La guerre comme jamais encore on nous l'avait racontée. Nous sommes loin ici des scènes d'actions et d'horreurs qui sont généralement révélées dans ce genre de récit. Alan I. Cope raconte la guerre telle qu'il l'a vécu. C'est drôle, c'est touchant, et c'est merveilleusement raconté. Le tout est illustré sobrement, mais avec beaucoup de talent par Emmanuel Guibert, celui qui a dessiné La fille du professeur.
Cette série fait pour le moins preuve d'une incroyable originalité ! Suivre le quotidien d'un tueur à gage, voila qui est assez nouveau, et le principe de narration est parfait.
Nous entrons donc dans le cerveau, dans l'esprit, dans les pensées d'un Tueur à gage pour qui son activité est un job comme les autres : Certains vont à l'usine, d'autres sauvent des gens, lui il les tue, point barre. N'essayez pas dans cette série de trouver une quelconque justification dans un sens ou dans l'autre ! Matz nous dresse ici un constat, celui de la vie d'un homme qui a choisi le meurtre pour survivre.
Au fil des tomes, on le voit s'attaquer a de plus en plus gros, peut etre trop gros pour lui ? On s'interresse, on se passionne a la vie d'un homme que l'on aurait pu détester si la narration avait été différente. Le tueur nous parle a la première personne et nous fait découvrir son passé, ses ambitions et perspectives d'avenir... c'est assez excellent !
Le style de dessin c'est amélioré au fil des 3 premiers tomes, et semble vraiment bon dans les quelques planches que j'ai apperçu du prochain tome 4. un train à la fois brouillon et régulier, aux angles assez droits et sans surfaces courbes, et une mise en couleur vraiment particulière donnent une atmosphère vraiment très dense.
Messieurs Matz et Jacamon, continuez sur cette lancée et Le tueur risque bien de devenir Culte !
Deux albums qui gagneraient à être connus.
Les petites histoires sont un peu inégales, mais les meilleures d'entre elles sont vraiment très fortes, et les autres se laissent bien lire.
Le principe est très bien exploité, les histoires ne se ressemblent pas du tout. On croirait voir un exercice de style, mais le resultat est là, et il est bon.
Quant au dessin, ben c'est du Largo Winch sans Largo. Clair et précis, des visages et des positions très expréssifs, des cadrages parfois originaux mais toujours bien au service du rythme de l'histoire.
A découvrir, et à acheter si ça vous plait.
J'aime bien cette BD ! Les dessins sont bien realisés (Soleil sont des specialistes dans ce domaine!!) ainsi que les couleurs, qui rendent le dessin magnifique. L'histoire est bien à condition d'aimer le mythologie et les animaux legendaires (tel que le centaure) encore une bonne reussite de la collection Soleil!!
Cette BD est bien realisée au niveau dessin, couleur et histoire.
Il faut aimer les histoire mythologiques et les legendes du moyen-age sans etre au moyen-age humain: beaucoup de monstres imaginaires sont dans cette super BD!! Je pense que cette bd est digne d'etre créee par Soleil.
J’adore le dessin de Gibrat, même La Mort est appétissante... Une superbe brune aux grands yeux bleus qui nous donnerait presque plaisir à faire le grand saut.
Sortie avant le Sursis et GOLDEN City , cette BD n’est surtout pas à oublier.
Une galerie de personnages avec une forte personnalité.
Ces personnages alimentent un scénario bien construit.
Encore une fois, on se retrouve sous le charme du trait de GIBRAT...
La recette est bien maîtrisée!
Le duo Pecqueur / Gibrat fonctionne à merveille.
Je dois dire que je ne me suis pas du tout ennuyé en lisant cette Bd, je dois même dire que ça se lit très bien, cette bd est vraiment divertissante. Humour, Humour, Humour. Même si l'histoire se résume à une grande scène d'action, on sent qu'il y a des efforts pour trouver une bonne fin qui ne se résume pas à "pif" "paf" "poum"... A Lire.
On est saisi par le dessin, par la peinture : c'est totalement différent de ce qu'on a l'habitude de voir et c'est la première chose qui m'a plu.
Ensuite, chaque album raconte une histoire avec des personnages intéressants que l'on retrouve : Claust l'alchimiste, Nan-Tay la belle guerrière, Arnold le scientifique et quelques autres.
Les dragons, la patine des armures, l'histoire qui mêle agréablement la période du Moyen Age avec des inventions plus récentes et même parfois, on voyage à travers le temps !
Même si les albums sont assez inégaux en intérêt, la plupart valent vraiment le détour et possèdent un charme indiscutable, ce qui motive ma note.
C'est vraiment un très beau premier album, les dessins sont très beaux. L'humour décalé est presque à en mourir de rire, oui seulement presque! L'ambiance est vraiment sympa, mais bon, je sais pas il manque un petit truc à cette bd pour que je la classe en culte. Peut être bien l'humour, que j'aime bien d'ailleurs, mais bon Spoogue ne m'a pas fait exploser de rire! Ou alors c'est l'histoire j'ai quand même eu du mal à m'y attacher!
Bref ce n'est pas une grande déception pour moi, mais je dois avouer que je m'attendais à me prendre une grande claque de fou rire en lisant Spoogue, et que ben en fait je me suis retrouvé devant une bonne bd, une très bonne bd et c'est tout.
Je ne connaissais d'Akira que le film, certes très beau, très bien fait, mais auquel on ne comprend pas grand-chose... Pas assez en tout cas (cf 2001, Odyssée de l'espace, il faut vraiment avoir lu le livre pour comprendre la fin).
Ca m'avait bien bloqué, et certainement pas donné envie de lire le manga. D'autant plus qu'en N&B ça n'est pas ragoûtant.
Eh bien je viens de finir le tome 1 version N&B (soit les deux 1ers tomes couleurs), et... euh, c'est plutôt pas mal. :)
Les dessins sont très mangas, qu'on ne s'y trompe pas ! Si certains décors sont carrément bien faits, la plupart du temps le dessin est au service de l'action. Le fait qu'il soit en N&B ne me dérange absolument pas, tant on est pris par le scénario.
Le décor est très... urbain. Ville, autoroutes, égoûts, immeubles, docks,on est embarqué dans cet univers. Et pourtant, je n'aime en général pas ce genre de paysage.
L'histoire est infiniment plus explicite que dans le film. Ici on comprend sans problème ce qui se passe, et pourquoi. Les motivations des personnages ne sont pas développées outre mesure (dommage), mais leur façon d'être et de faire est bien suffisante pour combler ce manque. Je passe sur le fond de l'histoire, qui met en scène des êtres ayant de dangereux pouvoirs, auxquels l'armée s'intéresse de très très près.
Ce qui pourra lasser nombre de gens (dont éventuellement moi-même !), c'est l'action : il y en a beaucoup. Course à moto, fuite dans les égoûts ou destruction sauvage, ça laisse haletant. Même les moments plus calmes sont dessinés d'une telle façon que le regard ne se repose pas. Et il est vrai (je dis ça avec ma petite connaissance, simplement empirique, de la BD) que le découpage dans Akira est très bien fait : l'oeil glisse sur les images, on a presque l'impression de voir un film ! Etonnant et magistral !
Bref, vous l'aurez compris, pour l'instant je trouve qu'Akira est une excellente BD (manga). A voir, tiendra-t-elle sur la longueur...
Voilà, série finie en un week-end (argl).
Ben c'est pas mal du tout... Certes, il y a des longueurs. Certes aussi, cet univers de béton, de destruction, d'apocalypse et de surapocalypse peut lasser. Et certes encore, on a l'impression que l'auteur s'embrouille un peu dans ces explications.
MAIS je reste très enthousiaste ! Tenir un scénario si bien fait sur 13 volumes (version couleur; 6 volumes pour la version N&B) sans que ça devienne n'importe quoi, tenir ainsi le lecteur en haleine, ne pas sombrer dans la tentation de la surenchère a tout prix... chapeau.
Je laisse 5/5 malgré les quelques petits défauts précités, parce que... ben, parce qu'Akira les vaut, tout simplement. :)
N.B. : la version noir et blanc est celle qui correspond à l'édition originale japonaise, et elle se compose de 6 volumes d'environ 300 pages.
La version couleur correspond quant à elle, à l'édition américaine, et compte 13 volumes plus un art-book (le 14ème tome). Les couleurs n'ont PAS été faites par Otomo, et si a priori on peut être plus aguiché par cette édition, les puristes préfèreront peut-être le noir et blanc...
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
La guerre d'Alan
La guerre comme jamais encore on nous l'avait racontée. Nous sommes loin ici des scènes d'actions et d'horreurs qui sont généralement révélées dans ce genre de récit. Alan I. Cope raconte la guerre telle qu'il l'a vécu. C'est drôle, c'est touchant, et c'est merveilleusement raconté. Le tout est illustré sobrement, mais avec beaucoup de talent par Emmanuel Guibert, celui qui a dessiné La fille du professeur.
Le Tueur
Cette série fait pour le moins preuve d'une incroyable originalité ! Suivre le quotidien d'un tueur à gage, voila qui est assez nouveau, et le principe de narration est parfait. Nous entrons donc dans le cerveau, dans l'esprit, dans les pensées d'un Tueur à gage pour qui son activité est un job comme les autres : Certains vont à l'usine, d'autres sauvent des gens, lui il les tue, point barre. N'essayez pas dans cette série de trouver une quelconque justification dans un sens ou dans l'autre ! Matz nous dresse ici un constat, celui de la vie d'un homme qui a choisi le meurtre pour survivre. Au fil des tomes, on le voit s'attaquer a de plus en plus gros, peut etre trop gros pour lui ? On s'interresse, on se passionne a la vie d'un homme que l'on aurait pu détester si la narration avait été différente. Le tueur nous parle a la première personne et nous fait découvrir son passé, ses ambitions et perspectives d'avenir... c'est assez excellent ! Le style de dessin c'est amélioré au fil des 3 premiers tomes, et semble vraiment bon dans les quelques planches que j'ai apperçu du prochain tome 4. un train à la fois brouillon et régulier, aux angles assez droits et sans surfaces courbes, et une mise en couleur vraiment particulière donnent une atmosphère vraiment très dense. Messieurs Matz et Jacamon, continuez sur cette lancée et Le tueur risque bien de devenir Culte !
Des villes et des femmes
Deux albums qui gagneraient à être connus. Les petites histoires sont un peu inégales, mais les meilleures d'entre elles sont vraiment très fortes, et les autres se laissent bien lire. Le principe est très bien exploité, les histoires ne se ressemblent pas du tout. On croirait voir un exercice de style, mais le resultat est là, et il est bon. Quant au dessin, ben c'est du Largo Winch sans Largo. Clair et précis, des visages et des positions très expréssifs, des cadrages parfois originaux mais toujours bien au service du rythme de l'histoire. A découvrir, et à acheter si ça vous plait.
Atalante - La Légende
J'aime bien cette BD ! Les dessins sont bien realisés (Soleil sont des specialistes dans ce domaine!!) ainsi que les couleurs, qui rendent le dessin magnifique. L'histoire est bien à condition d'aimer le mythologie et les animaux legendaires (tel que le centaure) encore une bonne reussite de la collection Soleil!!
Marlysa
Cette BD est bien realisée au niveau dessin, couleur et histoire. Il faut aimer les histoire mythologiques et les legendes du moyen-age sans etre au moyen-age humain: beaucoup de monstres imaginaires sont dans cette super BD!! Je pense que cette bd est digne d'etre créee par Soleil.
Marée Basse
J’adore le dessin de Gibrat, même La Mort est appétissante... Une superbe brune aux grands yeux bleus qui nous donnerait presque plaisir à faire le grand saut. Sortie avant le Sursis et GOLDEN City , cette BD n’est surtout pas à oublier. Une galerie de personnages avec une forte personnalité. Ces personnages alimentent un scénario bien construit. Encore une fois, on se retrouve sous le charme du trait de GIBRAT... La recette est bien maîtrisée! Le duo Pecqueur / Gibrat fonctionne à merveille.
Les Krashmonsters
Je dois dire que je ne me suis pas du tout ennuyé en lisant cette Bd, je dois même dire que ça se lit très bien, cette bd est vraiment divertissante. Humour, Humour, Humour. Même si l'histoire se résume à une grande scène d'action, on sent qu'il y a des efforts pour trouver une bonne fin qui ne se résume pas à "pif" "paf" "poum"... A Lire.
Le Mercenaire
On est saisi par le dessin, par la peinture : c'est totalement différent de ce qu'on a l'habitude de voir et c'est la première chose qui m'a plu. Ensuite, chaque album raconte une histoire avec des personnages intéressants que l'on retrouve : Claust l'alchimiste, Nan-Tay la belle guerrière, Arnold le scientifique et quelques autres. Les dragons, la patine des armures, l'histoire qui mêle agréablement la période du Moyen Age avec des inventions plus récentes et même parfois, on voyage à travers le temps ! Même si les albums sont assez inégaux en intérêt, la plupart valent vraiment le détour et possèdent un charme indiscutable, ce qui motive ma note.
Spoogue
C'est vraiment un très beau premier album, les dessins sont très beaux. L'humour décalé est presque à en mourir de rire, oui seulement presque! L'ambiance est vraiment sympa, mais bon, je sais pas il manque un petit truc à cette bd pour que je la classe en culte. Peut être bien l'humour, que j'aime bien d'ailleurs, mais bon Spoogue ne m'a pas fait exploser de rire! Ou alors c'est l'histoire j'ai quand même eu du mal à m'y attacher! Bref ce n'est pas une grande déception pour moi, mais je dois avouer que je m'attendais à me prendre une grande claque de fou rire en lisant Spoogue, et que ben en fait je me suis retrouvé devant une bonne bd, une très bonne bd et c'est tout.
Akira
Je ne connaissais d'Akira que le film, certes très beau, très bien fait, mais auquel on ne comprend pas grand-chose... Pas assez en tout cas (cf 2001, Odyssée de l'espace, il faut vraiment avoir lu le livre pour comprendre la fin). Ca m'avait bien bloqué, et certainement pas donné envie de lire le manga. D'autant plus qu'en N&B ça n'est pas ragoûtant. Eh bien je viens de finir le tome 1 version N&B (soit les deux 1ers tomes couleurs), et... euh, c'est plutôt pas mal. :) Les dessins sont très mangas, qu'on ne s'y trompe pas ! Si certains décors sont carrément bien faits, la plupart du temps le dessin est au service de l'action. Le fait qu'il soit en N&B ne me dérange absolument pas, tant on est pris par le scénario. Le décor est très... urbain. Ville, autoroutes, égoûts, immeubles, docks,on est embarqué dans cet univers. Et pourtant, je n'aime en général pas ce genre de paysage. L'histoire est infiniment plus explicite que dans le film. Ici on comprend sans problème ce qui se passe, et pourquoi. Les motivations des personnages ne sont pas développées outre mesure (dommage), mais leur façon d'être et de faire est bien suffisante pour combler ce manque. Je passe sur le fond de l'histoire, qui met en scène des êtres ayant de dangereux pouvoirs, auxquels l'armée s'intéresse de très très près. Ce qui pourra lasser nombre de gens (dont éventuellement moi-même !), c'est l'action : il y en a beaucoup. Course à moto, fuite dans les égoûts ou destruction sauvage, ça laisse haletant. Même les moments plus calmes sont dessinés d'une telle façon que le regard ne se repose pas. Et il est vrai (je dis ça avec ma petite connaissance, simplement empirique, de la BD) que le découpage dans Akira est très bien fait : l'oeil glisse sur les images, on a presque l'impression de voir un film ! Etonnant et magistral ! Bref, vous l'aurez compris, pour l'instant je trouve qu'Akira est une excellente BD (manga). A voir, tiendra-t-elle sur la longueur... Voilà, série finie en un week-end (argl). Ben c'est pas mal du tout... Certes, il y a des longueurs. Certes aussi, cet univers de béton, de destruction, d'apocalypse et de surapocalypse peut lasser. Et certes encore, on a l'impression que l'auteur s'embrouille un peu dans ces explications. MAIS je reste très enthousiaste ! Tenir un scénario si bien fait sur 13 volumes (version couleur; 6 volumes pour la version N&B) sans que ça devienne n'importe quoi, tenir ainsi le lecteur en haleine, ne pas sombrer dans la tentation de la surenchère a tout prix... chapeau. Je laisse 5/5 malgré les quelques petits défauts précités, parce que... ben, parce qu'Akira les vaut, tout simplement. :) N.B. : la version noir et blanc est celle qui correspond à l'édition originale japonaise, et elle se compose de 6 volumes d'environ 300 pages. La version couleur correspond quant à elle, à l'édition américaine, et compte 13 volumes plus un art-book (le 14ème tome). Les couleurs n'ont PAS été faites par Otomo, et si a priori on peut être plus aguiché par cette édition, les puristes préfèreront peut-être le noir et blanc...