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a vu 2046 ? La bande annonce est alléchante, mais je me fierais davantage à un témoignage de cinéphile

>>dely avait écrit: >>j'ai vu "l'équipier" hier, et j'ai été trés agréablement surpris. Ah, je le note, merci

>>Spooky avait écrit: >>qu'est-ce qu'il y a comme films français potables au cinéma, en ce moment ? j'ai vu "l'équipier" hier, et j'ai été trés agréablement surpris.

>>Spooky avait écrit: >>qu'est-ce qu'il y a comme films français potables au cinéma, en ce moment ? Un long dimanche de fiançailles ?

qu'est-ce qu'il y a comme films français potables au cinéma, en ce moment ?

>>Spooky avait écrit: >>ta blague elle est nulle ...mais véridique, ne t'en déplaise !

ta blague elle est nulle

Le Secret des poignards volants (House of flying daggers) En cette année 859, la Chine est ravagée par les conflits. La dynastie Tang, autrefois prospère, est sur le déclin, et le gouvernement corrompu s'épuise à lutter contre les groupes de rebelles toujours plus nombreux qui se dressent contre lui. La plus puissante de ces armées révolutionnaires et la plus prestigieuse de toutes est la Maison des Poignards Volants. Deux capitaines, Leo et Jin, sont envoyés pour capturer le mystérieux chef de cette redoutable armée. Un film dans la même veine que Hero, du même réalisateur et avec le même chorégraphe (Ching Siu-Tung). Au programme pas mal de scènes de combat, toujours aussi belles, impressionnantes, imaginatives, chorégraphiées. Il y en a nettement moins tout de même que dans Hero. D'ailleurs la différence de rythme se fait sentir. Là ou le grand frère était très dynamique, pêchu au possible (peut-être un peu trop, pourrait-on dire), Le secret des poignards volants est nettement plus lent. L'histoire "d'amour" prend de la place au détriment de l'action, et de fait le film paraît assez mou. Nombre de scènes représentent une idée et une façon de faire intéressantes, mais plombent le rythme. La répétition de certaines scènes -- bien que voulue et chargée des sens -- également. "Bon point" pour l'aspect comique (involontaire, je pense ) tout de même, avec en particulier un personnage (dont on taira le nom) agonisant qui n'en finit plus de se relever et de murmurer en un râle douloureux... La salle était morte de rire. Le souci de l'éstethique est très poussé, peut-être encore plus que dans Hero. Les décors sont beaux, variés, colorés (marque de fabrique de Yimou Zhang, on dirait). Mais ici c'est un peu à double tranchant. Le combat dans la bambouseraie par exemple, implique un grand nombre de lances en bambous jetées sur les héros... lances qui en volant font un son certes réaliste mais assez laid... et il y en a pour 5 bonnes minutes à le supporter. :o/ Dans Hero un des thèmes était l'empereur, son rôle et ses impératifs. Il était en particulier prisonnier de son rôle et ne pouvait faire ce qu'il voulait en tant que personne, mais ce qu'il devait en tant qu'empereur. Cette dualité était vraiment bien montrée. Ici c'est plutôt l'amour qui est en cause, avec une opposition entre deux des personnages, qui devient de plus en plus forte et se radicalise sur des positions totalement antagonistes. Evolution et transformation sont bien amenées et montrées, quoique ça prenne beaucoup de temps... Bref. Yimou Zhang essaie de changer, de varier tout en restant dans la même veine, mais ça ne fonctionne qu'à moitié. Film très beau mais un peu mou, je lui préfère très nettement Hero.

>>dely avait écrit: >>>Doña Hermine avait écrit: >>>>>>savez-vous pourquoi ses techniciens surnomment Jeunet "aigle 4" ? >>alors alors ? parce qu'en anglais ça donne "eagle four"

moi ça m'a beaucoup fait rire, AVP PS : Papatte, je peux utiliser ta critique pour Ansible ?

Exact, je n'avais même pas tilté. Tiens, deux trucs intéressants tirés d'allociné : La saga Alien VS Predator a d'abord été diffusée sur toutes sortes de supports avant d'être adaptée à l'écran. Il y avait une série de comics à succès, une ligne de jouets, des jeux vidéos, une bande originale et des séries de cartes. Le scénariste Peter Briggs a connu un succès immédiat en vendant son script original d'Alien vs. Predator des millions de dollars en 1991. Il a été par la suite la vedette d'articles sur les personnes ayant connu une réussite fulgurante et il a fait la couverture de nombreux magazines. Eh bin...

>>ThePatrick avait écrit: >>Alors Aien vs Predator, ça se passe dans l'Antarctique. Le satellite d'un riche milliardaire (oui, c'est un pléonasme) repère une source de chaleur 2000m sous la glace, en forme de bêtiment genre pyramide. Il recrute donc une équipe et hop !, va voir ce qui se passe. Entretemps un vaisseau extraterrestre en orbite a émis un rayon laser qui a creusé dans la glace un trou jusqu'au fond... Les gentils humains en profitent donc pour descendre et se retrouvent dans une pyramide extraterrestre (qui mélange les styles égyptien cambodgien et aztèque, peuples arriérés qui forcément ont adoré les extraterrestres en question). ça ressemble un peu beaucoup, énormément, à la folie et tout et tout à "la nuit des temps" de Barjavel enfin pour le décor je parle, désert de glace, chaleur, citée egypto-astéquo-ce que vous voulez. Ils ne se sont pas foulé les gars pour faire leur scénario ...

>>Doña Hermine avait écrit: >>>>Doña Hermine avait écrit: >>>>savez-vous pourquoi ses techniciens surnomment Jeunet "aigle 4" ? >>>>Réponse demain ! >>bon ben puisque tout le monde s'en fout je vous la donne pas la réponse, na ! si on attend avec impatience qu'on "soit demain" :-) alors alors ?

>>Doña Hermine avait écrit: >>savez-vous pourquoi ses techniciens surnomment Jeunet "aigle 4" ? >>Réponse demain ! bon ben puisque tout le monde s'en fout je vous la donne pas la réponse, na !