Si vous avez aimé Nuit Noire, jetez-vous sur cet album, c'est un petit bijou de scénario qu'a concocté Chauvel pour un tout jeune dessinateur. Une histoire de fuite et d'abandon, une histoire immobile dans laquelle chaque personnage se raconte. Quelle justesse!... dans le ton, dans la mise en scène, souvent très fine (vue subjective, effets "plan séquence" très réussi...) et dans les dialogues.
Les personnages de ce récit sont touchants, leurs faiblesses y sont décrites avec une telle minutie. C'est peut-être avec Nuit Noire, ce que Chauvel a fait de plus fort. A l'inverse de ses séries plus "mainstream", ici il privilégie les personnages à l'action et c'est un délice...
Le dessin de Boivin n'attire pas au premier regard mais en pleine lecture, on s'aperçoit à quel point ce jeune dessinateur a un sens inné de la mise en scène, du découpage et de la maîtrise du rythme visuel...
J'ajoute ceci à la suite de l'avis de Sousoune, il est vrai que le récit est très lent. Concrètement, il ne se passe rien, pas de fusillade à la Les Enragés, ni de bagarres impressionnantes comme dans Rails. Autant vous prévenir : "Trois allumettes" est tout sauf un récit d'action. Alors évidement si vous recherchez dans cet album le suspens que vous avez pu appréciez dans d'autres récits de Chauvel, vous risquez d'être déçu. Il n'y en pas. C'est autre chose que semble rechercher Chauvel dans cet album, une ambiance plus "romanesque", une atmosphère particulière. Et pour cela il a fuit systématiquement tous les procédés "classiques" de narration qu'il a l'habitude d'utiliser. Personellement, ce manque d'action ne m'a pas du tout géné, cela ne m'a pas empêché de lire cet album d'une traite, avec impatience et attachement, la vérité des personnages m'a réellement scotché au papier. Je ne peux malheureusement pas l'expliquer autrement et je ne peux que vous inciter à essayer pour savoir si cet album vous fait le même effet. A l'instar d'oeuvres de cinéastes antispectaculaires et intimistes comme Bruno Dumont ou Laetitia Masson, c'est vraiment une question de sensibilité purement personnelle...
En bref, je ne saurais reprocher à quelqu'un de ne pas aimer ce récit, ce n'est qu'une question de pure subjectivité.
De l'humour bien crétin et un peu répétitif, mais franchement très drôle. Si les BD où on voit mourir plein de gens de façon horrible, y compris des enfants et des nouveaux-nés, ne vous gênent pas, vous devriez bien vous marrer avec Bouyoul.
J'ai vraiment beaucoup aimé cette bd. Les dessins de Dumontheuil sont vraiment très beaux et très soignés. Mais c'est le scénario qui m'a le plus séduit, l'histoire de cet acteur qui se retrouve dans ce trou perdu ou les enfants tabassent les chiens et ou les églises sont construit au pied des falaises est vraiment très bien mis en scène.
Cette bd méritait vraiment son Alph art, c’est un petit bijou.
Une série qui mèle politique et science fiction pour décrire un futur surprenant de réalisme.
J'ai du mal à noter cette série, parceque l'histoire principale est très loin d'être passionante ou résolument originale : une petite fille pauvre devient une espèce de super héros qui bat tout le monde.
Mais l'univers créé avec cynisme est parfait jusque dans ces moindres détails, et ça fait froid dans le dos : les états-unis sont sous la coupe d'un président toujours réélu, les pauvres sont parqués dans une immense cage, les épidémies de maladies déferlent, ... Ca vaut la lecture rien que pour ça, et puis il ne faut pas exagerer, on ne s'ennuie quand même pas.
J'attire l'attention du lecteur encore réticent sur les pubs qui se trouvent au dos des albums, ainsi que sur les coupures de journeaux et autres qu'on peut trouver au milieu. Une façon déjà utilisée mais qui ne pert pas sa force d'affirmer le réalisme du récit.
Big City, c'est une intégrale, et dedans, on trouve vraiment de tout. Des gags en une page, parfois même pas drôles, juste absurdes ; des histoires courtes ou longues, racontant la misère ou la richesse ; des coupures de presses concernant la grande depression de 1929 ; des reflexions philosophiques sur la vie ou sur les cafards ; ...
Seul point commun, New York, ou, pour reprendre le nom donné par Eisner à la ville de son enfance, Big City.
Le graphisme peut paraître un peu déroutant, les gags peu classiques, les histoires soit trop noires soit trop naïves.
Mais ça vaut vraiment le coup de se plonger la dedans, même juste pour feuilleter en se disant qu'on y reviendra plus tard.
Car ces histoires ou ces anecdotes sont remplies de vérité, d'humour et d'espoir. On sent que l'auteur a connu tous ces gens qui se démènent pour vivre dans Harlem à l'époque de la crise. On entend presque leurs accents, on sent les effluves du quartier italien, on y est presque.
Ma partie préféré est constitué de gags en une page, qu'on dirait parfois arrachés d'un bloc note. Il s'agit d'une analyse de ce qui constitue une grande ville (le bruit, les bouches d'égouts, les graffiti, ...), et la plupart des remarques restent vraies et drôles.
A feuilleter chez votre libraire si vous n'avez pas le courage d'en acheter l'intégrale, mais vraiment, ça vaut le détour.
Hum... Paradoxal, me direz-vous? J'm'explique: Tintin, c'est culte parce que le monde extérieur à celui de la BD en a fait une référence, ce qui arrive tout de même très rarement. Culte, donc, parce que ça fait partie de la culture.
Ensuite, les albums sont en fait vraiment différents, donc difficile de mettre une note globale. Le dessin, qu'on aime ou pas, a tout de même été à l'origine d'un style nouveau, et ça non plus, ce n'est pas donné à tout le monde.
Pour résumer, une BD culte à connaître, à défaut de la posséder.
Pour une fois, nous ne sommes pas en présence d'un manga d'amour ou d'action.
"PSmE" est différent en plusieurs points :
- D'abord, le scénario : l'histoire n'a rien à voir avec les autres mangas auxquels je suis habituée. On est en pleine réincarnation ! Imaginez-vous en train de rêver presque chaque nuit de personnes inconnues, que ces personnes ne vivent pas sur Terre mais dans un vaisseau spatiale, que celui-ci se situe près de la Lune et que vous découvriez que vous n'êtes pas le seul à faire ces rêves... Rêves qui en fait représentent votre vie antérieure...
- Dans "PSmE", les combats sont présents mais ici ce sont des combats d'ESP (pouvoirs extra-sensoriels) et il y a également de l'humour, pas mal faut l'avouer... Surtout quand en plein milieu d'une page on voit surgir Seya et son pote Shiryu ! Allez comprendre ce qu'ils font là !!!
- Les dessins, quand à eux, ont évolué tout au long de la série. Faut bien avouer que dans les premiers tomes ils n'étaient pas supers mais heureusement que cela s'est amélioré ! En noir et blanc, on arrive quand même à ressentir les sentiments que l'auteur veut nous transmettre mais j'aurais bien aimé voir ce manga en couleurs car cela doit être spécial.
"PSmE" existe en DVD. Je ne l'ai pas encore vu mais j'attend de voir s'il correspond exactement à la version écrite car si je prend l'exemple d' Akira, j'ai eu la super déception...
Qualifié de "manga pour les filles", je pense en effet que celui-ci est original et que donc il ne va pas plaire à tout le monde...
A vous de le lire pour juger !
Je crois que la note culte a été créée pour des séries comme ça. C'est vraiment génial. Des albums tous de très bons niveaux, dont certains franchement excellents. Je pense au tome 1 (j'aime beaucoup les dessins de Béhé, et le scénario est vraiment bon), au 2 et au 4, qui tous deux donnent un point de vu précis sur des sujets "ouverts" (fanatisme musulman, implication de l'église dans la seconde guerre mondiale).
L'intrigue générale ne me passionne pas vraiment, ce que j'apprécie c'est d'être sûre de la qualité des albums (intérêt historique, bons dessins, scénario prenant) avant même leur sortie.
Les deux premiers albums de cette série sont vraiment excellents. Un humour fin, des gags qu'on ne décèle parfois qu'en relisant, des dessins très clairs et superbes, un ton très juste, qu'il s'agisse de parler de politique colionaliste ou d'amitié à l'école.
La suite descend peu à peu dans mon estime. Ca reste bon au début, mais j'ai laissé tombé avant les derniers albums, de peur que cela ne gache l'impression faite par les premiers.
La série est destinée au 8-14 ans, je pense, mais cela peut se lire avec plaisir par des personnes beaucoup moins jeunes.
Que dire de plus... Ma critique va être bien pauvre vis à vis de celles déjà publiées...
Je n'ai lu qu'un seul tome (je n'ai pas trouvé les autres), mais j'ai tout de suite trouvé ça fantastique : Une histoire originale, un dessin très agréable à l'oeil, et regorgeant de détails, bref, une BD à ne pas manquer!
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Trois allumettes
Si vous avez aimé Nuit Noire, jetez-vous sur cet album, c'est un petit bijou de scénario qu'a concocté Chauvel pour un tout jeune dessinateur. Une histoire de fuite et d'abandon, une histoire immobile dans laquelle chaque personnage se raconte. Quelle justesse!... dans le ton, dans la mise en scène, souvent très fine (vue subjective, effets "plan séquence" très réussi...) et dans les dialogues. Les personnages de ce récit sont touchants, leurs faiblesses y sont décrites avec une telle minutie. C'est peut-être avec Nuit Noire, ce que Chauvel a fait de plus fort. A l'inverse de ses séries plus "mainstream", ici il privilégie les personnages à l'action et c'est un délice... Le dessin de Boivin n'attire pas au premier regard mais en pleine lecture, on s'aperçoit à quel point ce jeune dessinateur a un sens inné de la mise en scène, du découpage et de la maîtrise du rythme visuel... J'ajoute ceci à la suite de l'avis de Sousoune, il est vrai que le récit est très lent. Concrètement, il ne se passe rien, pas de fusillade à la Les Enragés, ni de bagarres impressionnantes comme dans Rails. Autant vous prévenir : "Trois allumettes" est tout sauf un récit d'action. Alors évidement si vous recherchez dans cet album le suspens que vous avez pu appréciez dans d'autres récits de Chauvel, vous risquez d'être déçu. Il n'y en pas. C'est autre chose que semble rechercher Chauvel dans cet album, une ambiance plus "romanesque", une atmosphère particulière. Et pour cela il a fuit systématiquement tous les procédés "classiques" de narration qu'il a l'habitude d'utiliser. Personellement, ce manque d'action ne m'a pas du tout géné, cela ne m'a pas empêché de lire cet album d'une traite, avec impatience et attachement, la vérité des personnages m'a réellement scotché au papier. Je ne peux malheureusement pas l'expliquer autrement et je ne peux que vous inciter à essayer pour savoir si cet album vous fait le même effet. A l'instar d'oeuvres de cinéastes antispectaculaires et intimistes comme Bruno Dumont ou Laetitia Masson, c'est vraiment une question de sensibilité purement personnelle... En bref, je ne saurais reprocher à quelqu'un de ne pas aimer ce récit, ce n'est qu'une question de pure subjectivité.
Bouyoul
De l'humour bien crétin et un peu répétitif, mais franchement très drôle. Si les BD où on voit mourir plein de gens de façon horrible, y compris des enfants et des nouveaux-nés, ne vous gênent pas, vous devriez bien vous marrer avec Bouyoul.
Qui a tué l'idiot ?
J'ai vraiment beaucoup aimé cette bd. Les dessins de Dumontheuil sont vraiment très beaux et très soignés. Mais c'est le scénario qui m'a le plus séduit, l'histoire de cet acteur qui se retrouve dans ce trou perdu ou les enfants tabassent les chiens et ou les églises sont construit au pied des falaises est vraiment très bien mis en scène. Cette bd méritait vraiment son Alph art, c’est un petit bijou.
Martha Washington - Le Rêve américain (Liberty, un rêve américain)
Une série qui mèle politique et science fiction pour décrire un futur surprenant de réalisme. J'ai du mal à noter cette série, parceque l'histoire principale est très loin d'être passionante ou résolument originale : une petite fille pauvre devient une espèce de super héros qui bat tout le monde. Mais l'univers créé avec cynisme est parfait jusque dans ces moindres détails, et ça fait froid dans le dos : les états-unis sont sous la coupe d'un président toujours réélu, les pauvres sont parqués dans une immense cage, les épidémies de maladies déferlent, ... Ca vaut la lecture rien que pour ça, et puis il ne faut pas exagerer, on ne s'ennuie quand même pas. J'attire l'attention du lecteur encore réticent sur les pubs qui se trouvent au dos des albums, ainsi que sur les coupures de journeaux et autres qu'on peut trouver au milieu. Une façon déjà utilisée mais qui ne pert pas sa force d'affirmer le réalisme du récit.
New York trilogie (Big City)
Big City, c'est une intégrale, et dedans, on trouve vraiment de tout. Des gags en une page, parfois même pas drôles, juste absurdes ; des histoires courtes ou longues, racontant la misère ou la richesse ; des coupures de presses concernant la grande depression de 1929 ; des reflexions philosophiques sur la vie ou sur les cafards ; ... Seul point commun, New York, ou, pour reprendre le nom donné par Eisner à la ville de son enfance, Big City. Le graphisme peut paraître un peu déroutant, les gags peu classiques, les histoires soit trop noires soit trop naïves. Mais ça vaut vraiment le coup de se plonger la dedans, même juste pour feuilleter en se disant qu'on y reviendra plus tard. Car ces histoires ou ces anecdotes sont remplies de vérité, d'humour et d'espoir. On sent que l'auteur a connu tous ces gens qui se démènent pour vivre dans Harlem à l'époque de la crise. On entend presque leurs accents, on sent les effluves du quartier italien, on y est presque. Ma partie préféré est constitué de gags en une page, qu'on dirait parfois arrachés d'un bloc note. Il s'agit d'une analyse de ce qui constitue une grande ville (le bruit, les bouches d'égouts, les graffiti, ...), et la plupart des remarques restent vraies et drôles. A feuilleter chez votre libraire si vous n'avez pas le courage d'en acheter l'intégrale, mais vraiment, ça vaut le détour.
Les Aventures de Tintin
Hum... Paradoxal, me direz-vous? J'm'explique: Tintin, c'est culte parce que le monde extérieur à celui de la BD en a fait une référence, ce qui arrive tout de même très rarement. Culte, donc, parce que ça fait partie de la culture. Ensuite, les albums sont en fait vraiment différents, donc difficile de mettre une note globale. Le dessin, qu'on aime ou pas, a tout de même été à l'origine d'un style nouveau, et ça non plus, ce n'est pas donné à tout le monde. Pour résumer, une BD culte à connaître, à défaut de la posséder.
Réincarnations - Please Save my Earth
Pour une fois, nous ne sommes pas en présence d'un manga d'amour ou d'action. "PSmE" est différent en plusieurs points : - D'abord, le scénario : l'histoire n'a rien à voir avec les autres mangas auxquels je suis habituée. On est en pleine réincarnation ! Imaginez-vous en train de rêver presque chaque nuit de personnes inconnues, que ces personnes ne vivent pas sur Terre mais dans un vaisseau spatiale, que celui-ci se situe près de la Lune et que vous découvriez que vous n'êtes pas le seul à faire ces rêves... Rêves qui en fait représentent votre vie antérieure... - Dans "PSmE", les combats sont présents mais ici ce sont des combats d'ESP (pouvoirs extra-sensoriels) et il y a également de l'humour, pas mal faut l'avouer... Surtout quand en plein milieu d'une page on voit surgir Seya et son pote Shiryu ! Allez comprendre ce qu'ils font là !!! - Les dessins, quand à eux, ont évolué tout au long de la série. Faut bien avouer que dans les premiers tomes ils n'étaient pas supers mais heureusement que cela s'est amélioré ! En noir et blanc, on arrive quand même à ressentir les sentiments que l'auteur veut nous transmettre mais j'aurais bien aimé voir ce manga en couleurs car cela doit être spécial. "PSmE" existe en DVD. Je ne l'ai pas encore vu mais j'attend de voir s'il correspond exactement à la version écrite car si je prend l'exemple d' Akira, j'ai eu la super déception... Qualifié de "manga pour les filles", je pense en effet que celui-ci est original et que donc il ne va pas plaire à tout le monde... A vous de le lire pour juger !
Le Décalogue
Je crois que la note culte a été créée pour des séries comme ça. C'est vraiment génial. Des albums tous de très bons niveaux, dont certains franchement excellents. Je pense au tome 1 (j'aime beaucoup les dessins de Béhé, et le scénario est vraiment bon), au 2 et au 4, qui tous deux donnent un point de vu précis sur des sujets "ouverts" (fanatisme musulman, implication de l'église dans la seconde guerre mondiale). L'intrigue générale ne me passionne pas vraiment, ce que j'apprécie c'est d'être sûre de la qualité des albums (intérêt historique, bons dessins, scénario prenant) avant même leur sortie.
Jimmy Tousseul
Les deux premiers albums de cette série sont vraiment excellents. Un humour fin, des gags qu'on ne décèle parfois qu'en relisant, des dessins très clairs et superbes, un ton très juste, qu'il s'agisse de parler de politique colionaliste ou d'amitié à l'école. La suite descend peu à peu dans mon estime. Ca reste bon au début, mais j'ai laissé tombé avant les derniers albums, de peur que cela ne gache l'impression faite par les premiers. La série est destinée au 8-14 ans, je pense, mais cela peut se lire avec plaisir par des personnes beaucoup moins jeunes.
La Nef des fous
Que dire de plus... Ma critique va être bien pauvre vis à vis de celles déjà publiées... Je n'ai lu qu'un seul tome (je n'ai pas trouvé les autres), mais j'ai tout de suite trouvé ça fantastique : Une histoire originale, un dessin très agréable à l'oeil, et regorgeant de détails, bref, une BD à ne pas manquer!