Peut-être la moins bonne des séries Donjons, ou plutôt : pas la meilleure.
Le concept est intéressant : faire évoluer les persos secondaires du Donjon.
Le premier tome était excellent, mais le second un peu moins bon.
Les styles sont complètement différent et le second manquait un peu de rythme.
Peut-être la série des Donjon où j'ai eu le plus de mal à me mettre à cause des dessins en rupture avec les autres tomes.
Une fois cette impression passée, on découvre un univers plus subtil, un rythme plus lent.
200 tomes en prévision (entre cette série et Donjon crépuscule), va falloir être patient :)
L'inconvénient avec la collection Vécu de chez Glénat est que l'aspect historique prend souvent le dessus sur le coté humain du scénario. Résultat: on n'a parfois l'impression de lire une encyclopédie illustrée plutôt qu'une bd. Rares sont les séries qui se détachent mais La Sueur du Soleil fait partie de ses exceptions. On nous parle, ici, d'une aventure amoureuse sur fond de conquêtes espagnoles. Assez banal à première vue, mais l'histoire est très bien menée, la narration est limpide et ce Harriet mériterait d'être un peu plus présent dans le monde impitoyable de la bd. Dès les premières pages, on est absorbés par les mésaventures de Marco et Orocomay dans un climat où la soif de l'or a rendu les hommes pervers, mesquins et surtout avides de pouvoirs.
Le dessin de Mata était un peu figé dans les premiers albums mais s'est nettement amélioré par la suite. Une reflexion me vient à l'esprit: ce n'est pas toujours les meilleurs séries qui réussisent le mieux, la preuve en est encore faite, ici .
Ze best !!!
Le mailleur de la série Donjon (pour l'instant).
Quand Mr Nicoco m'en avait parlé, je trouvais que ça faisait un peu dessin pour gamins. Que neni !
Une des meilleures séries que j'ai lu pour l'instant.
De l'humour, de l'action, du suspense...
Encore !
On m'avait parlé de cette BD, mais je ne trouvais pas la couverture très alléchante et le dessin était un peu "commun".
Mais quelle claque en le lisant !
Je me suis rué sur les autres tomes et les ai dévorés.
Une des meilleures séries en ma possession.
Un univers vraiment captivant, même si les 2 derniers tomes peuvent paraîtres un peu plus fades (un peu plus lent).
J'ai bien aimé cette série.
L'histoire est originale (elle diffère du concept d'immortalité habituel), bien rythmée et avec pas mal de moment de remise en question.
Les 2 derniers tomes sont un peu plus tordus au point de vue du scénario, mais c'est une série à lire !
Le manga culte à avoir !
J'ai vraiment eu beaucoup de plaisir à la lire; c'était un des dessins animés que je préférais.
Là, au moins, on ne loupe aucun épisode et les combats vont plus vite !!!
Ils ne restent pas 10 minutes à se regarder sans bouger avec le vent qui souffle, ou mettre 5 minutes à faire monter leur énergie.
A partir du moment où ils commencent à devenir super-sayens, ça part vraiment en live.
Avant, on retrouve avec bonheur les aventures du petit San Goku et les mythiques championnats du monde des arts martiaux.
C'est ce qu'on appelle une autobiographie, je trouve l'exercice plutôt bien réussi par Trondheim (en règle générale beaucoup d'auteurs s'y sont cassé les dents). Quant au niveau du dessin, c'est le style Trondheim, "bâclé" comme il le dit lui-même et pourtant furieusement personnel.
On suit donc avec intérêt cette tranche de vie et on déguste les petites "anecdotes" (comme la mouche proposée au japonais)
Monsieur Noir, c'est une petite fille toute mignonne-gentille-naïve ( mais pas tant que ça en fait ) qui n'a rien à faire là et est toute perdue au milieu d'une lutte sans merci pour le pouvoir. Tout rappelle le conte de fées, mais le rose à été échangé par du noir... L'ambiance est glaçante, grisante d'humour noir et de lutte absurde, de jeu cruel et sans merci, à se trahir les uns et les autres, à être gentil et méchant en même temps... tout ça magnifiquement illustré. Une excellente satire de notre société actuelle !
Attention, cette bd est fortement déconseillée aux amateurs de fin ( et de début, et d'histoire en général, en fait... )claire et rationnelle.
Un petit bijou d'humour et de fraicheur que ce manga. Pour ceux qui en ont marre de ces histoires à rallonge qui n'avancent pas que nous pondent savemment les mangaka, voici un oneshot pas mal du tout.
C'est dans la veine de "un petit garçon très fort part vivre des aventures loin de chez lui", mais c'est plus original. Ici, le petit garçon est un jeune démon, et son père ne l'autorise à partir que s'il s'engage, à son retour, à ne "jouer sur sa console qu'une heure par jour, dans une pièce bien éclairée, le visage loin de l'écran".
Les rebondissements se suivent, avec juste assez de rythme et d'originalité pour ne pas laisser le temps de s'ennuyer. La chute se laisse un peu trop facilement deviner, mais elle reste agréable à lire.
Les dessins... ben, ce sont les mêmes que pour BDZ. Assez simple, pas très beaux mais efficaces, et puis les têtes des démons sont marrantes.
Ceci dit, si vous n'achetez des mangas que pour vous en servir aux toilettes, soyez gentils, laissez celui-ci dans les rayoonns de votre librairie...
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Donjon Monsters
Peut-être la moins bonne des séries Donjons, ou plutôt : pas la meilleure. Le concept est intéressant : faire évoluer les persos secondaires du Donjon. Le premier tome était excellent, mais le second un peu moins bon. Les styles sont complètement différent et le second manquait un peu de rythme.
Donjon Potron-minet
Peut-être la série des Donjon où j'ai eu le plus de mal à me mettre à cause des dessins en rupture avec les autres tomes. Une fois cette impression passée, on découvre un univers plus subtil, un rythme plus lent. 200 tomes en prévision (entre cette série et Donjon crépuscule), va falloir être patient :)
La Sueur du soleil
L'inconvénient avec la collection Vécu de chez Glénat est que l'aspect historique prend souvent le dessus sur le coté humain du scénario. Résultat: on n'a parfois l'impression de lire une encyclopédie illustrée plutôt qu'une bd. Rares sont les séries qui se détachent mais La Sueur du Soleil fait partie de ses exceptions. On nous parle, ici, d'une aventure amoureuse sur fond de conquêtes espagnoles. Assez banal à première vue, mais l'histoire est très bien menée, la narration est limpide et ce Harriet mériterait d'être un peu plus présent dans le monde impitoyable de la bd. Dès les premières pages, on est absorbés par les mésaventures de Marco et Orocomay dans un climat où la soif de l'or a rendu les hommes pervers, mesquins et surtout avides de pouvoirs. Le dessin de Mata était un peu figé dans les premiers albums mais s'est nettement amélioré par la suite. Une reflexion me vient à l'esprit: ce n'est pas toujours les meilleurs séries qui réussisent le mieux, la preuve en est encore faite, ici .
Donjon Zenith
Ze best !!! Le mailleur de la série Donjon (pour l'instant). Quand Mr Nicoco m'en avait parlé, je trouvais que ça faisait un peu dessin pour gamins. Que neni ! Une des meilleures séries que j'ai lu pour l'instant. De l'humour, de l'action, du suspense... Encore !
Le Chant des Stryges
On m'avait parlé de cette BD, mais je ne trouvais pas la couverture très alléchante et le dessin était un peu "commun". Mais quelle claque en le lisant ! Je me suis rué sur les autres tomes et les ai dévorés. Une des meilleures séries en ma possession. Un univers vraiment captivant, même si les 2 derniers tomes peuvent paraîtres un peu plus fades (un peu plus lent).
Dallas Barr
J'ai bien aimé cette série. L'histoire est originale (elle diffère du concept d'immortalité habituel), bien rythmée et avec pas mal de moment de remise en question. Les 2 derniers tomes sont un peu plus tordus au point de vue du scénario, mais c'est une série à lire !
Dragon Ball
Le manga culte à avoir ! J'ai vraiment eu beaucoup de plaisir à la lire; c'était un des dessins animés que je préférais. Là, au moins, on ne loupe aucun épisode et les combats vont plus vite !!! Ils ne restent pas 10 minutes à se regarder sans bouger avec le vent qui souffle, ou mettre 5 minutes à faire monter leur énergie. A partir du moment où ils commencent à devenir super-sayens, ça part vraiment en live. Avant, on retrouve avec bonheur les aventures du petit San Goku et les mythiques championnats du monde des arts martiaux.
Approximativement
C'est ce qu'on appelle une autobiographie, je trouve l'exercice plutôt bien réussi par Trondheim (en règle générale beaucoup d'auteurs s'y sont cassé les dents). Quant au niveau du dessin, c'est le style Trondheim, "bâclé" comme il le dit lui-même et pourtant furieusement personnel. On suit donc avec intérêt cette tranche de vie et on déguste les petites "anecdotes" (comme la mouche proposée au japonais)
Monsieur Noir
Monsieur Noir, c'est une petite fille toute mignonne-gentille-naïve ( mais pas tant que ça en fait ) qui n'a rien à faire là et est toute perdue au milieu d'une lutte sans merci pour le pouvoir. Tout rappelle le conte de fées, mais le rose à été échangé par du noir... L'ambiance est glaçante, grisante d'humour noir et de lutte absurde, de jeu cruel et sans merci, à se trahir les uns et les autres, à être gentil et méchant en même temps... tout ça magnifiquement illustré. Une excellente satire de notre société actuelle ! Attention, cette bd est fortement déconseillée aux amateurs de fin ( et de début, et d'histoire en général, en fait... )claire et rationnelle.
Sand Land
Un petit bijou d'humour et de fraicheur que ce manga. Pour ceux qui en ont marre de ces histoires à rallonge qui n'avancent pas que nous pondent savemment les mangaka, voici un oneshot pas mal du tout. C'est dans la veine de "un petit garçon très fort part vivre des aventures loin de chez lui", mais c'est plus original. Ici, le petit garçon est un jeune démon, et son père ne l'autorise à partir que s'il s'engage, à son retour, à ne "jouer sur sa console qu'une heure par jour, dans une pièce bien éclairée, le visage loin de l'écran". Les rebondissements se suivent, avec juste assez de rythme et d'originalité pour ne pas laisser le temps de s'ennuyer. La chute se laisse un peu trop facilement deviner, mais elle reste agréable à lire. Les dessins... ben, ce sont les mêmes que pour BDZ. Assez simple, pas très beaux mais efficaces, et puis les têtes des démons sont marrantes. Ceci dit, si vous n'achetez des mangas que pour vous en servir aux toilettes, soyez gentils, laissez celui-ci dans les rayoonns de votre librairie...