Une série intéressante et qui developpe un contexte assez original. Cette cité, en pleine mer, reservée aux hommes d'affaires, aux bourgeois et autres privilégiés me fais parfois penser à la série-tv : L'Age de crystal. C'est stupide de ma part mais bon je n'y peux rien.
Le dessin est très beau ,très "propre" et le contraste des couleurs est net . L'intrigue est bien menée. Une fluidité presque parfaite dans les dialogues donne un coté très confortable à la lecture . En fait , un plaisir visuel et scénaristique à ne pas manquer !
Cette série, originale par son concept – le seul point commun entre les albums, c’est le bitume, sous toutes ses formes -, ne se résume de loin pas à des histoires à la Michel Vaillant ou aux Casseurs : ici, la route ou le trottoir se font plutôt prétexte à chacun pour y dérouler son destin, y faire quelques kilomètres dans son passé, ou filer vers l’horizon de son être…
Les intrigues sonnent très juste, et touchent tout autant : bouffées de nostalgie, vieilles histoires parfois difficiles qui se dénouent de manière inattendue et pas « bêtement » dans un happy end convenu, chacun des opus de la série est un petit moment de bonheur, une invite à l’introspection parfois sordide – Le Fils de l’Autre -, parfois limite romantique – Taxi City -, mais le plus souvent entre-deux – Norma’s day.
Les personnages, solidement campés sur les deux jambes que forment leur passé et leur mémoire, sentent l’écorché vif, l’attachant que donne le tragique et cette odeur de vieille page que l’on finit par tourner, une bonne fois pour toute.
Bref… Je vais m’arrêter là, ou je vais encore plus verser dans le lyrique. Mais lisez cette série. Vraiment chouette, même si le dessin, honnête, n’a à mon sens pas grand-chose de novateur –on apprécie toutefois cette parfaite adéquation avec le côté lisse des scénarios, ces grandes lignes routières…
(Mention spéciale pour l’esthétisme particulier des couvertures.)
Avant tout, il faut savoir se plonger dans l'ambiance avant de lire cette merveilleuse BD. Ecoutez le dernier album d'Alice Cooper et laissez juste ce qu'il faut de lumière dans la pièce pour vous immerger dasn cet univers fantasmagorique mélange de satire et de frisson. L'exploitation du noir et blanc et la légereté du trait mettent en exergues les différents point sensibles de l'album.
Bref, une oeuvre purement et simplement réussite !
L'univers gothique et envoûtant qui englobe ce premier album n'est pas sans nous rappeler un certain Bezian. En tout cas au point de vue graphique, c'est très proche. Mais la mise en scène de Jailloux est d'une grande précision et d'une forte intelligence. La psychologie des personnages est assez difficile à cerner, l'auteur joue inlassablement avec le lecteur pour lui révéler à la fin de l'album une partie des secrets de la famille Sangsuc. Pour ceux qui voudraient en savoir plus, il y a une interview intéressante de Marc Jailloux dans le dernier numéro de "D-Side".
Une histoire étrange, des dessins qui le sont aussi.
Mais on se laisse prendre par ce récit bien rythmé, qui nous raconte deux vies qui se croisent, sans bien savoir où tout cela va nous mener.
J'ai aimé l'ambiance qui se crée petit à petit. Les dessins y contribuent beaucoup, même s'il faut le temps pour s'y habituer. Le rythme aussi, plus rempli de silences que de dialogues.
L'histoire est intéressante, loin des clichés.
Bref, un album par lequel on se laisse emporter, et dont la fin arrive trop vite.
Corbeyran nous prouve une fois de plus son talent de scénariste dans la diversité. Cette BD est un dialogue entre un lutin (pour moi c'est un lutin) et un gentil dragon.
Ces deux personnages abordent des sujets d'actualité (comment se retrouver dans la société quand on n'est pas au "norme" par exemple) ou des sujets moins complexes le tout sur le ton de l'humour.
Le dessin de régis Lejonc dessert bien ces petites histoires et laisse place à l'imaginaire. Quant aux couleurs orangées, elle laisse un arrière goût de fantastique.
Mais je crois que jean luc Coudray dans son prélude a très bien exprimé ce qu'il ressort de cette bd, c'est pourquoi je vous invite à la lire dans la colonne histoire (si après ça vous n'avez pas envie de lire cette bd je me demande ce qu'il vous faut).
PS : Attention kid korrigan malgré qu'il soit parus dans la collection jeunesse est autants destiné aux enfant que Mafalda
Bloodline est pour moi synonyme de la meilleure entente possible entre deux grands de la Bande dessinée, j'ai nommé Ange et Varanda ! Même si leur dernière oeuvre commune, Paradis Perdu, ne casse pas trois oreilles à un lapin, la qualité a souvent été au rendez-vous.
Et dans le cas de Bloodline, Waoow !
Un thriller savamment orchestré par le couple composé d'Anne et Gérard Guero (Ange) nous promet un scénario aletant, vraiment nerveux, axé sur l'action même si la trame de fond reste vraiment de grande qualité. Bref, un subtile mélange, une alchimie parfaite pour une bd détonnante !
Les personnages sont vraiment fouillés, avec une psychologie propre que l'on voit évoluer au fur et à mesure des tomes. LEs héros grandissent, murissent, et font des choix qui ont un réel impact sur le déroulement du scénario. C'est vraiment bien orchestré, et c'est tant mieux !
Les illustrations de Varanda sont de grandes qualités, même si le style général est quelque peu inférieur a celui de Paradis Perdu. Mais Bloodline commence a dater quelque peu !
Le trait, très orienté "comics", colle vraiment parfaitement avec son style gras et géométrique, et un ancrage vraiment béton armé, tout en etant plus digeste que celui de Miller.
Je passe sur la mise en couleur, désatreuse ! Preferez évidemment la version noir et blanc. Autant la mise en couleur de Paradis Perdu est très correcte, autant celle de bloodline est ridicule. digne des plus mauvais tomes de la collection Neopolis...
En bref, une bande dessinée a lire, mais la recherche de l'ancienne édition noir et blanc ne sera pas du temps perdu !
Eurk !! Répulsion, révulsion, le personnage principal de cette série est détestable au possible !!
Pari gagné pour son auteur, donc, qui parvient à nous faire adorer et détester Carmen Cru, cette vieille acariatre aimable comme une teigne !!
Les différents scénarii respirent le glauque et le maladif, et on souri a voir le comportement de cette petite vieille que personne ne comprends vraiment, que certains traitent de sorcière, et qui a un oeil ultra critique sur le monde qui l'entoure.
Derrière le concept de Carmen Cru, l'auteur se lache donc royalement dans le lynchage des idées recues, pensées pré-conçues et autre bourrage de cerveau. Carmen Cru est hors norme, et c'est pour cela qu'elle intrigue...
Le dessin est à la hauteur du scénario : beau et dégoutant a la fois. Le trait sale colle impecablement bien, a tel point qu'il serait impossible d'imaginer Carmen Cru sous le pinceau d'un autre auteur. Le style est très personnel, en noir et blanc... nikel :)
Bref, une série de Fluide Glacial qui, vraiment, sort du lot !
Une athmosphere reellement bien retranscrite, Blueberry est une serie culte que je conseille à chacun, au bout de quelques pages nous sommes captés par l'histoire et sommes obligés de lire la serie complete...tres tres bien
Australie le 06/08/02
Il est juste de dire que ceux qui connaissent l'histoire des argonautes et du fameux Jason vont connaître le déroulement de l'histoire. Mais ne regardez-vous jamais deux fois le même film parce que vous connaissez la fin.
Voyons soyez sérieux dans vos commentaires.
Rien que pour la qualité des graphiques et l'esthétique générale de la BD , j'ai réussi à rendre mon amie passionnée , elle qui détestait toute forme de BD. Ajoutons a cela les dialogues...
A quand le troisième tome ?
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Golden City
Une série intéressante et qui developpe un contexte assez original. Cette cité, en pleine mer, reservée aux hommes d'affaires, aux bourgeois et autres privilégiés me fais parfois penser à la série-tv : L'Age de crystal. C'est stupide de ma part mais bon je n'y peux rien. Le dessin est très beau ,très "propre" et le contraste des couleurs est net . L'intrigue est bien menée. Une fluidité presque parfaite dans les dialogues donne un coté très confortable à la lecture . En fait , un plaisir visuel et scénaristique à ne pas manquer !
Bitume
Cette série, originale par son concept – le seul point commun entre les albums, c’est le bitume, sous toutes ses formes -, ne se résume de loin pas à des histoires à la Michel Vaillant ou aux Casseurs : ici, la route ou le trottoir se font plutôt prétexte à chacun pour y dérouler son destin, y faire quelques kilomètres dans son passé, ou filer vers l’horizon de son être… Les intrigues sonnent très juste, et touchent tout autant : bouffées de nostalgie, vieilles histoires parfois difficiles qui se dénouent de manière inattendue et pas « bêtement » dans un happy end convenu, chacun des opus de la série est un petit moment de bonheur, une invite à l’introspection parfois sordide – Le Fils de l’Autre -, parfois limite romantique – Taxi City -, mais le plus souvent entre-deux – Norma’s day. Les personnages, solidement campés sur les deux jambes que forment leur passé et leur mémoire, sentent l’écorché vif, l’attachant que donne le tragique et cette odeur de vieille page que l’on finit par tourner, une bonne fois pour toute. Bref… Je vais m’arrêter là, ou je vais encore plus verser dans le lyrique. Mais lisez cette série. Vraiment chouette, même si le dessin, honnête, n’a à mon sens pas grand-chose de novateur –on apprécie toutefois cette parfaite adéquation avec le côté lisse des scénarios, ces grandes lignes routières… (Mention spéciale pour l’esthétisme particulier des couvertures.)
La Dernière Tentation (The Last Temptation)
Avant tout, il faut savoir se plonger dans l'ambiance avant de lire cette merveilleuse BD. Ecoutez le dernier album d'Alice Cooper et laissez juste ce qu'il faut de lumière dans la pièce pour vous immerger dasn cet univers fantasmagorique mélange de satire et de frisson. L'exploitation du noir et blanc et la légereté du trait mettent en exergues les différents point sensibles de l'album. Bref, une oeuvre purement et simplement réussite !
Sangsuc
L'univers gothique et envoûtant qui englobe ce premier album n'est pas sans nous rappeler un certain Bezian. En tout cas au point de vue graphique, c'est très proche. Mais la mise en scène de Jailloux est d'une grande précision et d'une forte intelligence. La psychologie des personnages est assez difficile à cerner, l'auteur joue inlassablement avec le lecteur pour lui révéler à la fin de l'album une partie des secrets de la famille Sangsuc. Pour ceux qui voudraient en savoir plus, il y a une interview intéressante de Marc Jailloux dans le dernier numéro de "D-Side".
Le Bar du vieux Français
Une histoire étrange, des dessins qui le sont aussi. Mais on se laisse prendre par ce récit bien rythmé, qui nous raconte deux vies qui se croisent, sans bien savoir où tout cela va nous mener. J'ai aimé l'ambiance qui se crée petit à petit. Les dessins y contribuent beaucoup, même s'il faut le temps pour s'y habituer. Le rythme aussi, plus rempli de silences que de dialogues. L'histoire est intéressante, loin des clichés. Bref, un album par lequel on se laisse emporter, et dont la fin arrive trop vite.
Kid Korrigan
Corbeyran nous prouve une fois de plus son talent de scénariste dans la diversité. Cette BD est un dialogue entre un lutin (pour moi c'est un lutin) et un gentil dragon. Ces deux personnages abordent des sujets d'actualité (comment se retrouver dans la société quand on n'est pas au "norme" par exemple) ou des sujets moins complexes le tout sur le ton de l'humour. Le dessin de régis Lejonc dessert bien ces petites histoires et laisse place à l'imaginaire. Quant aux couleurs orangées, elle laisse un arrière goût de fantastique. Mais je crois que jean luc Coudray dans son prélude a très bien exprimé ce qu'il ressort de cette bd, c'est pourquoi je vous invite à la lire dans la colonne histoire (si après ça vous n'avez pas envie de lire cette bd je me demande ce qu'il vous faut). PS : Attention kid korrigan malgré qu'il soit parus dans la collection jeunesse est autants destiné aux enfant que Mafalda
Bloodline
Bloodline est pour moi synonyme de la meilleure entente possible entre deux grands de la Bande dessinée, j'ai nommé Ange et Varanda ! Même si leur dernière oeuvre commune, Paradis Perdu, ne casse pas trois oreilles à un lapin, la qualité a souvent été au rendez-vous. Et dans le cas de Bloodline, Waoow ! Un thriller savamment orchestré par le couple composé d'Anne et Gérard Guero (Ange) nous promet un scénario aletant, vraiment nerveux, axé sur l'action même si la trame de fond reste vraiment de grande qualité. Bref, un subtile mélange, une alchimie parfaite pour une bd détonnante ! Les personnages sont vraiment fouillés, avec une psychologie propre que l'on voit évoluer au fur et à mesure des tomes. LEs héros grandissent, murissent, et font des choix qui ont un réel impact sur le déroulement du scénario. C'est vraiment bien orchestré, et c'est tant mieux ! Les illustrations de Varanda sont de grandes qualités, même si le style général est quelque peu inférieur a celui de Paradis Perdu. Mais Bloodline commence a dater quelque peu ! Le trait, très orienté "comics", colle vraiment parfaitement avec son style gras et géométrique, et un ancrage vraiment béton armé, tout en etant plus digeste que celui de Miller. Je passe sur la mise en couleur, désatreuse ! Preferez évidemment la version noir et blanc. Autant la mise en couleur de Paradis Perdu est très correcte, autant celle de bloodline est ridicule. digne des plus mauvais tomes de la collection Neopolis... En bref, une bande dessinée a lire, mais la recherche de l'ancienne édition noir et blanc ne sera pas du temps perdu !
Carmen Cru
Eurk !! Répulsion, révulsion, le personnage principal de cette série est détestable au possible !! Pari gagné pour son auteur, donc, qui parvient à nous faire adorer et détester Carmen Cru, cette vieille acariatre aimable comme une teigne !! Les différents scénarii respirent le glauque et le maladif, et on souri a voir le comportement de cette petite vieille que personne ne comprends vraiment, que certains traitent de sorcière, et qui a un oeil ultra critique sur le monde qui l'entoure. Derrière le concept de Carmen Cru, l'auteur se lache donc royalement dans le lynchage des idées recues, pensées pré-conçues et autre bourrage de cerveau. Carmen Cru est hors norme, et c'est pour cela qu'elle intrigue... Le dessin est à la hauteur du scénario : beau et dégoutant a la fois. Le trait sale colle impecablement bien, a tel point qu'il serait impossible d'imaginer Carmen Cru sous le pinceau d'un autre auteur. Le style est très personnel, en noir et blanc... nikel :) Bref, une série de Fluide Glacial qui, vraiment, sort du lot !
Blueberry
Une athmosphere reellement bien retranscrite, Blueberry est une serie culte que je conseille à chacun, au bout de quelques pages nous sommes captés par l'histoire et sommes obligés de lire la serie complete...tres tres bien Australie le 06/08/02
Atalante - La Légende
Il est juste de dire que ceux qui connaissent l'histoire des argonautes et du fameux Jason vont connaître le déroulement de l'histoire. Mais ne regardez-vous jamais deux fois le même film parce que vous connaissez la fin. Voyons soyez sérieux dans vos commentaires. Rien que pour la qualité des graphiques et l'esthétique générale de la BD , j'ai réussi à rendre mon amie passionnée , elle qui détestait toute forme de BD. Ajoutons a cela les dialogues... A quand le troisième tome ?