Les derniers avis (37459 avis)

Couverture de la série Elend
Elend

Comment ça pas de tome 2 ??? Dommage, on avait un scénario fouillé, des beaux dessins, de superbes dialogues, des personnages plus qu'intéressants, un univers magnifique... et un échec commercial ??? Et puis cette idée de cannibalisme, excellemment interprétée... Pas de gore inutile et racoleur, de réflexions malsaines ou stupides. Tout ce qui était traité l'était de main de maître (par un inconnnu qui plus est). Et l'aventure finit après un seul tome. On restera donc à renifler devant le tome unique, les yeux inondés de larmes... Et puis non, la vie est belle, les oiseaux chantent. Si Dieu le veut, un second tome sortira, toute la collection, et le profs de physique sera pas là demain...

08/03/2004 (modifier)
Par Spooky
Note: 4/5
Couverture de la série Contes de Noël
Contes de Noël

Certaines des histoires de ce recueil sont très sympathiques : les deux histoires de Peyo (Johan et Pirlouit), le conte de Tillieux intitulé La Porteuse de Dinde, Un Etrange paquet, de Fournier... D'une longueur variable (d'une à dix pages), ces récits pourraient paraître niais au XXIème siècle, de prime abord. Mais si l'on regarde de plus près, il n'en n'est rien, car les thèmes sont intemporels, et contés par des auteurs de grand talent. L'occasion de (re)découvrir des séries fantastiques !

08/03/2004 (modifier)
Par Spooky
Note: 4/5
Couverture de la série La lecture des ruines
La lecture des ruines

Un album déroutant. Commençons par le dessin. j'ai vraiment du mal avec ce type de trait, figé, impressionniste, comme plaqué en deux dimensions, sans profondeur. Ma lecture s'en trouve ralentie. Mais cela n'empêche pas l'examen minutieux du contenu scénaristique. Et là, c'est du grand art : une enquête policière qui bascule vers la science-fiction, le combat pour les valeurs, sur fond de conflit mondial. David B. a parsemé son récit d'un grand nombre d'éléments passionnants : le canon à rêves, les hommes de terre, le folklore guerrier, le quartier de Butcherwood à Londres, le Nisnas, l'arme des abattoirs, le nain jaune, la liste pourrait encore s'allonger... Tout cela aurait pu faire une série d'albums très intéressants. Mais David B. a décidé de seulement les effleurer, même l'élément qui donne son nom à l'album ; peut-être est-ce mieux ainsi... A noter que le personnage du Colonel Phillimore est une relecture (alambiquée) et un amalgame de Blake et Mortimer. Si je n'avais pas été un peu rebuté par le graphisme de l'album, celui-ci aurait frôlé la note maximale. Mais quel vivier d'idées !

08/03/2004 (modifier)
Par Spooky
Note: 4/5
Couverture de la série Donjon Potron-minet
Donjon Potron-minet

Intéressante cette série. Centrée sur Hyacinthe de Cavallère, elle nous permet de suivre ses premiers pas, avant la fondation du Donjon. Les personnages évoluent (le neuneu du tome 1 s'affirme au fil des pages), dans un sens plutôt crédible, ce qui en fait pour moi la série préférée des "Donjon" avec Zénith. On aimerait bien savoir comment va évoluer la relation entre Hyacinthe et Alexandra... Quant au dessin, je réitère l'impression que j'ai eue en lisant Isaac le Pirate : Blain a vraiment un trait fort sympathique, très adapté aux aventures picaresques.

08/03/2004 (modifier)
Par Ro
Note: 4/5
Couverture de la série Lupus
Lupus

J'ai lu le tome 1 de Lupus avec la pression car je ne devais pas décevoir Altaïr, qui était sûre que je n'aimerais pas et donc je me devais de le lire avec sérieux pour bien apprécier l'album à sa juste valeur, et au besoin faire râler Altaïr ;). Et ça commençait pour moi plutôt mal. Non pas parce que le dessin ne me plaisait pas (je le trouve agréable et les expressions des visages m'avaient déjà marqué dans Pilules Bleues), mais parce que je retrouvais des personnages au mental un peu artiste, un peu adolescent : deux p'tits jeunes totalement libres de glander et de tester toutes les drogues qu'ils trouvent. Ce n'est pas ma philosophie de vie et j'ai une tendance à me distancier d'une BD, quand je vois que c'est cette idée qui se dégage des personnages. Mais en fait non. Je sais pas trop pourquoi : le dessin peut-être, la narration case par case, ou bien les textes narratifs qui nous plongent dans les pensées au fil de l'histoire du héros Lupus, ou bien l'ambiance bon enfant, tout cela a contribué à me faire plonger dans l'histoire et à m'y intéresser. Et pour une fois, de suivre deux jeunes camés dans un univers de bars et de drogues, les voir rencontrer une jeune fille complètement paumée, ne me parut pas glauque mais plein d'une étrange bonne humeur. Puis vint la partie de pêche. Etrangement, en quelques traits de dessin, Peeters a su me faire sentir l'impression d'y être, d'être en haut de cette falaise, au dessus de cette mer acide et calme, dans cet univers immobile. Et tout le long du reste de l'album, j'étais entré dedans sans aucun effort, prêt à ressentir les émotions des personnages et du héros. Car oui, tout est en émotion : grâce à l'auteur et à sa narration, le lecteur ressent une bonne partie de ce que les personnages ressentent. Chaque silence a sa place, chaque geste quotidien sur lequel on s'attarde permet au personnage de réfléchir et au lecteur de ressentir cette réflexion avec lui. Et puis vient pour moi la double page la plus marquante pour moi de cet album, celle où a lieu le tir de pistolet (les lecteurs sauront de quoi je parle). On voit le héros qui regarde ailleurs, le regard captivé par un oiseau, alors que l'action a lieu juste à côté de lui et que vlan, d'un coup, il réalise. Et j'ai réalisé exactement en même temps que lui. Ce qui s'est passé à ce moment là aurait pu être raconté de plein de manières différentes, mais je crois que celle-ci réussit au maximum à faire ressentir le moment, l'émotion, et la brutalité de ce qu'il s'est produit. Bref, malgré mes réticences, malgré le fait que je m'entête à me dire que ces personnages ne me ressemblent pas, que ce sont des glandeurs irresponsables, je me suis senti plongé dans l'univers de Lupus, absorbé par les émotions, les leurs et les miennes sur la fin de l'album. Excellent donc. Après lecture du tome 2 : C'est marrant ce tome 2 m'a fait exactement la même impression en cours de lecture que le tome 1. Le commencement ne me plaisait pas trop, une fois de plus, car j'y retrouvais le personnage principal angoissé, noir, en manque de drogue, représentant à nouveau d'un style de vie qui me déplait (et puis après Constellation, je me rends compte que Peeters fait une petite fixation sur les scènes dans les toilettes :)). Puis ensuite, avec l'arrivée sur cette planète forestière, je suis entré dans l'ambiance et l'histoire, j'ai été envouté par la vie dans ce village de vieux coupés du monde moderne (même si j'ai trouvé un peu lourd le coup des anciens du Carzal/Larzac et compagnons d'un José Bové manchot), je suis rentré totalement dans cette "parenthèse de bonheur" comme la définit Lupus lui-même. Et une fois de plus, il y a ce moment fort en fin d'album, un peu moins fort que pour le tome 1 mais toujours aussi empli d'émotion. Une fois de plus, même si j'ai eu du mal à accrocher dans les premières pages, j'ai trouvé cette histoire, cette ambiance, cette narration excellente. Très fort.

08/03/2004 (modifier)
Par Piehr
Note: 4/5
Couverture de la série Blankets - Manteau de neige
Blankets - Manteau de neige

Que ceux d'entre vous qui avaient oublié ces douces sensations, ces bonheurs frivoles et ces peines douloureuses que tomber amoureux implique se ruent sur ce petit bijou du comics indépendant. Cette autobiographie, tellement sincère dans ses propos, vous rappellera sans nul doute quelques souvenirs personnels enfouis au fin fond de votre mémoire... Craig Thompson nous relate son enfance très puritaine dans cette Amérique chrétienne de la seconde moitié du 20eme siècle, où il rencontra la superbe Raina, inaccessible en apparence, mais qui lui ressemble tellement. C'est particulièrement touchant, très bien écrit, (et drôle, parfois ! la "bataille de pipi" entre Craig et son frère est un moment fa-bu-leux :D) et relaté avec une simplicité qui rend les différents personnages si proches de nous que les 582 pages de ce pavé s'écouleront le plus agréablement du monde. Bien sûr, tout n'est pas rose, et la finalité peut sembler troublante... Triste peut être, aussi... Chacun le ressentira à sa manière, évidemment. Le trait de Craig Thompson est particulièrement porteur d'émotions. Ce noir et blanc, très simple lui aussi, s'accorde à merveille à un récit très personnel, transposant avec perfection les sentiments des différents protagonistes.. Sur certaines pages, je pense même qu'un peu plus de silence aurait pu être le bienvenu tant le dessin parle de lui-même. Une très belle découverte, pour moi, qui me suis penché sur cet ouvrage lors du passage de l'auteur en dédicace à Lyon. Je vous le conseille donc tout particulièrement. :)

08/03/2004 (modifier)
Couverture de la série Le Sommet des dieux
Le Sommet des dieux

Taniguchi étrenne la nouvelle collection "Made in Japan" de Kana/Dargaud avec un album assez imposant (~325 pages, grand format) et qui fait son poids. La jaquette est plutôt belle. Par contre, j'aimerais pousser un coup de gueule : Eh oh, les éditeurs, ça va bien, là ! Nous faire des mangas à 18 euros, vous commencez à tirer sur la corde ! D'accord, c'est du Taniguchi, d'accord, le bouquin fait plus de 300 pages. Et alors ?! Akira ou "Gunm" dans un format comparable, c'est 12 euros. Faudrait voir à pas pousser et à commencer à gonfler les prix sous prétexte de faire dans le "luxueux", non mais ! :(:(:( En plus le texte de certaines cases a été retravaillé à la hache, on devine les idéogrammes mal gommés, et le texte est d'une taille hallucinante, complètement démesurée, on a l'impression que le narrateur hurle. Comme si ça ne suffisait pas, la police utilisée est franchement laide et le contour blanc (pour que le texte se détache bien du fond) est lui aussi énorme. C'est vraiment agaçant à lire. :( Bon, par contre la correction des textes a bien été faite, pas de coquille ou de faute qui traîne, ça change de certains autres éditeurs. Concernant l'histoire en elle-même, eh bien elle m'a laissé une impression étrange. Il est assez difficile de dire de quel genre l'album dépend. Il parle beaucoup d'alpinisme, bien sûr, mais commence comme une petite enquête policière tournant autour d'un appareil photo, et se poursuit ensuite sur la vie de Habu Joji en occultant tout le reste. Loin d'être désagréable, c'est assez prenant, mais en ce qui me concerne, l'alpinisme étant pour moi quelque chose de quasiment inconnu, je me suis retrouvé assez détaché du déroulement de l'histoire. En plus le personnage de Habu Joji, s'il a quelque chose de fascinant, est tout de même antipathique. L'identification est donc difficile, et la manière de lire l'album changée. Malgré cela on est happé par cette histoire qui pourrait être vraie. L'aspect hétéroclite du scénario, l'étrangeté (au sens de être étranger) du sujet n'empêche pas cela, et il faut bien avouer que Taniguchi dessine des montagnes fascinantes... Voilà. Un premier tome très différent des autres albums de Taniguchi, donc (pour ceux qui auraient encore un doute : inutile d'espérer y trouver quoi que ce soit de Quartier lointain), au rythme assez atypique, mais vraiment plaisant à lire.

Tome 3 :
Après deux tomes qui partent plutôt sur la vie de Habu Joji et s'éloignent donc de l'enquête sur l'appareil photo de Mallory, ce tome-ci y revient totalement. La problème c'est que ça rabache ce qui a déjà été dit. On a donc l'impression que le scénario est inventé en cours de route ou mal fichu, d'autant plus que le coup de l'enlèvement ressemble fortement à une péripétie pour restimuler le lecteur et retarder la progression du récit. Bref, même s'il est agréable à lire, ce tome 3 me paraît souffrir de défauts assez énormes.
Tome 4 :
Le tome 3 délaissait quelque peu l’alpinisme pour suivre de très près l’enquête de Fukamachi sur les traces de l’appareil photo de Mallory. S’ensuivait l’enlèvement de Ryoko et une tentative de chantage mettant en jeu ce même appareil. Certes rythmé et trépidant, il se détachait assez nettement des tomes précédents en proposant un suspense d’un genre plus policier, ainsi que plus d’action et de course-poursuite… Ce quatrième et avant-dernier tome au graphisme toujours aussi superbe remet les pendules à l’heure. Si l’un des vilains fait encore son apparition, c’est pour être éliminé dans les dix premières pages. Restent donc 300 pages d’escalade. Habu Jôji se lance dans son ascension de l’Everest. En hiver. Sans oxygène. Par le chemin le plus difficile. Et Fukamachi, en reporter et alpiniste amateur qu’il est, va essayer de le suivre le plus longtemps possible. Mais ces 300 pages parviennent surtout à faire toucher du doigt une aventure humaine. Car l’escalade, on s’en ficherait presque. Pourquoi Habu Jôji cherche-t-il donc à accomplir cet exploit ? Pour vaincre la montagne ? Non, bien sûr. Pour la gloire ? Non plus. Comme il le dit lui-même, il n’est rien, il n’a aucune idée de ce qu’il doit faire de sa vie. Sans la montagne il n’est qu’un déchet, un rebut, personne. Alors il grimpe pour être un alpiniste, pour être. Parce qu’en accomplissant cela, non seulement il prouve son existence, il lui trouve un sens, mais tout simplement il devient. Fukamachi, moins aguerri, le suit de loin, difficilement. Face au manque d’oxygène, aux chutes de pierres, aux difficultés de l’escalade, aux douleurs et à la fatigue, le découragement le gagne. Et pourtant il continuera. La montagne n’apporte aucune réponse, aucune raison de vivre, car la réponse est ailleurs. En l’homme. Et pour parvenir à ce sommet l’homme doit se dépasser, aller au-delà de ce qu’il est. Ainsi Le sommet des dieux prend-il tout son sens.

07/03/2004 (modifier)
Couverture de la série La Nef des fous
La Nef des fous

Mon avis (je mets des majuscules à mes phrases vous avez vu !) est que cette bande dessinée (je pense que bd fait partie du lexique destiné aux habitués donc je mets bande dessinées) est tout simplement génialissime, extraordinairement inventive, tout en reprenant des situations déjà vues mais révisées pour devenir extravagantes, drôles (je pense au grand coordinateur, je n'en dirai pas plus pour ne pas révéler la fin de l'histoire !) ! Mais il y a un problème et j'espère que je vais être entendue : je veux une suite, je veux une Nef des fous tome 5 (au passage je voudrais dire que j'adore le titre du tome 4 c'est à dire "au turf") ! Alors Turf au turf !!! Et plus vite que ça s'il te plaît !!! P.S: il faut vraiment lire cette BD, elle est trop terrible. P.S2: on peut pas rajouter des étoiles en plus parce que 5 ce n'est pas suffisant. (NDModérateur : c'est BD, bd, ou bande dessinée ? Merci de m'éclaircir.)

07/03/2004 (modifier)
Par Singe
Note: 5/5
Couverture de la série Miracleman
Miracleman

Cette histoire était à l'origine éditée en 1982 dans "Warrior" en Angleterre (sous le nom "Marvelman"). Seulement le premier tome et un peu du tome 2 ont été imprimé dans "Warrior", avant qu'il ne soit mis fin à la publication. Eclipse Comics a réimprimé ces épisodes et par la suite ils ont continué les histoires par Alan Moore, qui est parti après le 16ème tome. Moore a été remplacé par Neil Gaiman, qui a orienté le comic sous un angle très différent. Après le numéro 24 Eclipse Comics a fait faillite, l'histoire de Miracleman a été laissée dans les limbes et le titre disparut dans l'activité légale. Le numéro 25 a été fini, mais il n'a jamais été publié. Prenant un vieux super héros des comics des années 40, Alan Moore le place dans un environnement moderne (moderne en 1982...). C'est l'histoire du super héros qui a oublié son mot magique, de ce qu'il se produit quand il le redécouvre, comment il fait face à ses nouvelles puissances trouvées, et son voyage pour devenir un dieu. Le dessin dans les premiers épisodes par Garry Leach (à mon avis un artiste très sous-estimée) et Alan Davies semble un peu démodé quand on le compare avec le dessin des comics d'aujourd'hui. Mais rappelez-vous l'âge du livre (et la technologie "primitive" de l'impression utilisée en les années 80) - dans ce contexte, il est d'une haute qualité. Le dessin de Chuck Beckum dans le tome 2 n'est pas si bon (quand l'histoire continuait après les épisodes de "Warrior"). Ceci est rectifié quand Rick Veitch lui succède, mais son travail est parfois très graphique (en particulier la controversée naissance). Le 3eme Tome, "Olympus", est dessiné dans un style très différent par John Totleben, et il est le meilleur, graphiquement parlant, de la série. Ensuite Mark Buckingham suit avec un style plus moderne, également très agréable. L'écriture est toujours du niveau le plus élevé. Alan Moore montre son talent pour prendre l'extraordinaire et le mettre dans les situations ordinaires, une combinaison qui produit des histoires où on nous incite à penser et questionner. Ceci est la première déconstruction du genre des super héros par Alan Moore. Les comparaisons avec "Watchmen" sont inévitables, mais c'est un style d'histoire très différent. Le seul super héros dans "Watchmen" (avec des puissances) est Dr Manhattan, et il est trop détaché de l'humanité pour que l'on puisse s'identifier avec lui. Miracleman est très humain, avec les failles humaines, et il est plus facile de s'identifier à lui. Imaginez que vous découvriez que vous avez les super-puissances - vous feriez quoi ? Comment cela affecterait-il vos proches ? L'histoire commence avec l'examen de ces thèmes, quand le héros redécouvre son origine et qu'il fait l'apprentissage de ses puissances. Au tome 3, les événements rendent Miracleman éloigné de l'humanité. C'est ce tome qui contient la meilleure histoire de la série - il commence 5 années dans le futur (le monde a beaucoup changé), et l'histoire est racontée par Miracleman, qui écrit ses mémoires. Quand Neil Gaiman commence l'écriture de l'histoire, le sujet s'éloigne de Miracleman et sur les événements que se produisent dans le "nouveau monde" qu'est créé. La série finit avant que l'histoire entière ne soit racontée. Il est possible que Miracleman soit encore imprimé - probablement par Marvel Comics. Le gain de Gaiman pour son récent "1602" pour Marvel va favoriser la récupération de Miracleman. Très ironique, parce que c'est Marvel qui a forcé les auteurs à changer "Marvelman" pour "Miracleman" (bien que l'original de Marvelman ait été publié avant de Marvel Comics ait existé). Il est un peu difficile de trouver ces livres maintenant, mais ils valent l'effort. Je vais maintenant essayer de me rappeler mon mot magique...

06/03/2004 (modifier)
Couverture de la série Donjon Potron-minet
Donjon Potron-minet

Dans la catégorie des Donjons, voilà une série qui ressort un peu du lot par son style et qui intéresse plus que vivement par son histoire : la génése du Donjon. Bon le dessin est égal à lui-même, simpliste sans tomber dans le gribouillage hyéroglyphique de l'innommable Donjon Crepuscule qui n'aurait jamais dû voir le jour. On a droit à moins d'humour et beaucoup plus d'intelligence dans le scénario qui reste intéressant. Une très bonne série au final, qui reste la découverte de la semaine.

06/03/2004 (modifier)