Cette Bd est excellente par son histoire d'intrigues et par les dessins de Marini qui sont grandioses. Les trois tomes réussissent à bien posés l'intrigue et à la faire évoluée. On a envie que le quatre soit déjà sorti tellement l'histoire est palpitante.
Que dire sinon achetez là!
Je n'ai pas lu toute la série, mais la dizaine d'albums que j'ai eue entre les mains m'a bien fait rire ! C'est débile, c'est absurde, ça part dans tous les sens... Moi, je trouve que ça a un côté quasi "pythonesque". Maintenant, je conçois qu'on n'accroche pas du tout à ce genre d'humour crétin...
Un peu de tendresse, de simplicité et d'optimisme dans ce monde de brutes. Je viens juste de boucler l'intégrale que j'attendais depuis longtemps, et je ne suis pas décu. Voila une bd trés bien dessinnée, pleine de vie et bons sentiments. Un pur joyau à lire par les petits et les grands.
Tout à fait d'accord avec Cedric et Piehr cette album est genial
Les dessins et les couleurs tres sombres sont superbes ils donnent une ambiance tres particuliere à l'album oppressante et stressante
Le scenar bien que sans grande originalite est parfaitement conçu
Une BD d'exeption apres MMGD Magnifique.
L'Innocente est un témoignage poignant sur la 2ème guerre mondiale.
Oui, le nazisme a été une horreur.
Non, tous les allemands n'étaient pas nazis.
Sans fausse pudeur, nous nous retrouvons plongé au cœur de la honte, du doute, de l'horreur, et de l'angoisse.
Le dessin et le texte de Warnauts et de Raives sont comme toujours superbes, d'une grande sensibilité, extrêmement soignés et plein de réalisme.
C'est un album témoignage, un roman dessiné, une des multiples facettes de l’histoire.
Les auteurs nous offrent ici une œuvre grandiose.
Le meilleur du « couple » Warnauts / Raives.
La nouvelle série de Warnants et Raives est de qualité.
ils maintiennent avec élégance leur habituel standard :
-langueurs tropicales (Cette fois on se trouve aux Caraïbes), ses beautés mais aussi, les pourrissements secrets et les compromissions en tous genres.
On est à la fois dans une intrigue politique et une intrigue amoureuse.
Le personnage principal dénommé Lafleur reste assez mystérieux au début de l’histoire mais petit à petit,il va se dévoiler, s’esquisser par touches successives et il va finir par constituer un personnage captivant.
Il y a aussi des bulles mémorables dans cette série, comme celle ci : « Il faut voir la mort comme un piment, sans elle, la vie n’aurait aucun goût… ». Tout simplement superbe…
Le scénario est servi par de magnifiques dessins avec des couleurs aux tons chatoyants qui nous baignent dans la chaleur sud-américaine. Ces couleurs créent différentes ambiances dans ce récit, pour preuve, des tons plus durs nous entraînent un court instant dans une scène de nuit digne des meilleurs polars.
Si vous recherchez des dessins très réalistes et en même temps harmonieux, si vous avez envie de couleurs flamboyantes et que vous recherchez de l’intimité avec les personnages et du dépaysement, n’hésitez pas : plongez dans cette série, et dans tous les ouvrages qu’ont pu faire le « couple » Warnants et Raives .
Un régal...
Cette BD nous entraine sur les traces d'une tribu d'indiens, à la recherche d'un espoir fou. Les dessins sont vraiment superbes, les couleurs magnifiques, et le tout crée une ambiance dont on sort avec difficultés une fois l'album refermé.
Le scénario est par contre un peu faible, mais je ne pense pas que ce soit vraiment important : plus que la vie de la jeune femme, c'est la tribu qui est interressante, cette quête sans fin au rhytme parfois lent, parfois violent. Et on vit vraiment avec eux, on ressent l'atmosphère de la forêt ; au delè de l'histoire qu'ils racontent, c'est cela que veulent nous offrir les auteurs : une tranche de vie dans un univers qui nous est inconnu.
Le premier tome d'une série d'excellente facture.
Les personnages d'abord. A part Sai (le fantôme), toute la série très réaliste... Sur les personnages, leurs relations... Ils grandissent de façon continue, sans brusque changement. On s'y attache.
Les dessins ensuite. D'une ressemlance à couper le souffle. Bien sûr, le genre demande quelques sacrifices (personnages simplifiés typiques des mangas), mais les lieux -par exemple- sont respectés avec une minutie qui friserait presque le pathologique (voir en paticulier les photos de la fédé de Go japonaise, la Nihon Kihin).
L'histoire enfin. Un grand classique du Manga : le jeune garçon qui suit un parcours initiatique et devient de plus en plus fort. Mais on se prend bien au jeu, peut-être parce qu'il est bien camouflé, peut-être parce que c'est plus réaliste.
Je conseille d'en lire au moins un avant d'acheter. La série fait une vingtaine de tomes, donc conseiller l'achat global est un gros investissment si on n'est pas fan. En plus, ça va être long, parceque Tonkham en édite (traduit) un tous les deux mois. Donc la fin dans 3 ans (Gasp, j'en peux plus d'impatience!).
La vision du moyen-âge de Hausman et Yann est pour le moins fantaisiste. Quelle cruauté! L'humour aidant, cela en devient même très cynique. C'est succulent! Le scénario de Yann est vraiment un très très bon scénario plein d'humour et de subtilités.
Le Dessin d'Hausman est très chargé, très baroque, mais reste d'une lisibilité exemplaire. On aime ou pas son style. Personellement je le trouve dix fois plus doué que les plupart des dessinateurs d'heroïc-fantasy qui savent certes dessiner des miliers de reflets mais n'arrivent pas toujours à donner une âme à leurs êtres comme le fait Hausman. Il suffit de regarder ses renards et leurs attitudes pour s'apercevoir à quel point Hausman est un fameux dessinateur animalier! Quel dessin ! A la fois capable de la plus grande des tendresse et de la plus vile des cruautés! En résumé : le dessin parfait pour illustrer un conte. L'anti-Walt Disney par excellence!
Les mains sont importantes chez quiconque veut créer, façonner, donner vie à ses idées. La bible ne nous apprend t-elle pas que ce sont les mains de Dieux qui ont données naissance à notre monde ? N’est-ce pas en posant ses mains sur un homme aveugle que le Christ lui a rendu la vue ? N’est-ce pas avec ses mains que le Dr Frankenstein créa sa bête ? Et n’est-ce pas également avec ses mains que le Dr Moreau réalisa les pires horreurs que la génétique ait jamais connues ? Si l’on observe correctement la phrase ci-dessus, on se rend compte que la création peut aussi détruire, on tue avec nos mains. Par métaphore on peut dire qu’elles sont le reflet de la folie des hommes, ceux qui créent et qui détruisent. Dans le récit de Michele Petrucci, « Keires », les mains nous terrifient, celui qui n’en est plus maître devient dangereux et on se rend compte des multiples possibilités que les mains nous offrent.
L’auteur nous entraîne donc dans un récit ombrageux, sombre et inquiétant ou à chaque instant le lecteur devra rester attentif. Car en effet, le récit est complexe, Petrucci utilise un dessin captivant au trait ambigu et qui suscite un certain intérêt. Puis, n’est-ce pas dans ce graphisme que se trouve la réponse à nos questions ? Les différents personnages de cet album même s’ils sont édifiants restent cependant très mystérieux, là encore, ces dessins qui nous entraînent vers l’incertain ne nous permettent pas de les juger correctement. A notre tour alors d’observer et d’analyser pour mieux cerner les protagonistes et tenter de trouver le coupable. Dors et déjà, bonne chance.
Bref, avec « Keires » on retrouve un Michele Petrucci toujours aussi séduisant et subtile comme il nous l’avait prouvé avec « Sels d’argent ». On peut maintenant dire que cet artiste italien s’inscrit dans le panthéon des grands noms de la BD d’auteur.
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Le Scorpion
Cette Bd est excellente par son histoire d'intrigues et par les dessins de Marini qui sont grandioses. Les trois tomes réussissent à bien posés l'intrigue et à la faire évoluée. On a envie que le quatre soit déjà sorti tellement l'histoire est palpitante. Que dire sinon achetez là!
Edika
Je n'ai pas lu toute la série, mais la dizaine d'albums que j'ai eue entre les mains m'a bien fait rire ! C'est débile, c'est absurde, ça part dans tous les sens... Moi, je trouve que ça a un côté quasi "pythonesque". Maintenant, je conçois qu'on n'accroche pas du tout à ce genre d'humour crétin...
Le Vent dans les Saules
Un peu de tendresse, de simplicité et d'optimisme dans ce monde de brutes. Je viens juste de boucler l'intégrale que j'attendais depuis longtemps, et je ne suis pas décu. Voila une bd trés bien dessinnée, pleine de vie et bons sentiments. Un pur joyau à lire par les petits et les grands.
Tonnerre Rampant
Tout à fait d'accord avec Cedric et Piehr cette album est genial Les dessins et les couleurs tres sombres sont superbes ils donnent une ambiance tres particuliere à l'album oppressante et stressante Le scenar bien que sans grande originalite est parfaitement conçu Une BD d'exeption apres MMGD Magnifique.
L'Innocente
L'Innocente est un témoignage poignant sur la 2ème guerre mondiale. Oui, le nazisme a été une horreur. Non, tous les allemands n'étaient pas nazis. Sans fausse pudeur, nous nous retrouvons plongé au cœur de la honte, du doute, de l'horreur, et de l'angoisse. Le dessin et le texte de Warnauts et de Raives sont comme toujours superbes, d'une grande sensibilité, extrêmement soignés et plein de réalisme. C'est un album témoignage, un roman dessiné, une des multiples facettes de l’histoire. Les auteurs nous offrent ici une œuvre grandiose. Le meilleur du « couple » Warnauts / Raives.
L'Orfèvre
La nouvelle série de Warnants et Raives est de qualité. ils maintiennent avec élégance leur habituel standard : -langueurs tropicales (Cette fois on se trouve aux Caraïbes), ses beautés mais aussi, les pourrissements secrets et les compromissions en tous genres. On est à la fois dans une intrigue politique et une intrigue amoureuse. Le personnage principal dénommé Lafleur reste assez mystérieux au début de l’histoire mais petit à petit,il va se dévoiler, s’esquisser par touches successives et il va finir par constituer un personnage captivant. Il y a aussi des bulles mémorables dans cette série, comme celle ci : « Il faut voir la mort comme un piment, sans elle, la vie n’aurait aucun goût… ». Tout simplement superbe… Le scénario est servi par de magnifiques dessins avec des couleurs aux tons chatoyants qui nous baignent dans la chaleur sud-américaine. Ces couleurs créent différentes ambiances dans ce récit, pour preuve, des tons plus durs nous entraînent un court instant dans une scène de nuit digne des meilleurs polars. Si vous recherchez des dessins très réalistes et en même temps harmonieux, si vous avez envie de couleurs flamboyantes et que vous recherchez de l’intimité avec les personnages et du dépaysement, n’hésitez pas : plongez dans cette série, et dans tous les ouvrages qu’ont pu faire le « couple » Warnants et Raives .
La terre sans mal
Un régal... Cette BD nous entraine sur les traces d'une tribu d'indiens, à la recherche d'un espoir fou. Les dessins sont vraiment superbes, les couleurs magnifiques, et le tout crée une ambiance dont on sort avec difficultés une fois l'album refermé. Le scénario est par contre un peu faible, mais je ne pense pas que ce soit vraiment important : plus que la vie de la jeune femme, c'est la tribu qui est interressante, cette quête sans fin au rhytme parfois lent, parfois violent. Et on vit vraiment avec eux, on ressent l'atmosphère de la forêt ; au delè de l'histoire qu'ils racontent, c'est cela que veulent nous offrir les auteurs : une tranche de vie dans un univers qui nous est inconnu.
Hikaru no Go
Le premier tome d'une série d'excellente facture. Les personnages d'abord. A part Sai (le fantôme), toute la série très réaliste... Sur les personnages, leurs relations... Ils grandissent de façon continue, sans brusque changement. On s'y attache. Les dessins ensuite. D'une ressemlance à couper le souffle. Bien sûr, le genre demande quelques sacrifices (personnages simplifiés typiques des mangas), mais les lieux -par exemple- sont respectés avec une minutie qui friserait presque le pathologique (voir en paticulier les photos de la fédé de Go japonaise, la Nihon Kihin). L'histoire enfin. Un grand classique du Manga : le jeune garçon qui suit un parcours initiatique et devient de plus en plus fort. Mais on se prend bien au jeu, peut-être parce qu'il est bien camouflé, peut-être parce que c'est plus réaliste. Je conseille d'en lire au moins un avant d'acheter. La série fait une vingtaine de tomes, donc conseiller l'achat global est un gros investissment si on n'est pas fan. En plus, ça va être long, parceque Tonkham en édite (traduit) un tous les deux mois. Donc la fin dans 3 ans (Gasp, j'en peux plus d'impatience!).
Les trois cheveux blancs
La vision du moyen-âge de Hausman et Yann est pour le moins fantaisiste. Quelle cruauté! L'humour aidant, cela en devient même très cynique. C'est succulent! Le scénario de Yann est vraiment un très très bon scénario plein d'humour et de subtilités. Le Dessin d'Hausman est très chargé, très baroque, mais reste d'une lisibilité exemplaire. On aime ou pas son style. Personellement je le trouve dix fois plus doué que les plupart des dessinateurs d'heroïc-fantasy qui savent certes dessiner des miliers de reflets mais n'arrivent pas toujours à donner une âme à leurs êtres comme le fait Hausman. Il suffit de regarder ses renards et leurs attitudes pour s'apercevoir à quel point Hausman est un fameux dessinateur animalier! Quel dessin ! A la fois capable de la plus grande des tendresse et de la plus vile des cruautés! En résumé : le dessin parfait pour illustrer un conte. L'anti-Walt Disney par excellence!
Keires
Les mains sont importantes chez quiconque veut créer, façonner, donner vie à ses idées. La bible ne nous apprend t-elle pas que ce sont les mains de Dieux qui ont données naissance à notre monde ? N’est-ce pas en posant ses mains sur un homme aveugle que le Christ lui a rendu la vue ? N’est-ce pas avec ses mains que le Dr Frankenstein créa sa bête ? Et n’est-ce pas également avec ses mains que le Dr Moreau réalisa les pires horreurs que la génétique ait jamais connues ? Si l’on observe correctement la phrase ci-dessus, on se rend compte que la création peut aussi détruire, on tue avec nos mains. Par métaphore on peut dire qu’elles sont le reflet de la folie des hommes, ceux qui créent et qui détruisent. Dans le récit de Michele Petrucci, « Keires », les mains nous terrifient, celui qui n’en est plus maître devient dangereux et on se rend compte des multiples possibilités que les mains nous offrent. L’auteur nous entraîne donc dans un récit ombrageux, sombre et inquiétant ou à chaque instant le lecteur devra rester attentif. Car en effet, le récit est complexe, Petrucci utilise un dessin captivant au trait ambigu et qui suscite un certain intérêt. Puis, n’est-ce pas dans ce graphisme que se trouve la réponse à nos questions ? Les différents personnages de cet album même s’ils sont édifiants restent cependant très mystérieux, là encore, ces dessins qui nous entraînent vers l’incertain ne nous permettent pas de les juger correctement. A notre tour alors d’observer et d’analyser pour mieux cerner les protagonistes et tenter de trouver le coupable. Dors et déjà, bonne chance. Bref, avec « Keires » on retrouve un Michele Petrucci toujours aussi séduisant et subtile comme il nous l’avait prouvé avec « Sels d’argent ». On peut maintenant dire que cet artiste italien s’inscrit dans le panthéon des grands noms de la BD d’auteur.