Les derniers avis (37666 avis)

Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série Le Jeu de Pourpre
Le Jeu de Pourpre

Premier tome: ce conte aborde l'histoire du Tibet/Népal à une époque reculée sur fond de religion (non boudhiste) et de magie ! on y retrouve la cruauté des hommes et la magie des personnages qui se confrontent pour se sauver mutuellement et créer un nouveau monde. le scénario est original dans son approche de l'intrigue, les personnages se situent au fur et à mesure des épisodes et peuvent tenir en haleine sur les 4 tomes disponibles. le graphisme peut paraître baclé parfois, mais cela n'est pas flagrant et les décors sont réussis. quant à la couleur,elle réhausse le trait. ce conte m'a charmée par son mélange histoire et magie, par la rencontre de personnages diamétralement opposés, qui réussissent à fonder une nouvelle ère plus propice à l'égalité des hommes. tome second: On découvre ici une dynastie maudite. L'histoire nous l'a souvent prouvé, un petit nombre d'hommes avides de pouvoir qui font régner la terreur sur toute une population. Heureusement, il y a toujours eu une rencontre d'hommes et de femmes (j'y tiens) pour fomenter quelques révolutions et renverser ce pouvoir. Contrairement à notre réalité, la magie dévoile céant sa part dans l'histoire du monde. Je place donc cette série dans la rubrique "Historique", car je pense que la magie à toujours fait partie de notre monde depuis la nuit des temps (quelle soit noire ou blanche). Dans ce second tome se précise l'intrigue. les personnages principaux sont en place et commence leur aventure. Le scénario se dévoile au fur et à mesure pour faire comprendre au lecteur le chaos qui fait avancer la société depuis la nuit des temps. C'est avec finesse que le récit découle et s'imisce dans votre esprit. Le trait de l'illustrateur est un peu gros parfois, mais la couleur est bien contrastée, ce qui donne un graphisme simple avec tout de même de très belle structure de décors. Ce récit mélange le naturel et le surnaturel, c'est là que l'originalité réside. On apprend à pardonner à l'homme et à nous même nos erreurs (si si, on pardonne!). bon, je vous entend d'ici : "encore de la philosophie pseudo déiste!". mais un peu de sagesse ne fait de mal à personne bordel (oups scusez je m'emporte) croyez moi, nous en avons tous besoin. C'est une belle histoire qui peu charmer le plus retord à découvrir la suite. tome trois: Le suspense est tenace, finalement! Au 1er tome, on croit déceler une intrigue simple. Au second, la magie entre en jeu et on commence à accrocher. Et ici, on sent le courage des personnages et leur force nous entraîner dans les affres de la peur, celle qui nous empêche d'agir. Pour résumer mon impression, je citerai un grafiti que j'ai vu sur un mur: "ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas les faire, c'est parce que nous n'osons pas les faire qu'elles sont difficiles!" dixit Séneque. A méditer... Les couleurs et le graphisme sont stables sur ces 3 albums, mais on s'aperçoit que les cases ont grandit et que le trait s'est assuré. Au même titre que le scénario qui commence a prendre plus de consistance. Makyo, à qui l'on doit "Balade au bout du monde", nous offre une des facette de son imagination faite de réalité et de magie. tome quatre: Makyo a su me tenir en haleine sur une histoire simple et compliquée à la fois : le monde, les dieux et les hommes. On retrouve tous les éléments nécessaires à l'histoire du monde: la cupidité, la bêtise, et la méchanceté face au courage et à l'intelligence. C'est du basique, mais c'est efficace. C'est une belle histoire qui vous fera méditer sur vos actions ( à condition de se remettre en question et de s'identifier aux personnages). Le graphisme est mûr sur ce 4ème tome, les couleurs sont utilisées avec sensibilité et on constate sur la fin un éclaircissement, cela rejoint le récit qui lui aussi s'éclaircit sur la fin. Cette série est à lire pour comparer encore et encore l'histoire du monde et de ces avancées terrifiantes. Une belle réussite au final que je conseil.

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série Kid Paddle
Kid Paddle

Kid Paddle, c'est mon p'tit chouchou! il me fait poiler, tordre de rire devrais-je dire ! Midam a fait apparaître Kid dans Spirou, et j'avoue que l'expression des personnages et l'humour des gamins terribles m'a tout de suite séduite ! Ils ont une imagination hors du commun, les monstres, les gruges pour rentrer voir les films interdits (qui ne fonctionnent jamais ceci dit!), tout est excellent. Rien qu'à voir leur p'tite trogne expressive pendant leur conneries, j'suis pliée de rire! Voilà des recueils dont on ne se lasse pas! des planches uniques et colorées avec un humour bien caustique et étonnant. Un conseil, si vous avez dans votre entourage des enfants de cet âge, évitez de leur faire lire Kid paddle, ça leur donne des idées... et les parents n'aprécient pas forcément... (à moins que vous ne vouliez plus les voir!). Quant à moi, je cautionne Kid et ses loufoqueries pour le bonheur des foyers! A offrir impérativement!

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série Le Lama blanc
Le Lama blanc

Tome premier: Ah, Jodorowsky nous fait une fois de plus voyager avec un scénario prometteur, comme à son habitude. La trame de cette magnifique histoire redonne l'actualité du Tibet et le choc des cultures. On y retrouve toute la ferveur chrétienne qui veut prouver que la civilisation passera par elle ou ne passera pas ! On sent une recherche de l'histoire et cette infime touche de divinité qui est toujours présente dans les récits de notre ami l'auteur paranormal. j'aime beaucoup Jodorowsky, il a une imagination très fertile. Pour le dessin, je ne connaissais pas Bess! je trouve son trait franc et bien marqué. Les personnages sont réalistes et expressifs. pas mal, je dirais attendons de lire les tomes suivants...car sont dessin reste stable. Les couleurs sont bien chaleureuses et même sur certains plans bien éclatantes. tome second: Un régal. L'histoire est pleine de rebondissements et de suspens. Jodorowsky est une conque inépuisable d'imagination. Il sait nous faire rêver et nous faire voyager très loin dans l'histoire... Le lama blanc est le sauveur que le Tibet n'a pas eu. A l'instar du Dalaï Lama, il a cette puissance divine au fond de lui. Pourtant, il n'a que quatre ans et laisse présager une grande force intérieure. C'est par la souffrance que l'homme comprend la vie et ses valeurs... De belle leçons nous sont données par notre ami Jodorowsky, un scénario prometteur où l'on sent le mélange de vérités historiques et d'imaginaire lointain et magique. Le dessin de Bess prend de la profondeur, on y voit son coup de pinceau. Des jeux d'ombres et lumières, des couleurs nuancées et variées. J'attends cependant de voir l'évolution sur les autres tomes. Je dirais que le Lama Blanc est nécessaire à qui aime le bouddhisme, la magie et l'histoire terrible des hommes. Un très beau livre que je conseille vivement... Cette bd m'a agréablement bien divertie. tome troisième: Une suite d'épreuves et de douleurs pour cet enfant. Quand on lit cette oeuvre, la compassion et la tristesse nous envahit. L'on sait que les routes qui mènent à la sagesse sont difficiles et que la souffrance est la seule à nous révéler la bonne voie. Cela dit, une leçon de courage et de ténacité nous est donnée par ce petit bonhomme. Il y va de l'avenir du Tibet. L'intrigue continue simplement entre cupidité et horreur. Le jeune Lama construit son histoire malgrè lui. C'est beau et dur en même temps. Le scénario se dévoile dans un univers réaliste avec une part de divinité qui ne laissera personne indifférent. Jodorowsky est un spécialiste des scénarii à tendance mystique. Ne désespérez pas car l'histoire avance lentement, mais sûrement. Les dessins sont clairs et tranchants. Un soucis du détail et des personnages bien expressifs animent les planches. De belles couleurs sont utilisées, avec des nuances et de la chaleur. Je trouve l'ensemble harmonieux et très agréable à la vue. Pour moi, le bel art de la littérature illustrée se trouve grandit grâce à des auteurs comme ceux-là. tome quatrième: Un scénario basé sur des recherches dans la culture tibétaine toujours. Jodorowsky nous offre un récit d'un réalisme et d'une violence humaine. Même au sein d'un monastère, on trouve les gens les plus vils et bas de cette terre. Le reflet de l'histoire avec l'espoir que donne la magie de l'esprit, c'est l'équilibre entre réalite et divinité. On aborde le fameux choc des cultures et son éternel chaos. Les graphisme, quant à eux, prennent de l'ampleur, le trait s'affirme. Bess nous délivre plus de précision dans les visages. De très belles planches éclatées. La couleur est bien maniée, avec l'alternance du froid, du chaud et de l'ombré. J'ai trouvé plus de profondeur que dans les autres albums, le dessin a mûri. Je me suis attardée sur ces planches, elles sont en mouvement! (non j'ai pas fumé la moquette, j'ai du lino!). Blague à part, le récit morcelé de ce jeune héros tchilinga est vraiment prenant. N'hésitez pas une seconde de plus, lisez l'histoire du lama blanc. tome cinquième: C'est beau! La suite de ce récit qui est un condensé de la philosophie du Bouddha. Un combat entre l'homme et son égo. Entre nos valeurs et nos vies antérieures. Jodorowsky me fascine par son récit, il est conteur et vous prend le coeur et l'esprit. j'avoue avoir un net penchant pour les histoires ayant de la philosophie dans l'âme. Le trait de Bess a encore mûri, il joue sur des nuances et a travaillé la couleur encore mieux que dans le tome précédent. Un vrai régal pour l'oeil. Il faut reconnaitre que nous en sommes au cinquième livre, et Gabriel doit avoir tout juste 20 ans. Mais on ne se lasse pas car le scénario est équilibré. Là je considère objectivement, pour les amateurs de la recherche de soi, de se procurer cette série au plus tôt! tome sixième: Voilà le dernier tome du premier cycle du Lama Blanc. La courte, mais néanmoins intense vie de ce jeune tchilinga (blanc) au milieu du Tibet. Il a maintenant une trentaine d'année. Jodorowsky a basé son histoire sur l'expansion forcé du bouddhisme à travers le monde, à cause du drapeau rouge! Il nous dépeint une société basée sur la religion philosophique rencontrant les mêmes êtres vils que dans le reste du monde. Mais avant de s'intéresser à cette philosophie, il faut connaître leur culture et leur façon de penser, savoir comment l'on combat contre nous même jusqu'à la maîtrise totale de notre esprit. Le chemin de la sagesse est pavé de douleur. L'éternel destin qui est le notre, la recherche de la lumière... (ça y est j'deviens mystique!). C'est ça l'effet Jodorowsky ! Bess a un trait assuré, un bon équilibre se place dans les couleurs. Mais à mon sens, les tomes 3 & 4 sont mes préférés au niveau graphisme. De belles planches nuancées et chaudes font un ensemble agréable. Volà un fameux coktail qui nous donne une très belle série pleine de sagesse et de réalité. Découverte il y a peu, j'ai beaucoup aimé cette BD. Je vous la conseille vivement, elle interpèle. Lisez et pensez "Om mani padmé hum..."

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série Nestor Burma
Nestor Burma

Un pavé, comparé aux autres tomes de la série ! Le "120 rue de la gare" est plein de suspens trépident ! L'arrangement de Malet consiste à vous faire aller et venir dans le temps et dans l'histoire, il fait du "yoyo" avec l'intrigue et les personnages, donc avec le lecteur aussi ! Léo Malet est un auteur de polar, plus basiquement: roman de gare (c'est le cas de le dire!) mais on reconnaît une construction bien particulière dans ses récits qui savent vous tenir en haleine. J'adore ! L'époque de la France démarquée par les boches est le décor principal de l'histoire. Et Jacques Tardi comme à son habitude nous fait voyager dans une réalité historique grâce aux décors et aux détails de chaque planches. On le connaît pour l'architecture de Paris, ici on découvre la ville de Lyon tout aussi efficacement que la capitale ! Surtout que la période Pétain n'était pas la plus glorieuse de la France ! Remarquez les affiches sur les murs ! on s'y croirait ! Bien entendu tout cela est en noir et blanc, ce qui n'entâche pas à l'histoire, mais au contraire donne toute son ampleur au graphisme. Voilà comment un duo peut réussir un bel ouvrage en mélangeant le roman et la littérature illustrée ! Lecteur-amatteur des deux genres, tu ne seras pas déçu ! Nestor Burma est un détective de choc, un peu cabotin, mais parfaitement délicieux à suivre ! N'hésitez pas une demi seconde à vous procurer ses aventures (en roman ou en bd). Une nécéssité pour les longues soirées d'hiver ! de tous les tomes nestor burma, mon préféré est le 120... mais que cela ne vous empêche pas de déguster les autres...

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 5/5
Couverture de la série Peter Pan
Peter Pan

L’aventure de Peter Pan vu par Régis Loisel, la genèse de ce personnage très librement inspiré du roman de Sir James Matthew Barrie. Sa vision est tellement pragmatique que si vous aviez un doute sur l'existence de Peter Pan vous n'en n'aurez plus! (Personnellement je n'en ai jamais douté) L’auteur aborde une histoire où le glauque et la misère des hommes et femmes sont réels et effrayants. Le tome premier pose le décor dans un Londres triste et sordide et le tome sixième clôture parfaitement le conte qui revient là où tout a démarré. On peut dire que sa boucle est bouclée ! Peter est un enfant fier et inventif qui se débat dans un monde d’adultes bien plus perdus que les enfants. Le contact de ces grandes personnes le rend cependant plus fuyant et on commence à le voir partir vers son propre monde imaginaire jusqu’à ce que celui-ci prenne réellement vie et place dans nos esprits. Avec un scénario riche en rebondissements et bien bâti, Loisel pose les bases de son récit en 6 volumes. Les personnages principaux apparaissent ou disparaissent au fur et à mesure que le récit s’étale et on s'éprend d'affection très rapidement pour Peter et ses camarades. Même Crochet est touchant! L'intrigue quant à elle, se dévoile doucement mais de manière équilibrée. Un mythe naît devant vos yeux, le suspense est tenace voire haletant. Tout au long de l’histoire, les sentiments de primes abords assez puérils donnent naissance à des réflexions plus poussées sur les relations entre amis et ennemis, sur l’importance de l’oubli, du deuil, de l’amitié de l’amour sincère. Peter est un être très particulier et touchant, mené par ses actions de bravade et par une fierté sans limite. Il est vif, impétueux, capricieux mais courageux. Autant d’adjectifs pour décrire cet enfant terriblement attachant mais agaçant. Pour moi, Peter Pan est l’irrémédiable destin d’un enfant qui n’a pas eu d’amour pour le guider. Il est la terrible preuve de ce qui arrive quand on ne respecte pas nos descendants et qu’on les oublie dans un monde fait de peur et d’horreur. Le graphisme, de toute beauté fait de couleurs chaleureuses avec des jeux d'ombres et de lumière, est du pur Régis Loisel. Il a su différencier son trait qui atteint une très belle maturité, si l'on compare "la quête de l'oiseau du temps" et cet ouvrage. Je vous convie avec ardeur à plonger au coeur de ce merveilleux conte qui ne pourra vous laisser indifférent. Un prodige de la bande dessinée à lire d'urgence.

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série Philémon
Philémon

Philémon a bercé toute mon enfance, et on peut dire que j'ai été bercée un peu trop près du mur! (de la bibliothèque!!) Fred est un auteur très particulier, il a aussi fait "le petit cirque". mais surtout, beaucoup d'albums avec Philémon. L'univers de Philémon est basé sur l'imaginaire et la douce folie! Je ne sais pas si ce mini héro, qui est né fin des années 60 et a survolé les années 70, est sujet aux hallucinations, mais il m'en a donné ! Le monde des lettres est complètement loufoque, et l'on y trouve des zébres geoles, des gens papillons, des tailleurs d'ombres (si vous avez perdu la vôtre!), des chateaux suspendus, des théatres flottants avec des critiquakouatique, des manu manus, etc... et j'en passe. Ce qui importe, c'est le scénario très original et hors du commun...ou le réel se mélange habilement avec l'irréel. Le dessin est un peu grossier, mais c'est le style de fred. La couleur est très basique, pourtant, cela n'entâche pas la lecture, on fait facilement abstraction de tout ça pour plonger avec Philémon au milieu du monde du A... pour trouver les rééditions direction toutes les bonnes librairies! pour trouver les anciennes éditions, la seule solution est le hasard (qui fait bien les choses) et le trifouillage dans les occases, les puces, tout ce qui vend de la BD introuvable ou une pétition interplanétaire pour la réédition des Philémons..en vieux modèle! pour moi, c'est une BD culte des seventies... à avoir impérativement dans votre bédéthèque ! nostalgie quand tu nous tiens! d'ailleurs je vais de ce pas proposer à Terry Gillians (monthy pithon!) de faire un film de cette BD!

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série Ranxerox
Ranxerox

Lisez et vous crierez pitié!! Ame sensible s'abstenir... c'est un bouquin ultra politiquement "incorrect", où la violence à plus que sa part et ce à tous les niveaux!! Sexe, drogue et violence sont les bases d'une intrigue futuriste! (paraît que ça fait vendre!!). Si vous trouvez "La Totale" c'est en fait une édition particulière qui contient deux inédits, la naissance de ranxerox et un épilogue ultra trash, autour de "Ranxerox à new-york" et "Bon anniversaire Lubna" qui sont les deux albums les plus connus de cet anti-héro ! Le scénario est simple, mais l'atmosphère qui règne vous hypnotise ! Liberatore est un grand de la peinture et du dessin. toutes les planches sont surréalistes, tout est travaillé et ombré ! il change de style d'une page à l'autre et alterne le glauque et le lumineux ! ouahouh! les couleurs sont utilisées avec originalité et avec art! Pourquoi me direz vous cautionner une telle violence? je vous répondrais que la réalité, ici bas, est trop démesurée dans cette violence, nous avons besoin d'un exutoire ! les auteurs ne parodient pas à l'extrême ce que nous sommes et ce que le monde peut devenir. c'est du politique fiction version italienne !! Quand on lit Ranxerox on prend un grand coup de poing dans la G.....! (ou dans la philosophie si vous préférez!!)

30/09/2002 (modifier)
Par A.bomba
Note: 4/5
Couverture de la série La Vie est courte
La Vie est courte

Pétée de rire... voilà ce qui m'est arrivée quand j'ai lu cette bd!!! Des p'tits gags en série illimitée... Ca m'a vraiment plu, une bouffée de poilade bien méritée et une bonne tranche de d'humour! Il est vrai que je suis fan de Larcenet depuis ses début dans fluide, ainsi que Thiriet qui n'a pas son humour sous la cloche (comme dirait mon grand père!) Des images, des clin d'oeils (surtout à Van Damne!) voilà un recueil qui ne manque pas de finesse voire de style... Pour vous n'en citer qu'un: le gardien de phare s'embête!!! Qui plus est, si on lit ça dans les transports en commun et qu'on ne peut retenir l'éclat de rire!(pouf pouf pouf) C'est en levant la tête qu'on rifougne encore plus d'observer les faces de coincés vous entourant et vous méprisant de leur regard ignorant l'humour et la BD!!! Bande d'inculte va... (euh non pas taper!)

30/09/2002 (modifier)
Par ArzaK
Note: 4/5
Couverture de la série Happy Rock (L'enfer des concerts)
Happy Rock (L'enfer des concerts)

Un album drôle, dans un humour plus "ado" que Titeuf. Cela sent le vécu et tout mélomane s'y reconaîtra assez facilement même si ses goûts musicaux ne sont pas ceux de Zep. J'espère que Zep, s'il est encore aussi inspiré sur le sujet, fera un second album.

30/09/2002 (modifier)
Par Yriel
Note: 5/5
Couverture de la série De Cape et de Crocs
De Cape et de Crocs

Sans aucun doute ma référence en matière de bd. Le tome 5 sorti récemment ne m'a pas déçu et j'attends déjà avec impatience le prochain. Je ne trouve réellement rien à reprocher à cette bd, le scénario est passionant et quelle joie de lire les tirades enflammées de nos bretteurs préférés. Le dessin est splendide, chacune des couvertures est une oeuvre à mon sens. (mention spéciale à la dernière) et pour ne rien gacher les couleurs sont splendides. Pour finir un seul mot à dire: foncez.

30/09/2002 (modifier)