Ce livre s'inscrit dans la lignée de " Tante Henriette ou l'éloge de l'avarice ", puisqu'il est également composé de souvenirs de famille. Ceux-ci sont plus anciens et indirects, puisqu'ils ne sont pas ceux d'Isabelle Dethan. Mêlant à la fois les préoccupations enfantines et les réalités de la guerre vue par les civils, mêlant anecdotes et évènements historiques, ce récit est à la fois grave et léger, jamais pesant ni par excès d'insouciance ni par un excès de gravité. Le regard porté par l'auteur sur l'histoire est (presque) le même que pour " Tante Henriette... ", enfantin mais à travers une vision adulte.
Ce n'est qu'aux deux-tiers de l'album que l'on en comprend le titre. La raison en est émouvante, et est racontée sans une trace d'excès. Décidément, le ton de cet ouvrage est... " juste ".
Quant au dessin, on ne le présente plus. Le dessin (ici au lavis) d'Isabelle Dethan est beau, très expressif en quelques traits.
Je ne peux que vous recommander cet album, ainsi que TOUS ceux du même auteur !
Merci à toi kael! (pté encore une série à suivre à cause de lui!)
Que de surprise durant la lecture de livre ! C'est très captivant, ça va vite, très vite ce qui accentue encore l'intérêt, l'histoire est très riche en rebondissements, on part de plusieurs cotés à la fois et ça marche très bien !
Les dessins sont plus que corrects, ils sont bien, bon c'est vrai que les couleurs font un peu bizarres au début, mais ça passe finalement au fil de la lecture.
Bon allez hein on va bientôt avoir la suite ! Attendre encore attendre !
C'est une BD que j'affectionne beaucoup. Certes, l'histoire tout autant que la manière de raconter est tout ce qu'il y a de plus classique, mais on ne peut pas dire que ce n'est pas efficace. Il n'y a pas beaucoup de temps mort, l'action va rapidement et a le mérite de suivre un cours fluide qui ne semble pas être modifié au fur et à mesure. Bien que l'on a pas l'impression finale d'avoir compris tout à l'affaire, on n'a pas non plus le sentiment de ne pas avancer du tout. Chaque album révèle son lot de découverte et de surprise, nous laissant avec la volonté d'en savoir plus.
Le dessin lui aussi est efficace, mais on peut tout de même déplorer l'arrivée du coloriage informatique dans le 5eme tome. Même si on peut comprendre les raisons marketing (tant pour le coloriste que pour l'éditeur), et même si pris séparément ce n'est pas si moche que cela, il est difficile de ne pas faire la comparaison entre les premiers albums et les derniers et de trouver les derniers beaucoup plus froids ou tout simplement moins beaux. Que dirait on d'un peintre impressioniste utilisant l'ordinateur???
Finalement même si on peut déplorer de n'avoir la fin que dans un nombre incalculable d'année, le plaisir à la lecture de cette série est tel qu'il serait dommage de s'en priver, même sans la fin.
Ce petit album est finalement assez proche de son grand frère Dark knight. On y retrouve le même talent de Miller pour raconter, la même qualité pour rendre le personnage de Batman plus humain, avec ses défauts qui ne sont pas ici sa désillusion, mais plutot son traumatisme subi quand il était jeune. Sa détermination, ses premiers contacts avec la police et avec la population sont les scènes de cet opus de qualité. Du tout bon.
Pour commencer, j'adore le dessin. Je ne le trouve pas autant manga que cela, mais je trouve que c'est superbe. Le choix des vues, des couleurs et les effets choisis sont vraiment excellents. Les textes eux aussi sont vraiment bons, simples mais efficaces.
C'est un peu une fable sur la religion et sur la signification de la vie mais c'est surtout une histoire prenante qui semble simple au début et qui monte en puissance. Même si la fin peut paraitre exagérée, elle montre que l'album est beaucoup plus subtil qu'il n'y parait. Je remercie vivement un ami qui m'a fait découvrir ce one-shot merveilleux.
Un album étrange et dérangeant. Magique, raconté avec finesse, cet album choque par le contraste qu'il peut y avoir entre la naïveté de l'enfant et cette absence de repère en nos valeurs et même à notre ressenti physique.
Le dessin est personnel et l'utilisation des couleurs est fort judicieuse pour mettre en exergue les différentes situations et accentuer parfois l'impression étrange que l'on ressent dans ce monde. Les personnages sont tous fortement marqués et sont à la fois étranges et cohérents.
Un album sans équivalent, très attachant malgré la répulsion que l'on ne peut s'empécher d'avoir à certains moments et qui assurément ne laissera pas insensible. Voila une surprise de taille.
From Hell est un OVNI dans le monde de la BD comme seul Moore sait les créer.
Un bloc de ténèbres brut aux reflets rouge sang que l'on ne peut décemment pas aborder comme une BD classique.
De toute façon, cet ouvrage n'est pas d'un accès aisé, il demande clairement un investissement de la part du lecteur pour que ce dernier puisse se maintenir à flots dans la foule d'images et d'informations qui lui parviennent.
Le jeu en vaut largement la chandelle. La finesse des différentes intrigues, l'atmosphère oppressante et la vérité crue de l'univers nous immergent complètement dans les rues sinistres de White Chapel sur les pas de ce bon vieux Jack.
La masse et la qualité de la documentation et de la recherche produite par l'auteur relèvent plus de la thèse universitaire que du scénario de BD.
Un phénomène, donc.
Mais ce qui m'énerve (et ce qui fait, selon moi que From Hell n'est pas 'culte' ), c'est que les dessins sont franchement pourris (à la limite du foutage de gueule). Et qu'on ne vienne pas me dire qu'ils contribuent à l'ambiance, ils sont grossiers et imprécis, c'est tout.
C'est dommage, ça rend la lecture plus pénible qu'elle ne devrait l'être et rebute beaucoup de monde.
Je recommande quand même l'achat, mais pour un public courageux et déterminé (qui ne regrettera pas sa peine).
Le genre de BD qui ne laisse pas indifférent. Il est sûr que sans avoir lu de critique sur le sujet je serais passé à côté.
On entre dans un univers difficile, le milieu carcéral. D'emblée, les dessins parfaitement maitrisés surtout par un souci de mise en scène donne la part belle aux personnages. Qui il faut l'avouer sont assez nombreux. Le dessin n'est pas très rose, mais il n'est pas non plus oppressant. Hélas, le scénario suffit à lui même. Plus on avance dans l'histoire, plus on fait un cauchemard. Lentement on commence à comprendre que tout ne va pas comme il devrait, et qu'on se dirige vers quelquechose de pas très beau.
Une BD forte à ne pas manquer, mais où il faut avoir le coeur bien accroché. Une réussite.
Un dernier mot extrait de bdnet: A l'aune de ce tableau peint au couteau, brossé sans complaisance dans Mauvaise période "Hard Time", Brian Azzarello et Richard Corben sont définitivement les meilleurs auteurs pour ce portrait de John Constantine en nature morte. Chez Azzarello, le sens du rythme, de la caractérisation et des situations, explose à chaque scène dans une maîtrise cristalline. Et Corben fournit ce qui est, peut-être, l'une des ouvres les plus brillamment sombres d'une longue et déjà légendaire carrière. Félicitations, messieurs. Quand il viendra régler ses comptes, je m'assurerai qu'il vous laisse tranquille. Alan Moore
Encore un one-shot de qualité. Tout d'abord que dire des dessins de Gimenez qui sont un véritable plaisir pour les yeux. Je ne finis pas de m'extasier devant ses capacités à dessiner des armes nouvelles, des vehicules et autres nouveautés technologiques. Il donne une dimension impressionnante à ses univers de science fiction. Pour agrémenter le tout, un scénario excellent, un peu rapide sur la fin (difficile aussi dans un seul volume de s'exprimer). De la SF pure et magique comme je l'aime mêlant action, paranormal et guerre, tout cela dans une seul volume. Une vraie réussite.
Canardo c'est plus qu'un polar noir. C'est ce flic désabusé avec une vision pessimiste de la vie, c'est l'omniprésence du malheur. Les histoires sont vraiment excellentes et les dessins de qualité.
La crasse, l'alcool est impregné aux personnages. Tous ont leur mauvais côtés, mais ils sont tous plus attachants les uns que les autres.
La qualité des albums est pour moi très constante et assurément, ces albums font figure de référence.
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Ingrid
Ce livre s'inscrit dans la lignée de " Tante Henriette ou l'éloge de l'avarice ", puisqu'il est également composé de souvenirs de famille. Ceux-ci sont plus anciens et indirects, puisqu'ils ne sont pas ceux d'Isabelle Dethan. Mêlant à la fois les préoccupations enfantines et les réalités de la guerre vue par les civils, mêlant anecdotes et évènements historiques, ce récit est à la fois grave et léger, jamais pesant ni par excès d'insouciance ni par un excès de gravité. Le regard porté par l'auteur sur l'histoire est (presque) le même que pour " Tante Henriette... ", enfantin mais à travers une vision adulte. Ce n'est qu'aux deux-tiers de l'album que l'on en comprend le titre. La raison en est émouvante, et est racontée sans une trace d'excès. Décidément, le ton de cet ouvrage est... " juste ". Quant au dessin, on ne le présente plus. Le dessin (ici au lavis) d'Isabelle Dethan est beau, très expressif en quelques traits. Je ne peux que vous recommander cet album, ainsi que TOUS ceux du même auteur !
L'Ombre de l'échafaud
Merci à toi kael! (pté encore une série à suivre à cause de lui!) Que de surprise durant la lecture de livre ! C'est très captivant, ça va vite, très vite ce qui accentue encore l'intérêt, l'histoire est très riche en rebondissements, on part de plusieurs cotés à la fois et ça marche très bien ! Les dessins sont plus que corrects, ils sont bien, bon c'est vrai que les couleurs font un peu bizarres au début, mais ça passe finalement au fil de la lecture. Bon allez hein on va bientôt avoir la suite ! Attendre encore attendre !
Le Chant des Stryges
C'est une BD que j'affectionne beaucoup. Certes, l'histoire tout autant que la manière de raconter est tout ce qu'il y a de plus classique, mais on ne peut pas dire que ce n'est pas efficace. Il n'y a pas beaucoup de temps mort, l'action va rapidement et a le mérite de suivre un cours fluide qui ne semble pas être modifié au fur et à mesure. Bien que l'on a pas l'impression finale d'avoir compris tout à l'affaire, on n'a pas non plus le sentiment de ne pas avancer du tout. Chaque album révèle son lot de découverte et de surprise, nous laissant avec la volonté d'en savoir plus. Le dessin lui aussi est efficace, mais on peut tout de même déplorer l'arrivée du coloriage informatique dans le 5eme tome. Même si on peut comprendre les raisons marketing (tant pour le coloriste que pour l'éditeur), et même si pris séparément ce n'est pas si moche que cela, il est difficile de ne pas faire la comparaison entre les premiers albums et les derniers et de trouver les derniers beaucoup plus froids ou tout simplement moins beaux. Que dirait on d'un peintre impressioniste utilisant l'ordinateur??? Finalement même si on peut déplorer de n'avoir la fin que dans un nombre incalculable d'année, le plaisir à la lecture de cette série est tel qu'il serait dommage de s'en priver, même sans la fin.
Batman - Année Un (Year One)
Ce petit album est finalement assez proche de son grand frère Dark knight. On y retrouve le même talent de Miller pour raconter, la même qualité pour rendre le personnage de Batman plus humain, avec ses défauts qui ne sont pas ici sa désillusion, mais plutot son traumatisme subi quand il était jeune. Sa détermination, ses premiers contacts avec la police et avec la population sont les scènes de cet opus de qualité. Du tout bon.
Gabrielle
Pour commencer, j'adore le dessin. Je ne le trouve pas autant manga que cela, mais je trouve que c'est superbe. Le choix des vues, des couleurs et les effets choisis sont vraiment excellents. Les textes eux aussi sont vraiment bons, simples mais efficaces. C'est un peu une fable sur la religion et sur la signification de la vie mais c'est surtout une histoire prenante qui semble simple au début et qui monte en puissance. Même si la fin peut paraitre exagérée, elle montre que l'album est beaucoup plus subtil qu'il n'y parait. Je remercie vivement un ami qui m'a fait découvrir ce one-shot merveilleux.
Elend
Un album étrange et dérangeant. Magique, raconté avec finesse, cet album choque par le contraste qu'il peut y avoir entre la naïveté de l'enfant et cette absence de repère en nos valeurs et même à notre ressenti physique. Le dessin est personnel et l'utilisation des couleurs est fort judicieuse pour mettre en exergue les différentes situations et accentuer parfois l'impression étrange que l'on ressent dans ce monde. Les personnages sont tous fortement marqués et sont à la fois étranges et cohérents. Un album sans équivalent, très attachant malgré la répulsion que l'on ne peut s'empécher d'avoir à certains moments et qui assurément ne laissera pas insensible. Voila une surprise de taille.
From Hell
From Hell est un OVNI dans le monde de la BD comme seul Moore sait les créer. Un bloc de ténèbres brut aux reflets rouge sang que l'on ne peut décemment pas aborder comme une BD classique. De toute façon, cet ouvrage n'est pas d'un accès aisé, il demande clairement un investissement de la part du lecteur pour que ce dernier puisse se maintenir à flots dans la foule d'images et d'informations qui lui parviennent. Le jeu en vaut largement la chandelle. La finesse des différentes intrigues, l'atmosphère oppressante et la vérité crue de l'univers nous immergent complètement dans les rues sinistres de White Chapel sur les pas de ce bon vieux Jack. La masse et la qualité de la documentation et de la recherche produite par l'auteur relèvent plus de la thèse universitaire que du scénario de BD. Un phénomène, donc. Mais ce qui m'énerve (et ce qui fait, selon moi que From Hell n'est pas 'culte' ), c'est que les dessins sont franchement pourris (à la limite du foutage de gueule). Et qu'on ne vienne pas me dire qu'ils contribuent à l'ambiance, ils sont grossiers et imprécis, c'est tout. C'est dommage, ça rend la lecture plus pénible qu'elle ne devrait l'être et rebute beaucoup de monde. Je recommande quand même l'achat, mais pour un public courageux et déterminé (qui ne regrettera pas sa peine).
Brian Azzarello présente Hellblazer
Le genre de BD qui ne laisse pas indifférent. Il est sûr que sans avoir lu de critique sur le sujet je serais passé à côté. On entre dans un univers difficile, le milieu carcéral. D'emblée, les dessins parfaitement maitrisés surtout par un souci de mise en scène donne la part belle aux personnages. Qui il faut l'avouer sont assez nombreux. Le dessin n'est pas très rose, mais il n'est pas non plus oppressant. Hélas, le scénario suffit à lui même. Plus on avance dans l'histoire, plus on fait un cauchemard. Lentement on commence à comprendre que tout ne va pas comme il devrait, et qu'on se dirige vers quelquechose de pas très beau. Une BD forte à ne pas manquer, mais où il faut avoir le coeur bien accroché. Une réussite. Un dernier mot extrait de bdnet: A l'aune de ce tableau peint au couteau, brossé sans complaisance dans Mauvaise période "Hard Time", Brian Azzarello et Richard Corben sont définitivement les meilleurs auteurs pour ce portrait de John Constantine en nature morte. Chez Azzarello, le sens du rythme, de la caractérisation et des situations, explose à chaque scène dans une maîtrise cristalline. Et Corben fournit ce qui est, peut-être, l'une des ouvres les plus brillamment sombres d'une longue et déjà légendaire carrière. Félicitations, messieurs. Quand il viendra régler ses comptes, je m'assurerai qu'il vous laisse tranquille. Alan Moore
Le quatrième pouvoir
Encore un one-shot de qualité. Tout d'abord que dire des dessins de Gimenez qui sont un véritable plaisir pour les yeux. Je ne finis pas de m'extasier devant ses capacités à dessiner des armes nouvelles, des vehicules et autres nouveautés technologiques. Il donne une dimension impressionnante à ses univers de science fiction. Pour agrémenter le tout, un scénario excellent, un peu rapide sur la fin (difficile aussi dans un seul volume de s'exprimer). De la SF pure et magique comme je l'aime mêlant action, paranormal et guerre, tout cela dans une seul volume. Une vraie réussite.
Canardo
Canardo c'est plus qu'un polar noir. C'est ce flic désabusé avec une vision pessimiste de la vie, c'est l'omniprésence du malheur. Les histoires sont vraiment excellentes et les dessins de qualité. La crasse, l'alcool est impregné aux personnages. Tous ont leur mauvais côtés, mais ils sont tous plus attachants les uns que les autres. La qualité des albums est pour moi très constante et assurément, ces albums font figure de référence.