Si je conseille l'achat de cette BD ?? oui, oui et re-oui !!!
Qu'est ce que c'est que ce truc ? Vraiment, je suis sous le charme ! Je ne connaissais pas Dumontheuil avant la lecture de cet ouvrage, mais la lecture de ses autres réalisations s'avère maintenant pour moi indispensable !
Un rappel concernant la trame : un acteur, en mal d'inspiration, se rend dans un village à la recherche de l'idée qui lui permettra de repartir du bon pied. Hélas, il va malgré lui attérir dans un véritable village de fous, ou des meurtres à la hache sont perpetrés depuis plusieurs années...
Le scénario est tout bonnement génial ! sans aucun temps mort, il est plein de rebondissements aussi farfelus qu'hilarants (par leur absurdité) et donne un rythme vraiment très particulier à cet ouvrage.
On découvre pas mal de personnages qui ont tous une personnalité très très forte, mis en relief par des bouilles caricaturales du plus bel effet. Saurez vous découvrir l'assassin du village ? la fin risque de bien vous surprendre !
Les illustrations de Dumontheuil sont quant à elles... superbes !! y'a pas d'autres mots ! tout en couleurs directes, les différentes planches de l'auteur sont très vives et colorées, tout en restant contrastées, ce qui permet de donner toute leur ampleur aux scènes de nuit, par exemple.
Le style des personnages est très caricatural (mention spéciale pour le curé du village, dont on dirait que la tête est en pate à modeler), ajoutant ce petit grain de folie qui court à travers tout l'album.
Vraiment... pour moi, "Qui à tué l'idiot ?" est un chef d'oeuvre de la BD, tout simplement !
C'est effectivement le meilleur donjon, meme si j'ai hésité (pas longtemps) à le positionner derrière crépuscule... C'est super drôle et les gags sont souvent originaux et surtout complètement déjantés, j'adore.
"Ici on sert pas les princesse!
_ Les princesses qui puent!
_ Qui puent la patate!"
A mon sens le donjon qui suit de très près Zenith et qui tendrait même à le rattraper... Sinon, c'est de l'humour donjon, personnellement j'adore, et mention spéciale pour mon perso préféré: Marvin le rouge.
La j'hésite franchement entre 3 et 4... d'accord le dessin est bien plus beau que pour les autre donjons mais c'est pas ce qui en fait son intérêt... 4 pour le moment en espérant que l'histoire se confirme un peu plus par rapport à ce qu'on a vu jusqu'ici.
une serie qui ne paye pas de mine au premier abord, mais qui est pourtant pleine de resources.
l'idée de deârt est vraiment nteressante, et diablement bien exploitée. On ne comprend pas tout de suite de quoi il s'agit, mais la curiosité est piqué à vif immediatement. Pourtant, c'est pas franchement original... mais qu'est ce que c'est bien mené...
bon, ok, le dessin est un peu moyen, surtout la mise en couleur, mais l'histoire etant bonne, on ne bloque pas dessus.
je suis vraiment impatient de lire la suite.
Cet album est à mi-chemin entre Feux et Isaac le pirate. Une BD dont les qualités principales sont le graphisme hors du commun et la narration extraordinaire. L'auteur nous livre une oeuvre pleine d'originalité et de rêve d'une beauté artistique incontestable. Cet album est une allégorie, on y ressent des sentiments de tristesse profond. On a l'impression de lire un poème. Ce n'est probablement pas pour les amateurs inconditionnels d'action mais c'est une surprise à découvrir et à déguster.
c'est un peu difficile de ne juger cette bd que sur l'affectif ou une queconque impression vaseuse à l'emporte piece.
Je veux bien admettre qu'elle ne puisse pas plaire aux plus jeunes d'entre nous, par trop habitués au clinquant, mais son influence et son aura dans la sphere bd et sf en generale sont telles que sa lecture est un passage obligé pour tout amateur qui se respecte.
La descendance de l'incal est vaste, et enormement d'auteurs lui doivent beaucoup.
L'incal marque la quintessance de la revolution de la narration bd de la amorcé dans les années 70, et ce style narration predomine actuellement dans la majeure partie de la production du neuvieme art.
Parmis les innombrables rejetons de Moebius et Jodorowsky on peut citer notamment Otomo et le celebre cowboy: Georges Lucas
Coutoo, c'est avant tout Andreas, c'est à dire une maitrise des cases, des prises de vue et de l'agencement d'histoires en parallèle. C'est l'intelligence du dessin et de l'histoire demandant une attention constante du lecteur qui ne se sent pas pris pour un imbécile. Mais ici Andreas ne signe pas une oeuvre absconde comme certains de ses albums où l'on arrive pas à déméler l'histoire. Ici, c'est complexe mais limpide, originalement raconté et parfaitement fluide. De plus les personnages sont choisis et détaillés avec soin, les situations sont toujours surprenantes et au final on arrive à un polar étrange d'une qualité impressionnante. Du TRES grand Andreas.
Wow ! Quelle pièce que ce « ici même ». J’ai rarement lu un truc aussi tordu en bande dessinée, c’est étrange, bizarre, drôle (par moments), burlesque (par essence), poétique, surréaliste, politique (à ses heures), fantaisiste, magique, satirique.
J’ai pratiquement lu cette chose en une seule journée, tellement j’étais pris par ce délire. J’en ressors avec pleins d’images absurdes dans la tête, avec le souvenir de dialogues ciselés, dignes des grands maîtres de l’absurde (Ionesco, Jarry), et la certitude d’avoir lu un ouvrage hors du commun.
C'est bien simple, tout ce que j'ai lu ou relu le jour qui a suivi m'a paru fade et peu inspiré, c'est grave, docteur?
(Ne lisons pas les chefs d'oeuvre, cela fait redescendre tous les autres albums au rang de truc moyen).
Cet album, un des tous premiers de Trondheim, nous parle de... Trondheim. Il se veut en effet autobiographique, nous racontant certains de ses sentiments, de ses impressions, quelques parties de son travail, des scènes plus quotidiennes, en passant par quelques souvenirs d'enfance.
Les premiers mots m'ont frappé : "Comme si ce n'était pas suffisant de ne pas savoir bien dessiner, en plus je bâcle. Et même sachant que je bâcle, je continue à bâcler ; ce paradoxe me terrifie.". Pour moi qui adore le dessin de Trondheim - c'est quand même en partie à cause de lui si je suis devenu un gros fou de BD ! - ceci est frappant et donne le ton de l'album : place aux doutes, à l'autocritique dans toute son ampleur et aux états d'âme.
Ce qui est génial avec "Approximativement", c'est qu'on voit par les yeux de Trondheim, et quand il s'imagine une scène, on la voit. Cela donne quelques passages véritablement sa-vou-reux ! En plus on voit quelques idées reprises dans ses autres albums (je pense surtout à "Mildiou", et un peu aux Lapinots). A la fin de l'album vous aurez droit à un petit commentaire des gens présentés dans le livre, précisions, justifications ou rectifications, c'est bien drôle également.
Indispensable à tout membre du Lewis-fan-club, cet ouvrage présente une autre facette de son créateur. Se dévoilant un peu, exposant publiquement certains de ses sentiments tout en préservant largement d'autres parties de sa vie, préférant l'anecdotique et le quotidien à des choses plus synthétiques et générales, avec "Approximativement" Trondheim intrigue et donne envie de découvrir, sans oublier de faire rire, bien sûr, même si pour cela je vous recommanderais plutôt d'autres albums.
En tout cas, j'aime, et je conseille !
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Qui a tué l'idiot ?
Si je conseille l'achat de cette BD ?? oui, oui et re-oui !!! Qu'est ce que c'est que ce truc ? Vraiment, je suis sous le charme ! Je ne connaissais pas Dumontheuil avant la lecture de cet ouvrage, mais la lecture de ses autres réalisations s'avère maintenant pour moi indispensable ! Un rappel concernant la trame : un acteur, en mal d'inspiration, se rend dans un village à la recherche de l'idée qui lui permettra de repartir du bon pied. Hélas, il va malgré lui attérir dans un véritable village de fous, ou des meurtres à la hache sont perpetrés depuis plusieurs années... Le scénario est tout bonnement génial ! sans aucun temps mort, il est plein de rebondissements aussi farfelus qu'hilarants (par leur absurdité) et donne un rythme vraiment très particulier à cet ouvrage. On découvre pas mal de personnages qui ont tous une personnalité très très forte, mis en relief par des bouilles caricaturales du plus bel effet. Saurez vous découvrir l'assassin du village ? la fin risque de bien vous surprendre ! Les illustrations de Dumontheuil sont quant à elles... superbes !! y'a pas d'autres mots ! tout en couleurs directes, les différentes planches de l'auteur sont très vives et colorées, tout en restant contrastées, ce qui permet de donner toute leur ampleur aux scènes de nuit, par exemple. Le style des personnages est très caricatural (mention spéciale pour le curé du village, dont on dirait que la tête est en pate à modeler), ajoutant ce petit grain de folie qui court à travers tout l'album. Vraiment... pour moi, "Qui à tué l'idiot ?" est un chef d'oeuvre de la BD, tout simplement !
Donjon Zenith
C'est effectivement le meilleur donjon, meme si j'ai hésité (pas longtemps) à le positionner derrière crépuscule... C'est super drôle et les gags sont souvent originaux et surtout complètement déjantés, j'adore. "Ici on sert pas les princesse! _ Les princesses qui puent! _ Qui puent la patate!"
Donjon Crépuscule
A mon sens le donjon qui suit de très près Zenith et qui tendrait même à le rattraper... Sinon, c'est de l'humour donjon, personnellement j'adore, et mention spéciale pour mon perso préféré: Marvin le rouge.
Donjon Potron-minet
La j'hésite franchement entre 3 et 4... d'accord le dessin est bien plus beau que pour les autre donjons mais c'est pas ce qui en fait son intérêt... 4 pour le moment en espérant que l'histoire se confirme un peu plus par rapport à ce qu'on a vu jusqu'ici.
La Maison Dieu
une serie qui ne paye pas de mine au premier abord, mais qui est pourtant pleine de resources. l'idée de deârt est vraiment nteressante, et diablement bien exploitée. On ne comprend pas tout de suite de quoi il s'agit, mais la curiosité est piqué à vif immediatement. Pourtant, c'est pas franchement original... mais qu'est ce que c'est bien mené... bon, ok, le dessin est un peu moyen, surtout la mise en couleur, mais l'histoire etant bonne, on ne bloque pas dessus. je suis vraiment impatient de lire la suite.
Le dérisoire
Cet album est à mi-chemin entre Feux et Isaac le pirate. Une BD dont les qualités principales sont le graphisme hors du commun et la narration extraordinaire. L'auteur nous livre une oeuvre pleine d'originalité et de rêve d'une beauté artistique incontestable. Cet album est une allégorie, on y ressent des sentiments de tristesse profond. On a l'impression de lire un poème. Ce n'est probablement pas pour les amateurs inconditionnels d'action mais c'est une surprise à découvrir et à déguster.
l'Incal
c'est un peu difficile de ne juger cette bd que sur l'affectif ou une queconque impression vaseuse à l'emporte piece. Je veux bien admettre qu'elle ne puisse pas plaire aux plus jeunes d'entre nous, par trop habitués au clinquant, mais son influence et son aura dans la sphere bd et sf en generale sont telles que sa lecture est un passage obligé pour tout amateur qui se respecte. La descendance de l'incal est vaste, et enormement d'auteurs lui doivent beaucoup. L'incal marque la quintessance de la revolution de la narration bd de la amorcé dans les années 70, et ce style narration predomine actuellement dans la majeure partie de la production du neuvieme art. Parmis les innombrables rejetons de Moebius et Jodorowsky on peut citer notamment Otomo et le celebre cowboy: Georges Lucas
Coutoo
Coutoo, c'est avant tout Andreas, c'est à dire une maitrise des cases, des prises de vue et de l'agencement d'histoires en parallèle. C'est l'intelligence du dessin et de l'histoire demandant une attention constante du lecteur qui ne se sent pas pris pour un imbécile. Mais ici Andreas ne signe pas une oeuvre absconde comme certains de ses albums où l'on arrive pas à déméler l'histoire. Ici, c'est complexe mais limpide, originalement raconté et parfaitement fluide. De plus les personnages sont choisis et détaillés avec soin, les situations sont toujours surprenantes et au final on arrive à un polar étrange d'une qualité impressionnante. Du TRES grand Andreas.
Ici même
Wow ! Quelle pièce que ce « ici même ». J’ai rarement lu un truc aussi tordu en bande dessinée, c’est étrange, bizarre, drôle (par moments), burlesque (par essence), poétique, surréaliste, politique (à ses heures), fantaisiste, magique, satirique. J’ai pratiquement lu cette chose en une seule journée, tellement j’étais pris par ce délire. J’en ressors avec pleins d’images absurdes dans la tête, avec le souvenir de dialogues ciselés, dignes des grands maîtres de l’absurde (Ionesco, Jarry), et la certitude d’avoir lu un ouvrage hors du commun. C'est bien simple, tout ce que j'ai lu ou relu le jour qui a suivi m'a paru fade et peu inspiré, c'est grave, docteur? (Ne lisons pas les chefs d'oeuvre, cela fait redescendre tous les autres albums au rang de truc moyen).
Approximativement
Cet album, un des tous premiers de Trondheim, nous parle de... Trondheim. Il se veut en effet autobiographique, nous racontant certains de ses sentiments, de ses impressions, quelques parties de son travail, des scènes plus quotidiennes, en passant par quelques souvenirs d'enfance. Les premiers mots m'ont frappé : "Comme si ce n'était pas suffisant de ne pas savoir bien dessiner, en plus je bâcle. Et même sachant que je bâcle, je continue à bâcler ; ce paradoxe me terrifie.". Pour moi qui adore le dessin de Trondheim - c'est quand même en partie à cause de lui si je suis devenu un gros fou de BD ! - ceci est frappant et donne le ton de l'album : place aux doutes, à l'autocritique dans toute son ampleur et aux états d'âme. Ce qui est génial avec "Approximativement", c'est qu'on voit par les yeux de Trondheim, et quand il s'imagine une scène, on la voit. Cela donne quelques passages véritablement sa-vou-reux ! En plus on voit quelques idées reprises dans ses autres albums (je pense surtout à "Mildiou", et un peu aux Lapinots). A la fin de l'album vous aurez droit à un petit commentaire des gens présentés dans le livre, précisions, justifications ou rectifications, c'est bien drôle également. Indispensable à tout membre du Lewis-fan-club, cet ouvrage présente une autre facette de son créateur. Se dévoilant un peu, exposant publiquement certains de ses sentiments tout en préservant largement d'autres parties de sa vie, préférant l'anecdotique et le quotidien à des choses plus synthétiques et générales, avec "Approximativement" Trondheim intrigue et donne envie de découvrir, sans oublier de faire rire, bien sûr, même si pour cela je vous recommanderais plutôt d'autres albums. En tout cas, j'aime, et je conseille !