Les forums / [Luc Brunschwig] Le Pouvoir des innocents, Les enfants de Jessica, ...
[Déplacé] >>Alix avait écrit: >>Pollux29 dans ton avis tu ecris : >> >>"Pour un 5/5, parce dans l'absolu, c'est la note que mérite que 2 premiers tomes." >> >>Ca devrait etre : >> >>"Pour un 5/5, parce QUE dans l'absolu, c'est la note que mérite CES 2 premiers tomes." >> >>?? oups ! j'ai déjà corrigé
[Déplacé] Nan, mais comment j'ai écrit fête, moi, dans le post précédent... honte sur le scénariste et mes excuses aux yeux chastes, adeptes de maître Capello.
[Déplacé] >>luc Brunschwig avait écrit: >>Holmes doit se composer de 9 chapitres dont la pagination variera suivant les besoins et les envies des auteurs. Par exemple, pour le livre III, on passe de 32 à 40 pages. On s'en fait déjà une faite, parce qu'il va être encore meilleur que les deux premiers ce chapitre 3 (enfin, c'est le sentiment que j'ai eu en entendant les réactions de mes amis dessinateur et éditeur). Bon, 'va falloir que je lise ça, moi, ça fait super envie
[Déplacé] Holmes doit se composer de 9 chapitres dont la pagination variera suivant les besoins et les envies des auteurs. Par exemple, pour le livre III, on passe de 32 à 40 pages. On s'en fait déjà une faite, parce qu'il va être encore meilleur que les deux premiers ce chapitre 3 (enfin, c'est le sentiment que j'ai eu en entendant les réactions de mes amis dessinateur et éditeur).
[Déplacé] Je crois que le plus dur (ce qui m'a d'ailleurs amener à écrire de la façon dont je le fais), c'est de ne pas comprendre les raisons de tout cela, toute cette dureté qui nous entoure et s'abîmer dans ce sentiment que les choses nous échappent, qu'on n'y peut rien parce qu'il n'aurait rien à y faire... c'est se dire que l'homme est fondamentalement mauvais parce qu'il passe son temps à faire la guerre, ou alors comprendre les raisons des guerres, pourquoi des gens en poussent d'autres à faire la guerre pour vendre leurs foutus armes, s'accaparer des marchés, contrer des politiques qui vont à l'encontre des leurs... franchement, depuis que je patauge dans la bouillasse du monde (ça va faire 20 ans l'année prochaine), je me sens franchement moins terrifié, juste plus écoeuré parfois, mais il y a des explications à tout, ce n'est pas juste nous qui sommes programmés pour faire le mal et notre propre malheur.
[Déplacé] >>luc Brunschwig avait écrit: >>Je suis le coup de coeur de Miranda, je suis le coup de coeur de Miranda, je suis le coup de coeur de Miranda, je suis le coup de coeur de Miranda Merci. >>Bon, ceci dit, Miranda, tu poses une intéressante question sur ma propention à traiter l'enfance malheureuse dans toutes mes histoires. Alors, plusieurs réponses parce que je ne sais pas laquelle est la bonne : mon enfance n'est pas la période la plus heureuse de ma vie (contrairement à beaucoup, je crois)... pourtant, je n'ai pas été un enfant malheureux, loin de là, mais un enfant timide, complexé et un peu perdu devant le monde des adultes, ça, c'est sûr... de plus, je trouve insupportable l'idée qu'un enfant regarde le monde par le filtre du regard de ses parents... il suffit qu'un enfant soit orienté vers certaines opinions, matraqué par la propagande familiale pour se retrouver enfermé dans certains idéaux (je crois que l'Esprit de Warren est l'expression de cette idée)... >>Pour finir, je compléterais en disant que pour moi, une société se juge à la façon dont elle traite ses maillons les plus faibles. Or, le 19e siècle en Angleterre est de ce point de vue une honte absolue en ce qui concerne les enfants. Merci Luc pour ta réponse si rapide. Effectivement les douleurs de l'enfance nous poursuivent toute notre vie. En dehors de ça, j'aurais une autre petite question (que je me pose depuis longtemps), si tu veux bien et sans vouloir abuser de ton précieux temps. Comment tu gères toute la souffrance que tu fais subir à tes personnages dans tes scénarii, et même si ce sont des choses qui existent c'est souvent insupportable et violent. On est déjà bombardé tous les jours par la misère humaine rien qu'en regardant les infos, et tu t'y plonges encore plus profondément dans tes histoires. Est-ce une façon de l'exorciser en combattant le mal par le mal ?
[Déplacé] C'est plus compliqué que ça : et si c'était le prix des 32 qui était exceptionnellement bas ?... pourquoi, me diras-tu ? Trois raisons : tout d'abord, le choix de ce prix devait avoir un but incitatif, qu'il n'a pas eu d'ailleurs, auprès des lecteurs, les convaincre de prendre le risque de série qu'ils n'auraient peut-être pas tenté à un prix plus classique. ensuite, il y avait une double économie autour des 32 (une version souple qui devait ensuite devenir un recueil cartonné de 3 chapitres, c'est sur ces deux économie que Futuro comptait pour faire la bascule et rentrer dans ces frais (là, encore, ça n'a pas marché)... et pour finir, c'est l'impression de plusieurs titres 32 en même temps (le volume d'impression) qui permettait de réduire le coût d'impression. Aucune de ces trois choses ne se retrouvent désormais dans l'économie de Holmes. J'espère sinon t'avoir convaincu, du moins t'avoir éclairé.
[Déplacé] Il n'y a personne que ça choque le passage du prix du premier tome de 4,90 € à 11 €. Ca fait excessivement cher la couverture cartonnée. Surtout chez le même imprimeur où les principaux frais (de flashage, entre autres) ont déjà été réalisés et donc payés.
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