J'ai lu cet album au milieu d'une foule de personnes, qui ont dû se demander moultes fois ce qui me faisait autant rigoler. Vous, au moins, je vous le dis : c'était La Légende de Robin des Bois. Les personnages de Larcenet sont souvent paumés, un peu losers, insatisfaits. C'est pour ça qu'on les aime. Ici, l'auteur se surpasse : on s'attache à un Robin parfaitement ridicule, doublé d'un égoïste et méprisant personnage (assez vil, quoi...). Mais le vil Robin est atteint d'Alzheimer, et pire encore, de nostalgie, alors on l'aime. Ici l'humour (variant du gris clair au noir qui tache) a la place de choix, et de loin (c'est quand même du Fluide, au départ), mais Larcenet distille la pointe d'amertume qui lui est caractéristique même dans ses plus gros délires, et là, ébahis que nous sommes, on est tristes de quitter ces personnages improbables et hilarants, et on meurt d'envie de revoir, juste une fois, Robin chanter Tata Yoyo...
Une histoire délicieuse, magnifiquement illustrée par Magnin, son dessin est mignon, réellement original et plein de proportions bizarres et d’effets de fausses perspectives qui accentuent le caractère fantaisiste du scénario de Rodolphe en forme de fable cosmologique. Son « autre monde » fait la part belle aux croyances et aux possibles d'avant l'ère scientifique, la conclusion, pour le moins inattendue est d’une naïveté confondante, carrément touchante.
Il y a dans ces deux albums, qu’il vaut mieux lire d’une seule traite, une telle adéquation entre le fond et la forme qu’on a du mal à imaginer ce récit illustré par quelqu’un d’autre ou un autre type de récit pour le dessin si caractéristique de Magnin.
Une très belle oeuvre. Reprise d'une légende orientale dans la lignée des plus beaux contes, le tout servi par le pinceau de Mr Segur. Magnifique. Les couleurs sont très belles, vives. Les planches sont vraiment superbes avec une véritable volonté de nous plonger dans le domaine du conte, de l'imaginaire. Tragique, l'histoire accroche le lecteur jusqu'au bout.
Encore une fois dommage que Segur ne nous ait pas plus régalés.
Bref je vous conseille de l'avoir dans votre bdthèque. Ca change de ce que l'on peut voir habituellement dans la BD et c'est vraiment très boooooooo !!
Très bonne BD !
Les dessins sont vraiment très beaux. Ils sont plutôt doux mais très porteurs en émotions. Il y a d’ailleurs pas mal de planches sans bulles : elles ne serviraient à rien, les dessins parlent d’eux-mêmes.
Le scénario est très bon lui aussi. Le personnage de Gabriel, séminariste qui arrive dans un village avec le défaut d’être "le fils de", ne connaît pas grand-chose à la vie et va découvrir d’un coup la révolution et la sexualité, tout en développant ses talents de peintre. Il devra trouver, au milieu de diverses influences (sa famille, le séminaire et le personnage de Buenaventura d’un côté, le père, Concepcion et les villageois de l’autre), sa propre place. C’est un personnage que je trouve très attachant.
Le tout est bien construit, et littéralement porté par un dessin magnifique.
J’attends la suite avec confiance.
Que c'est beau mon dieu que c'est beau !!
Je suis bouche bée devant l'incroyable douceur et l'enchantement qui se dégagent de certaines planches (de toutes en fait). Ca fourmille de détails, c'est vraiment très joli à regarder.
C'est très coloré, ambiance très sucrée. Un vrai bonbon. Néanmoins, je peux comprendre que l'on n'aime pas, ça peut faire trop "flashy", trop coloré justement. Ce n'est pas mon cas en l'occurence, une fois n'est pas coutume.
Ces dessins sont un véritable enchantement, c'est magique à regarder.
L'histoire à la base est assez banale, mais bien découpée, bien rythmée, ce qui lui donne un certain attrait. Moi l'histoire de ce fou triste et de ce roi rigolo m'a intéressée ! J'ai souri plus d'une fois à la lecture de cet album, l'histoire m'a beaucoup plu dans son ensemble ! Ca m'a complètement fait craquer.
C'est un joli conte ; une fois refermé, j'ai eu le sourire aux lèvres un moment, et ça fait du bien, un peu de douceur comme celle-ci...
A moi aussi, la couverture de l'album m'a fait mal aux yeux. Et puis il y a eu l'effet BDThèque, la présence de l'auteur à un festival où j'étais présent, des discussions autour d'un verre de Manzana...
Et j'ai donc lu l'album sans (presque) aucun a priori.
Eh bien franchement, voici l'un des meilleurs albums de l'année ! Sous son aspect un peu "brouillon", très crayonné, Dillies fait preuve d'une réelle maîtrise du mouvement, d'un sens incroyable du cadrage, ce qui est rare pour un premier album...
Et l'histoire est une magnifique histoire d'amour, croisement entre du tex Avery et les films noirs des années 1930 ou 50... Pas très originale, c'est sûr, mais moi aussi j'ai été soufflé par la fin de l'album.
Vraiment un excellent classique, qui frôle la note parfaite. :)
Encore un excellent choix d’adaptation de Tardi...
Daeninckx et le dessinateur étaient faits pour se rencontrer : même antimilitarisme, même cynisme historique (un héros pétochard, gueules cassées et bourgeoisie dépravée, les cochonnards à Neuilly, les surplus ricains et le « commerce des veuves »...), une même attirance pour les histoires glauques... et les épitaphes réalistes !
Resteront gravés pour moi : le mariage d’une gueule cassée et le squat des anarchistes arrangé par des aristos dans leur propre demeure...
Une BD culte à n'en pas douter!
La première chose qui m'a véritablement happé, ce sont les couvertures de chacun des tomes. Une fois ouvert le premier opus, je me suis vite rendu compte que tous les dessins étaient à l'image de celles-ci : magnifiques, particulièrement les plans où on voit les vaisseaux en action dans l'espace.
Le scénario, excellent, intelligent, et plein de rebondissements, met en action 7 personnes condamnées par la cour martiale de l'United Earthes Forces et ayant reçu une dernière chance en formant l'escadrille Purgatory. Ils vont devoir faire face aussi bien à la menace des CIC qu'à leur passé.
L'auteur, qui donne à certains personnages comme Kalish un charisme incroyable , aborde le voyage dans le temps ainsi que sa conséquence la plus redoutée (le paradoxe temporel) avec brillo.
Bajram nous offre là une histoire à couper le souffle, pour moi, déjà un classique en SF.
Voilà, j'ai enfin commencé Sillage!
Après tout ce que j'en avais entendu parler, je ne pouvais pas passer à côté. Je n'ai lu pour l'instant que le premier tome, mais je suis déjà enchanté par cette histoire haute en couleur et dont le scénario comme le dessin sont simplement excellents.
J'espère être aussi agréablement surpris par les autres tomes, que je commencerai dès que faire se pourra!
TOME 1
Je trouve difficile de mettre une note sur "Héraclès".
Je me suis un peu ennuyé à la lecture de cet album, peut-être parce que j'avais déjà lu "Le chat du rabbin", qui comme il a été signalé, est bien meilleur. Ce n'est pas mauvais pourtant, j'aime bien le dessin de Blain, mais le scénario de Sfar me laisse, à moi aussi, un arrière-goût de trop peu. Et comme il a déjà été dit, c'est certainement dû au peu de profondeur des réflexions philosophiques, un peu comme si les questions étaient posées, mais qu'elles demeuraient sans réponse...
Je ne conseille pas l'achat avant d'avoir lu le second tome, dont j'attends avec impatience la sortie afin de voir comment l'histoire évoluera.
TOME 2
Ayè, le deuxième opus "Ulysse" est sorti, et il me fait considérablement revoir mon jugement !
Socrate veut faire se rencontrer Ulysse et son maître (Héracles) afin d'inciter ce dernier à fonder une famille, se fixer, ne plus papillonner à gauche ou à droite et enfin connaitre l'amour vrai. Ce qui va totalement déraper...
Le dessin de Blain est toujours égal à lui même, et le scénario a pris, je trouve, quelques notes d'humour vraiment pas dérangeantes ! Il y a plus d'actions et les réflexions philosophiques ont pris un peu de force, mais ce dont je me suis surtout rendu compte avec ce tome, c'est qu'en fait Socrate le demi-chien n'a pas à souffrir d'une comparaison avec son homologue "le chat du rabbin", simplement car ce qu'ils vivent est différent... Je pense que cette série a besoin d'un peu plus de temps que le chat du rabbin pour accrocher, ce qui, dans mon cas, a parfaitement réussis avec ce nouveau tome.
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La Légende de Robin des Bois
J'ai lu cet album au milieu d'une foule de personnes, qui ont dû se demander moultes fois ce qui me faisait autant rigoler. Vous, au moins, je vous le dis : c'était La Légende de Robin des Bois. Les personnages de Larcenet sont souvent paumés, un peu losers, insatisfaits. C'est pour ça qu'on les aime. Ici, l'auteur se surpasse : on s'attache à un Robin parfaitement ridicule, doublé d'un égoïste et méprisant personnage (assez vil, quoi...). Mais le vil Robin est atteint d'Alzheimer, et pire encore, de nostalgie, alors on l'aime. Ici l'humour (variant du gris clair au noir qui tache) a la place de choix, et de loin (c'est quand même du Fluide, au départ), mais Larcenet distille la pointe d'amertume qui lui est caractéristique même dans ses plus gros délires, et là, ébahis que nous sommes, on est tristes de quitter ces personnages improbables et hilarants, et on meurt d'envie de revoir, juste une fois, Robin chanter Tata Yoyo...
L'Autre Monde
Une histoire délicieuse, magnifiquement illustrée par Magnin, son dessin est mignon, réellement original et plein de proportions bizarres et d’effets de fausses perspectives qui accentuent le caractère fantaisiste du scénario de Rodolphe en forme de fable cosmologique. Son « autre monde » fait la part belle aux croyances et aux possibles d'avant l'ère scientifique, la conclusion, pour le moins inattendue est d’une naïveté confondante, carrément touchante. Il y a dans ces deux albums, qu’il vaut mieux lire d’une seule traite, une telle adéquation entre le fond et la forme qu’on a du mal à imaginer ce récit illustré par quelqu’un d’autre ou un autre type de récit pour le dessin si caractéristique de Magnin.
Le Roi des Méduses
Une très belle oeuvre. Reprise d'une légende orientale dans la lignée des plus beaux contes, le tout servi par le pinceau de Mr Segur. Magnifique. Les couleurs sont très belles, vives. Les planches sont vraiment superbes avec une véritable volonté de nous plonger dans le domaine du conte, de l'imaginaire. Tragique, l'histoire accroche le lecteur jusqu'au bout. Encore une fois dommage que Segur ne nous ait pas plus régalés. Bref je vous conseille de l'avoir dans votre bdthèque. Ca change de ce que l'on peut voir habituellement dans la BD et c'est vraiment très boooooooo !!
Muchacho
Très bonne BD ! Les dessins sont vraiment très beaux. Ils sont plutôt doux mais très porteurs en émotions. Il y a d’ailleurs pas mal de planches sans bulles : elles ne serviraient à rien, les dessins parlent d’eux-mêmes. Le scénario est très bon lui aussi. Le personnage de Gabriel, séminariste qui arrive dans un village avec le défaut d’être "le fils de", ne connaît pas grand-chose à la vie et va découvrir d’un coup la révolution et la sexualité, tout en développant ses talents de peintre. Il devra trouver, au milieu de diverses influences (sa famille, le séminaire et le personnage de Buenaventura d’un côté, le père, Concepcion et les villageois de l’autre), sa propre place. C’est un personnage que je trouve très attachant. Le tout est bien construit, et littéralement porté par un dessin magnifique. J’attends la suite avec confiance.
Les Contes et Récits de Maître Spazi
Que c'est beau mon dieu que c'est beau !! Je suis bouche bée devant l'incroyable douceur et l'enchantement qui se dégagent de certaines planches (de toutes en fait). Ca fourmille de détails, c'est vraiment très joli à regarder. C'est très coloré, ambiance très sucrée. Un vrai bonbon. Néanmoins, je peux comprendre que l'on n'aime pas, ça peut faire trop "flashy", trop coloré justement. Ce n'est pas mon cas en l'occurence, une fois n'est pas coutume. Ces dessins sont un véritable enchantement, c'est magique à regarder. L'histoire à la base est assez banale, mais bien découpée, bien rythmée, ce qui lui donne un certain attrait. Moi l'histoire de ce fou triste et de ce roi rigolo m'a intéressée ! J'ai souri plus d'une fois à la lecture de cet album, l'histoire m'a beaucoup plu dans son ensemble ! Ca m'a complètement fait craquer. C'est un joli conte ; une fois refermé, j'ai eu le sourire aux lèvres un moment, et ça fait du bien, un peu de douceur comme celle-ci...
Betty Blues
A moi aussi, la couverture de l'album m'a fait mal aux yeux. Et puis il y a eu l'effet BDThèque, la présence de l'auteur à un festival où j'étais présent, des discussions autour d'un verre de Manzana... Et j'ai donc lu l'album sans (presque) aucun a priori. Eh bien franchement, voici l'un des meilleurs albums de l'année ! Sous son aspect un peu "brouillon", très crayonné, Dillies fait preuve d'une réelle maîtrise du mouvement, d'un sens incroyable du cadrage, ce qui est rare pour un premier album... Et l'histoire est une magnifique histoire d'amour, croisement entre du tex Avery et les films noirs des années 1930 ou 50... Pas très originale, c'est sûr, mais moi aussi j'ai été soufflé par la fin de l'album. Vraiment un excellent classique, qui frôle la note parfaite. :)
Le der des ders
Encore un excellent choix d’adaptation de Tardi... Daeninckx et le dessinateur étaient faits pour se rencontrer : même antimilitarisme, même cynisme historique (un héros pétochard, gueules cassées et bourgeoisie dépravée, les cochonnards à Neuilly, les surplus ricains et le « commerce des veuves »...), une même attirance pour les histoires glauques... et les épitaphes réalistes ! Resteront gravés pour moi : le mariage d’une gueule cassée et le squat des anarchistes arrangé par des aristos dans leur propre demeure...
Universal War One
Une BD culte à n'en pas douter! La première chose qui m'a véritablement happé, ce sont les couvertures de chacun des tomes. Une fois ouvert le premier opus, je me suis vite rendu compte que tous les dessins étaient à l'image de celles-ci : magnifiques, particulièrement les plans où on voit les vaisseaux en action dans l'espace. Le scénario, excellent, intelligent, et plein de rebondissements, met en action 7 personnes condamnées par la cour martiale de l'United Earthes Forces et ayant reçu une dernière chance en formant l'escadrille Purgatory. Ils vont devoir faire face aussi bien à la menace des CIC qu'à leur passé. L'auteur, qui donne à certains personnages comme Kalish un charisme incroyable , aborde le voyage dans le temps ainsi que sa conséquence la plus redoutée (le paradoxe temporel) avec brillo. Bajram nous offre là une histoire à couper le souffle, pour moi, déjà un classique en SF.
Sillage
Voilà, j'ai enfin commencé Sillage! Après tout ce que j'en avais entendu parler, je ne pouvais pas passer à côté. Je n'ai lu pour l'instant que le premier tome, mais je suis déjà enchanté par cette histoire haute en couleur et dont le scénario comme le dessin sont simplement excellents. J'espère être aussi agréablement surpris par les autres tomes, que je commencerai dès que faire se pourra!
Socrate le demi-chien
TOME 1 Je trouve difficile de mettre une note sur "Héraclès". Je me suis un peu ennuyé à la lecture de cet album, peut-être parce que j'avais déjà lu "Le chat du rabbin", qui comme il a été signalé, est bien meilleur. Ce n'est pas mauvais pourtant, j'aime bien le dessin de Blain, mais le scénario de Sfar me laisse, à moi aussi, un arrière-goût de trop peu. Et comme il a déjà été dit, c'est certainement dû au peu de profondeur des réflexions philosophiques, un peu comme si les questions étaient posées, mais qu'elles demeuraient sans réponse... Je ne conseille pas l'achat avant d'avoir lu le second tome, dont j'attends avec impatience la sortie afin de voir comment l'histoire évoluera. TOME 2 Ayè, le deuxième opus "Ulysse" est sorti, et il me fait considérablement revoir mon jugement ! Socrate veut faire se rencontrer Ulysse et son maître (Héracles) afin d'inciter ce dernier à fonder une famille, se fixer, ne plus papillonner à gauche ou à droite et enfin connaitre l'amour vrai. Ce qui va totalement déraper... Le dessin de Blain est toujours égal à lui même, et le scénario a pris, je trouve, quelques notes d'humour vraiment pas dérangeantes ! Il y a plus d'actions et les réflexions philosophiques ont pris un peu de force, mais ce dont je me suis surtout rendu compte avec ce tome, c'est qu'en fait Socrate le demi-chien n'a pas à souffrir d'une comparaison avec son homologue "le chat du rabbin", simplement car ce qu'ils vivent est différent... Je pense que cette série a besoin d'un peu plus de temps que le chat du rabbin pour accrocher, ce qui, dans mon cas, a parfaitement réussis avec ce nouveau tome.