BD culte, qui n'a pas grandit avec Tintin et son fidèle chien Milou ? Sans oublier les injures du très mémorable capitaine Haddock.
Pour l'époque les dessins et le scénario étaient vraiment biens. Un reproche est à faire pour l'album "Tintin au Congo" mais il faut aussi tenir compte du problème du monde politique à cette période là.
Une Bd indémodable, sympa à lire et à relire. A conseiller Mille millions de mille milliards de mille sabords de tonnerre de Brest !!!
Waaah. Je ne m'attendais pas du tout à ça !
Cette série est vraiment vraiment bien.
Bon, scénaristiquement, il y a bien quelques... gros morceaux à faire passer, pour par exemple justifier le fait que tout doive se dérouler sur et par le rail. Mais l'idée est originale et bien développée.
Côté dessin, le dessinateur est un malade ! Regardez le luxe de détails, c'est incroyable ! Et dans la version Encrage (N&B), ça apparaît encore plus clairement.
Un autre détail qui confère à mon avis un grand charme à cette série, c'est le dessin des personnages, en groupe : on a l'impression qu'ils sont très individuels, comme si c'était non pas un groupe, mais une somme d'individus. Assez étrange, comme impression.
Côté défaut... Euh... Le rôle des femmes. Définitivement ! Les femmes sont quasi absentes de cet univers résolument brutal et masculin. Même dans l'armée de terre il y en a plus. Et lorsqu'il y en a, elles sont figurantes.
Deux exceptions : Matti (nom à vérifier), la soeur-mère, qui a un rôle notable, mais qui semble largement s'affadir par la suite, et la garde du corps, qui dans les trois 1ers tomes est une potiche (mais ça changerait dans le 4ème que ça ne m'étonnerait pas ! :))
Le 3ème tome est... hallucinant. Il me fait vraiment penser à L'Empire contre-attaque !
Voilà, pour le reste, lisez les autres avis.
Très bonne série, très bonne surprise, surtout (pour ma part !) après avoir lu Ring Circus ! (et je suis bien content qu'elle soit mon 200ème post :))
Je crois qu'il n'y a plus grand chose a dire sur cette BD culte que nous concocte Franquin. Si vous n'avez pas la série dans votre BDtheque c'est que vous etes un faux collectionneur. Mais attention cependant, les nouveaux albums sont moins bien que les anciens.
Quand ma cousine ma preté son integrale je l'ai lu en moins de 2 jours. La quete est si captivante qu'on pourrait passer toute une nuit a lire Lanfeust : il est vrai que l'histoire perd un peu de son energie entre le 5 et 6 eme album mais sinon impeccable !
Le dessin est assez chargé mais il est on y prend vite gout.
La grande particularité de cette BD c'est qu'il y a vraiment beaucoup de details tres sympas. Pour moi cette BD est vraiment une des meilleurs du genre. Surtout, pour ceux qui ne connaisse pas cette BD profitez de l'offre de Soleil ! J'ai pu avoir Trolls de Troy et Lanfeust pour 100€ !Allez, vous pouvez acheter cette BD vous ne le regretterer pas
16/20 parce que Lucky Luke a des albums inégaux ( surtout les derniers qui sont catastrophique ). Moi, personnelement, je ne vous conseille pas d'acheter la série entiere mais au moins quleques albums.
Bref, c'est quand meme franchement bien.
C’est d’la bombe, Baby !! (désolé je m'emporte un peu)
Une excellente BD que voilà, de Cecil (principal auteur de la série, à la fois scénariste et dessinateur) et de Corbeyran (que l’on ne présente plus), qui est assurément l’un de mes gros, gros coup de cœur. Leur cohésion est, sans conteste, parfaite et permet d’immerger complètement le lecteur dans ce monde loufoque et imaginaire mais néanmoins très bien conçu. Je vous le dis on tient ici une future série culte (du moins je l’espère).
Cecil, aidé de Corbeyran, pose dans ce premier album les bases d’un monde plus ou moins étrange, dans un univers difficile à dater. Ainsi l’architecture mélange à la fois un style très 1900, un monde archaïque, où l’on ressent, cependant, une certaine modernité par un urbanisme qui, malgré cette apparence ancienne, rappelle, dans sa forme et sa structure, en de nombreux points l’art nouveau (je m’y connaît un peu, vu que je suis de Nancy (qui est connu pour « L’école de Nancy ») de plus l’auteur l’a dit :) ). Un monde tel qu’on a pu le voir chez Jules Verne, avec ce mélange ancien/récent, ou encore chez Peeters et Schuiten avec leur série « Les cités obscures ». De ce fait on constate dans cette ville (inspirée de Bordeaux à ce qu’il parait) un métro « aérien » dominant l’ensemble de la ville, un pavillon ascensionnel, beaucoup de bâtiments possédant de grandes verreries (typique de l’Art nouveau, justement) et l’on retrouve cette « modernité » jusque chez les personnages, équipés de multiples gadgets ou autres babioles.
On arrive au moment fatidique… le thème. Il est vrai que le sujet des « snuff movies » peut gêner, voir bloquer certains lecteurs (ce que je comprends dans le fond) cependant il est exploité et développer très discrètement dans la BD et on en parle plus qu’on ne le voit (heureusement). On a donc un scénario (non sans rappeler « 8mm » pour ceux qui l’auraient vu) bien ficelé qui peut paraître, à certains moments, quelque peu simpliste. Les auteurs présentent au lecteur deux personnages des plus attachants et, au passé et à la psychologie assez fouillés. On nous dévoile Eustache, grand et frêle, à l’enfance difficile dont on découvre le passé par petites étapes et Mouche, nain au visage de boxeur, assez mystérieux. Mais ces êtres que tout oppose (physiquement et moralement), à l’exception de leurs sentiments mutuels, éprouvent le même « mal-être ». Au-delà des principaux protagonistes de l’histoire on retrouve une multitude de personnages secondaires qui méritent notre attention (le baron, Zibeline, monocle…) de part leur importance dans l’histoire, bien sur, mais aussi de part leur psychologie encore une fois bien travaillée par les auteurs, même si je vous l’accorde certains sont quelque peu caricaturaux. L’intrigue est menée sans faux rythmes, alternant action et réflexion, pour notre plus grand plaisir.
Les dessins, quant à eux, collent parfaitement à l’ambiance noire et pesante (par moment) de l’histoire, ils sont accompagnés par des couleurs chaudes et élégantes, et le tout est enluminé par des prises de vues impressionnantes. Le graphisme donne à la fois une sensation de crédibilité, de concret par les bâtiments et les objets, et à la fois une impression de fictif, d’irréel de part la représentation des personnages (assez caricaturaux, sauf peut-être Zibeline). Les planches sont toutes très soignées et très fouillées (grâce au trait fin de Cecil) et elles desservent magnifiquement l’univers malsain de certaines séquences de la BD.
Un très bel ouvrage donc, fidèle à la qualité des séries des Humanos, qui n’est cependant pas à mettre entre les mains des plus jeunes.
NOTE : (vu sur un site Internet) Lorsqu’on enlève « AV » de « Maverdave » (expression qui revient plusieurs fois chez Eustache) on obtient une expression beaucoup plus répandu. (Ok, ça n’a pas grand intérêt) :)
Je suis étonné que personne n'ait jamais pensé à poster ce grand classique!
Ce modèle de genre reste, encore aujourd'hui, d'une très grande poésie. Les gags de Snoopy ne font pas que nous faire rire, ils nous attendrissent. Le dessin minimaliste fait mouche, Schulz exprime tant de chose avec si peu de traits qu'il met à jour une des forces de la bande dessinée : son minimalisme.
Le premier album de Snoopy que l'on lit n'est jamais une révélation. On trouve ça sympa, sans plus. Et puis en arrivent d'autres et chemin faisant on se rends compte à quel point ce petit univers, souvent limité à une seule niche, est attachant. Il y a dans Snoopy quelque chose d'inaltérable, au fil des années, on en relit pour se rassurer, pour se convaincre que le monde va bien, que rien ne change, que rien n'empire...
Une bouffée de douceur dans ce monde de c****.
Un classique inévitable dont découlent tous les autres : Calvin et Hobbes, Garfield...
Un petit album délicieux et pas cher (35 ff), au charme très cartoon. C'est drôle et triste et cela traite sur un mode très léger de la désillusion et du mal-être. Des albums comme ceux-là, j'en redemande...
J'en veux encore !!!
Je veux plein de BDs comme ça ! Des kilos, des tas, des palettes entieres !!!
Cet album est une petite merveille. Une merveille de finesse, une merveille de poesie, une merveille d'optimisme. C'est tres agreable, tres reposant, comme un petit nuage.
Pourtant, en lisant les résumés un peu partout, je m'attendais à un petit drame psychologique. Ce gars deprime, bois, est completement perdu, à la derive... et pourtant, tout va bien, quelque part :)
Le dessin est lui aussi tres bon, tres different de ce que l'on connait, et pourtant il passe tres bien, sans se faire remarquer. Lui aussi tout en finesse.
apres bouffe doublons, les 2 auteurs nous emmennent du coté de la lutte des noirs et des indiens aux etats unis à une epoque que nous connaissons mal, voir meme pas du tout, avant la guerre de cessession (1861 - 1865).
le contexte est vierge, ce qui nous offre un bon coté decouverte qui manque souvent aux BDs. On s'interesse encore plus aux heros grace à cette meconnaissance historique, et on ne recherche pas l'anachronisme ou la petite erreur.
l'histoire est de toute maniere tres bonne. Ce premier tome place tres bien les protagonistes, sans pour autant allourdir l'avancement de l'histoire. La fin de ce tome nous garantie pourtant bien de surprise pour la suite.
le dessin est vraiment beau, meme si parfois trop chargé. Les couleurs elles aussi sont une reussite.
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Les Aventures de Tintin
BD culte, qui n'a pas grandit avec Tintin et son fidèle chien Milou ? Sans oublier les injures du très mémorable capitaine Haddock. Pour l'époque les dessins et le scénario étaient vraiment biens. Un reproche est à faire pour l'album "Tintin au Congo" mais il faut aussi tenir compte du problème du monde politique à cette période là. Une Bd indémodable, sympa à lire et à relire. A conseiller Mille millions de mille milliards de mille sabords de tonnerre de Brest !!!
Rails
Waaah. Je ne m'attendais pas du tout à ça ! Cette série est vraiment vraiment bien. Bon, scénaristiquement, il y a bien quelques... gros morceaux à faire passer, pour par exemple justifier le fait que tout doive se dérouler sur et par le rail. Mais l'idée est originale et bien développée. Côté dessin, le dessinateur est un malade ! Regardez le luxe de détails, c'est incroyable ! Et dans la version Encrage (N&B), ça apparaît encore plus clairement. Un autre détail qui confère à mon avis un grand charme à cette série, c'est le dessin des personnages, en groupe : on a l'impression qu'ils sont très individuels, comme si c'était non pas un groupe, mais une somme d'individus. Assez étrange, comme impression. Côté défaut... Euh... Le rôle des femmes. Définitivement ! Les femmes sont quasi absentes de cet univers résolument brutal et masculin. Même dans l'armée de terre il y en a plus. Et lorsqu'il y en a, elles sont figurantes. Deux exceptions : Matti (nom à vérifier), la soeur-mère, qui a un rôle notable, mais qui semble largement s'affadir par la suite, et la garde du corps, qui dans les trois 1ers tomes est une potiche (mais ça changerait dans le 4ème que ça ne m'étonnerait pas ! :)) Le 3ème tome est... hallucinant. Il me fait vraiment penser à L'Empire contre-attaque ! Voilà, pour le reste, lisez les autres avis. Très bonne série, très bonne surprise, surtout (pour ma part !) après avoir lu Ring Circus ! (et je suis bien content qu'elle soit mon 200ème post :))
Gaston Lagaffe
Je crois qu'il n'y a plus grand chose a dire sur cette BD culte que nous concocte Franquin. Si vous n'avez pas la série dans votre BDtheque c'est que vous etes un faux collectionneur. Mais attention cependant, les nouveaux albums sont moins bien que les anciens.
Lanfeust de Troy
Quand ma cousine ma preté son integrale je l'ai lu en moins de 2 jours. La quete est si captivante qu'on pourrait passer toute une nuit a lire Lanfeust : il est vrai que l'histoire perd un peu de son energie entre le 5 et 6 eme album mais sinon impeccable ! Le dessin est assez chargé mais il est on y prend vite gout. La grande particularité de cette BD c'est qu'il y a vraiment beaucoup de details tres sympas. Pour moi cette BD est vraiment une des meilleurs du genre. Surtout, pour ceux qui ne connaisse pas cette BD profitez de l'offre de Soleil ! J'ai pu avoir Trolls de Troy et Lanfeust pour 100€ !Allez, vous pouvez acheter cette BD vous ne le regretterer pas
Lucky Luke
16/20 parce que Lucky Luke a des albums inégaux ( surtout les derniers qui sont catastrophique ). Moi, personnelement, je ne vous conseille pas d'acheter la série entiere mais au moins quleques albums. Bref, c'est quand meme franchement bien.
Le Réseau Bombyce
C’est d’la bombe, Baby !! (désolé je m'emporte un peu) Une excellente BD que voilà, de Cecil (principal auteur de la série, à la fois scénariste et dessinateur) et de Corbeyran (que l’on ne présente plus), qui est assurément l’un de mes gros, gros coup de cœur. Leur cohésion est, sans conteste, parfaite et permet d’immerger complètement le lecteur dans ce monde loufoque et imaginaire mais néanmoins très bien conçu. Je vous le dis on tient ici une future série culte (du moins je l’espère). Cecil, aidé de Corbeyran, pose dans ce premier album les bases d’un monde plus ou moins étrange, dans un univers difficile à dater. Ainsi l’architecture mélange à la fois un style très 1900, un monde archaïque, où l’on ressent, cependant, une certaine modernité par un urbanisme qui, malgré cette apparence ancienne, rappelle, dans sa forme et sa structure, en de nombreux points l’art nouveau (je m’y connaît un peu, vu que je suis de Nancy (qui est connu pour « L’école de Nancy ») de plus l’auteur l’a dit :) ). Un monde tel qu’on a pu le voir chez Jules Verne, avec ce mélange ancien/récent, ou encore chez Peeters et Schuiten avec leur série « Les cités obscures ». De ce fait on constate dans cette ville (inspirée de Bordeaux à ce qu’il parait) un métro « aérien » dominant l’ensemble de la ville, un pavillon ascensionnel, beaucoup de bâtiments possédant de grandes verreries (typique de l’Art nouveau, justement) et l’on retrouve cette « modernité » jusque chez les personnages, équipés de multiples gadgets ou autres babioles. On arrive au moment fatidique… le thème. Il est vrai que le sujet des « snuff movies » peut gêner, voir bloquer certains lecteurs (ce que je comprends dans le fond) cependant il est exploité et développer très discrètement dans la BD et on en parle plus qu’on ne le voit (heureusement). On a donc un scénario (non sans rappeler « 8mm » pour ceux qui l’auraient vu) bien ficelé qui peut paraître, à certains moments, quelque peu simpliste. Les auteurs présentent au lecteur deux personnages des plus attachants et, au passé et à la psychologie assez fouillés. On nous dévoile Eustache, grand et frêle, à l’enfance difficile dont on découvre le passé par petites étapes et Mouche, nain au visage de boxeur, assez mystérieux. Mais ces êtres que tout oppose (physiquement et moralement), à l’exception de leurs sentiments mutuels, éprouvent le même « mal-être ». Au-delà des principaux protagonistes de l’histoire on retrouve une multitude de personnages secondaires qui méritent notre attention (le baron, Zibeline, monocle…) de part leur importance dans l’histoire, bien sur, mais aussi de part leur psychologie encore une fois bien travaillée par les auteurs, même si je vous l’accorde certains sont quelque peu caricaturaux. L’intrigue est menée sans faux rythmes, alternant action et réflexion, pour notre plus grand plaisir. Les dessins, quant à eux, collent parfaitement à l’ambiance noire et pesante (par moment) de l’histoire, ils sont accompagnés par des couleurs chaudes et élégantes, et le tout est enluminé par des prises de vues impressionnantes. Le graphisme donne à la fois une sensation de crédibilité, de concret par les bâtiments et les objets, et à la fois une impression de fictif, d’irréel de part la représentation des personnages (assez caricaturaux, sauf peut-être Zibeline). Les planches sont toutes très soignées et très fouillées (grâce au trait fin de Cecil) et elles desservent magnifiquement l’univers malsain de certaines séquences de la BD. Un très bel ouvrage donc, fidèle à la qualité des séries des Humanos, qui n’est cependant pas à mettre entre les mains des plus jeunes. NOTE : (vu sur un site Internet) Lorsqu’on enlève « AV » de « Maverdave » (expression qui revient plusieurs fois chez Eustache) on obtient une expression beaucoup plus répandu. (Ok, ça n’a pas grand intérêt) :)
Snoopy
Je suis étonné que personne n'ait jamais pensé à poster ce grand classique! Ce modèle de genre reste, encore aujourd'hui, d'une très grande poésie. Les gags de Snoopy ne font pas que nous faire rire, ils nous attendrissent. Le dessin minimaliste fait mouche, Schulz exprime tant de chose avec si peu de traits qu'il met à jour une des forces de la bande dessinée : son minimalisme. Le premier album de Snoopy que l'on lit n'est jamais une révélation. On trouve ça sympa, sans plus. Et puis en arrivent d'autres et chemin faisant on se rends compte à quel point ce petit univers, souvent limité à une seule niche, est attachant. Il y a dans Snoopy quelque chose d'inaltérable, au fil des années, on en relit pour se rassurer, pour se convaincre que le monde va bien, que rien ne change, que rien n'empire... Une bouffée de douceur dans ce monde de c****. Un classique inévitable dont découlent tous les autres : Calvin et Hobbes, Garfield...
Lone Racer
Un petit album délicieux et pas cher (35 ff), au charme très cartoon. C'est drôle et triste et cela traite sur un mode très léger de la désillusion et du mal-être. Des albums comme ceux-là, j'en redemande...
Quelques Mois à l'Amélie
J'en veux encore !!! Je veux plein de BDs comme ça ! Des kilos, des tas, des palettes entieres !!! Cet album est une petite merveille. Une merveille de finesse, une merveille de poesie, une merveille d'optimisme. C'est tres agreable, tres reposant, comme un petit nuage. Pourtant, en lisant les résumés un peu partout, je m'attendais à un petit drame psychologique. Ce gars deprime, bois, est completement perdu, à la derive... et pourtant, tout va bien, quelque part :) Le dessin est lui aussi tres bon, tres different de ce que l'on connait, et pourtant il passe tres bien, sans se faire remarquer. Lui aussi tout en finesse.
Séminole
apres bouffe doublons, les 2 auteurs nous emmennent du coté de la lutte des noirs et des indiens aux etats unis à une epoque que nous connaissons mal, voir meme pas du tout, avant la guerre de cessession (1861 - 1865). le contexte est vierge, ce qui nous offre un bon coté decouverte qui manque souvent aux BDs. On s'interesse encore plus aux heros grace à cette meconnaissance historique, et on ne recherche pas l'anachronisme ou la petite erreur. l'histoire est de toute maniere tres bonne. Ce premier tome place tres bien les protagonistes, sans pour autant allourdir l'avancement de l'histoire. La fin de ce tome nous garantie pourtant bien de surprise pour la suite. le dessin est vraiment beau, meme si parfois trop chargé. Les couleurs elles aussi sont une reussite.