Petite fable écologique, mais aussi réflexion sur les relations humaines, cette petite BD est bien sympathique!
Les dessins sont simples et esthétiques, et servent bien le texte. J'apprécie particulièrement le dessin de l'astéroïde hérissé de télescopes et le discours du touriste de l'espace intéressé et immoraliste.
A lire!
Une pure merveille!
Un concentré de philosophie. On peut le relire tous les jours, ce sera toujours aussi bien!
Et le dessin, symbolique, ajoute encore à la signification du texte!
(Et ça pour seulement 3 euros! Je dois être au paradis!)
Je dois avouer que pour une fois, j'accroche à l'humour de Cauvin. Le dessin sec et nerveux de Sandron y est aussi pour beaucoup. Dans un décor original (pour une BD d'humour), les aventures de Godaille et Godasse sont vraiment délirantes et l'album "Sacré Sacre" (que je conseille) est vraiment poilant pour peu qu'on rentre bien dans l'ambiance. L'ayant relu récemment, j'y ai retrouvé la bonne humeur et l'humour débridé qui m'avait fait rire étant adolescent. Et pour une fois, relisant une BD scénarisé par Cauvin, je n'ai pas eu ce sentiment d'éxaspération et de rire forcé que j'ai en lisant certains "Tuniques Bleues" (les plus récents) ou autres albums publiés à la chaine : "Godaille et Godasse" a gardé un aspect frais et un bon humour. Bon, vers la fin, les gags répétitifs avec Madame la Maréchale Lefèbvre qui jure en permanence et choque tout le monde, ça fait un peu moins rire, mais toute l'ambiance des BDs reste sympa.
Pourtant la série n'a pas eu de succès et elle a été arrêtée avant d'être suffisamment connue. Ceci dit, il y a 5 tomes existants et c'est déjà bien suffisant pour découvrir cette sympathique BD humoristique.
Bonne idée que de nous plonger dans le Paris des années 1880-90, au cœur des apprentis anarchistes. Ceux-ci ballottent entre action coup de poing et réflexion journalistique. La cellule constituée par Milou et Augustin est en soi une micro-société avec ses meneurs, ses penseurs, ses déséquilibrés… Très intéressant, dommage que le dessin de Moynot faiblisse au début du troisième chapitre, car la rigueur de ses décors et costumes, mais aussi la représentation des aspirations et désirs de ces « sans-milieux » force le respect.
Je dois l’avouer, cet album m’a piégé de bout en bout. D’abord parce que j’ai pensé que l’intrigue du feuilleton radiophonique était la trame principale. Et paf ! On nous explique que non, et du coup l’histoire prend une toute autre direction, et dès lors, on peut s’attendre à tout. On est ainsi dérouté jusqu’à la fin, qui est un peu en-deça de l’ensemble, jusque-là assez agréable. Le dessin de Kokor est plaisant, sans être génial. Une curiosité.
Très drôle. Le regard tendre et pas désenchanté d’une occidentale qui est née et a vécu toute sa jeunesse en Iran. Derrière les voiles, la république islamique, les femmes entretiennent leur vivacité d’esprit, leurs anecdotes savoureuses en étant le meilleur moteur. Un auteur à découvrir.
Le moins que l’on puisse dire est que l’on ne peut rester indifférent(e) à Presque. A mille lieues de la production actuelle de Larcenet. Car on a là un livre écrit avec les tripes, un pur cri de colère transformé en mots, en images sur le papier. En préambule l’auteur nous dit qu’il n’a plus la rage, mais le contenu du bouquin le contredit. C’est très haché, brut, et Larcenet a carrément changé de style pour nous raconter cette triste anecdote du temps où il était militaire. Les interludes au style trondheimiens donnent de prime abord l’impression de respiration, de légèreté, mais l’effet est inverse. On nous montre crûment la détresse d’un pauvre gars subissant la sottise de la grande muette. Cette histoire a réveillé quelques souvenirs déplaisants en moi… :(
Les aventures rocambolesques des extravagants Vermouth Le Poussin, Mlle Moussaka, Maitre Wang et consoeurs m'ont littéralement épuisé; car de catastrophe en rebondissement, il faut les suivre, nos gugusses !!!
Mais je suis déjà prêt à repartir avec mes nouveaux amis pour de nouvelles péripéties...
Bref, le cocktail dialogues-dessins-couleurs donne un 100% PUR BONHEUR.
:) Moi quand je tombe sur un album qui commence ça, d’entrée de jeu il me plaît. :)
Quand en plus il s’agit de deux auteurs atypiques que j’aime comme Ibn Al Rabin et Frederik Peeters, c’est la fête du slip !
Ici ces deux gamins se sont amusés à mettre en image une engueulade sur « toi tu fais un genre pourri qui n’a aucun intérêt ». Avec évidemment une mauvaise foi et un total manque de recul assez savoureux. Et bien sûr, lorsqu’ils s’essayent au genre qu’ils dénigrent, ce n’est pas pour en faire l’éloge.
Ecrit à quatre mains pour l’essentiel, « Friture » rappelle forcément « Galopinot ». Si la répartition du début est de quelques pages pour chaque auteur, on en vient ensuite à une discussion agitée où le rythme s’accélère. Un auteur fait une case et commence la suivante, l’autre répond dans la case d’après et commence la suivante, etc. Qu’il s’agisse d’une improvisation ou d’un scénario soigneusement élaboré, le résultat est très vivant, rempli de mauvaise foi et d’obstination, et ne vous fera certainement pas découvrir de bons arguments pour aimer un genre ou l’autre… mais est par contre absolument délectable. :)
Et la conclusion d’Andréas Kündig tombe parfaitement à propos.
Premier tome d'une série qui s'annonce prometteuse, de par le scénario, les dessins et les couleurs... L'intrigue est d'ailleurs tellement bien posée que lors de la deuxième lecture on remarque des détails qui n'étaient en fait pas annodins du tout...
Qui plus est l'edition est luxueuse, un "must have". :)
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Les Voisins
Petite fable écologique, mais aussi réflexion sur les relations humaines, cette petite BD est bien sympathique! Les dessins sont simples et esthétiques, et servent bien le texte. J'apprécie particulièrement le dessin de l'astéroïde hérissé de télescopes et le discours du touriste de l'espace intéressé et immoraliste. A lire!
Nous sommes tous morts
Une pure merveille! Un concentré de philosophie. On peut le relire tous les jours, ce sera toujours aussi bien! Et le dessin, symbolique, ajoute encore à la signification du texte! (Et ça pour seulement 3 euros! Je dois être au paradis!)
Godaille et Godasse
Je dois avouer que pour une fois, j'accroche à l'humour de Cauvin. Le dessin sec et nerveux de Sandron y est aussi pour beaucoup. Dans un décor original (pour une BD d'humour), les aventures de Godaille et Godasse sont vraiment délirantes et l'album "Sacré Sacre" (que je conseille) est vraiment poilant pour peu qu'on rentre bien dans l'ambiance. L'ayant relu récemment, j'y ai retrouvé la bonne humeur et l'humour débridé qui m'avait fait rire étant adolescent. Et pour une fois, relisant une BD scénarisé par Cauvin, je n'ai pas eu ce sentiment d'éxaspération et de rire forcé que j'ai en lisant certains "Tuniques Bleues" (les plus récents) ou autres albums publiés à la chaine : "Godaille et Godasse" a gardé un aspect frais et un bon humour. Bon, vers la fin, les gags répétitifs avec Madame la Maréchale Lefèbvre qui jure en permanence et choque tout le monde, ça fait un peu moins rire, mais toute l'ambiance des BDs reste sympa. Pourtant la série n'a pas eu de succès et elle a été arrêtée avant d'être suffisamment connue. Ceci dit, il y a 5 tomes existants et c'est déjà bien suffisant pour découvrir cette sympathique BD humoristique.
Le Temps des Bombes
Bonne idée que de nous plonger dans le Paris des années 1880-90, au cœur des apprentis anarchistes. Ceux-ci ballottent entre action coup de poing et réflexion journalistique. La cellule constituée par Milou et Augustin est en soi une micro-société avec ses meneurs, ses penseurs, ses déséquilibrés… Très intéressant, dommage que le dessin de Moynot faiblisse au début du troisième chapitre, car la rigueur de ses décors et costumes, mais aussi la représentation des aspirations et désirs de ces « sans-milieux » force le respect.
Balade Balade
Je dois l’avouer, cet album m’a piégé de bout en bout. D’abord parce que j’ai pensé que l’intrigue du feuilleton radiophonique était la trame principale. Et paf ! On nous explique que non, et du coup l’histoire prend une toute autre direction, et dès lors, on peut s’attendre à tout. On est ainsi dérouté jusqu’à la fin, qui est un peu en-deça de l’ensemble, jusque-là assez agréable. Le dessin de Kokor est plaisant, sans être génial. Une curiosité.
Broderies
Très drôle. Le regard tendre et pas désenchanté d’une occidentale qui est née et a vécu toute sa jeunesse en Iran. Derrière les voiles, la république islamique, les femmes entretiennent leur vivacité d’esprit, leurs anecdotes savoureuses en étant le meilleur moteur. Un auteur à découvrir.
Presque
Le moins que l’on puisse dire est que l’on ne peut rester indifférent(e) à Presque. A mille lieues de la production actuelle de Larcenet. Car on a là un livre écrit avec les tripes, un pur cri de colère transformé en mots, en images sur le papier. En préambule l’auteur nous dit qu’il n’a plus la rage, mais le contenu du bouquin le contredit. C’est très haché, brut, et Larcenet a carrément changé de style pour nous raconter cette triste anecdote du temps où il était militaire. Les interludes au style trondheimiens donnent de prime abord l’impression de respiration, de légèreté, mais l’effet est inverse. On nous montre crûment la détresse d’un pauvre gars subissant la sottise de la grande muette. Cette histoire a réveillé quelques souvenirs déplaisants en moi… :(
Shaolin Moussaka
Les aventures rocambolesques des extravagants Vermouth Le Poussin, Mlle Moussaka, Maitre Wang et consoeurs m'ont littéralement épuisé; car de catastrophe en rebondissement, il faut les suivre, nos gugusses !!! Mais je suis déjà prêt à repartir avec mes nouveaux amis pour de nouvelles péripéties... Bref, le cocktail dialogues-dessins-couleurs donne un 100% PUR BONHEUR.
Friture
:) Moi quand je tombe sur un album qui commence ça, d’entrée de jeu il me plaît. :) Quand en plus il s’agit de deux auteurs atypiques que j’aime comme Ibn Al Rabin et Frederik Peeters, c’est la fête du slip ! Ici ces deux gamins se sont amusés à mettre en image une engueulade sur « toi tu fais un genre pourri qui n’a aucun intérêt ». Avec évidemment une mauvaise foi et un total manque de recul assez savoureux. Et bien sûr, lorsqu’ils s’essayent au genre qu’ils dénigrent, ce n’est pas pour en faire l’éloge. Ecrit à quatre mains pour l’essentiel, « Friture » rappelle forcément « Galopinot ». Si la répartition du début est de quelques pages pour chaque auteur, on en vient ensuite à une discussion agitée où le rythme s’accélère. Un auteur fait une case et commence la suivante, l’autre répond dans la case d’après et commence la suivante, etc. Qu’il s’agisse d’une improvisation ou d’un scénario soigneusement élaboré, le résultat est très vivant, rempli de mauvaise foi et d’obstination, et ne vous fera certainement pas découvrir de bons arguments pour aimer un genre ou l’autre… mais est par contre absolument délectable. :) Et la conclusion d’Andréas Kündig tombe parfaitement à propos.
Le Souffle
Premier tome d'une série qui s'annonce prometteuse, de par le scénario, les dessins et les couleurs... L'intrigue est d'ailleurs tellement bien posée que lors de la deuxième lecture on remarque des détails qui n'étaient en fait pas annodins du tout... Qui plus est l'edition est luxueuse, un "must have". :)