Olala ! C'est ma série préférée !
J'avoue une tendresse particulière pour les pirates et Captain Boone. Deux pages me font tordre de rire et démontrent la maetria des deux auteurs :
- La scène dans la jungle où le capitaine se rend compte que son perroquet est un poulet
- la même scène reproduite par des perroquets (avec les mêmes cadrages et des expressions trop marrantes).
Non, mais, le seul reproche que je peux adresser à cette série, c'est son prix prohibitif (+ de 80 balles pour un tome c'est quand même cheros)
Un très bon petit album, original et sympathique.
Corbeyran nous fait découvrir un monde complètement absurde : la seule partie émergée au milieu d'un océan qui rempli tout le paysage est une digue de quelques mètres de large et d'une longueur inconnue. Dessus vivent tant bien que mal des gens qui ne se posent pas de question (ou pas les "bonnes" question). Bien sûr, tout l'intérêt de ce monde est qu'il reflète l'absurdité du notre, mais discrètement et avec humour.
L'histoire elle-même est très sympa, un peu d'aventure, un peu d'amour, mais surtout une reflexion toute en finesse de notre vie.
Les dessins sont étranges, en N&B, on peut aimer ou pas. Sans les trouver beau, ils rajoutent une touche de plus à la construction de cet immaginaire délirant.
Enfin, pour conclure, et sans que je sache trop pourquoi, cet album me fait irresistiblement penser à Horologiom... en moins accessible peut-être.
L'ambiance est glauque au possible, oppresante et lourde; certains personnages suscitent chez moi une vive antipathie (le shériff par exemple).
Le scénario est bien intéressant, utilisant habilement (soit au 1er soit au 2nd degré) les clichés habituels des films d'horreur.
Les dessins sont pas mal, mais ne me plaisent pas outre mesure.
Cette série est un très bon thriller où l'on ne découvre que peu à peu la vérité qui était soigenusement cachée.
Prenant. Très prenant, même pour moi qui n'aime habituellement pas ce genre.
Ca alors ?!! Je ne pensais pas trouver ici une telle polémique sur le "politiquement correct" de Tintin !! Sans doute parce que je me suis toujours contentée de la version "quand Hergé a écrit Tintin au Congo, en pleine époque coloniale, ses idées étaient les mêmes que celles de la grande majorité, et personne n'allait chercher plus loin". C'est vrai que je ne peux pas lire les albums concernés sans une énorme gène qui m'empêche de profiter vraiment du scénario. Mais ça ne m'empêche pas de lire et relire les autres albums très régulièrement.
Donc, indépendamment des considérations idéologiques, j'attribue à Tintin un "Culte!". En y réfléchissant, je ne peux pas expliquer cette note, sinon par le plaisir que j'ai toujours eu à lire Tintin. C'est vrai, depuis, j'ai découvert des séries dont les dessins et les scénarios sont autrement plus puissants, beaux, étonnants... Mais, bon, ça ne s'explique pas, il m'arrive encore, à intervalles réguliers d'avoir une envie irrésistible de voir les Dupondt avec les cheveux verts dans "On a marché sur la lune", ou le Capitaine Haddock courant après le yéti qui lui a piqué sa dernière bouteille dans "Tintin au Tibet".
Comme dans beaucoup de séries, ce sont les personnages secondaires qui donnent aux aventures de Tintin toute leur saveur. A dire vrai, je ne relis jamais les albums qui précèdent "Le crabe aux pinces d'or", dans lequel apparaît pour la première fois le sublimissime personnage du Capitaine Haddock, avec ses insultes improbables, ses colères, son sentimentalisme bourru, sa mauvaise foi et ses excès de boisson. Il est sans doute un des personnages les plus fabuleux de la Bande Dessinée.
Culte, donc, parce que quand on a autant de plaisir à lire une série, même quand on ne peut pas l'expliquer, on se doit de mettre 5 étoiles.
Le Fond du monde a fait de l'absurdité son maître mot. Absurdité du monde (notre futur ?) décrit, plaidoyer pour la réconciliation de ceux que le sort a séparés... Le Bout du monde, on n'en touche jamais le fond. Mais le fond du monde, on n'en voit jamais le bout.
Le propos, bien plus complexe qu'il n'y paraît, mérite plusieurs lectures. En cela, le scénario d'orfèvre de Corbeyran est très bien servi par le dessin faussement naïf de Denis Falque.
Un beau jour de 1968, Dany et Greg décident de répandre le bonheur et le rêve à travers la bande dessinée. Mais pour ne pas galvauder ces concepts, ils placent les aventures d'Olivier Rameau, clerc de notaire de son état, dans le pays des rêves.
Leurs histoires sont empreintes de fantaisie et de poésie, les dialogues sont pétillants sans être pédants (du bon Greg, quoi), et puis, que dire du trait de Dany, qui caresse ses personnages (en particulier féminins) pour les rendre chatoyants et inoubliables. Olivier Rameau est au carrefour de la fable, de l'humour et de l'esthétique. Tarazimboumant !
Une série géniale, déroutante et bien menée...
Même si le dessin n'est pas toujours au top, la force de cet album réside dans sa mise en scène et l'action omniprésente.
Une fois plongé dans l'aventure, on ne lache plus l'album des mains...Le cadre où évolue notre héros, ses amis,...Enfin, bref! C'est ultra-captivant!
Cette série se doit de figurer dans votre bibliothèque!
Tous les amateurs de politique-fiction se doivent de posséder cette série incontournable tant pour le dessin hyper complexe et détaillé que pour l'histoire et l'ambiance géniale....
Scénario béton, dessins superbes : la Quête de l'Oiseau du Temps avait déjà tout ça pour faire une très bonne série. Il se trouve en plus que l'ensemble donne quelque chose de très fort, qui remue les tripes et fait monter les larmes. Tout particulièrement la rencontre avec le Rige, et bien sûr, la fin, aussi déchirante qu'inattendue.
Décidément, entre La Quête et son Peter Pan, Loisel parvient parfaitement à toucher la corde sensible de ses lecteurs. C'est fort.
Gotlib fait de l'humour par l'absurde : plus c'est inattendu, et plus ça ne ressemble à rien, plus il aime. Et moi aussi. C'est bien simple, au même titre que les Dingodossiers, ça me fait exploser de rire. J'adore penser, en lisant la chute d'un des cahiers : "il a osé aller jusque là dans le n'importe quoi !!!"
Voilà, c'est indéfendable, on aime ou on n'aime pas. Moi j'adore.
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De Cape et de Crocs
Olala ! C'est ma série préférée ! J'avoue une tendresse particulière pour les pirates et Captain Boone. Deux pages me font tordre de rire et démontrent la maetria des deux auteurs : - La scène dans la jungle où le capitaine se rend compte que son perroquet est un poulet - la même scène reproduite par des perroquets (avec les mêmes cadrages et des expressions trop marrantes). Non, mais, le seul reproche que je peux adresser à cette série, c'est son prix prohibitif (+ de 80 balles pour un tome c'est quand même cheros)
La Digue
Un très bon petit album, original et sympathique. Corbeyran nous fait découvrir un monde complètement absurde : la seule partie émergée au milieu d'un océan qui rempli tout le paysage est une digue de quelques mètres de large et d'une longueur inconnue. Dessus vivent tant bien que mal des gens qui ne se posent pas de question (ou pas les "bonnes" question). Bien sûr, tout l'intérêt de ce monde est qu'il reflète l'absurdité du notre, mais discrètement et avec humour. L'histoire elle-même est très sympa, un peu d'aventure, un peu d'amour, mais surtout une reflexion toute en finesse de notre vie. Les dessins sont étranges, en N&B, on peut aimer ou pas. Sans les trouver beau, ils rajoutent une touche de plus à la construction de cet immaginaire délirant. Enfin, pour conclure, et sans que je sache trop pourquoi, cet album me fait irresistiblement penser à Horologiom... en moins accessible peut-être.
Comptine d'Halloween
L'ambiance est glauque au possible, oppresante et lourde; certains personnages suscitent chez moi une vive antipathie (le shériff par exemple). Le scénario est bien intéressant, utilisant habilement (soit au 1er soit au 2nd degré) les clichés habituels des films d'horreur. Les dessins sont pas mal, mais ne me plaisent pas outre mesure. Cette série est un très bon thriller où l'on ne découvre que peu à peu la vérité qui était soigenusement cachée. Prenant. Très prenant, même pour moi qui n'aime habituellement pas ce genre.
Les Aventures de Tintin
Ca alors ?!! Je ne pensais pas trouver ici une telle polémique sur le "politiquement correct" de Tintin !! Sans doute parce que je me suis toujours contentée de la version "quand Hergé a écrit Tintin au Congo, en pleine époque coloniale, ses idées étaient les mêmes que celles de la grande majorité, et personne n'allait chercher plus loin". C'est vrai que je ne peux pas lire les albums concernés sans une énorme gène qui m'empêche de profiter vraiment du scénario. Mais ça ne m'empêche pas de lire et relire les autres albums très régulièrement. Donc, indépendamment des considérations idéologiques, j'attribue à Tintin un "Culte!". En y réfléchissant, je ne peux pas expliquer cette note, sinon par le plaisir que j'ai toujours eu à lire Tintin. C'est vrai, depuis, j'ai découvert des séries dont les dessins et les scénarios sont autrement plus puissants, beaux, étonnants... Mais, bon, ça ne s'explique pas, il m'arrive encore, à intervalles réguliers d'avoir une envie irrésistible de voir les Dupondt avec les cheveux verts dans "On a marché sur la lune", ou le Capitaine Haddock courant après le yéti qui lui a piqué sa dernière bouteille dans "Tintin au Tibet". Comme dans beaucoup de séries, ce sont les personnages secondaires qui donnent aux aventures de Tintin toute leur saveur. A dire vrai, je ne relis jamais les albums qui précèdent "Le crabe aux pinces d'or", dans lequel apparaît pour la première fois le sublimissime personnage du Capitaine Haddock, avec ses insultes improbables, ses colères, son sentimentalisme bourru, sa mauvaise foi et ses excès de boisson. Il est sans doute un des personnages les plus fabuleux de la Bande Dessinée. Culte, donc, parce que quand on a autant de plaisir à lire une série, même quand on ne peut pas l'expliquer, on se doit de mettre 5 étoiles.
Le Fond du Monde
Le Fond du monde a fait de l'absurdité son maître mot. Absurdité du monde (notre futur ?) décrit, plaidoyer pour la réconciliation de ceux que le sort a séparés... Le Bout du monde, on n'en touche jamais le fond. Mais le fond du monde, on n'en voit jamais le bout. Le propos, bien plus complexe qu'il n'y paraît, mérite plusieurs lectures. En cela, le scénario d'orfèvre de Corbeyran est très bien servi par le dessin faussement naïf de Denis Falque.
Olivier Rameau
Un beau jour de 1968, Dany et Greg décident de répandre le bonheur et le rêve à travers la bande dessinée. Mais pour ne pas galvauder ces concepts, ils placent les aventures d'Olivier Rameau, clerc de notaire de son état, dans le pays des rêves. Leurs histoires sont empreintes de fantaisie et de poésie, les dialogues sont pétillants sans être pédants (du bon Greg, quoi), et puis, que dire du trait de Dany, qui caresse ses personnages (en particulier féminins) pour les rendre chatoyants et inoubliables. Olivier Rameau est au carrefour de la fable, de l'humour et de l'esthétique. Tarazimboumant !
Edward John Trelawnay
Une série géniale, déroutante et bien menée... Même si le dessin n'est pas toujours au top, la force de cet album réside dans sa mise en scène et l'action omniprésente. Une fois plongé dans l'aventure, on ne lache plus l'album des mains...Le cadre où évolue notre héros, ses amis,...Enfin, bref! C'est ultra-captivant! Cette série se doit de figurer dans votre bibliothèque!
La Trilogie Nikopol
Tous les amateurs de politique-fiction se doivent de posséder cette série incontournable tant pour le dessin hyper complexe et détaillé que pour l'histoire et l'ambiance géniale....
La Quête de l'Oiseau du Temps
Scénario béton, dessins superbes : la Quête de l'Oiseau du Temps avait déjà tout ça pour faire une très bonne série. Il se trouve en plus que l'ensemble donne quelque chose de très fort, qui remue les tripes et fait monter les larmes. Tout particulièrement la rencontre avec le Rige, et bien sûr, la fin, aussi déchirante qu'inattendue. Décidément, entre La Quête et son Peter Pan, Loisel parvient parfaitement à toucher la corde sensible de ses lecteurs. C'est fort.
Rubrique-à-Brac
Gotlib fait de l'humour par l'absurde : plus c'est inattendu, et plus ça ne ressemble à rien, plus il aime. Et moi aussi. C'est bien simple, au même titre que les Dingodossiers, ça me fait exploser de rire. J'adore penser, en lisant la chute d'un des cahiers : "il a osé aller jusque là dans le n'importe quoi !!!" Voilà, c'est indéfendable, on aime ou on n'aime pas. Moi j'adore.