Dans la foule des séries historiques émanant du journal "Vécu", il est difficile de discerner ce qui est de qualité de ce qui ne vaut pas grand-chose. Les Tours de Bois-Maury en sont un des fleurons, grâce au talent d'Hermann. Il s'agit là d'une grande série épique, très rythmée, fort bien dessinée. Un voyage passionnant dans le haut Moyen Age.
Encore une serie labellisee "serieB"!! Est-il reellement besoin d'en dire plus? Un univers plein de possibilites, des scenarii toujours bien construites et graphiuquement parlant, tres tres reussi. Un petit bemol: la fin du 3e tome et le "combat" dans le cyber-espace qui m'a paru etre une ficelle facile. J'attends avec impatience de me procurer les volumes 4 et 5, mais je fais durer le plaisir. Quand la bede de genre est aussi bien faite, il n'y a vraiment pas a hesiter. Une serie indispensable, tout simplement.
C'est une bede a avoir. Graphiquement parlant, il faut bien evidemment aimer les mangas, mais il est tout de meme facile de s'apercevoir que trantkat est vraiment tres doue. Son trait est de plus en plus mature et hyper dynamique. Le scenario est quant a lui tres interessant meme s'il taine un peu en longueur et que certaines scenes ne sont pas franchement necessaires. Le dernier tome paru est tres sympa mais tout de meme lent et il ne s'y passe pas tant de choses. Ceci dit, des elements nouveaux sont poses, alors attendons la suite. je conseille tout de meme vivement cette serie.
Je suis tombé par hasard sur cette bande dessinée, et je suis resté scotché. J'ai eu le tort de ne pas l'acheter, et j'ai eu un peu de mal à réparer cette erreur - ce qui est maintenant fait !
Les dessins sont plus des gravures que de classiques dessins de BD, mais je les trouve fascinants. L'histoire est... étrange, voilà, je crois que c'est le mot adapté. Elle fait résonner en moi des échos de XXème.com, ici aussi le lecteur est l'interprétateur. Quête personnelle, mystique et psychanalytique, Umberto se cherche, dans sa maison et dans ses souvenirs, dans son histoire; passé et présent sont fondus en un temps incertain.
J'aime beaucoup cet album, il faut le lire plusieurs fois pour commencer à y comprendre le sens qu'il peut avoir.
Du tres tres grand graphisme! Rien que pour parel, il faurt acheter cet album. Le scenar est quant a lui captivant. J'ai eu enormement de mal a sortir du tome2 une fois la lecture finie. L'homme seul contre la machine du mensonge est deja vue, certes, mais c'est un exercice de style dont Morvan a l'air de fort bien se sortir. Vivement la suite!!
Excellent. Le dessin paraît plutôt repoussant de premier abord, mais les scénarios compensent plus que suffisamment cette première impression. Très noirs, parfois grinçants, ils sont cerrtainement originaux et bien menés... et on s'aperçoit enfin que le dessin leur correspond parfaitement et qu'il est bien maîtrisé. Il était temps.
"La tour" m'a fait découvrir cette série étrange et atypique que sont "Les cités obscures", et j'ai été immédiatement conquis.
Si certains albums, comme "L'enfant penchée" ont un scénario peut-être moins élaboré que d'autres ("La tour", "Brüssel", "La fièvre d'Urbicande"), la variété est toujours au rendez-vous; on ne peut ainsi que difficilement comparer "L'archiviste" à "L'écho des cités" ou à "La frontière invisible".
A propos de ce dernier album, je vous le recommande vivement : on y trouve le même sens du mystère et de la découverte - voire de l'absurde - que dans "La tour".
Culte, sans aucun doute, mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Les trois premiers tomes sont géniaux !
L'humour varie du 1er degré au 27ème avec bonheur.
Je m'étonne que la réplique "Qui rit laid, laid il sonne" ne soit pas devenue culte, un tel jeu de mots étant tout simplement exceptionnel à ma connaissance !
C'est nul !!! Seul le 1er tome de cette trilogie est disponible !!!
Et il est tellement bien (même s'il est au départ un peu difficile de rentrer dans l'intrigue) que maintenant je reste sur ma faim !
Allez, m'sieur Bilal, la suite, s'il vous plaît !!!
(N.B. : avis particulèrement débile illustrant très bien ce que je dis dans le dernier paragraphe de mon avis sur le tome 2...)
Tome 2 : 32 décembre
Après avoir relu « Le sommeil du monstre », c’est avec ardeur que je me suis jeté sur « 32 décembre ». Et je n’ai pas été déçu… Le graphisme si particulier de Bilal atteint ici des sommets, bien qu’on puisse le trouver assez peu dynamique et plutôt figé, exprimant peu le mouvement, mais le moins que l’on puisse dire est qu’il est superbe, à la fois extrêmement travaillé et donnant une impression de croquis, certainement original, et parfois très lourd de symboles (trop lourd, pense-t-on parfois).
La narration de l’album est – comme son prédécesseur – très particulière. Aux phylactères des personnages, parfois presque anecdotiques, s’ajoute une narration très dense, jamais redondante, qui fait très roman. Comme si cela ne suffisait pas, le découpage en trois points de vue (Nike, Amir et Leyla), complètement maîtrisé lui aussi, est original dans sa forme à défaut de l’être dans son principe. Saupoudrez le tout de quelques coupures de journaux, et vous aurez une narration originale, mais surtout complètement déterminée par l’auteur.
En effet, cet ouvrage est d’une complexité dans les thèmes abordés qui se révèle stupéfiante. Je prendrai pour exemple le thème de l’identité : deux doubles de Nike ont été créés, tous deux se croient être le seul et véritable Nike, et lui-même doute d’être l’original… Cette thématique (également abordée de manière plus anecdotique et poétique dans « Naciré et les machines », de Pontarolo) est traitée ici avec une telle virtuosité qu’elle m’en a laissé la gorge serrée, sans voix aucune. Mais elle est loin d’être la seule : Bilal pioche parmi ce dont il a besoin et créé un tout extrêmement riche et dense, tout en conservant une lecture très fluide et agréable.
Ce deuxième tome révèle malgré tout quelques petites… choses qui tempèrent (légèrement !) mon enthousiasme… Comme le docteur Warhole, qui de méchant sinistre, calculateur, inquiétant et mystérieux dans le précédent tome, passe ici plutôt pour un fou, un méchant un peu caricatural façon comics…Comme l’intrigue du site de l’Aigle, qui – en attendant bien sûr la suite qui confirmera ou infirmera cette impression – s’avère être très classique dans sa forme… Comme encore le côté « mémoire absolue » de Nike, qui ici disparaît alors qu’il fondait « Le sommeil du monstre »…
Enfin… Cette série d’une grande densité, d’une qualité réelle, d’un graphisme superbe, me semble pour l’instant absolument incontournable. Par contre, sa complexité et sa maîtrise même me semblent ne pas la destiner à l’amateur occasionnel qui ne pourra en apprécier qu’une petite partie. (… comme moi à la lecture du tome 1…)
Raaah, des histoires comme je les aime, avec de la sorcellerie, du noir, de la méchanceté.
C'est bien fait, même si certaines histoires sont mieux que d'autres. Regret, certaines sont trop courtes. Il s'agit tout de même là du premier album de Chabouté, qui développera plus avant son univers par la suite.
NB : on peut trouver l'édition originale (Le Téméraire) en solderie. Elle est en couleurs (beaucoup de rouge, noir, marron) et légèrement différente de la nouvelle édition. L'album (l'obket) est beau et mérite peut-être le détour.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Les Tours de Bois-Maury
Dans la foule des séries historiques émanant du journal "Vécu", il est difficile de discerner ce qui est de qualité de ce qui ne vaut pas grand-chose. Les Tours de Bois-Maury en sont un des fleurons, grâce au talent d'Hermann. Il s'agit là d'une grande série épique, très rythmée, fort bien dessinée. Un voyage passionnant dans le haut Moyen Age.
Carmen Mc Callum
Encore une serie labellisee "serieB"!! Est-il reellement besoin d'en dire plus? Un univers plein de possibilites, des scenarii toujours bien construites et graphiuquement parlant, tres tres reussi. Un petit bemol: la fin du 3e tome et le "combat" dans le cyber-espace qui m'a paru etre une ficelle facile. J'attends avec impatience de me procurer les volumes 4 et 5, mais je fais durer le plaisir. Quand la bede de genre est aussi bien faite, il n'y a vraiment pas a hesiter. Une serie indispensable, tout simplement.
HK
C'est une bede a avoir. Graphiquement parlant, il faut bien evidemment aimer les mangas, mais il est tout de meme facile de s'apercevoir que trantkat est vraiment tres doue. Son trait est de plus en plus mature et hyper dynamique. Le scenario est quant a lui tres interessant meme s'il taine un peu en longueur et que certaines scenes ne sont pas franchement necessaires. Le dernier tome paru est tres sympa mais tout de meme lent et il ne s'y passe pas tant de choses. Ceci dit, des elements nouveaux sont poses, alors attendons la suite. je conseille tout de meme vivement cette serie.
Le Colporteur
Je suis tombé par hasard sur cette bande dessinée, et je suis resté scotché. J'ai eu le tort de ne pas l'acheter, et j'ai eu un peu de mal à réparer cette erreur - ce qui est maintenant fait ! Les dessins sont plus des gravures que de classiques dessins de BD, mais je les trouve fascinants. L'histoire est... étrange, voilà, je crois que c'est le mot adapté. Elle fait résonner en moi des échos de XXème.com, ici aussi le lecteur est l'interprétateur. Quête personnelle, mystique et psychanalytique, Umberto se cherche, dans sa maison et dans ses souvenirs, dans son histoire; passé et présent sont fondus en un temps incertain. J'aime beaucoup cet album, il faut le lire plusieurs fois pour commencer à y comprendre le sens qu'il peut avoir.
7 secondes
Du tres tres grand graphisme! Rien que pour parel, il faurt acheter cet album. Le scenar est quant a lui captivant. J'ai eu enormement de mal a sortir du tome2 une fois la lecture finie. L'homme seul contre la machine du mensonge est deja vue, certes, mais c'est un exercice de style dont Morvan a l'air de fort bien se sortir. Vivement la suite!!
Stray Bullets (Balles Perdues)
Excellent. Le dessin paraît plutôt repoussant de premier abord, mais les scénarios compensent plus que suffisamment cette première impression. Très noirs, parfois grinçants, ils sont cerrtainement originaux et bien menés... et on s'aperçoit enfin que le dessin leur correspond parfaitement et qu'il est bien maîtrisé. Il était temps.
Les Cités obscures
"La tour" m'a fait découvrir cette série étrange et atypique que sont "Les cités obscures", et j'ai été immédiatement conquis. Si certains albums, comme "L'enfant penchée" ont un scénario peut-être moins élaboré que d'autres ("La tour", "Brüssel", "La fièvre d'Urbicande"), la variété est toujours au rendez-vous; on ne peut ainsi que difficilement comparer "L'archiviste" à "L'écho des cités" ou à "La frontière invisible". A propos de ce dernier album, je vous le recommande vivement : on y trouve le même sens du mystère et de la découverte - voire de l'absurde - que dans "La tour". Culte, sans aucun doute, mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Soeur Marie-Thérèse des Batignolles
Les trois premiers tomes sont géniaux ! L'humour varie du 1er degré au 27ème avec bonheur. Je m'étonne que la réplique "Qui rit laid, laid il sonne" ne soit pas devenue culte, un tel jeu de mots étant tout simplement exceptionnel à ma connaissance !
Le Sommeil du Monstre
Sorcières
Raaah, des histoires comme je les aime, avec de la sorcellerie, du noir, de la méchanceté. C'est bien fait, même si certaines histoires sont mieux que d'autres. Regret, certaines sont trop courtes. Il s'agit tout de même là du premier album de Chabouté, qui développera plus avant son univers par la suite. NB : on peut trouver l'édition originale (Le Téméraire) en solderie. Elle est en couleurs (beaucoup de rouge, noir, marron) et légèrement différente de la nouvelle édition. L'album (l'obket) est beau et mérite peut-être le détour.