Les forums / Blagues cons
Pendant l'occupation, un monsieur se rend à la Kommandantur et demande à voir le chef:- "Que foulez-fous ?" lui demande l'allemand. - "Je voudrais changer de nom."- "Ya, ya, Comment fous appelez-fous ?". - "Adolphe Merde."- "Ach ! Che comprends que fous fouliez changer de nom ! Comment foulez-fous fous appeler maintenant ?"- "Robert Merde..."
>>Mac Arthur avait écrit: >>Un énorme camionneur est assis dans un bar pour boire un verre quand une petite vieille entre et demande à qui appartient le pitbull qui est dehors. >>Le camionneur gueule : >>- C'est MON chien ! T'as un problème ? >>D'un air assuré, la mémé répond : >>- Non, il n'y a rien mais mon chien vient de tuer le vôtre... >>Le camionneur se lève d'un coup et dit : >>- QUOI ! Mais qu'avez-vous donc comme chien ? >>- Un caniche nain ... >>- Un caniche ! Hurle le camionneur, Putain comment un caniche peut-il tuer un pitbull ? >>Et la mamy de répondre : >>- Eh bien , je crois qu'il s'est étouffé avec... WAFWAFWAF ! (comment ça, je rigole comme un chien?)
Un énorme camionneur est assis dans un bar pour boire un verre quand une petite vieille entre et demande à qui appartient le pitbull qui est dehors. Le camionneur gueule : - C'est MON chien ! T'as un problème ? D'un air assuré, la mémé répond : - Non, il n'y a rien mais mon chien vient de tuer le vôtre... Le camionneur se lève d'un coup et dit : - QUOI ! Mais qu'avez-vous donc comme chien ? - Un caniche nain ... - Un caniche ! Hurle le camionneur, Putain comment un caniche peut-il tuer un pitbull ? Et la mamy de répondre : - Eh bien , je crois qu'il s'est étouffé avec...
>>maelle avait écrit: >>Il commande 10 whiskys. >>Le barman, un peu suspicieux, lui sert ses 10 verres. >>L'homme les avale cul-sec, les uns après les autres. >>Le barman: >>- Et bah mon vieux, vous avez une sacrée descente! Vous fêtez quelque chose? >>- Ma première pipe... >>- Ouah, ça se fête, allez je vous offre le 11ème!! >>- Non mais c'est bon, si le goût est pas parti avec 10, il partira pas avec 11! >> Je la connaissais sous une autre tournure mais elle reste toujours aussi, euh, juteuse (?)
>>maelle avait écrit: >>Et se retrouve devant les portes de l'enfer et du paradis. >>Leur gardien s'avance vers elle, et lui dit: >>-Tu as le choix: Soit tu vas en enfer, et tu souffriras mille morts pendant l'éternité, tu seras torturée encore et encore.... Soit tu vas au paradis, ton existence ne sera que bonheur et jouissance, plaisir et volupté. >> >>La demoiselle s'exclame: >>- un choix pareil, c'est vite réfléchit, je choisis le paradis! >> >>Elle s'approche donc de la porte du paradis, et au moment de tourner la poignée, un hurlement se fait entendre. >> >>- Hé, je croyais qu'on ne souffrait pas au paradis! >>- C'est vrai, mais quand tu y entres, on te cloue une auréole sur la tête, et après c'est bon, plaisir tout ça!! >>- Une auréole? Je préfère encore l'enfer. >>- Tu n'y penses pas, l'enfer c'est affreux, on va te violer, te pénétrer, te sodomiser, pendant toute l'éternité! >>- Peut-être, mais là au moins, les trous sont déjà faits! >> >> >> >> >> >> >> >> >> >>Pardon Quelle fraîcheur mademoiselle
Il commande 10 whiskys. Le barman, un peu suspicieux, lui sert ses 10 verres. L'homme les avale cul-sec, les uns après les autres. Le barman: - Et bah mon vieux, vous avez une sacrée descente! Vous fêtez quelque chose? - Ma première pipe... - Ouah, ça se fête, allez je vous offre le 11ème!! - Non mais c'est bon, si le goût est pas parti avec 10, il partira pas avec 11!
>>maelle avait écrit: >>Et se retrouve devant les portes de l'enfer et du paradis. >>Leur gardien s'avance vers elle, et lui dit: >>-Tu as le choix: Soit tu vas en enfer, et tu souffriras mille morts pendant l'éternité, tu seras torturée encore et encore.... Soit tu vas au paradis, ton existence ne sera que bonheur et jouissance, plaisir et volupté. >> >>La demoiselle s'exclame: >>- un choix pareil, c'est vite réfléchit, je choisis le paradis! >> >>Elle s'approche donc de la porte du paradis, et au moment de tourner la poignée, un hurlement se fait entendre. >> >>- Hé, je croyais qu'on ne souffrait pas au paradis! >>- C'est vrai, mais quand tu y entres, on te cloue une auréole sur la tête, et après c'est bon, plaisir tout ça!! >>- Une auréole? Je préfère encore l'enfer. >>- Tu n'y penses pas, l'enfer c'est affreux, on va te violer, te pénétrer, te sodomiser, pendant toute l'éternité! >>- Peut-être, mais là au moins, les trous sont déjà faits! des p'tits trous, des p'tits trous, toujours des p'tits trous ...
>>Mac Arthur avait écrit: >>Aux portes du paradis, un nouvel arrivant commence son récit: >>- Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentré chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvée complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est là que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà. >>- Ah bon ! Répond St Pierre passionné. Soit, vous êtes admis au paradis. >> >>Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort à St Pierre: >>- Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17ème étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la chance de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et, pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever. >>- Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, lui répond St Pierre,vous pouvez entrer au paradis. >> >>Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre: >>- Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!! sympa
Et se retrouve devant les portes de l'enfer et du paradis. Leur gardien s'avance vers elle, et lui dit: -Tu as le choix: Soit tu vas en enfer, et tu souffriras mille morts pendant l'éternité, tu seras torturée encore et encore.... Soit tu vas au paradis, ton existence ne sera que bonheur et jouissance, plaisir et volupté. La demoiselle s'exclame: - un choix pareil, c'est vite réfléchit, je choisis le paradis! Elle s'approche donc de la porte du paradis, et au moment de tourner la poignée, un hurlement se fait entendre. - Hé, je croyais qu'on ne souffrait pas au paradis! - C'est vrai, mais quand tu y entres, on te cloue une auréole sur la tête, et après c'est bon, plaisir tout ça!! - Une auréole? Je préfère encore l'enfer. - Tu n'y penses pas, l'enfer c'est affreux, on va te violer, te pénétrer, te sodomiser, pendant toute l'éternité! - Peut-être, mais là au moins, les trous sont déjà faits! Pardon
>>Mac Arthur avait écrit: >>Aux portes du paradis, un nouvel arrivant commence son récit: >>- Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentré chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvée complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est là que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà. >>- Ah bon ! Répond St Pierre passionné. Soit, vous êtes admis au paradis. >> >>Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort à St Pierre: >>- Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17ème étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la chance de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et, pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever. >>- Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, lui répond St Pierre,vous pouvez entrer au paradis. >> >>Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre: >>- Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!! Pas mal... t'as proposé mieux quand même
>>Mac Arthur avait écrit: >>Aux portes du paradis, un nouvel arrivant commence son récit: >>- Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentré chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvée complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est là que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà. >>- Ah bon ! Répond St Pierre passionné. Soit, vous êtes admis au paradis. >> >>Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort à St Pierre: >>- Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17ème étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la chance de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et, pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever. >>- Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, lui répond St Pierre,vous pouvez entrer au paradis. >> >>Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre: >>- Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!! Je la connaissais, avec des variantes, mais elle reste sympa
Aux portes du paradis, un nouvel arrivant commence son récit: - Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra conjugale. Je suis donc rentré chez moi à l’improviste et évidemment, je l'ai trouvée complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l'appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis, je me suis souvenu qu'habitant le 15ème étage d'une tour, nous disposions d'un petit balcon. J'ai donc ouvert la porte-fenêtre et c'est là que j'ai vu cet homme suspendu dans le vide et s'agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu'il tombe, mais il tenait bon. Alors je suis parti chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu 'il bougeait encore, j'ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l'ai fait basculer sur cet individu. L 'effort a été si violent que j'ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà. - Ah bon ! Répond St Pierre passionné. Soit, vous êtes admis au paradis. Un second homme se présente peu après et commence à raconter l'histoire de sa mort à St Pierre: - Voyez-vous, débute-t-il, j'étais en train de repeindre mon balcon au 17ème étage d'une tour. Mon tabouret a vacillé et j'ai basculé dans le vide. Mais j'ai eu la chance de me rattraper à un balcon, deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et, pire, lorsque j'ai lâche prise, comme je ne suis pas mort tout de suite, il m'a balancé son frigo sur la tête pour m’achever. - Oui, j'ai entendu parler de cette histoire, lui répond St Pierre,vous pouvez entrer au paradis. Un troisième homme arrive et entame, lui aussi, son récit à St Pierre: - Franchement, je ne sais pas comment c'est arrivé ! J’étais caché à poil dans un frigo et me voilà !!!
>>Mac Arthur avait écrit: >>Une fillette a été retrouvée étranglée. L'enquêteur demande au médecin légiste : >>- A-t-elle été violée? >> >>Le légiste répond : - Non, on attend l'autorisation... Simple et efficace aussi
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