Dans une ambiance de bateaux et de fantastique, ce tome 1 nous présente les principaux acteurs et plante le décor. Le dessin bien qu'un peu "simpliste" est rattrapé par de très belles couleurs et le scénario. Bon début !
J'aime beaucoup cette BD qui nous fait partir d'une époque que l'on peux considérer comme médiévale, avec une guerre à l'épée, des bouches à feu, ..., jusqu'à embarquer sur un navire spatial. Tout cela en nous ayant planté un décor avec un méchant (qui veut tout le pouvoir) et une gentille sympathique (qui doit combattre le méchant).
Le dessin est tout en finesse, les couleurs leurs correspondent bien, le découpage est sympatique. A lire !
Je ne mets pas une note culte, parce que pour moi la note maximale concerne les bd vraiment jubilatoires, celles qu'on lit et relit pour le plaisir, et qui suscite toujours autant l'enthousiasme.
"C'était la guerre...", n'est pas de cette catégorie, c'est plutôt une oeuvre désespérée autant que profonde. Un plaidoyer remarquable de pertinence et d'intelligence contre les horreurs de la guerre et la bétise des hommes. J'ai littéralement été scotché par cette oeuvre qui donne incontestablement à la bd ses lettres de noblesses. Tardi montre avec beaucoup d'humanité et de savoir faire que l'on peut passer un message puissant avec un peu d'encre de chine et du papier dessin. Vous l'aurez compris, on est loin ici des canons de la bd traditionnelle. Comme c'est souvent le cas avec les auteurs qui ont des choses à dire, on dépasse avec ce genre d'histoire, les frontières des genres. Je conseille donc absolument "c'était la guerre...", à tous ceux qui se masturbent l'esprit avec les jeux vidéos à base de gros calibres ou qui sont fans des films de guerre à la stallone.
La guerre n'est pas un jeu. C'est un truc dégueulasse et noir et sale. Tardi le montre de manière magistrale.
Explication de ma note :
Je sais pas trop en fait, c'est largement au-dessus de la moyenne. Mais pour l'instant c'est un tome 1, donc il faut voir comment ca va évoluer.
Au niveau des qualités maintenant.
C'est assez déjanté au premier abord.
C'est de la BD animalière les dessins sont très sympa (je dirais un peu dans le même registre de ceux de la Nef des fous de Turf pour ceux qui connaissent (les autres courez l'acheter)).
Dessins fouillés et sympa donc sur le registre 'rigolard'. Au niveau du scénario on assiste a une aventure dans la plus pure des traditions. Courses poursuites, avec des gentils, des méchants. Tout ce monde étant coincé sur un navire à faire une fête qui dure depuis toujours (vous connaissez Houppeland ?).
:)
Bref j'ai beaucoup aimé.
Le petit Spirou, c'est vraiment trop marrant, les personnages font rire (monsieur Mégot, l'abbé, le pépé, Spirou, etc.) et j'aime vraiment cette BD. Petit inconvénient, au fil des albums les gags sont souvent du réchauffés donc ça ne fait plus trop rire au bout de 14ème fois!!!
J'ai bien aimé le ton particulier de cet album. L'histoire est volontairement naïve et moins simple qu'elle n'en a l'air au premier abord. Le dessin de Gibrat est tout bonnement magnifique, sa demoiselle est divine. Autant prévenir : le scénario de Pecqueur est à des années-lumières de Golden City, sa série SF pour ados qui cartonne en ce moment. Je ne suis pas sûr qu'il s'adresse au même public.
Un bien bel album qui surfe sur une vague poétique et érotique, un mélange finalement assez rare en bd.
Canardo est l'antihéros par excellence: alcoolique, trouillard, pessimiste (et j'en passe). En plus c'est un canard! Pourtant cette série mérite le détour, même si le dessin très particulier peut rebuter a priori. Cela dit, les albums sont de qualité très variable: les meilleurs sont des histoires tragiques peuplées de personnages désespérés, à l'atmosphère noire et dont on sort remué (l'Amerzone, la mort douce, la marque de Raspoutine, Noces de brume...) alors que les autres sont des polars assez banals; reste l'atmosphère glauque qui baigne toutes les aventures de Canardo.
Candélabres est une série fantastique qui se démarque de la plupart des BD du genre, d'abord par le dessin, simple mais beau, mais surtout par l'attention portée aux personnages, qui ont une vraie personnalité et qui réussissent à nous émouvoir. Ici, pas d'action à toutes les pages, tout se fait dans la subtilité et la délicatesse.
Le superbe noir et blanc de Comès crée dans cette BD une ambiance étouffante et vénéneuse, et, comme l'héroïne, on se trouve pris dès le début de l'histoire par le charme étrange de la maison et de ses habitants.
Magnifique ! Voila comment peut-on qualifier La merveilleuse série de Ayrolles et Maionara. Un tres beau conte au dessin particulier au debut (car les traits des personnages sont un peu fouillis) mais qui, au final, donne vraiment l'impression d'etre dans un conte de Perrault. Moins bien que De Capes et de Crocs ça c'est sur mais franchement bien tout de meme !
Encore une belle série de Delcourt a avoir dans sa collection.
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Bluehope
Dans une ambiance de bateaux et de fantastique, ce tome 1 nous présente les principaux acteurs et plante le décor. Le dessin bien qu'un peu "simpliste" est rattrapé par de très belles couleurs et le scénario. Bon début !
Morgana
J'aime beaucoup cette BD qui nous fait partir d'une époque que l'on peux considérer comme médiévale, avec une guerre à l'épée, des bouches à feu, ..., jusqu'à embarquer sur un navire spatial. Tout cela en nous ayant planté un décor avec un méchant (qui veut tout le pouvoir) et une gentille sympathique (qui doit combattre le méchant). Le dessin est tout en finesse, les couleurs leurs correspondent bien, le découpage est sympatique. A lire !
C'était la guerre des tranchées
Je ne mets pas une note culte, parce que pour moi la note maximale concerne les bd vraiment jubilatoires, celles qu'on lit et relit pour le plaisir, et qui suscite toujours autant l'enthousiasme. "C'était la guerre...", n'est pas de cette catégorie, c'est plutôt une oeuvre désespérée autant que profonde. Un plaidoyer remarquable de pertinence et d'intelligence contre les horreurs de la guerre et la bétise des hommes. J'ai littéralement été scotché par cette oeuvre qui donne incontestablement à la bd ses lettres de noblesses. Tardi montre avec beaucoup d'humanité et de savoir faire que l'on peut passer un message puissant avec un peu d'encre de chine et du papier dessin. Vous l'aurez compris, on est loin ici des canons de la bd traditionnelle. Comme c'est souvent le cas avec les auteurs qui ont des choses à dire, on dépasse avec ce genre d'histoire, les frontières des genres. Je conseille donc absolument "c'était la guerre...", à tous ceux qui se masturbent l'esprit avec les jeux vidéos à base de gros calibres ou qui sont fans des films de guerre à la stallone. La guerre n'est pas un jeu. C'est un truc dégueulasse et noir et sale. Tardi le montre de manière magistrale.
Terre mécanique
Explication de ma note : Je sais pas trop en fait, c'est largement au-dessus de la moyenne. Mais pour l'instant c'est un tome 1, donc il faut voir comment ca va évoluer. Au niveau des qualités maintenant. C'est assez déjanté au premier abord. C'est de la BD animalière les dessins sont très sympa (je dirais un peu dans le même registre de ceux de la Nef des fous de Turf pour ceux qui connaissent (les autres courez l'acheter)). Dessins fouillés et sympa donc sur le registre 'rigolard'. Au niveau du scénario on assiste a une aventure dans la plus pure des traditions. Courses poursuites, avec des gentils, des méchants. Tout ce monde étant coincé sur un navire à faire une fête qui dure depuis toujours (vous connaissez Houppeland ?). :) Bref j'ai beaucoup aimé.
Le Petit Spirou
Le petit Spirou, c'est vraiment trop marrant, les personnages font rire (monsieur Mégot, l'abbé, le pépé, Spirou, etc.) et j'aime vraiment cette BD. Petit inconvénient, au fil des albums les gags sont souvent du réchauffés donc ça ne fait plus trop rire au bout de 14ème fois!!!
Marée Basse
J'ai bien aimé le ton particulier de cet album. L'histoire est volontairement naïve et moins simple qu'elle n'en a l'air au premier abord. Le dessin de Gibrat est tout bonnement magnifique, sa demoiselle est divine. Autant prévenir : le scénario de Pecqueur est à des années-lumières de Golden City, sa série SF pour ados qui cartonne en ce moment. Je ne suis pas sûr qu'il s'adresse au même public. Un bien bel album qui surfe sur une vague poétique et érotique, un mélange finalement assez rare en bd.
Canardo
Canardo est l'antihéros par excellence: alcoolique, trouillard, pessimiste (et j'en passe). En plus c'est un canard! Pourtant cette série mérite le détour, même si le dessin très particulier peut rebuter a priori. Cela dit, les albums sont de qualité très variable: les meilleurs sont des histoires tragiques peuplées de personnages désespérés, à l'atmosphère noire et dont on sort remué (l'Amerzone, la mort douce, la marque de Raspoutine, Noces de brume...) alors que les autres sont des polars assez banals; reste l'atmosphère glauque qui baigne toutes les aventures de Canardo.
Candélabres
Candélabres est une série fantastique qui se démarque de la plupart des BD du genre, d'abord par le dessin, simple mais beau, mais surtout par l'attention portée aux personnages, qui ont une vraie personnalité et qui réussissent à nous émouvoir. Ici, pas d'action à toutes les pages, tout se fait dans la subtilité et la délicatesse.
Eva
Le superbe noir et blanc de Comès crée dans cette BD une ambiance étouffante et vénéneuse, et, comme l'héroïne, on se trouve pris dès le début de l'histoire par le charme étrange de la maison et de ses habitants.
Garulfo
Magnifique ! Voila comment peut-on qualifier La merveilleuse série de Ayrolles et Maionara. Un tres beau conte au dessin particulier au debut (car les traits des personnages sont un peu fouillis) mais qui, au final, donne vraiment l'impression d'etre dans un conte de Perrault. Moins bien que De Capes et de Crocs ça c'est sur mais franchement bien tout de meme ! Encore une belle série de Delcourt a avoir dans sa collection.