Les forums / La ligue des gentlemen extraordinaires
>>hevydevy avait écrit: >>Pour ceux qui en auraient marre d'attendre une hypothétique sortie de cet épisode en langue française, une Absolute édition du Black Dossier de la Ligue est prévue pour dans deux jours (19 août 2008 ) pour un peu plus de 60 $ quand même (hors frais de port). Miam , car ce sont vraiments de très beaux ouvrages (les deux premières Absolutes sont parmi les plus belles pièces de BD que j'ai jamais eu en main). Je l'ai détaillé sur un autre topic du site, mais je le redis ici, cette troisième absolute est finalement à fuir comme la peste. La prochaine histoire (vol III, Century) déboule en avril, et est prévue en 3 tomes. Plus d'info là pour le tome 1 et ici pour le tome 2. Miam et remiam
Pour ceux qui en auraient marre d'attendre une hypothétique sortie de cet épisode en langue française, une Absolute édition du Black Dossier de la Ligue est prévue pour dans deux jours (19 août 2008 ) pour un peu plus de 60 $ quand même (hors frais de port). Miam , car ce sont vraiments de très beaux ouvrages (les deux premières Absolutes sont parmi les plus belles pièces de BD que j'ai jamais eu en main).
>>hevydevy avait écrit: >>Et oui, "fin", car je me rends comte que je m'étais lancé dans un boulot fort fastidieux, et que finalement 99 % des références utilisées proviendraient des bouquins de Jesse Nevins. Bon, il m'avait autorisé à utiliser ses travaux, mais j'ai perdu un peu d'intérêt pour ce recopiage presque systématique . >>En plus, aujourd'hui j'ai trouvé le site original où les anglicistes curieux pourront aller s'abreuver (pas aussi complet que les bouquins mais l'essentiel y est). C'est ici. >>On y trouve d'autres travaux de référencement sur Top Ten ou Kingdom Come par exemple. En plus, avant sa parution en juillet 2008, on peut y trouver les annotations du "Black Dossier" (suis-je le seul sur le site à l'avoir lu/acheté ?). >> >>Bon, quand même une dernière pour la route : dans le volume 2, certaines des onomatopées Martiennes peuvent être déchiffrées. A vos miroir ! Pas onomatopées mais phylactères ! et miroirS
Et oui, "fin", car je me rends comte que je m'étais lancé dans un boulot fort fastidieux, et que finalement 99 % des références utilisées proviendraient des bouquins de Jesse Nevins. Bon, il m'avait autorisé à utiliser ses travaux, mais j'ai perdu un peu d'intérêt pour ce recopiage presque systématique . En plus, aujourd'hui j'ai trouvé le site original où les anglicistes curieux pourront aller s'abreuver (pas aussi complet que les bouquins mais l'essentiel y est). C'est ici. On y trouve d'autres travaux de référencement sur Top Ten ou Kingdom Come par exemple. En plus, avant sa parution en juillet 2008, on peut y trouver les annotations du "Black Dossier" (suis-je le seul sur le site à l'avoir lu/acheté ?). Bon, quand même une dernière pour la route : dans le volume 2, certaines des onomatopées Martiennes peuvent être déchiffrées. A vos miroir !
Saviez vous que le style graphique de Kevin O'Neill fait tellement "peur", que depuis 1988, aucune des ses publications n'est approuvée par le Comics Code Authority aux USA (quelque soit le contenu de la BD !). Et c'est le premier et seul dessinateur à qui c'est jamais arrivé, ça c'est du trophé !!:: ps : le post qui précède me fait penser que j'ai quelque chose à finir moi ...
Je reprends ma présentation de quelques références utilisées par Moore et O’Neill dans leur « ligue des gentleman extraordinaires ». Entre temps, au fil de mes lectures, je suis retombé sur un arc de la série « Némésis the warlock », datant de 1983, écrite par Pat Mills et en partie illustré par Kevin O’Neill. L’histoire dont il s’agit (Némésis the warlock book IV, « the gothic empire »), présente une galaxie d’aliens métamorphique, ayant choisi de rendre hommage à l’imagerie de l’Angleterre Victorienne. Leur planète capitale s’appelle Britania, et sous la plume d’O’Neill, cette dernière ressemble furieusement à une première tentative à donner forme à un univers « steam punk » (machines volantes en tout genre, mélange d’architecture Victorienne et futuriste) peuplées d’inventions à la Jules Verne. Ceci pour dire qu’avec cette bande dessinées, la collaboration entre Moore et son dessinateur est peut être bien moins déséquilibrée qu’à l’accoutumée. Pour gagner du temps : SJN = Source Jesse Nevins (car sans son travail ….). Volume 1, chapitre 2 Page 25 (2-1) Casec1 à 4, la naration Journal est ici équivalente à celle utilisée par Bram Stocker dans Dracula (SJN). Page 33 (2-9). L’inspecteur Donovan (Dick Donovan), est le héros de plusieurs romans policiers écrits entre 1888 et 1899 par James Muddock, incluant la courte histoire « «Who poisoned Hetty Duncan ? » (SJN). Case 3 : le Grand Détective, est le surnom donné à Sherlock Holmes, dont la « mort » intervient en 1891. Robur quand à lui, est une création de Jules Verne, et il apparaît dans « Robur le conquérant » et « Maitre du monde ». Le Premier Ministre Plantagenet Palliser, ainsi que le révérend Septimus, sont des créations d’Anthony Trollope (Plantagenet dans les romans originels, devient premier ministre en 189. L’astronome Lavell est une référence au roman d’H.G. Wells « la guerre des mondes » (189. Enfin, Miss Coote est une création de William Dugdale auteur de roman Pornographiques. En anglais du dix-septième siècle, « coot » peut se traduire par « copuler » (SJN). Page 34 (2-10). Cause de l’air perturbé de Mina : le pub «The prospect of Whitby » est le théâtre d’une grande partie des évènements ayant lieu dans Dracula (SJN). Page 35 (2-11). Présentation de l’homme invisible, création de H.G. Wells dans son roman éponyme (1897). Le prénom Hawley a été inventé par Moore pour faire référence à une affaire réelle : l’empoisonnement de sa femme par le Docteur Hawley Crippen (SJN). Page 36 (2-12). On pourrait très approximativement traduire la maxime allemande « Schadenfreude » par « Jouir au dépend d’autrui ». Cette académie correctionnelle est issue d’un roman de Dugdale. Case 3 : Miss Flayburn est aussi une héroïne collégiale de romans pornographiques. Page 37 (2-13). « Olive Chancellor », est une référence au roman d’Henri James « les bostoniennes » (1886). Elle y est présentée comme une femme possédant une farouche volonté d’émancipation. « Katy Carr », quand à elle, est l’héroïne forte tête de 3 romans de Susan Coolidge, qui finira par faire le difficile apprentissage de la discipline par l’« école de la douleur » (1886). « Becky Randall », est l’héroïne principale de 2 romans de Kate Douglas mettant en scène une orpheline (beaucoup d’ironie ici de la part de Moore) (SJN). Page 38 (2-14). L’inscription sur le lit est en Français dans le texte. Elle désigne un moyen de torture qui consistait à charger graduellement de poids la poitrine de l’accusé. Ici, elle a bien sûr une double signification (SJN). Page 39 (2-15). « Polly Whittier », plus connue sous le nom de « Pollyanna », est l’héroïne des romans éponymes de Eleanor Porter (1913, 1915) (SJN). Page 43 (2-19). « Lady Pokingham » est aussi une héroïne de la littérature pornographique de l’ère Victorienne. Page 44 (2-20). Quatermain prête une attention toute particulière à la représentation d’« Ayesha » (case 2) car elle intervient dans certaines de ses aventures narrées par H. Rider Haggard. Case 4, Nemo lui est particulièrement intéressé par des reliques des « voyages de Gullivers » (Jonathan Swift) : le crâne d’un géant et des Liliputiens. Précisons au passage que Gulliver est membre d’une précédente incarnation de la ligue (agissant à la fin du 18ème siècle), présentée à la page 47 (2-23). Page 45 (2-21). Les 2 objets accrochés au mur à la case 4 sont des références au « voyage au centre de la Terre » de Jules Verne : une plaque signalétique avec les initiales d’Arne Saknussemm, plaques qui guident le professeur Otto Lindenbrock dans le roman (SJN). Page 46 (2-22). Le professeur « Selwyn Cavor » est issu du roman de Wells « Les premiers hommes dans la Lune » (1901). Sa « cavorite » anti gravité est aussi issue de ce roman (SJN). Page 47 (2-23). Case 1 : Bond fait référence à un pirate de l’air allemand, héros d’une ouvre collégiale d’écrivains allemands de science fiction (SJN). Case 2, de gauche à droite : Gulliver (très âgé en 1887 puisqu’il devrait avoir 127 ans !), les époux Blakeney (personnages issus de l’imagination de la Baronne Orczy, mettant en scène un chevalier anglais –le Mouron rouge ou Scarlet Pimpernel - qui recueillait des aristocrates français fuyant la Révolution française), le Dr Syn (héros du roman éponyme de Russell Thorndike, qui se trouve aussi être le capitaine Clegg plus connu sous le nom de « l’épervier »), Fanny Hill (l’héroïne d’un des premiers roman pornographique anglais) et Natty Bumpo (plus connu sous le surnom « d’œil de faucon », dans le roman de Fennimore Cooper, « le dernier des Mohicans »). Sous le tableau, « Montagu House » fait référence au site sur lequel sera construit le British Muséum (SJN). Case 4 : le vilain de ce premier volume, dont le nom ne sera jamais prononcé, n’est autre que le redoutable « Fu Manchu », créé par Sax Rohmer. Son nom n’est pas littéralement utilisé pour des raisons de copyright (SJN).
Aller, hop, je profite de ma relecture de l’ « unofficial companion to the league of extraordinary gentlemen » du remarquable Jesse Nevins (et autres contributeurs), pour partager quelques unes des multiples références utilisées par les auteurs, avec les lecteurs du site qui pourraient y trouver un intérêt. Pour retrouver les références dans les bd, je me servirais de mes 2 exemplaires Français de l’intégrale (vol 1 et vol 2) en indiquant simplement la page correspondante. Pour les autres éditions, j’indiquerais entre parenthèses le numéro de chapitre (chaque volume étant divisé en 6 chapitres correspondants aux 6 comics parus) suivi du numéro de la page dans ce chapitre. Ainsi « page 37 (2-13) » signifie page 37 du volume correspondant de l’intégrale ou 13ème page du chapitre 2. Attention, les chapitres ne commencent pas forcément à leur page titre mais à la première page suivant les petits écriteaux du type « le prochain épisode … ». Je me limiterai ici à souligner quelques grandes références en m’aidant (beaucoup) des bouquins de Jesse Nevins ainsi que de mes propres souvenirs de lecteur. A l’exception des traductions de certains dialogues (je ne parle ni arabe, ni chinois), mon texte ne se veut en aucun cas une reproduction, même partiel, de ses excellents ouvrages (très exhaustifs, eux, avec plus de 230 pages chacun) que j’invite tout un chacun à se procurer aux adresses suivantes : http://www.amazon.fr/Heroes-Monsters-Unofficial-Companion-Extraordinary/dp/193226504X/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=english-books&qid=1200248939&sr=8-1 pour le volume 1 et http://www.amazon.fr/Blazing-World-Unofficial-Companion-Extraordinary/dp/1932265104/ref=sr_1_12?ie=UTF8&s=english-books&qid=1200248984&sr=8-12 pour le volume 2 (à réserver quand même aux anglophones). Volume 1, chapitre 1 : Page 1 (1-1) : le personnage de Campion Bond n’est pas à confondre avec celui de James Bond. C’est ici une création des auteurs car ils n’ont pas trouvé d’équivalent au personnage qui les intéressait pour tenir ce rôle dans l’histoire (c’est à dire un ponte des services secrets britanniques qui aurait vécu ses aventures à la fin du 19ème siècle). Pour rappel, Moore et O’Neil ont essayé de coller le plus respectueusement possible à la chronologie des héros utilisés, ce qui explique souvent les différences d’age. Bien sûr, l’utilisation du patronyme « Bond » n’est pas fortuite, et permet tout de suite de savoir que l’on est dans le monde de l’espionnage. On pourra aussi comparer cette première page avec l’introduction du personnage joué par Sean Connery dans la scène du casino de « Doctor no ». On trouvera un autre clin d’œil au plus connu des agents secret sur le pommeau de la cane de Campion Bond, à la page 27 (2-3) du volume 2,2ème case (3 chiffres bien connus, représentés en code morse), ainsi que dans le surnom donné au chef des services secret de l’époque (voir page 4). Attention, spoiler à la phrase suivante pour ceux qui veulent garder toutes les surprises intactes lors de leur lecture du volume 3 paru aux états unis cet automne. Quoiqu’il en soit une filiation entre Campion et James (Jimmy pour les intimes) n’est pas à exclure, le personnage de Ian Flemming étant utilisé lorsque les auteurs abordent la fin des années cinquante dans le « Black dossier ». Page 2 (1-2) : l’ambiance « passé futuriste » dans laquelle baigne l’œuvre est directement issue d’un monde dans lequel les héros inventeurs de génie de Jules Verne (par exemple) ont réellement existés. Page 3 (1-3) : Wilhelmina Murray (de son nom de jeune fille) est la Mina Harker (nom de son mari Jonathan Harker) du Dracula de Bram Stoker. Moore lui a ici inventé un divorce (contredit par l’épilogue du roman de Stoker où ils vécurent heureux avec un enfant), ce qui la conforte dans son futur rôle de femme forte, leader de la ligue. Page 4 (1-4), case 1 : le « M » dont il est question ici, et qui s’avérera être James Moriarty (ennemi juré de Sherlock Holmes), fut le fruit de beaucoup de spéculations avant que Moore ne lève le voile sur son identité dans le chapitre 5. Il faut rappeler ici, qu’à l’origine, ce premier volume fut l’objet d’une parution en 6 parties, vaguement mensuelle, laissant le temps aux internautes les plus curieux de se lancer le défi de découvrir l’identité de « M » en premier. Il fut d’ailleurs beaucoup question du frère de Sherlock, « Mycroft », à ce moment là. Page 5 (1-5), traductions anglaises par cases : - Who’s staying here, Miss ? - Whom are you seeking here? - Thank you for your great help. Page 6 (1-6): Allan Quatermain est le héros de H. Rider Haggard, dont l’aventure la plus connue est « Les mines du roi Salomon » (1885). A nouveau une entorse à l’original puisque le personnage Quatermain meurt en 1887. L’explication à cette entorse est donnée dans les annexes des comics originaux non repris dans les éditions françaises (si ce n’est l’absolute), où, dans le style d’Haggard, Moore écrit une courte nouvelle des aventures de ce héros. Traductions par cases : - Gett off ! - Come here woman ! We are not that ugly. That’s just a glass. You won’t feel a thing. - Come on … be nice to us. Page 7 (1-7), traductions anglaises par cases : - You are going to like this, We are is darlings. - … yes, that’s better. - I swear to god. - That’s enough! - … leave her alone or I’ll crack your heads open. - … he’s exaggerating … just look at him. He’s a destroyer. - you live like a dead man. Among gnats. - I’ll make a gnat out of you. - Son of a bitch, you killed my brother… I’ll tear your heart apart. Page 8 (1-8 ), traductions anglaises par cases : - You damned English…dirty… - Son of a whore ! - You’ll not stay tired. You are going to… - …die? - My friends, they have killed me!...don’t let them escape! Page 10 (1-10) Dans le livre de James Nevins, Kevin O’Neil précise que certains symboles apparaissants sur le Nautilus (trident, point d’interrogation entre les « yeux »), sont comme Nemo, d’origine indienne. Page 11 (1-11), traductions anglaises par cases : - Don’t let the white devils escape…the damned tall one… isn’t he ? - You will tell us… Page 12 (1-12). O’Neil a conçu son Nautilus comme 2 entité pouvant se séparer : un poulpe géant et une baleine. Page 15 (1-15). Case 1 : « Mines de diamants » et « Umslopogaas » sont des références tirées des «Mines du roi Salomon ». Page 16 (1-16). « L’île mystérieuse », vient du roman éponyme de Verne mettant aussi en scène Nemo. Page 17 (1-17). Auguste Dupin est un personnage créé par Edgar Allen Poe. Il apparaît notamment dans la nouvelle « double assassinat dans la rue Morgue » (case 6), où des meurtres sont sauvagement perpétrés par un grand singe (gorille ?, ma mémoire me fait défaut) difforme. Et hop, comment faire du héros de Poe, le Hyde de Stevenson. Page 18 (1-18 ). Case 4, une facile, le « monstre de Whitechapel » faisant bien sûr référence à Jack l’éventreur. Case 5, peut être moins évidente, Anna « Nana » Coupeau est bien le personnage du roman éponyme de Zola. A suivre ...
>>Alix avait écrit: >>Au fait j'ai regardé le film de la Ligue des Gentlemen Extraordinaires hier soir en DVD, c'est vrai que c'est pas terrible >> >>L'histoire est complètement différente de la BD, l'humour pas aussi présent, et le scenario se limite a une succession de scènes d'actions ennuyeuses. La BD n'était déjà pas extraordinaire, mais alors j'ai trouvé le film vraiment à chier. Je comprends que Alan Moore ne soit pas content du résultat... Il y a bien pire comme film... Ce n'est pas le travail de Stephen Norrington le réal qui est à mettre en cause (il a depuis claqué la porte malgré un honorable Blade et un décent Death Machine) mais les studios qui ont imposé une ratification tous publics afin de ratisser large... Reste une oeuvre inégale mais loin d'être honteuse... Pour dire d'un film qu'il est à chier, il faut plutôt regarder un Transformers de bien triste mémoire... Secundo, Alan Moore n'est heureux D'AUCUNE de ses oeuvres portées à l'écran...
Au fait j'ai regardé le film de la Ligue des Gentlemen Extraordinaires hier soir en DVD, c'est vrai que c'est pas terrible L'histoire est complètement différente de la BD, l'humour pas aussi présent, et le scenario se limite a une succession de scènes d'actions ennuyeuses. La BD n'était déjà pas extraordinaire, mais alors j'ai trouvé le film vraiment à chier. Je comprends que Alan Moore ne soit pas content du résultat...
L'info a peut être déjà été donnée sur le site quelques part : pour les acharnés de cette série maitrisant un peu la langue de shakespeare, il existe 2 livres en anglais qui tentent de décortiquer toutes les références utilisées par Moore et O'Neill dans leur 2 volumes : "heroes and monsters" the unofficial companion of extraordinary gentlemen pour premier volume et "a blazing world" pour le volume 2 (respectivement 239 et 304 pages). L'auteur s'appelle Jesse Nevins chez Monkeybrain books. Pour ce qui est d'être des "compagnons non officiels" aux bd, on nuancera le titre par le fait qu'Alan Moore a écrit une introduction pour les 2 livres et que Kevin O'Neil y fait des commentaires lorsque l'auteur trouve des références disons "subliminales" (non intentionnelles). L'origine de ces bouquins remontant à un blog de l'auteur, il y a peut être une possibilité de retrouver une partie du contenu sur le net.
En version originale il existe aussi les versions luxe "absolute". Chacune des 2 absolute comprend 2 recueils insérées dans un coffret. Le premier recueil compile les 6 épisodes de chaque volume avec tous le matériel paru originalement plus des bonus (la méga totale quoi), le second l'intégralité des scripts avec des ébauches de kevin O'Neill. Chaque absolute coute 75$ hors frais de port mais la qualité de l'édition est largement à la hauteur.
>>Alix avait écrit: >>J'essaye d'etablir la correspondance VF-VO en terme de tomes et nombres de pages, mais je capte rien >> >>Selon Amazon UK y a deux tomes VO : >>Tome 1 : 192 pages >>Tome 2 : 228 pages >>Soit un total de 420 pages. >> >>Selon Amazon FR y a 4 tomes VF : >>Tome 1 : 144 >>Tome 2 : 144 >>Tome 3 : 071 >>Tome 4 : 146 >>Soit un total de 505 pages. >> >>Et selon Amazon FR y a aussi 2 integrales : >>Tome 1 : Nombre de page inconnu. >>Tome 2 : 945 pages (?????) >> >>Help Les deux intégrales parues en France correspondent aux TPB en VO et regroupent 6 épisodes par volumes. Chaque intégrale groupe un story arc complet. Soit deux histoires indépendantes. Ne t'arrête pas au nombres de pages donnés par Amazon, il y a eu plusieurs recueils en VO avec des suppléments etc. Sans parler du fait qu'en France le format est différent, ce qui impacte sur le nombre de pages. Et en France cette série est parue originalement sous quatre albums de trois épisodes (regroupés par deux intégrales donc). J'espère que c'est clair.
J'essaye d'etablir la correspondance VF-VO en terme de tomes et nombres de pages, mais je capte rien Selon Amazon UK y a deux tomes VO : Tome 1 : 192 pages Tome 2 : 228 pages Soit un total de 420 pages. Selon Amazon FR y a 4 tomes VF : Tome 1 : 144 Tome 2 : 144 Tome 3 : 071 Tome 4 : 146 Soit un total de 505 pages. Et selon Amazon FR y a aussi 2 integrales : Tome 1 : Nombre de page inconnu. Tome 2 : 945 pages (?????) Help
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