Les forums / [FILM] Vos phrases cultes
>>Mac Arthur avait écrit:
>>Les ordres sont les suivants : on courtise, on séduit, on enlève, ... et en cas d'urgence, on épouse. (Les barbouzes)
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>>Les cons, ça ose tout ! C'est même à ça qu'on les reconnait. (Les tontons flingueurs)
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>>- Bon ! Vous, vous restez là. Alors, si n'importe qui vous d'mande l'heure, du feu ou l'chemin d'la mer ...
>>- On flingue !
>>- Voilàaaa ... (les barbouzes)
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>>Patricia, mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeu et encore moins grossier... L'homme de la pampa parfois rude, reste toujours courtois... Mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine là, il commence à me les briser menu ! » (Les tontons flingueurs)
C'est très Tontons tout ça mon petit mac Arthur... moi j'adore celle-ci que tu connais forcément :
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Les ordres sont les suivants : on courtise, on séduit, on enlève, ... et en cas d'urgence, on épouse. (Les barbouzes) Les cons, ça ose tout ! C'est même à ça qu'on les reconnait. (Les tontons flingueurs) - Bon ! Vous, vous restez là. Alors, si n'importe qui vous d'mande l'heure, du feu ou l'chemin d'la mer ... - On flingue ! - Voilàaaa ... (les barbouzes) Patricia, mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeu et encore moins grossier... L'homme de la pampa parfois rude, reste toujours courtois... Mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine là, il commence à me les briser menu ! » (Les tontons flingueurs)
Une bonne partie des répliques de "le grand détournement – la classe américaine" que je vous conseille vivement si vous ne l’avez jamais vu. - Le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence. - Dites-moi mon p’tit Georges, vous ne seriez pas en train de me prendre pour un con des fois ? - Si complètement. - Merde les anglais on débarqué, on va être obligé de passer par derrière, vous savez par ce chemin boueux et qui ne sent pas très bon. - Oh, Georges, vous savez parlez aux femmes. - C’était à l’époque de la ferme… - La ferme ? - La ferme ta gueule, connard… - Hé je t’ai déjà vu toi ! - Non, en fait c’est moi qui t’ai déjà vu, je t’ai vu le premier, toi tu m’as vu le second. - Bon bah, d’accord je t’ai vu le deuxième - Faux, c’est aussi moi qui t’ai vu le deuxième. - …Bon... Bah lui il va me prendre la tête ! Le bon, la brute et le truand, Tuco dans son bain : - Quand on bute quelqu’un, on raconte pas sa vie. Usual suspects : - C’est qui l’éclopé ? - Il s’appelle Verbal. - Il paraît que je parle trop. - J’allais justement te dire de la fermer. - Je me vois tout à fait dans le droit d’appliquer mon droit d’assemblée - Appliques donc ton droit de la fermer. - Je peux prouver que t’étais dans le queen’s le soir du casse. - Sans blague ?... J’habite queen’s. Fight club : - Vous n’êtes pas votre travail, vous n’êtes pas votre voiture, vous n’êtes pas votre compte en banque, le contenu de votre portefeuille ou votre putain de treillis. Vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout. - Maintenant, question de protocole ; pour passer, je vous présente mon cul ou ma queue ? Désolé, j’en ai mis une couche, mais il m’en revient plein.
un Inspecteur Harry : - Callahan, rendez-moi l'étoile ! - Tenez, ça va vous faire un suppositoire à 7 branches !
le vieux fermier dans Hot Fuzz qui dit un truc comme : "Wealaewebialleiordwelltowenarfall a SEA MINE"
Une que j'adore, sûrement déjà citée. Dans Mafia blues, je récapitule pour tout le monde alors Paul c'est Robert de Niro, Jelly (Joe Viterelli) c'est son garde du corps et Dr sobol (Billy Crystal) c'est le psy : Paul : Jelly, tu surveilles et écoute pas ce qu'on dit ! Jelly : Mes oreilles sont scellées. [...] Dr Sobol : Très bien, racontez moi votre rêve. Paul : Ok, je fais un petit somme, j'entends un bébé qui pleure, je vais au refrigérateur, je trouve une bouteille de lait, j'apporte la bouteille au petit mioche et le lait est devenu noir. Jelly : Oh putain... c'est dingue !
>>Chelmi avait écrit: >>- Je suis innocent >>- Innocent ?! Innocent de quoi ! >>(Impitoyable) - Je ne mérite pas cela... - Le mérite n'a rien avoir là-dedans.... (Impitoyable)
>>Chelmi avait écrit: >>"Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises situations. Moi si je devais résumer ma vie, aujourd’hui, avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi, et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée, parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer ; alors ce n’est pas mon cas comme je le disais là, puisque moi au contraire j’ai pu et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’amour, et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? Et bah je leur réponds très simplement, je leur dis : c’est ce goût de l’amour, ce goût donc qui m’a poussé, aujourd’hui, à entreprendre une construction mécanique mais demain, qui sait, peut-être, simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…" >>Edouard Baer alias Otis dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre Au moins comme ça tout le mode pigera la vanne. (je peux te la piquer, d'ailleurs ? )
"Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises situations. Moi si je devais résumer ma vie, aujourd’hui, avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi, et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée, parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer ; alors ce n’est pas mon cas comme je le disais là, puisque moi au contraire j’ai pu et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’amour, et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? Et bah je leur réponds très simplement, je leur dis : c’est ce goût de l’amour, ce goût donc qui m’a poussé, aujourd’hui, à entreprendre une construction mécanique mais demain, qui sait, peut-être, simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…" Edouard Baer alias Otis dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre
>>cac avait écrit: >>>>Ro avait écrit: >>>>>>Lorie avait écrit: >>>>>>Bonjour je voudrais savoir qui dit : >>>>>>"Sabre de bois" >>>>>>C'est dans une BD mais je ne sait plus laquelle !! >>>>>>Pouvez vous m'aidez s.v.p. ? >>>>>> >>>>>>Merci D'avance >>>> >>>>Pacôme Hegesippe Ladislas, comte de Champignac. >> >>et la bd qui va avec on va dire que c'est Spirou et Fantasio Et pour pinailler le nom complet c'est Pacome Hegesippe Adelard Ladislas, Comte de Champignac. soyons precis! Premiere apparition si ma memoire est bonne dans "il y a un sorcier à Champignac".
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