Encore un bon album dans cette collection trop meconnue.
Le dessin est plutot minimaliste (et je dois avouer que je n'aime pas vraiment...) mais il convient assez au style de la BD.
Dès les 1eres pages, on entre de plein pied dans cette "petite" histoire qui passe d'un debut de crise d'ado à un genre de spleen d'ado qui decouvre Vian et st germain de la belle epoque et en reve avec ses yeux naifs d'enfant.
C'est vraiment sympa, meme si c'est parfois un peu superficiel (mais comment faire mieux sans plomber le recit ?).
Il y a un coté assez magique aux reves de thomas, en compagnie de Sartre, lui demandant sans arrete "qu'est ce que l'existentialisme...
Un tres bon moment de lecture.
J'ai connu cette BD en allant au festival de Blois et je dois dire qu'elle est (tout comme J.D. Morvan et B. Bessadi) très sympathique.
Je trouve l'histoire assez originale et j'aime bien la façon dont c'est fait car à certains moments on aurait pu avoir des passages bien dégueulasses mais ce n'est pas le cas. Ca passe très facilement et ça se lit assez rapidement donc c'est cool.
J'ai beaucoup aimé les dessins. Là aussi, le côté bien gore à été évité et à plutôt été tourné vers un côté plus "enfantin" de façon à ce que cela ne choque pas. Et puis aussi, j'aime bien comment sont dessinés les deux petiots :) sont mimis :)
Ah oui, petite remarque : j'ai eu un "coup de coeur" pour la dernière case... Je sais pas comment expliquer ça mais j'ai bloqué dessus...
Bon ben voilà, j'attends une merveilleuse suite pour apporter une petite touche cultissime à cette série...
Un univers végétal et animal raconté avec poésie et parfois teinté d’humour. Le scénario nous entraîne dans un univers totalement décalé : entre merveilleux et terreur.
Le dessin de Comès est toujours aussi élégant et va parfaitement avec l’ambiance de ce one-shot. il sert l'ambiance fantastique installée dans toute cette œuvre.
Pour en savoir davantage sur les rêves de ces fameux arbres, il suffit de lire cette superbe BD…et cela en vaut le détour !
Même terminée, cette histoire nous habite encore un peu et nous rappelle qu’il y une nature à défendre autour de nous…
La seule série de l'Ouest que je possède...Le genre Western c'est pas trop ma tasse de thé...Mais là, c'est grandiose.
Le scénario est au top et le dessin de Fourquemin, je l'ai toujours aimé.
Culte, comme tout les albums de Nicolas Dumontheuil, le dessin démesuré et le scénario décalé de cet album sont une nouvelle fois la preuve de ses capacités. Quant au scénario Angéli est totalement dans l'esprit Dumontheuil.
Moins déroutant à mon avis que "qui a tué l'idiot" mais tout aussi acerbe. Bien que l'histoire n'ait rien de génial en elle même, la narration est vraiment superbe. Les dessins toujours si athypiques sont très agréable. Une BD que j'ai vraiment beaucoup aimée.
Une bien belle BD. Sobre, même si le sujet traité l'est moins. Le sujet est traité de manière assez admirable. Il ressort un profond sentiment humain de toutes ces histoires qui nous montrent simplement le point de vue à nu de ce que peut être la guerre. Le dessin de tardi est toujours aussi agréable et accentue la réalité des scènes montrées.
Vache! Quelle surprise. J'avais tout d'abord été assez mitigé concernant le premier album, ne pouvant m'empêcher de comparer celui-ci avec "les aquanautes". L'ambiance était bonne, mais il semblait manquer quelquechose. Et bien, c'était tout simplement la suite.
La relecture des deux albums à la suite nous plonge dans une atmosphère encore plus oppréssante que "Zéro absolu". Vraiment là, je tire ma révérence car l'histoire fait vraiment froid dans le dos. C'est un vrai bonheur de se plonger dans une atmosphère comme cela. Bravo!
Un petit bijou en noir et blanc venu d'Outre-Manche. Si vous avez été un jour dans la situation de Rob et de Louise, vous vous y retrouverez. Certains moments, à l'ANPE, avec les amis, sont criants de vérité.
Comment gère-t-on la perte d'un emploi ? Chacun des protagonistes le fait à sa manière, et l'on peut voir comment un couple au bord du mariage en arrive au bord de la séparation à cause de la vision de chacun.
J'ai été franchement emballée par ce bouquin. Il me semble que les auteurs british ne sont pas très importés en France, alors profitez de celui-là.
Tardi a merveilleusement adapté Leo Mallet, c'est indéniable. Même l'écrivain, pourtant loin d'être féru de bandes dessinées, le reconnait. Son dessin colle à merveille à ce Paris du milieu du XXème siècle et c'est d'autant plus prenant lorsque l'on connait les quartiers où Nestor Burma déambule: le XIIIème arrondissement dans "Brouillard au pont de Tolbiac" (la première aventure de Burma illustrée par Tardi), le Xème arrondissement dans "M'as-tu vu en cadavre" ou le XIIème arrondissement dans "Casse pipe à la Nation".
Si "M'as-tu vu en cadavre" est peut-être un poil en deça des deux autres, "Une gueule de bois en plomb" est le seul vrai ratage: format différent, scénar trop linéaire et facile et une mise en couleur qui ne rehausse vraiment pas le dessin de Tardi. Le vrai chef d'oeuvre du duo Mallet/Tardi est sans conteste "120, rue de la gare". Cet album est tout bonnement exceptionnel et profite d'une intrigue passionnante, ancrée dans l'histoire de la deuxième guerre mondiale. Les dialogues sont comme toujours au cordeau et cet album est peut-être encore plus noir et mélancolique que les autres, rajoutant une dimension humaine saisissante à une intrigue policière époustouflante. A ne pas rater.
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Thomas ou le Retour du Tabou
Encore un bon album dans cette collection trop meconnue. Le dessin est plutot minimaliste (et je dois avouer que je n'aime pas vraiment...) mais il convient assez au style de la BD. Dès les 1eres pages, on entre de plein pied dans cette "petite" histoire qui passe d'un debut de crise d'ado à un genre de spleen d'ado qui decouvre Vian et st germain de la belle epoque et en reve avec ses yeux naifs d'enfant. C'est vraiment sympa, meme si c'est parfois un peu superficiel (mais comment faire mieux sans plomber le recit ?). Il y a un coté assez magique aux reves de thomas, en compagnie de Sartre, lui demandant sans arrete "qu'est ce que l'existentialisme... Un tres bon moment de lecture.
Zorn & Dirna
J'ai connu cette BD en allant au festival de Blois et je dois dire qu'elle est (tout comme J.D. Morvan et B. Bessadi) très sympathique. Je trouve l'histoire assez originale et j'aime bien la façon dont c'est fait car à certains moments on aurait pu avoir des passages bien dégueulasses mais ce n'est pas le cas. Ca passe très facilement et ça se lit assez rapidement donc c'est cool. J'ai beaucoup aimé les dessins. Là aussi, le côté bien gore à été évité et à plutôt été tourné vers un côté plus "enfantin" de façon à ce que cela ne choque pas. Et puis aussi, j'aime bien comment sont dessinés les deux petiots :) sont mimis :) Ah oui, petite remarque : j'ai eu un "coup de coeur" pour la dernière case... Je sais pas comment expliquer ça mais j'ai bloqué dessus... Bon ben voilà, j'attends une merveilleuse suite pour apporter une petite touche cultissime à cette série...
La maison où rêvent les arbres
Un univers végétal et animal raconté avec poésie et parfois teinté d’humour. Le scénario nous entraîne dans un univers totalement décalé : entre merveilleux et terreur. Le dessin de Comès est toujours aussi élégant et va parfaitement avec l’ambiance de ce one-shot. il sert l'ambiance fantastique installée dans toute cette œuvre. Pour en savoir davantage sur les rêves de ces fameux arbres, il suffit de lire cette superbe BD…et cela en vaut le détour ! Même terminée, cette histoire nous habite encore un peu et nous rappelle qu’il y une nature à défendre autour de nous…
Outlaw
La seule série de l'Ouest que je possède...Le genre Western c'est pas trop ma tasse de thé...Mais là, c'est grandiose. Le scénario est au top et le dessin de Fourquemin, je l'ai toujours aimé.
Le Singe et la Sirène
Culte, comme tout les albums de Nicolas Dumontheuil, le dessin démesuré et le scénario décalé de cet album sont une nouvelle fois la preuve de ses capacités. Quant au scénario Angéli est totalement dans l'esprit Dumontheuil.
Le Singe et la Sirène
Moins déroutant à mon avis que "qui a tué l'idiot" mais tout aussi acerbe. Bien que l'histoire n'ait rien de génial en elle même, la narration est vraiment superbe. Les dessins toujours si athypiques sont très agréable. Une BD que j'ai vraiment beaucoup aimée.
C'était la guerre des tranchées
Une bien belle BD. Sobre, même si le sujet traité l'est moins. Le sujet est traité de manière assez admirable. Il ressort un profond sentiment humain de toutes ces histoires qui nous montrent simplement le point de vue à nu de ce que peut être la guerre. Le dessin de tardi est toujours aussi agréable et accentue la réalité des scènes montrées.
Sanctuaire
Vache! Quelle surprise. J'avais tout d'abord été assez mitigé concernant le premier album, ne pouvant m'empêcher de comparer celui-ci avec "les aquanautes". L'ambiance était bonne, mais il semblait manquer quelquechose. Et bien, c'était tout simplement la suite. La relecture des deux albums à la suite nous plonge dans une atmosphère encore plus oppréssante que "Zéro absolu". Vraiment là, je tire ma révérence car l'histoire fait vraiment froid dans le dos. C'est un vrai bonheur de se plonger dans une atmosphère comme cela. Bravo!
Breakfast after noon
Un petit bijou en noir et blanc venu d'Outre-Manche. Si vous avez été un jour dans la situation de Rob et de Louise, vous vous y retrouverez. Certains moments, à l'ANPE, avec les amis, sont criants de vérité. Comment gère-t-on la perte d'un emploi ? Chacun des protagonistes le fait à sa manière, et l'on peut voir comment un couple au bord du mariage en arrive au bord de la séparation à cause de la vision de chacun. J'ai été franchement emballée par ce bouquin. Il me semble que les auteurs british ne sont pas très importés en France, alors profitez de celui-là.
Nestor Burma
Tardi a merveilleusement adapté Leo Mallet, c'est indéniable. Même l'écrivain, pourtant loin d'être féru de bandes dessinées, le reconnait. Son dessin colle à merveille à ce Paris du milieu du XXème siècle et c'est d'autant plus prenant lorsque l'on connait les quartiers où Nestor Burma déambule: le XIIIème arrondissement dans "Brouillard au pont de Tolbiac" (la première aventure de Burma illustrée par Tardi), le Xème arrondissement dans "M'as-tu vu en cadavre" ou le XIIème arrondissement dans "Casse pipe à la Nation". Si "M'as-tu vu en cadavre" est peut-être un poil en deça des deux autres, "Une gueule de bois en plomb" est le seul vrai ratage: format différent, scénar trop linéaire et facile et une mise en couleur qui ne rehausse vraiment pas le dessin de Tardi. Le vrai chef d'oeuvre du duo Mallet/Tardi est sans conteste "120, rue de la gare". Cet album est tout bonnement exceptionnel et profite d'une intrigue passionnante, ancrée dans l'histoire de la deuxième guerre mondiale. Les dialogues sont comme toujours au cordeau et cet album est peut-être encore plus noir et mélancolique que les autres, rajoutant une dimension humaine saisissante à une intrigue policière époustouflante. A ne pas rater.