Un seul mot : HILARANT, tout simplement :)
Rubrique-à-brac, c'est les débuts de maitre Gotlib, tout simplement !
Le n'importe quoi y rencontre la dérision la plus forte, dans un mélange de délire jubilatoire et de sérieux virtuel.
Les différentes histoires sont vraiment très droles : Gotlib n'a pas besoin d'un scénariste comme Goscinny pour réussir, en voici une preuve (de plus) !
il fait très souvent mouche, grâce à sa plume vraiment très particulière. Les dialogues sont tous simplement excellents (et peuvent rappeler certains dialogues d'Edika, parfois) et à eux seuls suffisent à me tordre de rire.
Le dessin de Gotlib, quant à lui, etait à l'époque plus fin, moins anguleux que lors de ses dernieres réalisations. Donc, par la même occasion, un tout petit peut moins caricatural aussi... mais vraiment très drole.
Son trait ajoute à lui seul un énorme pouvoir comique à l'ensemble des albums de cette série. l'auteur maitrise réellement la perspective, et s'en sert toujours à bon essient afin de surligner les passages les plus drôles.
Décidemment, j'aime beaucoup Gotlib :D
Frank Miller fait partie des maîtres de la bande dessinée américaine. À vrai dire, à mes yeux c'est un pur génie. Et comme beaucoup de génies, il est torturé, décalé, sombre. Ce n'est donc pas une surprise s'il raconte des histoires aussi fortes, qui parlent à votre raison, mais aussi à votre coeur et à vos tripes.
Graphiquement d'abord.
Miller a développé un style unique et sans égal de Noir & Blanc. Pour moi, s'il ne devait en rester qu'un, ce serait celui-ci.
Du noir, du blanc, et c'est tout. Pas de gris. Peu de traits fins, beaucoup d'à plats, une gestion des ombres à pleurer de bonheur, un trait capable de force et de finesse en même temps. Jamais d'à peu près, jamais de demie-mesure.
Parfois, très rarement, une touche de couleur, unie rouge, jaune ou bleue, pour faire ressortir un visage, des lèvres, un corps. Un peu comme la robe rouge dans "La Liste de Schindler" de Spielberg, cette couleur, toute seule, prend une force incroyable, explose au visage, décuple le symbolisme du dessin.
Sin City est à mon avis le travail graphiquement le plus abouti de Miller, et rien que pour ça, il mérite déjà amplement son statut de "culte".
Ses histoires ensuite.
Quand vous ouvrez un tome de Sin City, vous entrez dans la ville du péché, vous y êtes littéralement happé.
Chaque histoire est indépendante, mais un peu à la manière d'un Tarentino avec "Pulp Fiction", les situations et les personnages réapparaissent au fil des tomes. Une scène ou un personnage principal d'une histoire peut revenir comme un écho dans une autre histoire, en tant que scène ou personnage secondaire cette fois-ci.
La vue d'ensemble donne l'impression d'un gigantesque puzzle dont chaque pièce se suffit à elle-même mais magnifie l'ensemble.
On a d'autant plus l'impression d'une narration déstructurée que les histoires ne se suivent pas forcément dans l'ordre chronologique. De cette manière, on découvre au fur et à mesure, des aspects approfondis de chaque personnage, et de fait, on finit par faire attention à chacun d'entre eux, car il n'y a virtuellement plus de personnage secondaire.
Et le plus fort dans tout ça, c'est que chaque histoire peut se lire indépendamment des autres, vous comprendrez tout, il vous manquera juste une vue d'ensemble.
Comme toute série, on a toujours un ou plusieurs tome(s) que l'on préfère, que l'on trouve qualitativement supérieur(s) aux autres.
Sans conteste, le tome 1, qui raconte l'histoire de Marvin (Marv pour les intimes ;) )est mon préféré. Marvin est certainement mon personnage de BD favori, un mélange de force et de faiblesse, de simplicité et de complexité, d'antagonismes si forts qu'ils en deviennent indissociables.
Les tomes 2 et 3 nous présentent Dwight McCarty, plus réfléchi et en même temps plus facile à berner. Bien que prenante, l'histoire, surtout du troisième tome me semble plus faible, même le graphisme paraît moins subtile que dans les autres chapitres.
Le 4ème tome, qui nous conte l'histoire de John Hartigan, nous plonge dans l'enfer sur Terre. Son thème principal, le sacrifice, donne à cet opus une force tout particulièrement percutante. Une fois n'est pas coutume, c'est un flic qui est le héros central dans Sin City, mais une fois encore, Miller fait mouche.
Les 2 tomes suivants relatent des histoires plus courtes, et donc forcément moins riches. "Valeurs familiales", un peu à la manière du "Grand Carnage" livre sa dose de violence et d'action, mais lui manque un enjeu, une approche psychologique qui donneraient un intérêt plus important à l'histoire.
Enfin, le dernier album en date, "L'Enfer en retour", bien plus volumineux, nous retrace la quête de Wallace, ancien héros de guerre, prêt à tout pour sauver une femme qu'il connaît à peine. De bonne facture.
Dans l'ensemble, on pourrait croire que Miller finit par se répéter, avec plus ou moins de bonheur. Ce n'est pas complètement faux. Pour autant, par analogie à la télévision, cela ne me dérange pas plus que de voir la énième saison de Friends par exemple. Quand c'est bon, pas de raison de tout vouloir révolutionner à chaque épisode.
En résumé, pour moi c'est clair, Sin City mérite vraiment sa place au Panthéon de la BD nord-américaine, et reste à mes yeux un incontournable parmi les incontournables.
Foi de Marv' ;)
Dans cette série, Schulteiss montre comme dans le rêve du requin, que la sentimentalité n'est pas son principal trait de caractère. Son dessin très réaliste et les couleurs assez agressive donnent déjà le ton. Même si la série est un peu moins violente que le rêve du requin, il dégage une abscence d'espoir dans le genre humain, une absence de moralité et une violence un peu gratuite. Cependant, l'histoire racontée est tellement prenante, que cette dureté se mêle parfaitement à l'histoire.
Pour qui n'a pas trop peur de l'étrange dans le style "twilight zone", cette histoire est à découvrir. Basé sur un théorème qui existe vraiment, et dont l'ésothérisme semble avoir déteint sur la BD, l'histoire est menée de main de maître, mêlant action, relation humaine et étrange. Cette histoire déroutante finit par trouver pourtant sa propre logique. J'adore!
Quel Astérix notons nous ici? Celui de Goscinny ou celui d'Uderzo? Evidemment les deux sont très biens (non non, je ne connais pas les deux derniers albums :D ) mais la différence est là et c'est celle entre une bd culte et une très bonne bd. Je met donc 5 étoiles pour pas baisser la moyenne et parce que Goscinny les méritait amplement.
La meilleure série de Crisse à mon avis,
un space opéra de grande qualité que j'ai réeellement apprécié, le scénario est bien pensé.
Le dessin c'est du Crisse on aime ou on n'aime pas pour ma part j'aime beaucoup.
Vivement que Crisse finisse cette série...
Calvin et Hobbes représente exactement le type d'humour que j'affectionne le plus. Malgré quelques longueurs et répétitions (qui lui font rater la 5ème étoile de peu) ça reste une bd absolument incontournable, en plus c'est une mine de citations.
Pour ceux qui ont la chance de bien comprendre l'anglais: à lire en VO!
Comment faire rire en 3 images ou même avec une simple photo trafiquée... demandez au grand M. Geluck :) .
Comment se faire plein de sous avec trois images ou même avec une simple photo trafiquée... demandez au grand M. Geluck :( .
Tiens, pour la peine je te mets que 4!
Un dessin un peu choquant au premier abord ; il faut s'y lancer franchement pour commencer a apprecier les couleurs qui servent admirablement une histoire frappante.
C'est gothique, c'est un peu rouge, mais une fois qu'on est dedans, l'histoire est prenante.
Une histoire tres interessante servie par un dessin (que je trouve) irreprochable. Des personnages qui sont un peu plus epais qu'un papier a cigarette.
C'est prenant, c'est passionnant, on attend la suite des la fin du tome...
Cette BD, est effectivement tres comparable au film "Les Enfants du Marais" :
Le dessin est soigne
Les couleurs sont apaisantes
L'histoire est simple mais belle
Apres avoir lu les quatre tomes, on se sent bien.
Cette BD est, pour moi, excellente.
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Rubrique-à-Brac
Un seul mot : HILARANT, tout simplement :) Rubrique-à-brac, c'est les débuts de maitre Gotlib, tout simplement ! Le n'importe quoi y rencontre la dérision la plus forte, dans un mélange de délire jubilatoire et de sérieux virtuel. Les différentes histoires sont vraiment très droles : Gotlib n'a pas besoin d'un scénariste comme Goscinny pour réussir, en voici une preuve (de plus) ! il fait très souvent mouche, grâce à sa plume vraiment très particulière. Les dialogues sont tous simplement excellents (et peuvent rappeler certains dialogues d'Edika, parfois) et à eux seuls suffisent à me tordre de rire. Le dessin de Gotlib, quant à lui, etait à l'époque plus fin, moins anguleux que lors de ses dernieres réalisations. Donc, par la même occasion, un tout petit peut moins caricatural aussi... mais vraiment très drole. Son trait ajoute à lui seul un énorme pouvoir comique à l'ensemble des albums de cette série. l'auteur maitrise réellement la perspective, et s'en sert toujours à bon essient afin de surligner les passages les plus drôles. Décidemment, j'aime beaucoup Gotlib :D
Sin City
Frank Miller fait partie des maîtres de la bande dessinée américaine. À vrai dire, à mes yeux c'est un pur génie. Et comme beaucoup de génies, il est torturé, décalé, sombre. Ce n'est donc pas une surprise s'il raconte des histoires aussi fortes, qui parlent à votre raison, mais aussi à votre coeur et à vos tripes. Graphiquement d'abord. Miller a développé un style unique et sans égal de Noir & Blanc. Pour moi, s'il ne devait en rester qu'un, ce serait celui-ci. Du noir, du blanc, et c'est tout. Pas de gris. Peu de traits fins, beaucoup d'à plats, une gestion des ombres à pleurer de bonheur, un trait capable de force et de finesse en même temps. Jamais d'à peu près, jamais de demie-mesure. Parfois, très rarement, une touche de couleur, unie rouge, jaune ou bleue, pour faire ressortir un visage, des lèvres, un corps. Un peu comme la robe rouge dans "La Liste de Schindler" de Spielberg, cette couleur, toute seule, prend une force incroyable, explose au visage, décuple le symbolisme du dessin. Sin City est à mon avis le travail graphiquement le plus abouti de Miller, et rien que pour ça, il mérite déjà amplement son statut de "culte". Ses histoires ensuite. Quand vous ouvrez un tome de Sin City, vous entrez dans la ville du péché, vous y êtes littéralement happé. Chaque histoire est indépendante, mais un peu à la manière d'un Tarentino avec "Pulp Fiction", les situations et les personnages réapparaissent au fil des tomes. Une scène ou un personnage principal d'une histoire peut revenir comme un écho dans une autre histoire, en tant que scène ou personnage secondaire cette fois-ci. La vue d'ensemble donne l'impression d'un gigantesque puzzle dont chaque pièce se suffit à elle-même mais magnifie l'ensemble. On a d'autant plus l'impression d'une narration déstructurée que les histoires ne se suivent pas forcément dans l'ordre chronologique. De cette manière, on découvre au fur et à mesure, des aspects approfondis de chaque personnage, et de fait, on finit par faire attention à chacun d'entre eux, car il n'y a virtuellement plus de personnage secondaire. Et le plus fort dans tout ça, c'est que chaque histoire peut se lire indépendamment des autres, vous comprendrez tout, il vous manquera juste une vue d'ensemble. Comme toute série, on a toujours un ou plusieurs tome(s) que l'on préfère, que l'on trouve qualitativement supérieur(s) aux autres. Sans conteste, le tome 1, qui raconte l'histoire de Marvin (Marv pour les intimes ;) )est mon préféré. Marvin est certainement mon personnage de BD favori, un mélange de force et de faiblesse, de simplicité et de complexité, d'antagonismes si forts qu'ils en deviennent indissociables. Les tomes 2 et 3 nous présentent Dwight McCarty, plus réfléchi et en même temps plus facile à berner. Bien que prenante, l'histoire, surtout du troisième tome me semble plus faible, même le graphisme paraît moins subtile que dans les autres chapitres. Le 4ème tome, qui nous conte l'histoire de John Hartigan, nous plonge dans l'enfer sur Terre. Son thème principal, le sacrifice, donne à cet opus une force tout particulièrement percutante. Une fois n'est pas coutume, c'est un flic qui est le héros central dans Sin City, mais une fois encore, Miller fait mouche. Les 2 tomes suivants relatent des histoires plus courtes, et donc forcément moins riches. "Valeurs familiales", un peu à la manière du "Grand Carnage" livre sa dose de violence et d'action, mais lui manque un enjeu, une approche psychologique qui donneraient un intérêt plus important à l'histoire. Enfin, le dernier album en date, "L'Enfer en retour", bien plus volumineux, nous retrace la quête de Wallace, ancien héros de guerre, prêt à tout pour sauver une femme qu'il connaît à peine. De bonne facture. Dans l'ensemble, on pourrait croire que Miller finit par se répéter, avec plus ou moins de bonheur. Ce n'est pas complètement faux. Pour autant, par analogie à la télévision, cela ne me dérange pas plus que de voir la énième saison de Friends par exemple. Quand c'est bon, pas de raison de tout vouloir révolutionner à chaque épisode. En résumé, pour moi c'est clair, Sin City mérite vraiment sa place au Panthéon de la BD nord-américaine, et reste à mes yeux un incontournable parmi les incontournables. Foi de Marv' ;)
Le théorème de Bell
Dans cette série, Schulteiss montre comme dans le rêve du requin, que la sentimentalité n'est pas son principal trait de caractère. Son dessin très réaliste et les couleurs assez agressive donnent déjà le ton. Même si la série est un peu moins violente que le rêve du requin, il dégage une abscence d'espoir dans le genre humain, une absence de moralité et une violence un peu gratuite. Cependant, l'histoire racontée est tellement prenante, que cette dureté se mêle parfaitement à l'histoire. Pour qui n'a pas trop peur de l'étrange dans le style "twilight zone", cette histoire est à découvrir. Basé sur un théorème qui existe vraiment, et dont l'ésothérisme semble avoir déteint sur la BD, l'histoire est menée de main de maître, mêlant action, relation humaine et étrange. Cette histoire déroutante finit par trouver pourtant sa propre logique. J'adore!
Astérix
Quel Astérix notons nous ici? Celui de Goscinny ou celui d'Uderzo? Evidemment les deux sont très biens (non non, je ne connais pas les deux derniers albums :D ) mais la différence est là et c'est celle entre une bd culte et une très bonne bd. Je met donc 5 étoiles pour pas baisser la moyenne et parce que Goscinny les méritait amplement.
Kookaburra
La meilleure série de Crisse à mon avis, un space opéra de grande qualité que j'ai réeellement apprécié, le scénario est bien pensé. Le dessin c'est du Crisse on aime ou on n'aime pas pour ma part j'aime beaucoup. Vivement que Crisse finisse cette série...
Calvin et Hobbes
Calvin et Hobbes représente exactement le type d'humour que j'affectionne le plus. Malgré quelques longueurs et répétitions (qui lui font rater la 5ème étoile de peu) ça reste une bd absolument incontournable, en plus c'est une mine de citations. Pour ceux qui ont la chance de bien comprendre l'anglais: à lire en VO!
Le Chat
Comment faire rire en 3 images ou même avec une simple photo trafiquée... demandez au grand M. Geluck :) . Comment se faire plein de sous avec trois images ou même avec une simple photo trafiquée... demandez au grand M. Geluck :( . Tiens, pour la peine je te mets que 4!
Requiem - Chevalier Vampire
Un dessin un peu choquant au premier abord ; il faut s'y lancer franchement pour commencer a apprecier les couleurs qui servent admirablement une histoire frappante. C'est gothique, c'est un peu rouge, mais une fois qu'on est dedans, l'histoire est prenante.
20th Century Boys
Une histoire tres interessante servie par un dessin (que je trouve) irreprochable. Des personnages qui sont un peu plus epais qu'un papier a cigarette. C'est prenant, c'est passionnant, on attend la suite des la fin du tome...
Le Vent dans les Saules
Cette BD, est effectivement tres comparable au film "Les Enfants du Marais" : Le dessin est soigne Les couleurs sont apaisantes L'histoire est simple mais belle Apres avoir lu les quatre tomes, on se sent bien. Cette BD est, pour moi, excellente.