Oui je sais j'ai mis culte, mais il faut voir qu'elle le merite bien cette ch'tite BD. Pour une fois le heros est un plouc de la montagne qui se revele bien plus fute que prevu, quand a l'heroine malgres sont profil de blondasse un peu nunuche je trouve qu'elle assure pas mal. Les intrigues sont plustot pas mal voir comique et chaque aventure nous fais voyager dans l'histoire et dans la france pour des enigmes bien ficelees. Donc oui elle merite un 5/5 (meme les dessins sont bien realises, Alors il vous faut quoi d'autre ?
Inspirée, comme Le Nom de la Rose, des carnets d'Elsenor, la série a évidemment beaucoup de points communs avec le roman d'Umberto Eco et le film de Annaud. Et plutôt que de faire semblant de rien, les auteurs ont préféré accentuer ces ressemblances. D'où l'étrange gémellité des 2 personnages principaux (tant leur physique que leur personnalité). D'où, une certaine similitude d'histoire et d'ambiance.
Mais si Le Nom de la Rose se passe à huis-clos (enfin, un huis-clos avec pas mal de monde, je l'admets !!), Le Troisième Testament, au contraire, nous offre une belle visite de toute la chrétienté du 14ème siècle.
Le scénario est effectivement assez compliqué. Mais à condition de s'accrocher un minimum, il est passionnant, très riche en rebondissements. Et on apprend plein de chose sur le pouvoir de l'église, les grands courants religieux et leur influence. On attend le tome 4 pour pouvoir apprécier le scénario dans son ensemble.
Les dessins sont très beaux. Très classiques, aussi : rien de nouveau, mais c'est bien fait. Les couvertures sont superbes.
Bref, une série à lire avec plaisir.
Cette bd est un magnifique tableau traitant de l'immigration.
Le réalisme du dessin nous permet d'encore mieux cerner cette réalité.
Intermezzo est pour moi le one-shot le plus réussi de ce duo d'auteurs. Chaque planche est un reflet du passé, un miroir sur le présent. De nombreuses questions se posent sur l'importance de connaître ses origines. Est-ce que le déracinement peut faire souffrir et le fait de se ressourcer pourrait-il dissiper les incertitudes ?
Etant originaire d'une région ouvrière, je côtoie quotidiennement des immigrés, certains sont même devenus mes amis. C'est aussi un peu pour cela que j'ai donné la cote maximale à cette bd. Mais je suis peut-être pas impartial? A vous de juger !
XIII, une formidale épopée, moi j'adore, certains pensent que ça s'essouffle, je ne trouve pas. A chaque fois qu'un nouvel album sort, je relis les anciens et je trouve que le scénario est particulièrement réussi, on ne trouve jamais la réponse, on ne sait jamais comment va se finir l'album. Les dessins sont originaux, sympas. Bravo aux auteurs !
Félicitations.
Le tome 2 concrétise beaucoup d'espoirs. Un scénario sympathique, un graphisme étonnant (pour du Tacito) bien colorisé, des personnages de caractère et un je ne sais quoi de violent et de bien goupillé qui sent bon la série puissante.
L'histoire est riche, il se passe pas une page sans un max d'action et le tout se lit facilement, et surtout se laisse dévorer des yeux.
Du tout bon donc!
Une belle découverte !
J'ai hésité un peu avant d'acheter cette BD. Il semblait y avoir un climat onirique très accentué que j'apprécie rarement en BD. Cependant, j'ai été captivé du début jusqu'à la fin par cet album que j'ai lu d'une traite. C'est un thriller prenant qui m'a fait découvrir, Paco Roca, un dessinateur et un scénarite de grand talent.
Un bon petit album qui repose sur une idée narrative originale et bien exploitée. Les mémoires d'un flingue, c'est pas triste, plutôt sordide même. Ces sept crimes sont affreux, drôles, parfois succulents. L'album n'est pas exempt de certains clichés, mais c'est le genre qui veut cela. Franz s'en sort très bien dans le registre contemporain. Un album à redécouvrir.
Rien à faire, j'aime cette série, malgré tous ses défauts. Lesquels?
-Le dessin, virtuose certes, mais parfois d'un tape-à-l'oeil qui le confine au ringard (mais connaissant l'ami Jodo, est-ce tout à fait involontaire?).
-Le scénario, parfois trop répétitif.
Mais cette série a-t-elle des qualités, me demanderez-vous? Oui, et plus d'une.
-Le côté tape-à-l'oeil du dessin empêche de tout prendre au sérieux.
-Les intrigues mégalomanes, font délirer celui qui s'avancerait dans ce délire, le pétard à la main.
Y'a que Jodo pour nous arriver à nous vendre une soupe pareille, un tel mélange de mythologie, de SF avec un côté héroïc fantasy tape-à-l'oeil qui lorgne avec le douteux épicé à la mystique de super-marché. C'est du Jodo concentré, dégoulinant et éxubérant. Fascinant et agacant. Ventripotant et délassant.
Evidement faudrait peut-être pas commencer par-là si on a jamais lu un album de Jodo. Quoique? Vous en connaissez, vous, des séries de Jodo qui ne soient pas dégoulinantes et exabérantes, délirantes et ...? (je ne vais pas répéter tout ce que j'ai dit plus haut).
En bref : vous en connaissez des séries de Jodo normales? J'ai beau chercher, je trouve pas... C'est peut-être Jodo qu'est pas très normal. Et entre nous, je me méfierais toujours d'un gars qui croit dûr comme fer à l'astrologie et au tarot...
Moi, je suis entré dans l'univers de Jodo par un de ses films (il a réalisé plusieurs ofni au mexique (ofni : objet filmé non identifié). Ca s'appelait Santa Sangre et ca racontait l'histoire d'un jeune homme qui prêtait ses mains à sa mère, gourou d'une secte sanguinaire et apocalyptique. Brrr... Après un truc pareil j'ai pu m'enfiler comme je voulais, toutes ses bd.
P.S. : Mais faut tout de même préciser que, même si le personnage du méta-baron provient de l'univers de l'Incal, il n'est pas nécessaire d'avoir lu l'incal avant d'aborder cette série.
Viens de finir le tome 1 (oui je sais, sur 5 de sortis c'est pas beaucoup mais bon...j'avais que celui-là sous la main) et là je reste étonnée.
Que ce soit les dessins, les couleurs, l'histoire, ... tout est superbe.
Ce tome nous transporte dans Londres du 19ème siècle avec une telle facilité que je n'ai même pas remarqué que j'arrivais à la dernière page. Et j'peux dire que j'étais pas très contente de ne pas avoir les autres tomes...
Reste à savoir si la suite est comparable...mais je pense que c'est le cas.
Enfin, moi j'dis tout ça mais je reviendrais modifier mon avis quand j'aurais tout lu parce que là je peux pas trop juger...
"Lone Sloane" se regarde parfois plus comme une galerie de tableaux impressionnants par la précision de leurs détails que par les histoires, souvent basiques, sauf lorsqu'il collabore avec des scénaristes (Lob dans "Délirius", ou l'adaptation du "Salambô" de Flaubert). En dehors des cinq tomes cités, il serait dommage de négliger Yragael, "Urm le fou" ou La Nuit, bien que Sloane n'y soit pas présent. Aucun de ces albums ne s'avale comme un hamburger, mais mérite l'attention soutenue que l'on mettrait à contempler une galerie de peintures. Druillet a vraiment créé un style très personnel, et est devenu un personnage incontournable de la BD de science-fiction.
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Oui je sais j'ai mis culte, mais il faut voir qu'elle le merite bien cette ch'tite BD. Pour une fois le heros est un plouc de la montagne qui se revele bien plus fute que prevu, quand a l'heroine malgres sont profil de blondasse un peu nunuche je trouve qu'elle assure pas mal. Les intrigues sont plustot pas mal voir comique et chaque aventure nous fais voyager dans l'histoire et dans la france pour des enigmes bien ficelees. Donc oui elle merite un 5/5 (meme les dessins sont bien realises, Alors il vous faut quoi d'autre ?
Le Troisième Testament
Inspirée, comme Le Nom de la Rose, des carnets d'Elsenor, la série a évidemment beaucoup de points communs avec le roman d'Umberto Eco et le film de Annaud. Et plutôt que de faire semblant de rien, les auteurs ont préféré accentuer ces ressemblances. D'où l'étrange gémellité des 2 personnages principaux (tant leur physique que leur personnalité). D'où, une certaine similitude d'histoire et d'ambiance. Mais si Le Nom de la Rose se passe à huis-clos (enfin, un huis-clos avec pas mal de monde, je l'admets !!), Le Troisième Testament, au contraire, nous offre une belle visite de toute la chrétienté du 14ème siècle. Le scénario est effectivement assez compliqué. Mais à condition de s'accrocher un minimum, il est passionnant, très riche en rebondissements. Et on apprend plein de chose sur le pouvoir de l'église, les grands courants religieux et leur influence. On attend le tome 4 pour pouvoir apprécier le scénario dans son ensemble. Les dessins sont très beaux. Très classiques, aussi : rien de nouveau, mais c'est bien fait. Les couvertures sont superbes. Bref, une série à lire avec plaisir.
Intermezzo
Cette bd est un magnifique tableau traitant de l'immigration. Le réalisme du dessin nous permet d'encore mieux cerner cette réalité. Intermezzo est pour moi le one-shot le plus réussi de ce duo d'auteurs. Chaque planche est un reflet du passé, un miroir sur le présent. De nombreuses questions se posent sur l'importance de connaître ses origines. Est-ce que le déracinement peut faire souffrir et le fait de se ressourcer pourrait-il dissiper les incertitudes ? Etant originaire d'une région ouvrière, je côtoie quotidiennement des immigrés, certains sont même devenus mes amis. C'est aussi un peu pour cela que j'ai donné la cote maximale à cette bd. Mais je suis peut-être pas impartial? A vous de juger !
XIII
XIII, une formidale épopée, moi j'adore, certains pensent que ça s'essouffle, je ne trouve pas. A chaque fois qu'un nouvel album sort, je relis les anciens et je trouve que le scénario est particulièrement réussi, on ne trouve jamais la réponse, on ne sait jamais comment va se finir l'album. Les dessins sont originaux, sympas. Bravo aux auteurs ! Félicitations.
Magika
Le tome 2 concrétise beaucoup d'espoirs. Un scénario sympathique, un graphisme étonnant (pour du Tacito) bien colorisé, des personnages de caractère et un je ne sais quoi de violent et de bien goupillé qui sent bon la série puissante. L'histoire est riche, il se passe pas une page sans un max d'action et le tout se lit facilement, et surtout se laisse dévorer des yeux. Du tout bon donc!
Le jeu lugubre
Une belle découverte ! J'ai hésité un peu avant d'acheter cette BD. Il semblait y avoir un climat onirique très accentué que j'apprécie rarement en BD. Cependant, j'ai été captivé du début jusqu'à la fin par cet album que j'ai lu d'une traite. C'est un thriller prenant qui m'a fait découvrir, Paco Roca, un dessinateur et un scénarite de grand talent.
Mémoires d'un 38
Un bon petit album qui repose sur une idée narrative originale et bien exploitée. Les mémoires d'un flingue, c'est pas triste, plutôt sordide même. Ces sept crimes sont affreux, drôles, parfois succulents. L'album n'est pas exempt de certains clichés, mais c'est le genre qui veut cela. Franz s'en sort très bien dans le registre contemporain. Un album à redécouvrir.
La Caste des Méta-barons
Rien à faire, j'aime cette série, malgré tous ses défauts. Lesquels? -Le dessin, virtuose certes, mais parfois d'un tape-à-l'oeil qui le confine au ringard (mais connaissant l'ami Jodo, est-ce tout à fait involontaire?). -Le scénario, parfois trop répétitif. Mais cette série a-t-elle des qualités, me demanderez-vous? Oui, et plus d'une. -Le côté tape-à-l'oeil du dessin empêche de tout prendre au sérieux. -Les intrigues mégalomanes, font délirer celui qui s'avancerait dans ce délire, le pétard à la main. Y'a que Jodo pour nous arriver à nous vendre une soupe pareille, un tel mélange de mythologie, de SF avec un côté héroïc fantasy tape-à-l'oeil qui lorgne avec le douteux épicé à la mystique de super-marché. C'est du Jodo concentré, dégoulinant et éxubérant. Fascinant et agacant. Ventripotant et délassant. Evidement faudrait peut-être pas commencer par-là si on a jamais lu un album de Jodo. Quoique? Vous en connaissez, vous, des séries de Jodo qui ne soient pas dégoulinantes et exabérantes, délirantes et ...? (je ne vais pas répéter tout ce que j'ai dit plus haut). En bref : vous en connaissez des séries de Jodo normales? J'ai beau chercher, je trouve pas... C'est peut-être Jodo qu'est pas très normal. Et entre nous, je me méfierais toujours d'un gars qui croit dûr comme fer à l'astrologie et au tarot... Moi, je suis entré dans l'univers de Jodo par un de ses films (il a réalisé plusieurs ofni au mexique (ofni : objet filmé non identifié). Ca s'appelait Santa Sangre et ca racontait l'histoire d'un jeune homme qui prêtait ses mains à sa mère, gourou d'une secte sanguinaire et apocalyptique. Brrr... Après un truc pareil j'ai pu m'enfiler comme je voulais, toutes ses bd. P.S. : Mais faut tout de même préciser que, même si le personnage du méta-baron provient de l'univers de l'Incal, il n'est pas nécessaire d'avoir lu l'incal avant d'aborder cette série.
Peter Pan
Viens de finir le tome 1 (oui je sais, sur 5 de sortis c'est pas beaucoup mais bon...j'avais que celui-là sous la main) et là je reste étonnée. Que ce soit les dessins, les couleurs, l'histoire, ... tout est superbe. Ce tome nous transporte dans Londres du 19ème siècle avec une telle facilité que je n'ai même pas remarqué que j'arrivais à la dernière page. Et j'peux dire que j'étais pas très contente de ne pas avoir les autres tomes... Reste à savoir si la suite est comparable...mais je pense que c'est le cas. Enfin, moi j'dis tout ça mais je reviendrais modifier mon avis quand j'aurais tout lu parce que là je peux pas trop juger...
Lone Sloane
"Lone Sloane" se regarde parfois plus comme une galerie de tableaux impressionnants par la précision de leurs détails que par les histoires, souvent basiques, sauf lorsqu'il collabore avec des scénaristes (Lob dans "Délirius", ou l'adaptation du "Salambô" de Flaubert). En dehors des cinq tomes cités, il serait dommage de négliger Yragael, "Urm le fou" ou La Nuit, bien que Sloane n'y soit pas présent. Aucun de ces albums ne s'avale comme un hamburger, mais mérite l'attention soutenue que l'on mettrait à contempler une galerie de peintures. Druillet a vraiment créé un style très personnel, et est devenu un personnage incontournable de la BD de science-fiction.