Sublime.
Dans un genre voisin de La Gloire d'Héra, Rossi et Le Tendre excellent.
L'histoire commence de façon assez classique, par des escarmouches entre deux cités grecques, mais rapidement la rivalité Tirésias/Glaucon est mise en avant-plan, ainsi que les relations amoureuses Tiresias/Calypso. Ce dernier, amant (eh oui !) éconduit, ne pense qu'à retrouver l'amour de Tirésias.
Glaucon quant à lui, n'aspire qu'à la gloire, qu'à sa gloire.
C'est cette rivalité qui va entraîner Tirésias à commettre - bien malgré lui - un acte sacrilège envers Athéna, protectrice de la cité d'Athènes.
Les dieux de cette époque sont comme les hommes : fiers, ombrageux, ils sont dominés par leurs instincts. Athéna se venge donc mais d'une vengeance idéale, taillée sur mesure pour Tirésias le séducteur.
Celui-ci contemple son sort, et désespère. Mais Athéna n'est pas impitoyable, elle lui laisse une chance. Porte de sortie certes étroite, mais que Tirésias tentera de saisir dans le 2ème tome.
Ce qui nous amène à une question intéressante : la punition d'Athéna pourrait-elle être une récompense, et la guérison une terrible mutilation ?
Je ne peux pas poursuivre sans raconter la fin, mais si je devais utiliser un mot pour qualifier cette série, j'utiliserais le mot sublime.
C'est bien fait, c'est réfléchi, le fond de mythologie est très sympathique et bien loin d'être pesant (au contraire, il est très bien utilisé), les dessins sont beaux, et l'histoire est très émouvante.
En fait, ça doit être la seule BD qui m'a fait pleurer.
Eh oui.
Je n'ai lu pour l'instant que les tomes 3, 4 et 5, et j'ai bien ri. Jean-Claude Tergal, prototype du beauf, comique involontaire, enfant martyre pour notre rire... Mais que celui qui ne s'est jamais retrouvé dans aucune de ces situations tergalesque se montre. Comme souvent avec Tronchet, l'humour est très acidulé, voire parfois carrément acide... et c'est bon. :)
Que cet auteur soit branchouille ou pas, on s'en fout ! Pussey est un album indispensable pour toute personne qui aime bien l'histoire des arrières boutiques en bd... Un vrai petit moment de bonheur ou tout le monde en prend pour son grade, de la branchitude d'Art Spigelmann jusqu'aux collectionneurs spéculateurs !
Courez l'acheter puisqu'on vous dit que c'est bien !!!
Cette série est trop bien, dommage que l'on revoit pas les BD des auteurs avant Franquin et je suis préssé d'avoir le numéro 47 de la série, Je conseille à tous d'acheter les hors-séries de la série. Aussi il faudrai un album de spirou qui fassent l'adieu à Suzette et la rencontre avec Fantasio et Spip. Celui qui a des renseignement sur les premiers albums de spirou avant Franquin, peuvent écrire à l'adresse suivante: 6 rue des buttes 14600 Honfleur. c'est ma série préféré avant Celle de Julie, Claire, Cécile de Bom et PAPYRUS de Gieter.Merci! Virgile Lefebvre
C'est du Gotlib, quoi ! C'est à dire que c'est de l'humour décalé, de l'humour par l'absurde, ou des calembours vaseux. Perso, ça me fait hurler de rire. Le contraste entre le visage figé (babines, oreilles et paupières tombantes) de Gai-luron et les expressions très...expressives des autres personnages (j'adore, l'air blasé de Jujube quand il constate une fois de plus l'absurdité des raisonnements de son compagnon) est un vrai régal.
A noter : le tome 1 est dédicacé à Tex Avery et à son Droopy, qui a, manifestement, beaucoup inspiré Gotlib.
Ah voilà une série sympathique ! Un dessinateur très appliqué, un scénario verrouillé à triple tour (Fred Duval est un champion dans cette catégorie), et nous voilà embarqués dans un récit de SF où le Cyberpunk côtoie le space opera.
Une très bonne série, dont on attend la suite...
L'antihéros absolu, c'est Lagaffe. Ca doit être pour ça qu'il est si drôle et qu'on rit de si bon coeur : quoi qu'on fasse, on n'arrivera jamais à être plus bête, plus malchanceux, plus maladroit, plus flemmard...en un mot plus gaffeur que lui. Et ça, ça fait quand même plaisir.
Mais comme il est quand même gentil et plein de bonnes intentions, personne ne peut lui en vouloir. Ce qui fait que si jamais, par malheur, on devient aussi bête, aussi malchanceux, aussi maladroit...aussi gaffeur que lui, on peut se dire qu'on aura toujours des amis, et ça, c'est quand même rassurant !
Un p'tit gars bien sympa, ce Gaston !
Convard avait bien préparé son coup. Une pléiade de dessinateurs tous plus talentueux les uns que les autres, un scénario très évolutif au service d'une intrigue à tiroirs, un marketing percutant et un éditeur prêt à tout... En plus, l'histoire est très prenante, on en vient à douter de l'enseignement judéo-chrétien, même si l'on n'est pas croyant...
La première fois que j'ai lu cette BD, j'ai trouvé ça mal dessiné, très embrouillé au niveau du scénario, un rien malsain... Et puis j'ai attendu la sortie du tome 2 pour le relire, et j'ai été pris par le rythme, les peintures gigantesques de Bajram, le récit.
Mais au final, "Universal War One" restera comme l'une des meilleures séries de SF de tous les temps. Une série qui a gagné ses paris dans tous les secteurs.
Une histoire solide, bien préparée, aux rebondissements nombreux et malins.
Une narration nerveuse, qui ne lâche pas son lecteur jusqu'à la dernière page.
Un univers ambitieux, qui se base sur des théories alléchantes sur le plan scientifique. A noter une certaine parenté avec l'univers d'Arthur C. Clarke.
Un dessin qui monte en puissance au fil du temps ("Universal War One" aura occupé Denis Bajram pendant presque 10 ans.), avec une mention spéciale pour le design technologique et les scènes se passant dans l'espace.
Toutes ces qualités sont bien évidemment présentes dans le tome ultime, qui boucle superbement la boucle narrative de l'histoire. Curieusement, j'avais vu venir "la" révélation du tome, un peu avant qu'elle ne survienne. Quant au dénouement, je me demandais comment Bajram allait faire pour justifier la couverture très "Deus ex Machina" de ce tome 6. Il y parvient superbement, sans lâcher un gramme d'incohérence dans son histoire.
REMARQUABLE.
tout àa fait d'accord, autant j'avais pas aimé Marlysa, mais là, c'est autre chose, le scénario de cette série est très bien ficelé, pleins de rebondissements, personnages interressants. Bref l'équipe d'auteurs de cette série se sont tous surpassés, y compris la coloriste "Césano" (coeur de Royaume). Vraiment, c'est bien partit pour être une BD CULTE!
12/07/03
Tome 2 absolument magnifique tant au niveau des couleurs que du dessin, une belle amélioration. Le scénario quand a lui est très interessant et annonce des tomes suivants tout aussi passionant! A acheter de toute urgence.
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Tirésias
Sublime. Dans un genre voisin de La Gloire d'Héra, Rossi et Le Tendre excellent. L'histoire commence de façon assez classique, par des escarmouches entre deux cités grecques, mais rapidement la rivalité Tirésias/Glaucon est mise en avant-plan, ainsi que les relations amoureuses Tiresias/Calypso. Ce dernier, amant (eh oui !) éconduit, ne pense qu'à retrouver l'amour de Tirésias. Glaucon quant à lui, n'aspire qu'à la gloire, qu'à sa gloire. C'est cette rivalité qui va entraîner Tirésias à commettre - bien malgré lui - un acte sacrilège envers Athéna, protectrice de la cité d'Athènes. Les dieux de cette époque sont comme les hommes : fiers, ombrageux, ils sont dominés par leurs instincts. Athéna se venge donc mais d'une vengeance idéale, taillée sur mesure pour Tirésias le séducteur. Celui-ci contemple son sort, et désespère. Mais Athéna n'est pas impitoyable, elle lui laisse une chance. Porte de sortie certes étroite, mais que Tirésias tentera de saisir dans le 2ème tome. Ce qui nous amène à une question intéressante : la punition d'Athéna pourrait-elle être une récompense, et la guérison une terrible mutilation ? Je ne peux pas poursuivre sans raconter la fin, mais si je devais utiliser un mot pour qualifier cette série, j'utiliserais le mot sublime. C'est bien fait, c'est réfléchi, le fond de mythologie est très sympathique et bien loin d'être pesant (au contraire, il est très bien utilisé), les dessins sont beaux, et l'histoire est très émouvante. En fait, ça doit être la seule BD qui m'a fait pleurer. Eh oui.
Jean-Claude Tergal
Je n'ai lu pour l'instant que les tomes 3, 4 et 5, et j'ai bien ri. Jean-Claude Tergal, prototype du beauf, comique involontaire, enfant martyre pour notre rire... Mais que celui qui ne s'est jamais retrouvé dans aucune de ces situations tergalesque se montre. Comme souvent avec Tronchet, l'humour est très acidulé, voire parfois carrément acide... et c'est bon. :)
Pussey !
Que cet auteur soit branchouille ou pas, on s'en fout ! Pussey est un album indispensable pour toute personne qui aime bien l'histoire des arrières boutiques en bd... Un vrai petit moment de bonheur ou tout le monde en prend pour son grade, de la branchitude d'Art Spigelmann jusqu'aux collectionneurs spéculateurs ! Courez l'acheter puisqu'on vous dit que c'est bien !!!
Spirou et Fantasio
Cette série est trop bien, dommage que l'on revoit pas les BD des auteurs avant Franquin et je suis préssé d'avoir le numéro 47 de la série, Je conseille à tous d'acheter les hors-séries de la série. Aussi il faudrai un album de spirou qui fassent l'adieu à Suzette et la rencontre avec Fantasio et Spip. Celui qui a des renseignement sur les premiers albums de spirou avant Franquin, peuvent écrire à l'adresse suivante: 6 rue des buttes 14600 Honfleur. c'est ma série préféré avant Celle de Julie, Claire, Cécile de Bom et PAPYRUS de Gieter.Merci! Virgile Lefebvre
Gai-Luron
C'est du Gotlib, quoi ! C'est à dire que c'est de l'humour décalé, de l'humour par l'absurde, ou des calembours vaseux. Perso, ça me fait hurler de rire. Le contraste entre le visage figé (babines, oreilles et paupières tombantes) de Gai-luron et les expressions très...expressives des autres personnages (j'adore, l'air blasé de Jujube quand il constate une fois de plus l'absurdité des raisonnements de son compagnon) est un vrai régal. A noter : le tome 1 est dédicacé à Tex Avery et à son Droopy, qui a, manifestement, beaucoup inspiré Gotlib.
Travis
Ah voilà une série sympathique ! Un dessinateur très appliqué, un scénario verrouillé à triple tour (Fred Duval est un champion dans cette catégorie), et nous voilà embarqués dans un récit de SF où le Cyberpunk côtoie le space opera. Une très bonne série, dont on attend la suite...
Gaston Lagaffe
L'antihéros absolu, c'est Lagaffe. Ca doit être pour ça qu'il est si drôle et qu'on rit de si bon coeur : quoi qu'on fasse, on n'arrivera jamais à être plus bête, plus malchanceux, plus maladroit, plus flemmard...en un mot plus gaffeur que lui. Et ça, ça fait quand même plaisir. Mais comme il est quand même gentil et plein de bonnes intentions, personne ne peut lui en vouloir. Ce qui fait que si jamais, par malheur, on devient aussi bête, aussi malchanceux, aussi maladroit...aussi gaffeur que lui, on peut se dire qu'on aura toujours des amis, et ça, c'est quand même rassurant ! Un p'tit gars bien sympa, ce Gaston !
Le Triangle Secret
Convard avait bien préparé son coup. Une pléiade de dessinateurs tous plus talentueux les uns que les autres, un scénario très évolutif au service d'une intrigue à tiroirs, un marketing percutant et un éditeur prêt à tout... En plus, l'histoire est très prenante, on en vient à douter de l'enseignement judéo-chrétien, même si l'on n'est pas croyant...
Universal War One
La première fois que j'ai lu cette BD, j'ai trouvé ça mal dessiné, très embrouillé au niveau du scénario, un rien malsain... Et puis j'ai attendu la sortie du tome 2 pour le relire, et j'ai été pris par le rythme, les peintures gigantesques de Bajram, le récit. Mais au final, "Universal War One" restera comme l'une des meilleures séries de SF de tous les temps. Une série qui a gagné ses paris dans tous les secteurs. Une histoire solide, bien préparée, aux rebondissements nombreux et malins. Une narration nerveuse, qui ne lâche pas son lecteur jusqu'à la dernière page. Un univers ambitieux, qui se base sur des théories alléchantes sur le plan scientifique. A noter une certaine parenté avec l'univers d'Arthur C. Clarke. Un dessin qui monte en puissance au fil du temps ("Universal War One" aura occupé Denis Bajram pendant presque 10 ans.), avec une mention spéciale pour le design technologique et les scènes se passant dans l'espace. Toutes ces qualités sont bien évidemment présentes dans le tome ultime, qui boucle superbement la boucle narrative de l'histoire. Curieusement, j'avais vu venir "la" révélation du tome, un peu avant qu'elle ne survienne. Quant au dénouement, je me demandais comment Bajram allait faire pour justifier la couverture très "Deus ex Machina" de ce tome 6. Il y parvient superbement, sans lâcher un gramme d'incohérence dans son histoire. REMARQUABLE.
Les Arcanes du Midi-minuit
tout àa fait d'accord, autant j'avais pas aimé Marlysa, mais là, c'est autre chose, le scénario de cette série est très bien ficelé, pleins de rebondissements, personnages interressants. Bref l'équipe d'auteurs de cette série se sont tous surpassés, y compris la coloriste "Césano" (coeur de Royaume). Vraiment, c'est bien partit pour être une BD CULTE! 12/07/03 Tome 2 absolument magnifique tant au niveau des couleurs que du dessin, une belle amélioration. Le scénario quand a lui est très interessant et annonce des tomes suivants tout aussi passionant! A acheter de toute urgence.