Vraiment beau. On sent la qualité de la finesse féminine de Florence Magnin. Tout, le long des deux tomes on est pris par la douceur des atmosphères de contes sortis des songes de notre enfance. Rodolphe nous a narré un conte merveilleux, nous portant vers une fin enchanteresse et très mélancolique.
Conseillé pour les rêveurs.
Au début de la lecture et même jusqu'au 3/4 de l'album je doutais encore en me demandant bien ce qui m'avait attiré vers ce livre. La fin nous réserve une surprise de taille et laisse finalement un bien étrange sentiment quand on referme cette histoire.
Une grande BD, une perle, les mots me manquent...
J'ai decouvert cette BD après avoir vu le film : hé bien je n'ai pas été deçu ! Tout est bien ficelé et bien mené. Le dessin est purement de style comics (très américain) et se traduit surtout par les couleurs tres "numérisées". Enfin bref je ne suis pas un spécialiste en ce style de BD, mais je mettrai tout de meme un bon 14/20 car l'histoire est bien fidèle a la vraie. Pour ceux qui ont aimé le film...
Ouais bon, je sais que je suis pas forcément très objectif, vu que je suis le webmaster de l'officieux site officiel de la série. Quoiqu'il en soit, cette série est pour moi un véritable bonheur !
Les dessins certes très classiques n'ont à mon sens en rien vieilli, la ligne clair est encore utilisée par de nombreux auteurs. Les couleurs sot chatoyantes et donnent à la série une petite touche kitchounette du plus bel effet ! Les histoires, si elles ne sont pas toujours d'une originalité totale, ont la faculté d'aérer de belles façons nos cerveaux surchargés. Peyo étaitun conteur hors-pair, et cette série aujourd'hui reprise en main par son fils (le tome 12 arrive dans quelques semaines) l'est de bien belle façon. Mention spéciale pour le tome 10, la route du sud, où on sent poindre avec délice une simili-parodie de la série Michel Vaillant.
Non, y'a pas à tergiverser, Benoit Brisefer, qui passe aujourd'hui pour une série désuette, est un véritable péché mignon qui démontre de bien belle façon que la devise du journal Spirou "de 7 à 77 ans" est tout sauf usurpée !!
Une série qui a contribué à créer un genre, ça vaut bien une mention culte!
L'univers est consistant, fouillé, avec de nombreux détails qui permettent au lecteur de s'y immerger. L'histoire est sympa, bien dans la tradition de l'HF, et les dessins sont au diapason de l'ensemble.
L'humour est bien sûr présent et table sur différents registres, ce qui implique plusieurs lectures avant d'en avoir fait le tour.
Que ceux qui reprochent à cette série d'être commerciale (c'est à dire qu'elle plaît à un large public ?) songent que l'élite n'est pas la seule à décider du bon!
Une excellente BD. Je me suis régalé pendant les 150 pages de doux délire que nous offre Trondheim. C'est aussi assez amusant comme guide de relecture de ses autres BD.
Si vous avez aimé Nuit Noire, jetez-vous sur cet album, c'est un petit bijou de scénario qu'a concocté Chauvel pour un tout jeune dessinateur. Une histoire de fuite et d'abandon, une histoire immobile dans laquelle chaque personnage se raconte. Quelle justesse!... dans le ton, dans la mise en scène, souvent très fine (vue subjective, effets "plan séquence" très réussi...) et dans les dialogues.
Les personnages de ce récit sont touchants, leurs faiblesses y sont décrites avec une telle minutie. C'est peut-être avec Nuit Noire, ce que Chauvel a fait de plus fort. A l'inverse de ses séries plus "mainstream", ici il privilégie les personnages à l'action et c'est un délice...
Le dessin de Boivin n'attire pas au premier regard mais en pleine lecture, on s'aperçoit à quel point ce jeune dessinateur a un sens inné de la mise en scène, du découpage et de la maîtrise du rythme visuel...
J'ajoute ceci à la suite de l'avis de Sousoune, il est vrai que le récit est très lent. Concrètement, il ne se passe rien, pas de fusillade à la Les Enragés, ni de bagarres impressionnantes comme dans Rails. Autant vous prévenir : "Trois allumettes" est tout sauf un récit d'action. Alors évidement si vous recherchez dans cet album le suspens que vous avez pu appréciez dans d'autres récits de Chauvel, vous risquez d'être déçu. Il n'y en pas. C'est autre chose que semble rechercher Chauvel dans cet album, une ambiance plus "romanesque", une atmosphère particulière. Et pour cela il a fuit systématiquement tous les procédés "classiques" de narration qu'il a l'habitude d'utiliser. Personellement, ce manque d'action ne m'a pas du tout géné, cela ne m'a pas empêché de lire cet album d'une traite, avec impatience et attachement, la vérité des personnages m'a réellement scotché au papier. Je ne peux malheureusement pas l'expliquer autrement et je ne peux que vous inciter à essayer pour savoir si cet album vous fait le même effet. A l'instar d'oeuvres de cinéastes antispectaculaires et intimistes comme Bruno Dumont ou Laetitia Masson, c'est vraiment une question de sensibilité purement personnelle...
En bref, je ne saurais reprocher à quelqu'un de ne pas aimer ce récit, ce n'est qu'une question de pure subjectivité.
De l'humour bien crétin et un peu répétitif, mais franchement très drôle. Si les BD où on voit mourir plein de gens de façon horrible, y compris des enfants et des nouveaux-nés, ne vous gênent pas, vous devriez bien vous marrer avec Bouyoul.
J'ai vraiment beaucoup aimé cette bd. Les dessins de Dumontheuil sont vraiment très beaux et très soignés. Mais c'est le scénario qui m'a le plus séduit, l'histoire de cet acteur qui se retrouve dans ce trou perdu ou les enfants tabassent les chiens et ou les églises sont construit au pied des falaises est vraiment très bien mis en scène.
Cette bd méritait vraiment son Alph art, c’est un petit bijou.
Une série qui mèle politique et science fiction pour décrire un futur surprenant de réalisme.
J'ai du mal à noter cette série, parceque l'histoire principale est très loin d'être passionante ou résolument originale : une petite fille pauvre devient une espèce de super héros qui bat tout le monde.
Mais l'univers créé avec cynisme est parfait jusque dans ces moindres détails, et ça fait froid dans le dos : les états-unis sont sous la coupe d'un président toujours réélu, les pauvres sont parqués dans une immense cage, les épidémies de maladies déferlent, ... Ca vaut la lecture rien que pour ça, et puis il ne faut pas exagerer, on ne s'ennuie quand même pas.
J'attire l'attention du lecteur encore réticent sur les pubs qui se trouvent au dos des albums, ainsi que sur les coupures de journeaux et autres qu'on peut trouver au milieu. Une façon déjà utilisée mais qui ne pert pas sa force d'affirmer le réalisme du récit.
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L'Autre Monde
Vraiment beau. On sent la qualité de la finesse féminine de Florence Magnin. Tout, le long des deux tomes on est pris par la douceur des atmosphères de contes sortis des songes de notre enfance. Rodolphe nous a narré un conte merveilleux, nous portant vers une fin enchanteresse et très mélancolique. Conseillé pour les rêveurs.
Quelques Mois à l'Amélie
Au début de la lecture et même jusqu'au 3/4 de l'album je doutais encore en me demandant bien ce qui m'avait attiré vers ce livre. La fin nous réserve une surprise de taille et laisse finalement un bien étrange sentiment quand on referme cette histoire. Une grande BD, une perle, les mots me manquent...
Ultimate Spider-Man
J'ai decouvert cette BD après avoir vu le film : hé bien je n'ai pas été deçu ! Tout est bien ficelé et bien mené. Le dessin est purement de style comics (très américain) et se traduit surtout par les couleurs tres "numérisées". Enfin bref je ne suis pas un spécialiste en ce style de BD, mais je mettrai tout de meme un bon 14/20 car l'histoire est bien fidèle a la vraie. Pour ceux qui ont aimé le film...
Benoit Brisefer
Ouais bon, je sais que je suis pas forcément très objectif, vu que je suis le webmaster de l'officieux site officiel de la série. Quoiqu'il en soit, cette série est pour moi un véritable bonheur ! Les dessins certes très classiques n'ont à mon sens en rien vieilli, la ligne clair est encore utilisée par de nombreux auteurs. Les couleurs sot chatoyantes et donnent à la série une petite touche kitchounette du plus bel effet ! Les histoires, si elles ne sont pas toujours d'une originalité totale, ont la faculté d'aérer de belles façons nos cerveaux surchargés. Peyo étaitun conteur hors-pair, et cette série aujourd'hui reprise en main par son fils (le tome 12 arrive dans quelques semaines) l'est de bien belle façon. Mention spéciale pour le tome 10, la route du sud, où on sent poindre avec délice une simili-parodie de la série Michel Vaillant. Non, y'a pas à tergiverser, Benoit Brisefer, qui passe aujourd'hui pour une série désuette, est un véritable péché mignon qui démontre de bien belle façon que la devise du journal Spirou "de 7 à 77 ans" est tout sauf usurpée !!
Lanfeust de Troy
Une série qui a contribué à créer un genre, ça vaut bien une mention culte! L'univers est consistant, fouillé, avec de nombreux détails qui permettent au lecteur de s'y immerger. L'histoire est sympa, bien dans la tradition de l'HF, et les dessins sont au diapason de l'ensemble. L'humour est bien sûr présent et table sur différents registres, ce qui implique plusieurs lectures avant d'en avoir fait le tour. Que ceux qui reprochent à cette série d'être commerciale (c'est à dire qu'elle plaît à un large public ?) songent que l'élite n'est pas la seule à décider du bon!
Approximativement
Une excellente BD. Je me suis régalé pendant les 150 pages de doux délire que nous offre Trondheim. C'est aussi assez amusant comme guide de relecture de ses autres BD.
Trois allumettes
Si vous avez aimé Nuit Noire, jetez-vous sur cet album, c'est un petit bijou de scénario qu'a concocté Chauvel pour un tout jeune dessinateur. Une histoire de fuite et d'abandon, une histoire immobile dans laquelle chaque personnage se raconte. Quelle justesse!... dans le ton, dans la mise en scène, souvent très fine (vue subjective, effets "plan séquence" très réussi...) et dans les dialogues. Les personnages de ce récit sont touchants, leurs faiblesses y sont décrites avec une telle minutie. C'est peut-être avec Nuit Noire, ce que Chauvel a fait de plus fort. A l'inverse de ses séries plus "mainstream", ici il privilégie les personnages à l'action et c'est un délice... Le dessin de Boivin n'attire pas au premier regard mais en pleine lecture, on s'aperçoit à quel point ce jeune dessinateur a un sens inné de la mise en scène, du découpage et de la maîtrise du rythme visuel... J'ajoute ceci à la suite de l'avis de Sousoune, il est vrai que le récit est très lent. Concrètement, il ne se passe rien, pas de fusillade à la Les Enragés, ni de bagarres impressionnantes comme dans Rails. Autant vous prévenir : "Trois allumettes" est tout sauf un récit d'action. Alors évidement si vous recherchez dans cet album le suspens que vous avez pu appréciez dans d'autres récits de Chauvel, vous risquez d'être déçu. Il n'y en pas. C'est autre chose que semble rechercher Chauvel dans cet album, une ambiance plus "romanesque", une atmosphère particulière. Et pour cela il a fuit systématiquement tous les procédés "classiques" de narration qu'il a l'habitude d'utiliser. Personellement, ce manque d'action ne m'a pas du tout géné, cela ne m'a pas empêché de lire cet album d'une traite, avec impatience et attachement, la vérité des personnages m'a réellement scotché au papier. Je ne peux malheureusement pas l'expliquer autrement et je ne peux que vous inciter à essayer pour savoir si cet album vous fait le même effet. A l'instar d'oeuvres de cinéastes antispectaculaires et intimistes comme Bruno Dumont ou Laetitia Masson, c'est vraiment une question de sensibilité purement personnelle... En bref, je ne saurais reprocher à quelqu'un de ne pas aimer ce récit, ce n'est qu'une question de pure subjectivité.
Bouyoul
De l'humour bien crétin et un peu répétitif, mais franchement très drôle. Si les BD où on voit mourir plein de gens de façon horrible, y compris des enfants et des nouveaux-nés, ne vous gênent pas, vous devriez bien vous marrer avec Bouyoul.
Qui a tué l'idiot ?
J'ai vraiment beaucoup aimé cette bd. Les dessins de Dumontheuil sont vraiment très beaux et très soignés. Mais c'est le scénario qui m'a le plus séduit, l'histoire de cet acteur qui se retrouve dans ce trou perdu ou les enfants tabassent les chiens et ou les églises sont construit au pied des falaises est vraiment très bien mis en scène. Cette bd méritait vraiment son Alph art, c’est un petit bijou.
Martha Washington - Le Rêve américain (Liberty, un rêve américain)
Une série qui mèle politique et science fiction pour décrire un futur surprenant de réalisme. J'ai du mal à noter cette série, parceque l'histoire principale est très loin d'être passionante ou résolument originale : une petite fille pauvre devient une espèce de super héros qui bat tout le monde. Mais l'univers créé avec cynisme est parfait jusque dans ces moindres détails, et ça fait froid dans le dos : les états-unis sont sous la coupe d'un président toujours réélu, les pauvres sont parqués dans une immense cage, les épidémies de maladies déferlent, ... Ca vaut la lecture rien que pour ça, et puis il ne faut pas exagerer, on ne s'ennuie quand même pas. J'attire l'attention du lecteur encore réticent sur les pubs qui se trouvent au dos des albums, ainsi que sur les coupures de journeaux et autres qu'on peut trouver au milieu. Une façon déjà utilisée mais qui ne pert pas sa force d'affirmer le réalisme du récit.