-bouchons...
A lire tout petit car les dessins sont rigolos,
à re-lire adolescent pour les redécouvrir sous un angle nouveau,
à re-lire adulte pour savourer l'humour unique de Peyo.
Bien sur, comme toute série à ralonge, la fin ne vaut plus le début.
Et si je peux me permettre, je couperai la série en 2 :
Les tomes 1 à 11 et le reste.
Aaah... les schtroumpfs...
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La Tribu Terrible
Et oui, j'ai lu cette BD au moins 1000 fois et je me marre à chaque gag! "Pourquoi portes-tu ce casque Plume d'oeuf?" "Pour éviter les coups qui rendent idiot" "Pourquoi portes-tu ce casque?" Vraiment, cette BD est super drôle et les personnages ont tous une personnalité bien particulière. A lire !!!!!
Deep Inside Punish Yourself
Du point de vu personnel cette B.D est un coup de coeur (à cause du fait que j'aime déjà le groupe) même si elle souffre un peu son "indépendance" par ce qui semblera de l'amateurisme. B.D enfanté d'un collectif de dessinateurs, scénarisé par une actrice de films Z et porno (et co-réalisatrice du film "Bai*e moi!") elle pêche par une narration assez confuses ... visuellement le dessin et les couleurs, kitsh criardes ou psychédéliques tape à l'oeil sont la pour frapper les mirettes mais n'arrangent pas toujours la compréhension ... le tout rappellera assez le "K.O.G" magazine de B.D Underground qui ne dura que deux tomes (que je possède ^^) ... Bref, un petit O.V.N.I pas exceptionnel mais à réserver aux fans de Punish.
Calvin et Hobbes
"Quand je mange mes Bombes sucrées glacées au chocolat, c'est toujours le deuxième bol que je préfère : le plaisir du premier est un peu gaché par l'impatience, et à la fin du troisième, j'ai toujours un peu mal au coeur..." Cette réplique de l'enfant terrible Calvin résume à mon avis toute la tendresse et la férocité à la fois de l'univers d'un enfant très attachant, qui vit mille et une aventures pas toujours si imaginaires que ça. Composé pour beaucoup de running-gag tous plus fendard les uns que les autres (Ah,la guerre des bonhommes de neige, le Père Noel, la baby-sitter, la machine spatio-temporelle en carton, les dinosaures, et bien d'autres), Calvin & Hobbes sait aussi être touchant et réaliste. Mille fois bravo à Bill Watterson pour avoir restitué l'état d'esprit d'un enfant que nous avons tous été. La bd humoristique de ces 20 dernières années.
L'Homme sans talent
Ce manga a de quoi paraître déroutant, Tsuge ne s'embarrasse pas avec les codes narratifs habituels du manga, ici pas de découpage rapide ou sophistiqué, Tsuge préfère utiliser un système tout en douceur, l'action se ressent plus qu'elle ne se voit. Yoshiaru Tsuge n'est clairement pas un auteur de manga mainstream, ses oeuvres sont mesurées, personnelles et rares. On est loin du classique avec cet auteur. L'Homme sans talent exprime la vision décalé qu'a Tsuge de ce monde, Sukezo, le mangaka sans talent, ne cherche ni à s'intégrer ni à se mettre en marge du monde, il vit juste sa vie à sa façon, au bord de la vie, sans chercher de but à atteindre. Bien sûr cela déroute autant le lecteur que l'entourage du héros. Cette histoire est empreinte de richesse et d'émotions diverses, malgré l'aspect lourdement dramatique de l'oeuvre, ce manga prête parfois à rire ce qui, compte tenu du propos, est un tour de force. Les dessins sont aussi simples qu'intenses, en parfaite résonance avec le récit. Pour apprécier ce manga il faut se laisser surprendre, ce n'est pas évident d'aborder le manga sous cet angle en France, tant nous avons tendance à classer les oeuvres par genres, Shonen, Shojo, Seinen etc... De ce point de vue, l'Homme sans talent est tout bonnement inclassable. Une oeuvre culte... je n'en sais rien, mais une BD marquante, intense, dérangeante, destructrice, tout simplement belle, ça j'en suis sûr! L'homme sans talent est incontestablement une lecture cinq étoiles.
Live war heroes
Mince alors, cette BD m'était passée totalement inaperçue quand elle est sortie en fin 2003 et pourtant, elle est vraiment excellente dans son genre ! Cela tient peut-être à sa couverture franchement trop peu représentative de sa qualité. Cela tient sûrement aussi au fait que dès que je lis "Editions Soleil", j'ai un gros à-priori négatif, surtout si le contenu est bourré d'action et de gros flingues. Mais je le répête, cette BD là est excellente ! Sans aucun doute, les auteurs ont joué au jeu de rôles Cyberpunk et ils ont su en tirer une histoire (un scénar' ?) franchement excellente, jouant sur l'actualité des médias, de la géopolitique et les confits armées impliquant les USA ces dernières années. Le dessin est très bon. Eric Bourgier a bien assimilé les images classiques du monde futuriste et de la guerre cybernétisée et nous les ressort ici sans effets de style grossier, sans explosions à tout va, sans giclées de sang à droite à gauche et sans ces gonzesses dévêtues qui caractérisent nombre de BD de série B sur les mêmes thèmes. C'est un dessin qui privilégie l'action et l'efficacité tout en restant relativement fin et esthétique. La colorisation semble en outre ne quasiment pas faire appel à l'informatique ou alors de manière très discrète, ce qui honore d'autant plus le dessinateur. Quant au scénario, il reprend une idée qui n'est pas si originale que cela : un monde géré par les méga-corporations qui organisent une guerre à but financier contre un pays du tiers-monde en manipulant l'opinion par des shows-télévisés truqués et en présentant l'ennemi comme des terroristes meurtriers. Mais la façon dont l'histoire est racontée, les personnages, les dialogues, tout est excellent et fin malgré l'aspect action brutale de pas mal de passages. Une BD d'action cyberpunk excellente dans sa construction, son dessin et son scénario. Le fait que ce soit en outre un one-shot me fait vous en conseiller vivement l'achat si vous aimez ce genre de récit.
Laïyna
Laiyna est décidément un personnage attachant, radieux, dont le souvenir reste toujours aussi fort. Les superbes dessins de René Hausmann, avec ses couleurs chatoyantes, ses senteurs de sapins, de rocailles et de forêts légendaires, en font tout simplement un must du genre. Car ça ne se regarde pas seulement, l'histoire d'un moyen-age préhistorique avec son lot de personnages grotesques ou raffinés recèle une poésie certaine.
Le sourire du clown
Brunschwig et Hirn signent ici un premier album de toute beauté, tant par la forme que sur le fond. On prend l’album en main, format idéal, couverture mate, douce, on se l’approprie immédiatement. Une couverture forte, originale, intrigante, qui sort du lot de la (sur-) production (formatée) actuelle ou toutes les couvertures finissent par se ressembler. On l’ouvre et la magie opère, on entre dans l’histoire, charmé par les atmosphères colorées si harmonieuses, on découvre les ambiances de cités, mais pas en spectateur, on s’immerge dans ces lieux qu’on fuirait plutôt dans la réalité. On découvre à travers un trait épuré des personnages attachants, inquiétants, au fil des pages des jalons se mettent en place, le jeu subtil des flash-back qui caractérisent la marque de fabrique de M. Brunschwig est poussé dans les extrêmes enrichissant une fois de plus un mode narratif cinématographique rarement utilisé à ce niveau. Et quand on referme cet ouvrage précieux, on voudrait que le tome deux soit déjà sous presse pour que nos interrogations ne nous taraudent pas jusqu'à sa parution...
Blacksad
Extraordinaire, tout simplement. Des dessins à tomber par terre, une ambiance unique et des scénarios qui tiennent la route. Du grand polar! Si la série continue sur cette lancée, je lui collerai un 5/5.
Muchacho
Comme pour La terre sans mal, je suis vraiment impressionné par le dessin de Lepage. C'est de l'art ! Un plaisir à chaque page. Après la lecture, j'ai passé une bonne demi heure à admirer les planches, et depuis l'album est au pied de mon lit pour que je puisse le feuilleter à loisir. Superbe ! Coté scénario, c'est pas mal non plus. Certains aspects sont à mon avis très réussis, comme par exemple l'éveil de la sensualité du héros, son éveil artistique aussi, le coté historique de la BD. D'autres tombent un peu dans le lieu commun, comme les stéréotypes un peu figés de certains personnages. Mais bon, inutile de chercher la petite bête, c'est une oeuvre remarquable dans son ensemble, jusqu'a l'épilogue qui est un modèle du genre avec un dernier dessin magnifique. La griffe du maître.
Les Schtroumpfs
Moi j'aime les schtroumpfs, na! Ils sont droles, ils tirent des schtroumpfs pas possibles, ils sont parfois très méchants entre eux, ils ne manquent pas une occasion de se schtroumpfer sur la figure, ils sont tous amoureux de la schtroumpfette, ils aiment schtroumpfer de la salsepareille (miam, c'est bon la salsepareille), ils schtroumpfent souvent des fêtes et ils adorent chanter, le grand schtroumpf fait de la magie, le schtroumpf farceur cherche les schtroumpfs, le schtroumpf à lunette les trouve, le schtroumpf patissier schtroumpfe des gros gros gateaux, Gargamel les déteste, et Azrael aussi, certains ont des tire-bouschtroumpf, d'autres ont des schtroumpf-bouchons... A lire tout petit car les dessins sont rigolos, à re-lire adolescent pour les redécouvrir sous un angle nouveau, à re-lire adulte pour savourer l'humour unique de Peyo. Bien sur, comme toute série à ralonge, la fin ne vaut plus le début. Et si je peux me permettre, je couperai la série en 2 : Les tomes 1 à 11 et le reste. Aaah... les schtroumpfs...