Je l'ai bien aimé cette BD ! Alors bien sûr, comme pour l'avis précédent, cette série fait penser à bien d'autres déjà existantes, mais elle a le mérite d'être bien construite, avec un scénario assez bien ficelé et un héros qui est plutôt sympa.
Le dessin de Berlion est très agréable et, bien qu'il ait abandonné la couleur directe, les couleurs très vives nous donnent envie de partir en Provence !
Un bon premier album qui se lit avec plaisir, et qui devrait donner une série à succès.
J’adore le style de Brüno, et particulièrement son trait original et tout en rondeurs, qui fait merveille dans cette série où il tente de reproduire l'ambiance des films de blaxploitation, et qui est de plus fort bien servi par une superbe mise en couleur toute en nuance et en retenue (non je déconne, c’est les années 70 quand même, on fait péter l’orange, le violet, le vert anis, ou le rose bonbon en aplats - et le résultat est plus que convaincant).
La série est prévue en trois tomes se déroulant simultanément, chacun adoptant le point de vue d’un personnage, et c’est la mise en parallèle des trois albums qui devrait permettre de cerner l’histoire (un deal entre truands qui ne se passe pas comme prévu) dans son ensemble. Donc même si à la lecture d’un seul tome le scénario peut paraître un peu léger, ce n’est qu’à la publication du troisième qu’il devrait montrer toute sa dimension. La narration se fait donc par touches et avec une vision subjective, ce qui fait qu’on se rend compte dès le deuxième tome que les personnages ont plusieurs facettes et que l’idée qu’on pouvait s’en faire après la seule lecture du tome 1 est assez éloignée de la réalité…
Les points forts de cette série, outre qu’elle est dessinée par Brüno (oui je suis un inconditionnel - lisez aussi Nemo), sont d’une part son rythme effréné (surtout dans le premier tome, où les scènes d’action s’enchaînent sans temps mort -avec notamment une scène de course-poursuite hommage à l’inspecteur Harry qui est particulièrement réussie), et d’autre part l’ambiance qui se dégage à la lecture de ces albums qui retranscrit avec bonheur l’esprit des films de gangsters des années 70... La scène d’intro du tome 2 est à ce titre un modèle du genre. Ces albums sont aussi truffés de références tant cinématographiques que musicales (étrangement les références sont plus jazz que soul, musique que j’associe plus à l’époque et au genre)… A lire avec la BO de Superfly en fond sonore.
Alors « Culte » pour une série construite de cette manière et dont on attend encore le dernier tome, c’est un peu risqué, mais, d’une part, cette série a été l’un de mes plus grands chocs BD de ces deux dernières années, et d’autre part, de tous les albums à paraître, le troisième volume d’Inner City Blues est certainement celui que j’attends avec le plus d’impatience.
C'est complètement énorme ce manga !!
C'est le genre de lecture qui captive complètement ! On a envie de savoir la suite, c'est limite un "besoin", comme une drogue en fait! Et comme de bien entendu, chaque tome se termine en général par une énigme, une interrogation, une dernière page qui tue ! Un vrai calvaire quand on n’a pas la suite !!
Et oui, on se demande comment Tenma va se sortir de cette affaire, comment va-t-il montrer que Johann est ce "monstre", quel est le passé des Liebert ? Plein d'interrogations, je veux savoir !!
En tout cas, belle performance de la part d'Urasawa d'avoir fait une bd aussi captivante que "Monster". Le scénario est vraiment bien pensé ! On sent bien que ça n'a pas été pondu en 2h, c'est carrément pensé, jusque dans les moindres détails, tout se recoupe, un vrai régal ! D'ailleurs, c'est un scénario plutôt complexe, bien dense, limite trop, ça manque parfois de simplicité, c'est vraiment compliqué, mieux vaut être dans un endroit calme et bien concentré pour profiter au maximum (c'est valable pour toute lecture mais particulièrement là), il y a beaucoup de personnages, ils apparaissent tous au fur et à mesure de l'histoire, et ils ont tous un rapport avec Tenma ou Johann...
Johann... grande réussite ce personnage aussi ! Rarement un personnage aura été aussi charismatique, aussi envoûtant, le méchant parfait quoi ! Pour faire une bonne histoire, il faut un bon méchant, c'est valable au cinéma, mais c'est valable aussi en bd ! "Monster" rentre carrément dans cette phrase !
Sinon côté dessin, ya pas à dire, c'est carrément bon ! Les personnages sont carrément maîtrisés, très expressifs (ou pas du tout quand c'est voulu), les cadrages sont bons, le trait est net et précis, j'aime beaucoup...
Donc pour conclure, lisez "Monster", vous aimerez, j'en suis convaincu, même Kael a aimé alors... :D
J'ai longtemps hésité entre 3 et 4, mais j'ai arrêté ma note sur 4 pour une bonne raison: les mangas de sports et le basket j'en ai rien à battre, mais j'ai accroché à l'histoire.
Oui c'est un peu classique, le débutant qui se découvre des capacités et qui se révèle un élément clé pour la victoire, mais Sakuragi (le héros) est vraiment très con, ses réactions puériles, et à chaque fois je suis plié. Les matchs de basket sont souvent un peu longs et parfois tirés par les cheveux mais ils sont bien menés et haletants.
Pour les dessins, ils étaient bien au début de la série et ils ont évolués en "vachement beaux et super maîtrisés".
Voilà, voilà, c'est classique mais prenant, c'est beau et on n'a pas besoin de tout connaître sur ce sport pour apprécier. Et surtout c'est bien marrant.
Après des ouvrages tels que "Lie-de-vin" et "Le cadet des Soupetard", on n'attendait pas vraiment Berlion dans ce genre de série. Détective désabusé, exerçant son métier à l'ombre des pétrodollars, Tony Corso est le héros d'une série éponyme (qui fait indéniablement pensé à "Largo Winch" et autres "IRS" utilisant la même recette) qui s'annonce très commerciale (quelle surprise!) et pour autant très bien foutue dans son genre.
Si ce genre n'est pas votre tasse de thé, si les beaux gosses, les belles pépés et les enquêtes policières un peu James Bondiennes vous gonflent plus qu'autre chose, passez votre chemin. Sinon vous découvrirez une série vraiment sympa, remplie d'humour et qui ne se la joue pas trop sérieux. L'intrigue elle-même est plutôt bien foutue et crédible, même si on n'évite pas toujours la caricature d'enquête dans le tome 1, sans que cela soit toujours volontaire.
Berlion a délaissé la couleur directe qui l'a fait connaître et son style, très dynamique, sert parfaitement son histoire. Bref une série pop-corn qui s'annonce bien, ce que confirme le très bon second tome: pour les amateurs.
Une très belle histoire, servie par un dessin magnifique.
L’histoire de ces automates est vraiment touchante. C’est beau, plein de poésie et rempli de mélancolie. L’histoire est servie par les dessins remarquables de Béatrice Tillier. C’est vraiment beau, et il se dégage de ces planches une certaine magie. Les couleurs sont remarquables et la mise en page est vraiment bien faite.
Cependant, le troisième tome n’est pas du même niveau. Les dessins de Leclercq sont beaux, proches de ceux de Béatrice Tillier, mais il ne s’en dégage pas la même magie. La fin du scénario est aussi un peu décevante, notamment avec les "résurrections" de Jam et le fait que la Fée semble perdre de sa fragilité.
Cela reste tout de même une série remarquable, que je ne peux que vous conseiller.
Génial !
Nous n’avons ici que la fin d’une histoire, le dénouement. Mais quel dénouement !
C’est vraiment très amusant, délirant.
Qui plus est, les dessins de Franck Le Gall s’accordent parfaitement à ce genre d’histoires.
Vraiment une excellente Patte de mouche !
Le premier tome a été un véritable choc pour moi sans que je puisse réellement expliquer ce que j'ai tant aimé dans cette histoire d'amitié, de blessures secrètes, de pêche interstellaire et de consommation de stupéfiants. Choc émotionnel, choc graphique également, sommet de finesse et de pudeur, j'ai été envoûté par le tome 1 de "Lupus".
La suite est excellente mais peut-être pas à la hauteur de cet incroyable premier tome. C'est une magnifique ode à la vie, c'est imaginatif, toujours subtil et Peeters prend le temps de justement nous montrer le temps qui passe: sa narration est parfois déroutante tant cette langueur est inhabituelle mais cela fonctionne à merveille.
Cette série est simple et belle et mérite la note maximale pour son originalité, sa beauté, sa subtilité et son époustouflant premier tome.
Chouette BD que celle-ci. Dans le genre horreur (ô combien difficile en bande dessinée), c'est ce que j'ai lu de mieux après le premier tome de "Dans la nuit". Les premiers 2/3 de l'histoire sont savamment orchestrés: la tension est palpable, renforcée par une mise en scène hyper efficace et des couleurs diaboliquement choisies. Il est vraiment dommage que la fin ne soit pas vraiment à la hauteur, la petite fille étant plus ridicule qu'effrayante, je trouve. Cela reste une belle réussite malgré tout qui me fait mettre 4 étoiles tant ce genre est casse gueule.
Et bien pour ne pas faire trop long, je dirais que pour comprendre la BD, il faut imaginer un flic du genre inspecteur Harry qui n'a que trois doigts à une main et qui fait croire à sa mère qu'il est pasteur... Des situations drôles, un poil de violence (d'où la comparaison à l'inspecteur Harry :o) ), le dessin est dynamique et vraiment pas mal, les scénarii sont sympa et variés.
A noter qu'il paraîtrait qu'on connaîtra le pourquoi des deux doigts au moins dans le tome 12.
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Tony Corso
Je l'ai bien aimé cette BD ! Alors bien sûr, comme pour l'avis précédent, cette série fait penser à bien d'autres déjà existantes, mais elle a le mérite d'être bien construite, avec un scénario assez bien ficelé et un héros qui est plutôt sympa. Le dessin de Berlion est très agréable et, bien qu'il ait abandonné la couleur directe, les couleurs très vives nous donnent envie de partir en Provence ! Un bon premier album qui se lit avec plaisir, et qui devrait donner une série à succès.
Inner City Blues
J’adore le style de Brüno, et particulièrement son trait original et tout en rondeurs, qui fait merveille dans cette série où il tente de reproduire l'ambiance des films de blaxploitation, et qui est de plus fort bien servi par une superbe mise en couleur toute en nuance et en retenue (non je déconne, c’est les années 70 quand même, on fait péter l’orange, le violet, le vert anis, ou le rose bonbon en aplats - et le résultat est plus que convaincant). La série est prévue en trois tomes se déroulant simultanément, chacun adoptant le point de vue d’un personnage, et c’est la mise en parallèle des trois albums qui devrait permettre de cerner l’histoire (un deal entre truands qui ne se passe pas comme prévu) dans son ensemble. Donc même si à la lecture d’un seul tome le scénario peut paraître un peu léger, ce n’est qu’à la publication du troisième qu’il devrait montrer toute sa dimension. La narration se fait donc par touches et avec une vision subjective, ce qui fait qu’on se rend compte dès le deuxième tome que les personnages ont plusieurs facettes et que l’idée qu’on pouvait s’en faire après la seule lecture du tome 1 est assez éloignée de la réalité… Les points forts de cette série, outre qu’elle est dessinée par Brüno (oui je suis un inconditionnel - lisez aussi Nemo), sont d’une part son rythme effréné (surtout dans le premier tome, où les scènes d’action s’enchaînent sans temps mort -avec notamment une scène de course-poursuite hommage à l’inspecteur Harry qui est particulièrement réussie), et d’autre part l’ambiance qui se dégage à la lecture de ces albums qui retranscrit avec bonheur l’esprit des films de gangsters des années 70... La scène d’intro du tome 2 est à ce titre un modèle du genre. Ces albums sont aussi truffés de références tant cinématographiques que musicales (étrangement les références sont plus jazz que soul, musique que j’associe plus à l’époque et au genre)… A lire avec la BO de Superfly en fond sonore. Alors « Culte » pour une série construite de cette manière et dont on attend encore le dernier tome, c’est un peu risqué, mais, d’une part, cette série a été l’un de mes plus grands chocs BD de ces deux dernières années, et d’autre part, de tous les albums à paraître, le troisième volume d’Inner City Blues est certainement celui que j’attends avec le plus d’impatience.
Monster
C'est complètement énorme ce manga !! C'est le genre de lecture qui captive complètement ! On a envie de savoir la suite, c'est limite un "besoin", comme une drogue en fait! Et comme de bien entendu, chaque tome se termine en général par une énigme, une interrogation, une dernière page qui tue ! Un vrai calvaire quand on n’a pas la suite !! Et oui, on se demande comment Tenma va se sortir de cette affaire, comment va-t-il montrer que Johann est ce "monstre", quel est le passé des Liebert ? Plein d'interrogations, je veux savoir !! En tout cas, belle performance de la part d'Urasawa d'avoir fait une bd aussi captivante que "Monster". Le scénario est vraiment bien pensé ! On sent bien que ça n'a pas été pondu en 2h, c'est carrément pensé, jusque dans les moindres détails, tout se recoupe, un vrai régal ! D'ailleurs, c'est un scénario plutôt complexe, bien dense, limite trop, ça manque parfois de simplicité, c'est vraiment compliqué, mieux vaut être dans un endroit calme et bien concentré pour profiter au maximum (c'est valable pour toute lecture mais particulièrement là), il y a beaucoup de personnages, ils apparaissent tous au fur et à mesure de l'histoire, et ils ont tous un rapport avec Tenma ou Johann... Johann... grande réussite ce personnage aussi ! Rarement un personnage aura été aussi charismatique, aussi envoûtant, le méchant parfait quoi ! Pour faire une bonne histoire, il faut un bon méchant, c'est valable au cinéma, mais c'est valable aussi en bd ! "Monster" rentre carrément dans cette phrase ! Sinon côté dessin, ya pas à dire, c'est carrément bon ! Les personnages sont carrément maîtrisés, très expressifs (ou pas du tout quand c'est voulu), les cadrages sont bons, le trait est net et précis, j'aime beaucoup... Donc pour conclure, lisez "Monster", vous aimerez, j'en suis convaincu, même Kael a aimé alors... :D
Slam Dunk
J'ai longtemps hésité entre 3 et 4, mais j'ai arrêté ma note sur 4 pour une bonne raison: les mangas de sports et le basket j'en ai rien à battre, mais j'ai accroché à l'histoire. Oui c'est un peu classique, le débutant qui se découvre des capacités et qui se révèle un élément clé pour la victoire, mais Sakuragi (le héros) est vraiment très con, ses réactions puériles, et à chaque fois je suis plié. Les matchs de basket sont souvent un peu longs et parfois tirés par les cheveux mais ils sont bien menés et haletants. Pour les dessins, ils étaient bien au début de la série et ils ont évolués en "vachement beaux et super maîtrisés". Voilà, voilà, c'est classique mais prenant, c'est beau et on n'a pas besoin de tout connaître sur ce sport pour apprécier. Et surtout c'est bien marrant.
Tony Corso
Après des ouvrages tels que "Lie-de-vin" et "Le cadet des Soupetard", on n'attendait pas vraiment Berlion dans ce genre de série. Détective désabusé, exerçant son métier à l'ombre des pétrodollars, Tony Corso est le héros d'une série éponyme (qui fait indéniablement pensé à "Largo Winch" et autres "IRS" utilisant la même recette) qui s'annonce très commerciale (quelle surprise!) et pour autant très bien foutue dans son genre. Si ce genre n'est pas votre tasse de thé, si les beaux gosses, les belles pépés et les enquêtes policières un peu James Bondiennes vous gonflent plus qu'autre chose, passez votre chemin. Sinon vous découvrirez une série vraiment sympa, remplie d'humour et qui ne se la joue pas trop sérieux. L'intrigue elle-même est plutôt bien foutue et crédible, même si on n'évite pas toujours la caricature d'enquête dans le tome 1, sans que cela soit toujours volontaire. Berlion a délaissé la couleur directe qui l'a fait connaître et son style, très dynamique, sert parfaitement son histoire. Bref une série pop-corn qui s'annonce bien, ce que confirme le très bon second tome: pour les amateurs.
Fée et tendres Automates
Une très belle histoire, servie par un dessin magnifique. L’histoire de ces automates est vraiment touchante. C’est beau, plein de poésie et rempli de mélancolie. L’histoire est servie par les dessins remarquables de Béatrice Tillier. C’est vraiment beau, et il se dégage de ces planches une certaine magie. Les couleurs sont remarquables et la mise en page est vraiment bien faite. Cependant, le troisième tome n’est pas du même niveau. Les dessins de Leclercq sont beaux, proches de ceux de Béatrice Tillier, mais il ne s’en dégage pas la même magie. La fin du scénario est aussi un peu décevante, notamment avec les "résurrections" de Jam et le fait que la Fée semble perdre de sa fragilité. Cela reste tout de même une série remarquable, que je ne peux que vous conseiller.
Les Aventures de la Fin de l'épisode
Génial ! Nous n’avons ici que la fin d’une histoire, le dénouement. Mais quel dénouement ! C’est vraiment très amusant, délirant. Qui plus est, les dessins de Franck Le Gall s’accordent parfaitement à ce genre d’histoires. Vraiment une excellente Patte de mouche !
Lupus
Le premier tome a été un véritable choc pour moi sans que je puisse réellement expliquer ce que j'ai tant aimé dans cette histoire d'amitié, de blessures secrètes, de pêche interstellaire et de consommation de stupéfiants. Choc émotionnel, choc graphique également, sommet de finesse et de pudeur, j'ai été envoûté par le tome 1 de "Lupus". La suite est excellente mais peut-être pas à la hauteur de cet incroyable premier tome. C'est une magnifique ode à la vie, c'est imaginatif, toujours subtil et Peeters prend le temps de justement nous montrer le temps qui passe: sa narration est parfois déroutante tant cette langueur est inhabituelle mais cela fonctionne à merveille. Cette série est simple et belle et mérite la note maximale pour son originalité, sa beauté, sa subtilité et son époustouflant premier tome.
Dors, petite fille
Chouette BD que celle-ci. Dans le genre horreur (ô combien difficile en bande dessinée), c'est ce que j'ai lu de mieux après le premier tome de "Dans la nuit". Les premiers 2/3 de l'histoire sont savamment orchestrés: la tension est palpable, renforcée par une mise en scène hyper efficace et des couleurs diaboliquement choisies. Il est vraiment dommage que la fin ne soit pas vraiment à la hauteur, la petite fille étant plus ridicule qu'effrayante, je trouve. Cela reste une belle réussite malgré tout qui me fait mettre 4 étoiles tant ce genre est casse gueule.
Soda
Et bien pour ne pas faire trop long, je dirais que pour comprendre la BD, il faut imaginer un flic du genre inspecteur Harry qui n'a que trois doigts à une main et qui fait croire à sa mère qu'il est pasteur... Des situations drôles, un poil de violence (d'où la comparaison à l'inspecteur Harry :o) ), le dessin est dynamique et vraiment pas mal, les scénarii sont sympa et variés. A noter qu'il paraîtrait qu'on connaîtra le pourquoi des deux doigts au moins dans le tome 12.