Un premier tome plus que prometteur !
Une histoire, certes pas originale, mais racontée avec brio. Décidement, cet auteur me plait !
On se laisse surprendre, on se pose les mêmes questions que le héros. On cherche à comprendre, puis finalement on se laisse bercer par l'histoire, par les dessins qui sont superbes.
En espérant que la suite soit de même qualité ...
Une BD à lire absolument pour ceux qui aiment les épopées et aussi pour les autres qui ont envie de découvrir le cycle arthurien d'origine. Les dessins sont superbes, le scénario respecte bien l'histoire, bref un agréable moment de lecture.
Une BD à lire absolument.... On reste dans le Crisse où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, mais perso, j'adore.
Le seul hic à cette série : un temps d'attente trop long entre chaque tome.
La BD phare de chez Soleil et il y a une bonne raison. L'humour, le scénario, le dessin, bref tout ça fait une superbe BD qui restera en mémoire de tout bédéphile (qu'on aime ou pas, d'ailleurs).)
J'ai lu ça en prépub' dans BoDoï.
Il s'agit là d'un roman noir, dans son acception la plus noble du terme. On retrouve l'atmosphère américaine des années 50, à laquelle Hermann et son fils semblent particulièrement attachés.
On ne peut s'empêcher d'admirer les couleurs directes, qui rajoutent un filtre de "vécu" à la plupart des scènes, même si le trait d'Hermann est par lui-même déjà très réaliste.
L'histoire, à cheval sur deux époques, est très bien menée, même si elle ne semble pas présenter beaucoup d'intérêt. Mais le traitement réalisé par les deux générations d'Hermann a le mérite de sublimer ce genre d'anecdote pour en faire un classique instantané.
T1 et T2 (1ere lecture):
Le cadre est très sympa, le cirque ça fait rêver, c'est frais, plein de couleurs et de magie.
Le dessin est agréable, fin, léger.
Le scénario est sympa, le mystère est entretenu à l'issue des 2 premiers tomes et il y a plusieurs personnages qui gravitent au centre de l'histoire.
Par contre les personnages principaux me semblent un peu trop caricaturés. Du coup leurs réactions sont attendues, prévisibles, et le suspense s'en ressent fortement.
T3 :
Bon, je modifie mon avis après la lecture du 3° tome qui fait avancer les choses, et qui introduit un élément "fantastique" que je trouve sympa.
Même si j'aurais apprécié un élément liant mieux l'enchainement des tomes 2 et 3, le scénario retrouve un second souffle dans ce T3 qui fait que je vais certainement continuer la série.
Le dessin est toujours sympa mais en plus il y a des paysages et des détails vraiment bien foutus, des plans qui m'ont beaucoup plu (même si Pedrosa ne sait vraiment pas dessiner les loups mais bon, c'est un détail :))
Du coup après avoir relu les 3 dans la foulée, je rajoute une étoile pour l'ensemble de la série... Il est fort ce Chauvel quand même.
Alors là, une très bonne surprise !
Tout d'abord, Anges, c'est super mignon, vraiment ! Illustrer le combat du bien contre le mal (ou du mal contre le bien, c'est selon :D) de cette façon, c'est vraiment original, et ça ne peut que faire penser à l'univers rôlesque qu'est "In Nomine Satanis / Magna Veritas" (des anges pas si angéliques que ça, combattant des démons qui ont besoin d'un peu plus que de quelques gouttes d'eau bénite pour fléchir :)).
Dieter nous propose ici un scenario à la trame plutot simple, sans grands éclats, mais à l'originalité à toute épreuve. La présentation des différents personnages est vraiment sympa, et on s'accroche vite à certains d'entre eux (elle est pas mimi tout plein, la petite Omaëlle ? :D).
Et puis, c'est clair que de voir les dérapages du curé sous la possession des démons apporte un gros plus à l'album :)
Le dessin de Boiscommun est tout simplement excellent. En couleurs directes comme à son habitude, il permet la mise en relief des différents thèmes abordés de fort belle manière. Les couleurs sont contrastées, les tons vraiment bien choisis, et les traits savent parfois se faire très discret.
Vraiment, c'est un travail de grande qualité que nous offre l'illustrateur, peut être son meilleur à ce jour.
Encore une série à lire, vite :)
Les dingodossiers, c'est franchement drôle et ça n'a pas vieilli. Le seul problème c'est que c'est un peu lourd à lire en une fois. C'est plus une collection de gags à lire aux chiottes (sans aucune connotation péjorative).
D'une excellente surprise, cette série est devenue un enchantement. Alors que j'avais pas mal d'à priori, pensant que c'était une BD prétexte à voir de belles scènes de cul, j'ai été soufflé par la maîtrise scénaristique de Dufaux, dans une genre peu exploré et pas facile. Déjà, il a eu 100 fois raisons de confier son bébé à Miralles:
1. elle dessine divinement bien les femmes et le reste aussi - mais surtout les femmes :) -
2. il faut être une femme pour dessiner une histoire aussi subtile et aussi "limite".
Le contexte historique est superbement bien rendu: ces temps troublés d'avant guerre et ces jeux de pouvoirs et d'influence, qu'ils soient à l'échelle de l'Europe ou du harem, sont passionnants. Tout est décrit avec pudeur et intelligence. Le petit regret que j'ai c'est qu'on est clairement plus intéressé par les scènes passées que par l'histoire actuelle, ce qui a tendance à déséquilibrer un peu l'ensemble. Il me tarde de voir le nouveau cycle en Afrique même si j'ai un peu d'apréhension: une telle qualité va-t-elle perdurer lors d'une histoire différente?
Il est étonnant comme on peut ne pas accrocher à une BD pour finalement en devenir vraiment fan lorsque l'on tente de s'y replonger. Cela m'est arrivé également avec les Lapinots, à croire que Trondheim mérite vraiment une seconde lecture pour ceux qui n'accroche pas à son style.
Ce que j'aime dans la grande saga "Donjon", ce n'est pas tant l'humour de MM Trondheim et Sfar (quoique je sois quand même souvent mort de rire) mais bien la cohérence de l'oeuvre, des personnages, des histoires. Tout est incroyablement riche et tient extraordinairement bien la route.
"Donjon Zénith", bien que série initiale de cette grande saga et également segment le plus populaire, n'est pas ma partie favorite, de peu; je lui préfère le très poétique et très noir "Donjon Crépuscule". On ne peut cependant que louer les qualités de cette série, drôle, sans temps mort, proposant des réflexions souvent extrêmement intéressantes (la formation d'Herbert et de la souris dans l'excellent tome 2) et suscitant une jubilation jamais démentie. Les croisements avec les autres segments ajoutent un plus indéniable; avoir par exemple rétrouvé le vil canard Guillaume de la Cour dans "Zénith" 4 après l'avoir découvert dans "Monsters" 1 fut un vrai plaisir.
Le dessin de Trondheim n'est pas celui que je préfère en bande dessinée, c'est clair mais il reste très lisible et dynamique. Il permet de plus un rythme de parution élevé ce qui, compte tenu de la qualité de la série, est un plus indéniable.
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Quartier lointain
Un premier tome plus que prometteur ! Une histoire, certes pas originale, mais racontée avec brio. Décidement, cet auteur me plait ! On se laisse surprendre, on se pose les mêmes questions que le héros. On cherche à comprendre, puis finalement on se laisse bercer par l'histoire, par les dessins qui sont superbes. En espérant que la suite soit de même qualité ...
Arthur
Une BD à lire absolument pour ceux qui aiment les épopées et aussi pour les autres qui ont envie de découvrir le cycle arthurien d'origine. Les dessins sont superbes, le scénario respecte bien l'histoire, bref un agréable moment de lecture.
Atalante - La Légende
Une BD à lire absolument.... On reste dans le Crisse où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, mais perso, j'adore. Le seul hic à cette série : un temps d'attente trop long entre chaque tome.
Lanfeust de Troy
La BD phare de chez Soleil et il y a une bonne raison. L'humour, le scénario, le dessin, bref tout ça fait une superbe BD qui restera en mémoire de tout bédéphile (qu'on aime ou pas, d'ailleurs).)
Manhattan Beach 1957
J'ai lu ça en prépub' dans BoDoï. Il s'agit là d'un roman noir, dans son acception la plus noble du terme. On retrouve l'atmosphère américaine des années 50, à laquelle Hermann et son fils semblent particulièrement attachés. On ne peut s'empêcher d'admirer les couleurs directes, qui rajoutent un filtre de "vécu" à la plupart des scènes, même si le trait d'Hermann est par lui-même déjà très réaliste. L'histoire, à cheval sur deux époques, est très bien menée, même si elle ne semble pas présenter beaucoup d'intérêt. Mais le traitement réalisé par les deux générations d'Hermann a le mérite de sublimer ce genre d'anecdote pour en faire un classique instantané.
Ring Circus
T1 et T2 (1ere lecture): Le cadre est très sympa, le cirque ça fait rêver, c'est frais, plein de couleurs et de magie. Le dessin est agréable, fin, léger. Le scénario est sympa, le mystère est entretenu à l'issue des 2 premiers tomes et il y a plusieurs personnages qui gravitent au centre de l'histoire. Par contre les personnages principaux me semblent un peu trop caricaturés. Du coup leurs réactions sont attendues, prévisibles, et le suspense s'en ressent fortement. T3 : Bon, je modifie mon avis après la lecture du 3° tome qui fait avancer les choses, et qui introduit un élément "fantastique" que je trouve sympa. Même si j'aurais apprécié un élément liant mieux l'enchainement des tomes 2 et 3, le scénario retrouve un second souffle dans ce T3 qui fait que je vais certainement continuer la série. Le dessin est toujours sympa mais en plus il y a des paysages et des détails vraiment bien foutus, des plans qui m'ont beaucoup plu (même si Pedrosa ne sait vraiment pas dessiner les loups mais bon, c'est un détail :)) Du coup après avoir relu les 3 dans la foulée, je rajoute une étoile pour l'ensemble de la série... Il est fort ce Chauvel quand même.
Anges
Alors là, une très bonne surprise ! Tout d'abord, Anges, c'est super mignon, vraiment ! Illustrer le combat du bien contre le mal (ou du mal contre le bien, c'est selon :D) de cette façon, c'est vraiment original, et ça ne peut que faire penser à l'univers rôlesque qu'est "In Nomine Satanis / Magna Veritas" (des anges pas si angéliques que ça, combattant des démons qui ont besoin d'un peu plus que de quelques gouttes d'eau bénite pour fléchir :)). Dieter nous propose ici un scenario à la trame plutot simple, sans grands éclats, mais à l'originalité à toute épreuve. La présentation des différents personnages est vraiment sympa, et on s'accroche vite à certains d'entre eux (elle est pas mimi tout plein, la petite Omaëlle ? :D). Et puis, c'est clair que de voir les dérapages du curé sous la possession des démons apporte un gros plus à l'album :) Le dessin de Boiscommun est tout simplement excellent. En couleurs directes comme à son habitude, il permet la mise en relief des différents thèmes abordés de fort belle manière. Les couleurs sont contrastées, les tons vraiment bien choisis, et les traits savent parfois se faire très discret. Vraiment, c'est un travail de grande qualité que nous offre l'illustrateur, peut être son meilleur à ce jour. Encore une série à lire, vite :)
Les Dingodossiers
Les dingodossiers, c'est franchement drôle et ça n'a pas vieilli. Le seul problème c'est que c'est un peu lourd à lire en une fois. C'est plus une collection de gags à lire aux chiottes (sans aucune connotation péjorative).
Djinn
D'une excellente surprise, cette série est devenue un enchantement. Alors que j'avais pas mal d'à priori, pensant que c'était une BD prétexte à voir de belles scènes de cul, j'ai été soufflé par la maîtrise scénaristique de Dufaux, dans une genre peu exploré et pas facile. Déjà, il a eu 100 fois raisons de confier son bébé à Miralles: 1. elle dessine divinement bien les femmes et le reste aussi - mais surtout les femmes :) - 2. il faut être une femme pour dessiner une histoire aussi subtile et aussi "limite". Le contexte historique est superbement bien rendu: ces temps troublés d'avant guerre et ces jeux de pouvoirs et d'influence, qu'ils soient à l'échelle de l'Europe ou du harem, sont passionnants. Tout est décrit avec pudeur et intelligence. Le petit regret que j'ai c'est qu'on est clairement plus intéressé par les scènes passées que par l'histoire actuelle, ce qui a tendance à déséquilibrer un peu l'ensemble. Il me tarde de voir le nouveau cycle en Afrique même si j'ai un peu d'apréhension: une telle qualité va-t-elle perdurer lors d'une histoire différente?
Donjon Zenith
Il est étonnant comme on peut ne pas accrocher à une BD pour finalement en devenir vraiment fan lorsque l'on tente de s'y replonger. Cela m'est arrivé également avec les Lapinots, à croire que Trondheim mérite vraiment une seconde lecture pour ceux qui n'accroche pas à son style. Ce que j'aime dans la grande saga "Donjon", ce n'est pas tant l'humour de MM Trondheim et Sfar (quoique je sois quand même souvent mort de rire) mais bien la cohérence de l'oeuvre, des personnages, des histoires. Tout est incroyablement riche et tient extraordinairement bien la route. "Donjon Zénith", bien que série initiale de cette grande saga et également segment le plus populaire, n'est pas ma partie favorite, de peu; je lui préfère le très poétique et très noir "Donjon Crépuscule". On ne peut cependant que louer les qualités de cette série, drôle, sans temps mort, proposant des réflexions souvent extrêmement intéressantes (la formation d'Herbert et de la souris dans l'excellent tome 2) et suscitant une jubilation jamais démentie. Les croisements avec les autres segments ajoutent un plus indéniable; avoir par exemple rétrouvé le vil canard Guillaume de la Cour dans "Zénith" 4 après l'avoir découvert dans "Monsters" 1 fut un vrai plaisir. Le dessin de Trondheim n'est pas celui que je préfère en bande dessinée, c'est clair mais il reste très lisible et dynamique. Il permet de plus un rythme de parution élevé ce qui, compte tenu de la qualité de la série, est un plus indéniable.